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vendredi, 08 mars 2024

Macron l'avorteur...

Macron l’indigne, et son discours Place Vendôme, au milieu de sa cour et de ses courtisans, hilares...
Macron l’ignoble, tout dans la com et l’électoralisme le plus vil, les yeux rivés sur les Européennes du mois de juin et la déculottée prévue de son camp et de son clan, qu’il pense ainsi, sans doute, pouvoir atténuer...
Macron l’infâme, qui se fout bien pas mal de ce dont il cause, des malheurs, des douleurs, des souffrances, des angoisses des avortées et des avorteuses, pourvu que tout ça, au bout du compte, lui apporte les voix sociétales espérées dont il a bien besoin pour redorer son blason...
Macron l’abject, et pas un mot dans son discours sur les souffrances, les malheurs, les angoisses et les douleurs des autres, celles qui ont eu le courage d’aller au bout d’une grossesse non désirée et problématique, celles qui ont dû se battre au jour le jour pour élever l’enfant qu’elles avaient porté et qui, malgré tout, était la chair de leur chair...
Pas un mot pour tous ceux qui se battent pour un combat d’une autre et plus certaine noblesse et qui pensent que l’on peut aussi être du côté des femmes en leur proposant les aides qui leur permettront de garder et d’élever leur enfant...
Pas un mot pour toutes ces Françaises et ces Français qui pensent que le foetus, dès les premiers jours de sa conception, est une vie à respecter et qui font pas partie du club des 343 salopes labellisées et désormais révérées sur tous les autels pourris de la République...
Pas un mot, de la part de ce soi-disant représentant, garant et champion de l’unité nationale, pour tous ceux qui appuient leurs raisons de vivre sur autre chose qu’un droit individualiste exacerbé, sur un «jouir sans entraves» dont le résultat le plus patent est cette société fracassée, divisée et anxiogène qui est la nôtre...
Macron l’obscène, petit roquet insignifiant qui ne sait rien ni de la paternité ni de la maternité et qui veut imposer au monde entier, sur un sujet aussi douloureux, l’évidence d’une pseudo-conviction qui n’a d’autre fondement que d’essayer de sauver dans les urnes du mois de juin deux quinquennats de merde... Beuark !