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lundi, 11 mars 2024

Rita Macrono...

Comment peut-il être assez vil, assez bas, le minable petit marquis poudré qui nous sert de Chef d’Etat pour aller choisir, pour chanter l’hymne national, au jour de la constitutionnalisation de l’avortement, pour aller choisir, comme 344° «salope» officielle et estampillée, une vieille peau sur le retour, cette Catherine-Ringer-des-Rita-Mitsouko qui fut jadis actrice porno dans au moins une vingtaine de films ?!
Ainsi le message est clair : faites-vous baiser par tous les trous et dans toutes les positions, dans l’orgie sexuelle la plus bassement viandarde, et quand c’est fini, courez vite aux «343 Salopes réunies» du planning familial qui vous débarrasseront vite fait bien fait, gratos et avec le sourire, de cette petite chose insignifiante qu’on appelle un foetus et qui, à 14 semaines et même à 10 et même à 5 sans doute, a déjà toutes les caractéristiques de l’enfant qu’il aurait pu être...
Et toute la macronie hilare, Attal, Macron, Deneuve, Dupond-Moretti et autres excellences... de s’abaisser d’un même mouvement devant cette Catherine Ringer qui se prend pour une résistante à Macron parce qu’en partant elle lui envoie un «vent» mais qui, si elle avait eu les couilles qu’elle se targue d’avoir, aurait juste refusé d’aller se faire mousser à l’occasion de ce qui, même du point de vue des avorteurs patentés, n’était rien d’autre qu’une énorme mascarade électoraliste... Beuark !

vendredi, 08 mars 2024

Macron l'avorteur...

Macron l’indigne, et son discours Place Vendôme, au milieu de sa cour et de ses courtisans, hilares...
Macron l’ignoble, tout dans la com et l’électoralisme le plus vil, les yeux rivés sur les Européennes du mois de juin et la déculottée prévue de son camp et de son clan, qu’il pense ainsi, sans doute, pouvoir atténuer...
Macron l’infâme, qui se fout bien pas mal de ce dont il cause, des malheurs, des douleurs, des souffrances, des angoisses des avortées et des avorteuses, pourvu que tout ça, au bout du compte, lui apporte les voix sociétales espérées dont il a bien besoin pour redorer son blason...
Macron l’abject, et pas un mot dans son discours sur les souffrances, les malheurs, les angoisses et les douleurs des autres, celles qui ont eu le courage d’aller au bout d’une grossesse non désirée et problématique, celles qui ont dû se battre au jour le jour pour élever l’enfant qu’elles avaient porté et qui, malgré tout, était la chair de leur chair...
Pas un mot pour tous ceux qui se battent pour un combat d’une autre et plus certaine noblesse et qui pensent que l’on peut aussi être du côté des femmes en leur proposant les aides qui leur permettront de garder et d’élever leur enfant...
Pas un mot pour toutes ces Françaises et ces Français qui pensent que le foetus, dès les premiers jours de sa conception, est une vie à respecter et qui font pas partie du club des 343 salopes labellisées et désormais révérées sur tous les autels pourris de la République...
Pas un mot, de la part de ce soi-disant représentant, garant et champion de l’unité nationale, pour tous ceux qui appuient leurs raisons de vivre sur autre chose qu’un droit individualiste exacerbé, sur un «jouir sans entraves» dont le résultat le plus patent est cette société fracassée, divisée et anxiogène qui est la nôtre...
Macron l’obscène, petit roquet insignifiant qui ne sait rien ni de la paternité ni de la maternité et qui veut imposer au monde entier, sur un sujet aussi douloureux, l’évidence d’une pseudo-conviction qui n’a d’autre fondement que d’essayer de sauver dans les urnes du mois de juin deux quinquennats de merde... Beuark !

jeudi, 29 février 2024

IVG : Ce qui est insupportable... (1)

