jeudi, 25 septembre 2025
Dame Ernotte...
Pour saluer le magnifique bilan sectaire et comptable de Delphine Ernotte... (sur l'air de "Jeanne" de Brassens...)
Ernotte, salope,
ta maison est ouverte aux gens sans foi ni loi,
aux Legrand, aux Cohen qui vont boir' le caoua
avec la crème socialiste
pour fomenter leurs mauvais coups
et peindre en ros' bonbon Radio-France.
Ernotte, salope,
c'est avec not' pognon que tu format's plein pot
le peupl' que tu méprises à longueur de micros,
avec nos ronds que tu proclames
que t'as une sainte mission :
ouvrir la route à Faur', Glucksman, Mélenchon.
Ernotte, salope,
quand c'est que tu partages tes quatr' cent mille euros,
toi la grand' partageus', avec le populo,
quand c'est qu' t'invit's sur ta pelouse
quand c'est qu' t'invit's dans tes coktails
les prolos, les migrants qu' tu adores.
Ernotte, salope,
tes ratich' de grand' bourge qui rayent le plancher,
ton cul rose posé sur les coussins dorés,
ça te rend guère légitime,
pour prêcher la Révolution,
va falloir que tu te déconstruises...
Ernotte, salope,
le pouvoir, le pognon, c'est pas joli, joli
quand on est fan d' Foucault, Deleuze et Guattari,
qu'on est adepte du wokisme...
Toi la madon' des racisés,
t'as peut-être un peu trop d' visibilité...
Ernotte, ma pote,
tes quatr' cent mille euros, le jour qu' tu les donn' ras
aux migrants de ton coeur, au p'tit peuple d'en-bas,
tu s'ras la p'tit' Cunci qu'on aime,
alors ce jour-là, c'est promis,
j'effacerai la rime fautive...
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lundi, 22 septembre 2025
Les consolations de François Morel...
Tu sais, Morel, au lieu de venir, six mois après, avec ta gueule enfariné de veuf éploré digne et transcendantal, nous faire, sans crier gare, quasiment impromptu, l’éloge funèbre et bouleversant de Madame sous les applaudissements compatissants de toute la corporation médiatico-gaucharde surjouant à donfe l’intense émotion cultureuse et humaniste que tu leur as procurée et te tressant des milliers de couronne mauves pour ce magnifique travail de deuil tellement bien peaufiné en direct live de la Grande Librairie, sous le regard attendri de l’angélique Traquenard des grands soirs et, entre parenthèses, une fois de plus avec nos ronds, tu vois, François, au lieu de cette petite comédie minable et pathétique du Bossuet du pauvre (ou du riche plutôt) venant (pourquoi lui ? par quel privilège éhonté ? quel passe-droit de copinage éditorial ? quels émoluments bien sonnants et trébuchants, si ça se trouve ?) nous causer de sa meuf dans le micro, les yeux courageusement plantés dans les yeux de millions de Français, bien cadré par la caméra, tout droit sorti de maquilleuse, avec deux doigts de fond de teint sur la gueule, tout propre sur toi, avec une syntaxe et un vocabulaire irréprochables (bien oubliés les «enculés» et les «fils de pute» de naguère...), tu vois, Morel, j’eusse préféré, au lieu de ce spectacle, baudelairien et bettancourien à la fois, de Mon coeur mis à nu parce que je le vaux bien, j’eusse préféré, disais-je, Morel, que tu vinsses nous faire dans le micro l’éloge funèbre de Thomas de Crépol qui semble pas t’avoir arraché de grosses larmes, de Philippine Le Noir de Carlan qui semble pas t’émouvoir plus que ça, de Lola Daviet et de tant d’autres que tu as finalement assez vite oubliés...
Certes, Madame Morel était, je n’en doute point, très gentille, mignonne à souhait et superbement intelligente (encore que pour s’embarquer si longtemps avec un connard de ton calibre, on puisse en douter...), certes la perte d’un être cher, même chez les gros cons qui s’empressent de courir défendre, toutes affaires cessantes, les deux tristes sires de la Propagandastaffel France-hitlérienne, pardon, France-Interienne, la veuve Legrand et l’orphelin Cohen, à coups d’ «enculés» et de «fils de pute», est toujours une tragédie, mais une tragédie, excuse-moi, François, malgré l’importance que tu et que l’on t’accorde dans le petit monde de l’intelligentsia médiatique officielle, subventionnée et labellisée, une tragédie minuscule, intime, personnelle et qu’on doit pouvoir traiter, comme tout un chacun, chez soi, avec deux kleenex et trois insomnies, voire avec quelques séances de psy à 300 balles la demi-heure, ce qui devrait pas trop grever un budget qu’on imagine assez confortable chez le partageux repenti que tu es...
