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lundi, 24 novembre 2025

Ockrent - De Brauer...

Dans la famille «grosses connasses»,je voudrais le duo Ockrent-De Brauer...
Ockrent, le vieux cadavre fripé qui, à plus de 80 balais, squatte toujours micros et caméras, sur le service public de préférence, comme une vieille pompe à fric qui, n’ayant sans doute pas assez de ses centaines de millions bien placés en valeurs sonnantes et trébuchantes, vient faire des piges hebdomadairement dans tous les médias main stream pour rabâcher ses certitudes chuintantes de vieille chroniqueuse euro-mondialiste libérale, arrondir le pactole kouchnérien et accessoirement défendre la maison mère Ernotte Inc. , à qui elle doit beaucoup, en crachant sur CNews...
Hola Christine, y a quelque chose de pourri dans ton royaume de merde : parce qu’avant de déclencher l’armée des fast-checkers chargée de traquer les fake-news de chez Bolloré comme tu le préconises, t’aurais pu peut-être nous causer cinq minutes des duettistes Cohen-Legrand en train de sucer les roues du tandem socialiste Jouvet-Broussy dans l’arrière salle d’un restau parisien...
Mais ça, ma grande, ça qu’aurait dû révulser ta haute moralité, choquer ta déontologie impeccable, ça, t’en as peut-être causé à Pépé Kouchner entre deux chivas sur la moquette, mais par contre, en direct live aux heures de grande écoute sur France-Inter, Culture et Info, ce fut silence radio, circulez y a rien à voir, motus et bouche cousue... Ici Christine Ockrent, je ne vous entends plus, je suis dans un tunnel, à vous les studios...
Et de la part d’une représentante émérite de la corporation la plus pourrie de France, c’est pas joli joli... Reine Christine un jour, reine qui s’débine toujours...
Et quant à Marie de Brauer, miss grossophobie soi-même, bouhh... j’ai beaucoup souffert... que je suis malheureuse... et les gens sont méchants..., humoriste débile pour oies blanches pouffantes et connards muets hilares, le cul posé sur des tonnes de bonne conscience, de bien-pensance résiliente, de modernité rebelle et de wokisme insolent, Marie de Brauer donc, la madonne de France-Inter, que plus inclusive que ça tu meurs, sauf quand même lorsqu’il s’agit des vieux de chez CNews, que là on peut sans problème stigmatiser leurs incontinences, discriminer leurs douleurs, cibler leur Alzheimer, ironiser sur leur Parkinson sans que l’Arcom ou je ne sais quelle police de la pensée ne remue le petit doigt...
Par contre, si quelque gros dégueulasse s’avisait, ce qu’à Dieu ne plaise, de suggérer à la petite Marie de calmer sur le Nutella ou d’arrêter les chips au vinaigre, putain ! qu’est-ce qu’on entendrait pas !!
Et au fait, Marie, comme c’est avec notre pognon que tu fais pouffer les oies blanches de Zoom Zoom et hilarer les connards de Zen, tu pourrais nous dire, même en monnaie-Nutella si ça t’arrange, combien tu touches par mois pour tes vannes débiles à deux balles..?

samedi, 22 novembre 2025

Deux Morand, sinon rien...