Ce qui est insupportable chez la quasi-totalité des ordures cultureuses, journaleuses, politiques, médiatiques qui se réjouissent à micros-que-veux-tu du vote de la constitutionnalisation de la loi sur l’avortement, ça n’est pas qu’ils soient pour cette constitutionnalisation ou tout simplement qu’ils soient partisans de l’avortement, ce qui, après tout, pourrait se concevoir, mais c’est qu’ils parlent de cela comme s’ils parlaient d’un bout de bidoche qu’on abandonne aux chats, alors même qu’ils savent parfaitement, tous, de façon intuitive ou réfléchie, qu’un embryon n’est pas juste un morceau de viande, que l’embryon de 14 semaines dont la loi aujourd’hui autorise la suppression, ou celui de 10 semaines dont la loi, à l’origine, autorisait la suppression, ou même celui de quelques jours, voire de quelques heures, fût-il le résultat d’un acte sexuel fait sans amour ou avec violence, porte en lui, malgré tout, cette différence fondamentale qu’il est une vie humaine en devenir et qu’à ce titre on ne devrait envisager sa suppression qu’avec beaucoup de retenue, de délicatesse, de respect, de décence, d’angoisse et de tremblement, comme si, d’une certaine façon on touchait au sacré, à l’absolu...
Au lieu de quoi on a ces trognes à dégueuler, ces visages de roquets duhaméliens ou d’aboyeuses soi-disant féministes, qui sont à peine des visages, des gueules plutôt, des museaux, des groins, pleins d’obscène satisfaction, bouffis de leur certitude de dominants, débordants de leur pornographique «victoire», victoire qui n’est rien autre que la défaite même de toute humanité...

mardi, 10 novembre 2020

Ni Charlie, ni Paty...


Alors, sous prétexte que ces zozos se sont fait buter par les Allahoukbar faudrait en faire des héros, leur tresser des couronnes et aller s’agenouiller pieusement devant les catafalques bleu-blanc-rouge de la République larmoyeuse !
Comme si la mort, même brutale, même injuste, transformait d’un coup les cons en génies et les provocateurs ordinaires en héros majestueux...
Alor que c’était quoi, les Charlie, les Cabu, les Wolinski... etc...sinon des espèces de jouisseurs attardés, de provocateurs de mes deux, des cracheurs de venin bien ciblé dans le sens des vents dominants de la pensée 68, contre l’Armée, la Famille, l’Etat, l’Eglise, les flics, là où, finalement, ça mange pas de pain... Et les dignes descendants de cette troupe de branquignolles se font protéger aujourd’hui jour et nuit, avec nos ronds, pauvres minables, pauvres pleutres, pauvres débiles, par ces mêmes flics et ce même Etat qu’ils vomissaient allègrement avant que les djihadistes de banlieue leur apprennent les bonnes manières...
Et l’autre Paty, le prof magnanime décoré avec pompes et fracas par tous les ors de la République en grand appareil... L’autre Paty qui, trouve rien de mieux pour évoquer la liberté d’expression et la censure que de montrer à des collégiens Mahomet le cul à l’air avec les couilles qui pendent... comme s’il y avait rien de mieux éducatif, de moins ignoble, de plus pédagogique que d’aller pêcher dans les égouts de la Presse -Charlie de quoi abaisser un peu plus l’âme et le coeur et l’intelligence de la jeunesse de France !
Et faudrait que je me badge que je suis eux, que je suis lui, pour marquer ma solidarité aveugle et totale avec ça, sous prétexte que les Charlie se sont pris des bastos dans le buffet et que le Paty s’est fait décapiter par un violent !
Holà ! tout doux, messeigneurs, permettez que je choisisse mes héros ailleurs que dans la galerie laïque, obligatoire et frelatée qu’on veut m’imposer comme Panthéon personnel et portatif...
Ah ! petite précision à l’adresse des chercheurs de merde et des robots dénonciateurs de propos incorrects : je veux bien m’incliner devant la douleur des familles et récuser la violence des assassins, mais vous allez avoir du mal à faire de moi la gentille militante du prêt-à-porter idéologique qui vous sert de pensée...
Lou debout...

mardi, 02 juin 2020

Black dollar...