Mais de là à venir faire chialer toutes les chaumières de France et de Navarre sur ton intime chagrin et ton immarcescible douleur, alors qu’il y a tous les jours, Morel, des mecs et des meufs qui se font buter par des vrais enculés et des sacrés fils de pute, des mecs et des meufs, même pas malades, qui vont crever à 18, 20 ou 25 ans et qui vont bouffer de la terre pendant l’éternité, et des familles entières qui vont traîner cette souffrance toute leur vie à cause de la longue et pourrie politique pénale des crapules badintéro-taubiresques et magistraturement syndiquées que tu adores, de là, donc, à venir faire chialer le populo sur ta Madame se meurt, Madame est morte perso et nombriliste, y a un fossé que, hélas, en vieux et minable cabotin que tu es, tu as franchi allègrement avant, primesautier en diable et divinement consolé, de venir, même pas huit jours après, nous parler joyeusement et un peu moins pathétique, de la ... «tototte» (ça, c’est de la chronique !) sous les rires niais et complaisants de l’orchestre France-Inter au grand complet sous la direction de l’indéboulonnable Ali Baddou, victime sans doute (tiens, tu pourrais en faire une chronique...) du racisme systémique et nauséabond de ces cons de Français...
Ecarte-toi un peu, Morel, je crois que je vais dégueuler...
14:40 | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 16 septembre 2025
François Morel, suite et fin...
Et voilà le Meslet qui s’en mêle !
Ils sont venus, ils sont tous là, dès qu’ils ont entendu le cri : ils vont le virer le Thomas, ah, ah, ah...
Non, non, qu’on se rassure, ils le vireront pas le Thomas Legrand, pas plus qu’ils ne vireront le Cohen...
Car déjà la meute monte au créneau : le Meslet en tête, directeur de je ne sais quoi, puis la Pigalle, directrice de mes deux, et bientôt, sans doute, la Société des journalistes de Radio-France, les syndicats, les zumoristes patentés, les chroniqueurs ubiquitaires, les pigistes, les preneurs de son, les maquilleuses, les Guillaume Erner de France-cul, sans oublier l’indispensable comité d’éthique maison, toutes et tous à venir défendre l’impeccable déontologie à géométrie variable des deux clowns tristes mouillés jusqu’au trognon... Et tous de bien tortiller du micro pour dire que non, ils n’ont pas dit ce qu’ils ont dit et qu’en bon français médiatico-progressiste, "faire ce qu’il faut pour Dati, Patrick et moi», ça veut surtout pas dire : «On va se la descendre vite fait», ni «T’inquiète, papa, elle sera vite grillée», ni «On va lui accrocher une belle casserole au cul», ni «Le contrat sera exécuté point par point», ni «On a suffisamment l’habitude de tripoter l’info pour que vous puissiez nous faire confiance», ni «Pas de panique, on tient toutes les rubriques de la maison», ni «C’est comme si c’était fait, les amis, vous pouvez rassurer Olivier Faure», ni... ni... ni... Non, bien sûr, rien de tout ça. «Faire ce qu’il faut pour Dati, Patrick et moi», ça veut juste dire que Patrick et Thomas vont aller offrir un joli bouquet de fleurs à Rachida pour son anniversaire le 27 novembre prochain...
Ce que c'est, quand même, la gentillesse...
17:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 14 septembre 2025
Petit prolongement morelesque...
Si je me suis permise de traiter le Morel d’ «enculé» et de «fils de pute», moi d’ordinaire si tant tellement gentille et affable, c’est que ce délicat, de gentil, ce lettré, avec sa voix de merde et sa componction de notaire, a débuté ainsi les propos dont je causais hier, manifestant par là toute l’aménité humaniste et la généreuse tolérance qui sont les siennes...
Et le Morel, encore plus con que l’on ne saurait imaginer, dans sa furieuse passion de défendre les copains et les coquins avec lesquels il partage à pleines louches le gâteau france-interesque (combien, au fait, le salaire et le patrimoine de ces trois ordures partageuses ?), ce connard, disais-je, ou presque, ne s’est même pas avisé que le Cohen copinant autour d’un café avec les député socialos et s’offusquant ensuite, toute honte bue, des images volées de leur collusion manifeste, le Cohen est le même qui jadis, c’était en février 2018, à propos d’images et de propos volés sur le compte, cette fois, de Laurent Wauquiez, avait trouvé tout à fait corrects, déontologiquement justifiés et peut-être même exemplaires ces agissements !
Décidément, il y a quelque chose, et même beaucoup de choses de pourries au joli royaume de Dame Ernotte...
12:22 | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 13 septembre 2025
La crapule François Morel...
Un certain François Morel,
enculé de haute graisse,
plein de haine et plein de fiel,
plein de merde et de bassesse,
plein de merde dans son cul,
dans sa bouche et dans sa gueule
de roquet entretenu
par Ernotte, nous dégueule,
chaque vendredi, le con,
ses chroniques de débile,
payées sur notre pognon,
et ce connard, ce fossile,
dans un entre-soi puant,
dans un entre-soi obscène,
vient sauver Thomas Legrand,
vient sauver Patrick Cohen,
les deux cons de France-Inter,
les deux sectaires immondes,
et Morel prend ses grands airs,
(on se croirait dans"Le Monde")
pour trouver bien indécent
qu'on dévoile les magouilles
de ces nouveaux bien-pensants
qui s'en mettent plein les fouilles
en imposant chaque jour ,
chaque instant, chaque minute,
leurs despotiques discours...
Morel, t'es qu'un fils de pute !
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