lundi, 27 octobre 2025
En avoir ou pas...
Alors soyons clairs, comme c’est pas nous qu’on couche avec, on se contrefout ici de savoir si Brigitte Jean Michel Macron Trogneux en a ou pas, encore que si elle en a, d’une part ça pourrait être notre oncle, d’autre part, ça pourrait quand même jouer un rôle sur une certaine «envie du pénal» et désir de justice pour lesquels le peuple français semble montrer une certaine appétence...
Et hier soir, justement, sur BFMTV, qu’il faudrait d’ailleurs peut-être rebaptiser «Belle-Famille Macron-TV», c’était la grande soirée de la vérité enfin dévoilée sur l’Affaire Brigitte Macron, avec un casting d’enfer de tous les plus brillants et hémiplégiques brigittologues du PAF, tous les plus exigeants et sourcilleux enquêteurs à vue basse et cerveau gauche, la fine fleur de l’expertise médiatique socialo-centrée : Tristan Mendès-France de l’Université par ci, Victor Mottin de Conspiracy Watch par là, Antton Rouget de Médiapart juste en face, sans oublier Tristan Bromet, chef de cabinet de Brigitte (il nous coûte combien, au fait, celui-là ?), et, pour les quotas, Emmanuelle Anizon du Nouvel-Obs et Sylvie Bommel de je sais pas où... Et pour finir, en conclueur des hautes oeuvres, le Yéti soi-même, Dupond-Moretti, tel qu’en lui-même enfin la vanité le change, fils incestueux, putatif et putassier de Robert Badinter et Christine Taubira, ne sachant articuler autre chose comme argument définitif et péremptoire que le mot «dinguerie» répété en boucle, ce qui, avouons-le humblement, est le sommet absolu de la rhétorique judiciaire la plus pointue... Et tous ces zozos, naturellement, confrontés et opposés à rien du tout, soliloquant et déblatérant à qui mieux mieux, sans aucune contradiction, aboyeurs pénards et pépères tranquilles, crachant en toute sérénité leur venin sur une fachosphère d’autant plus injuriable et calomniable à souhait qu’elle n’est pas là et que tout cela se passe dans le cercle raffiné et confidentiel des poètes survendus...
Alors, qu’elle en ait ou pas, Brigitte, on le répète, on s’en fout. Mais on aimerait juste, s’il y a enquête sur le sujet, que l’enquête soit loyale, franche, équilibrée et rationnelle, on aimerait juste la confrontation des idées et des arguments des différentes parties plutôt que ce procès à charge sur une fachosphère trop facile qu’on prive de parole pour mieux ronronner la vérité officielle d’une élite médiatique, universitaire et politicienne où l’on se passe allègrement et tour à tour rhubarbe et séné pour mieux enfumer le populo, ce qui, entre parenthèses, ne peut que conforter ledit populo et votre humble servante dans l’idée que si c’est flou, c’est qu’il y a un loup...
Ils sont trop «gnons» les zozos de BFM, ils sont même trogneux, si l’on peut dire, à nous sortir l’artillerie lourde du reportage à charge sur les complotistes fous qui délireraient à pleins tuyaux sur le Covid, ses oeuvres, ses pompes, ses causes et ses effets, sur l’élection volée de Trump en 2020, sur la mort de Kennedy, sur le 11 septembre, sur les élites pédophiles, sans qu’à aucun moment soient résumés de façon claire, synthétique et loyale les arguments des tenants de ces théories...
Si les chevaliers blancs de la Macronie et grands redresseurs de torts avaient deux sous d’honnêteté intellectuelle, ils auraient refusé de venir pérorer en solo et sans contradiction sur cette affaire, et ils auraient demandé à être confrontés, le Yéti par exemple à Xavier Poussard, Mendès-France à Zoé Sagan, Monsieur Médiapart à Alain Soral, and so on... Mais non, ces ardents zélateurs de la démocratie exemplaire, du dialogue constructif et de la confrontation loyale et sereine des idées et des points de vue étaient trop heureux, les ordures, de monologuer sereins, le cul bien posé sur les éléments de langage qu’on leur avait conseillé d’employer, avant sans doute d’aller toucher la jolie petite enveloppe promise pour services rendus et indéfectible attachement à la pensée unique et à la macronie déliquescente...
Beuark...
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mercredi, 08 octobre 2025
Badinter, la honte...
Juste quelques lignes, aujourd'hui, à la veille de ce jour funeste de la panthéonisation de la baderne nationale... Quelques lignes de Jean-Yves Le Gallou, sur son site : Polémia... Ici : https://www.polemia.com/badinter-au-pantheon-cest-non/
"Badinter au Panthéon, c’est non !
Non, la patrie n’a pas à être reconnaissante à Badinter. Encore moins les Français victimes de sa politique.
L’explosion de l’insécurité ? C’est lui, comme garde des Sceaux de François Mitterrand de 1981 à 1986.
L’invasion migratoire incontrôlée ? C’est lui, comme président du Conseil constitutionnel de 1986 à 1995.
Le mépris du peuple ? C’est encore lui, avec un ensemble de décisions prises à l’opposé des volontés populaires.
Badinter, un grand homme ? Voire. Mais surtout un oligarque morgueux, un grand avocat fortuné et progressiste, se moquant comme d’une guigne des préoccupations des Français et conduisant une politique antidémocratique, à rebours de leurs aspirations.
En 1981, 60 % des Français étaient favorables à la peine de mort : il leur tord le bras et l’abroge. C’est son titre de gloire. Pire : il abroge la peine capitale sans créer de peine de substitution, sapant ainsi la hiérarchie des peines. Garde des Sceaux, Badinter s’appuie sur le syndicat de la magistrature pour repenser le code pénal et placer le délinquant au cœur de ses préoccupations, au lieu et place de la victime. Quarante ans plus tard, la situation est hors de contrôle : racailles et narcotrafiquants imposent leur loi.
À peine sorti de la Place Vendôme, Badinter prend la tête du Conseil constitutionnel : il va s’ériger en super législateur et s’ingénier à créer des jurisprudences rendant impossible tout contrôle réel de l’immigration.
Alors, Badinter, les Français ne lui disent pas merci ! Le faire entrer au Panthéon, c’est un bras d’honneur de la gauche progressiste aux Français, aux gueux. C’est une manière de leur dire : « Votre avis ne compte pas, seules importent nos lubies idéologiques. »"
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