Mais ils vont nous lâcher, un jour, ces putains de cultureux/journaleux ubiquitaires et récurrents !
L’autre jour, c’est le François Morel du vendredi qui vient nous faire son travail de deuil en direct live dans la Grande Librairie sous prétexte qu’il est veuf éploré depuis peu et qu’il a aimé sa femme mieux sans doute que tout un chacun... ce qui l’a pas empêché deux jours après de rigoler grave avec la ménagerie de France-Inter...
Et maintenant, faudrait qu’on sorte les mouchoirs pour Nicolas Demorand qui, paraît-il, est bipolaire et dont il faut que la France entière sache tout des émois, des angoisses et des tremblements...
Mais on s’en fout, nous, du bipolarisme à Nicolas ! Y en a combien de bipolaires en France ? Mille, dix mille, un million ? Et ils viennent pas tous chaque jour nous faire leur cinéma sur les ondes : qu’ils sont bien malheureux, tristes, souffrants et affligés, et qu’ils ont besoin de notre soutien et de notre compassion...
Le Nico, quand ça allait pas trop mal, ces vingt dernières années, quand il allait, le bougre, de France-Culture à France-Inter en passant par Libération, quand il pétait le feu et les flammes du haut de son magistère intellectuel et des micros qu’il squattait à donfe, quand il se gavait de notre pognon jour après jour (il se gave toujours de notre pognon, d’ailleurs !) pour formater les esprits et les coeurs dans le sens de sa bien-pensance gaucho-caviardo-macronesque, quand il pouffait de son rire débile et convenu aux saillies programmées et laborieuses des comiques troupiers de France-Inter, quand il promenait sa suffisance, son enflure et son embonpoint dans tous les coquetels branchés et sur tous les plateaux consensuels, il y pensait beaucoup aux mecs et aux nanas qui se fadent une mucoviscidose, une maladie de Crohn, Charcot ou Lyme, ou un cancer du sein droit ?
Et son pognon, ses tableaux de maître, ses lingots, ses incunables, ses résidences tertiaires et quaternaires, il en a fait profiter qui ?, notre partageux ? Il en a accueilli combien de migrants sur ses moquettes en mohair, combien de SDF dans son salon, combien de mineurs isolés sur ses pelouses ?
Alors, Nico, ok, ça doit probablement être chiant la bipolarité quand on se prend une décharge d’ions négatifs dans la caisse, mais au lieu de venir chialer sur les ondes avec le pognon de ce populo qui te débecte parce qu’il vote mal, le con, tu vas juste consulter comme le clampin lambda, puis tu passes à la pharmacie, tu sors ton attestation de tiers-payant au cas où, et tu t’avales tranquille tes trois gélules par jour jusqu’à ce que revienne le beau temps dans tes neurones, et sans ameuter pour autant Mamie Ernotte ni Tatie Sibyle qui ont pas que ça à faire en ce moment...
Et même, tu vois, tu déciderais de faire une cure de modestie, de rareté et d’incognitisme pendant quelques années, ça pourrait que faire du bien à ton ego, et nous, ça nous ferait de sacrées vacances.... Juste que, le congé, oublie quand même pas de le prendre sans solde... Avec ce que tu as pompé sur l’argent public pendant vingt ans, tu dois pouvoir tenir au moins un millénaire...

vendredi, 21 novembre 2025

Peuchère, Raphaël... !

Dans la famille Glucksmann, je voudrais le fils...
Eh bien ! mauvaise pioche ! Le père, André, ça avait quand même écrit "La cuisinière et le mangeur d'homme", sur le totalitarisme marxiste, et ça avait un peu de gueule... Le fis, lui, tout ignorance et tout miel, hélas ! incapable d'articuler le moindre argument, imaginant sans doute qu'il suffit de coucher avec Léa Salamé et de sourire niaiseusement à la caméra pour atteindre les sommets... (Au fait, l'Arcom, ça leur troue pas le cul que la Salamé soit maquée avec un président de parti à quelques mois des élections ? Encore une sacrée bande de zozos payés cash et gras avec nos ronds au service de la macronie déclinante...)
Donc, Rapahël, un benêt pur jus, faut bien le dire, tant dans ses réponses toute faites aux différents intervenants que dans sa posture soudain figée devant Zemmour, comme s'il avait devant lui le grand Satan soi-même, et n'ayant d'autre réponse face à son interlocuteur que des accusations débiles de pro-poutinisme, pro-orbanisme et pro-trumpisme... Le niveau zéro du débat, l'anathème circulaire en guise d'argumentation et la reductio ad poutinum (qui se porte pas trop mal, merci !) pour tout raisonnement...
Fils de, disais-je... petit-fils, même, très très petit fils !!
Va y avoir du crash dans les sondages...

vendredi, 14 novembre 2025

Trois connards...

Le cadavre d'Alain Souchon bouge encore... Le chanteur des midinettes sort de son silence et de ses millions pour cracher sur plus de dix millions d'électeurs du Rassemblement national qu'il traite de cons du haut de son pactole estimé à 145 millions d'euros... Et monsieur se voit déjà se délocaliser en Suisse, auprès de ses chers banquiers, au cas où le RN remporterait l'élection présidentielle de 2027... Tu sais, Alain, cours y vite en Suisse, va vite ronronner sur ton pognon, et lâche-nous la grappe, ça nous fera des vacances...
Et dans la foulée, sur BFM, y a un quart d'heure, l'invité de marque, pour cracher un peu plus sur le RN c'est monsieur Jul soi-même, le dessinateur chouchou des médias, plein aux as lui aussi, qui a d'ailleurs oublié de nous causer aussi de son pognon, de ses placements, de ses tableaux de maître et de ses résidences secondaires, car il est bien plus facile de causer de ses "valeurs" morales que de ses valeurs financières dans ce monde de cultureux à faire gerber...
Et derniers connards de cette série culte, les deux miss de BFMTV venues servir la soupe à Jul et faire semblant d'informer le populo alors qu'elles ne sont là que pour réciter en boucle les éléments de langage que leurs maîtres leur ont dit de réciter... D'ailleurs on voyait nettement la marque laissée par la laisse autour de leur cou...
Beuark...