Ah ! qu’elle est belle toute la cohorte joyeuse des connards du sport et du show biz, les Omar Sy, Monfils, Tsonga, Pogba, Mbappé..., tous pleins aux as à trémousser leur carcasse sur scènes, courts et stades, et tout d’un coup remplis d’une grosse émotion compassionnelle pour les pauvres blacks victimes de l’horrible racisme blanc et des violences policières...
Et tous ces connards oublient juste de dire quatre choses :
-un, que le gentil Floyd en question, comme tous les Adama Traoré de chez nous, n’est pas un enfant de choeur, qu’il est un délinquant notoire et que, lorsqu’il lui arrive de se faire gauler, s’il se laissait gentiment menotter par les flics comme tout un chacun, probablement qu’il passerait juste quelques semaines en taule plutôt que de prendre la direction de la morgue...
-deux, que la proportion de blancs tué par des policiers noirs est largement supérieure aux States à la proportion de noirs tués par des policiers blancs, et pourtant on observe pas à chaque fois le grand ramdam médiatique des justiciers de service...
-trois, que toutes ces ordures prennent bien soin de pas dire un mot pour condamner les violences, les saccages de toute cette si gentille communauté afro-gaucho-américaine qui ne rêve que de vivre ensemble et, accessoirement, de pillage citoyen...
-quatre, que tous ces connards d’artistes et de sportifs qui se la pètent généreux humanitaires quand il s’agit du prétendu racisme ferment grave leur gueule lorsqu’il s’agit de justice sociale... Et on aimerait bien les entendre de temps en temps sur l’immense violence sociale que sont leurs salaires indécents, leurs patrimoines grandioses, leurs résidences secondaires, tertiaires, quaternaires, leurs yachts, leurs bagnoles, leurs oeuvres d’art, leur pognon planqué dans les paradis fiscaux, tout ça comparé au smic de l’éboueur moyen ou de mon plombier qui se lèvent le cul chaque jour pour un salaire de misère...Mais là, silence radio, là, pas de réseaux sociaux en alerte, pas de grandes déclarations généreuses devant les caméras, là, toutes ces ordures, le cul bien calé sur leur tas de blé, ferment gentiment leur gueule en sirotant leur millésime préféré sur fond de caviar obscène... Beuark...!

samedi, 30 mai 2020

Joffrin versus Raoult...

Qui c’est Joffrin ? Un con. Un gros con médiatique ubiquitaire, qu’on voit partout promener sa suffisance et ses avis péremptoires...
Si encore il se contentait, l’enflure, de se répandre dans le torchon quotidien qu’il dirige (Libé), tranquillement assis sur le tas d’or de tonton Drahi subventionné à pleins tuyaux par notre pognon, mais il lui faut en plus, pour arrondir sans doute des fins de mois déjà sacrément rondes et convexes et obèses et grassouillettes à souhait, il lui faut aussi les radios, les télés, toutes les tribune médiatiques d’ici, de là et d’ailleurs où il affiche en permanence sa gueule enfarinée, déverse son omniscience journalistique et assène ses jugements définitifs du haut de son magistère imperturbable...
Et tiens, là justement, dans Libé, à trois jours d’intervalle, le voilà le Joffrin-Mouchard ou Mouchard-Joffrin, c’est tout pareil, le voilà qui, le 23 mai, se fend d’une diatribe anti-Raoult ousque le Marseillais préféré des Français ne serait qu’une «grande gueule», qu’un charlatan dont toute personne «un tant soit peu rationnelle» devrait se méfier comme de la peste, d’autant qu’une étude forcément géniale, forcément imparable et scientifiquement irréprochable, étude parue dans le Lancet, revue qui trône en permanence sur la table de chevet du Joffrinou, viendrait de lancer un gros pavé bien dense et contondant dans la gueule furibarde, péremptoire et chevelue dudit Raoult...
Et Trouduc-Joffrin, plus diafoirus que moi tu meurs, de choisir clairement son camp : d’un côté les «énervés» pro-Raoult, bande de sous-beaufs populistes forcément ignares et avinés, de l’autre, «la grande majorité des pontes de la médecine» au-dessus, bien sûr, de tout soupçon de quelque collusion que ce soit avec les labos ou les industriels...
Bon. Ca, c’était le 23 mai. Joffrin avait parlé, Mouchard avait approuvé. Ugh, j’ai dit !
Mais voici que trois jours plus tard, le 29, des dizaines, des centaines de pontes de la médecine et de la science encore plus pontes que les pontes à Joffrin, viennent déclarer que l’étude du Lancet c’est guère mieux que de la merde et que les résultats merveilleux et accablants dont Joffrin avait fait ses choux gras sont biaisés par tous les trous et valent pas tripette...
Que croyez-vous qu’il arriva ? Le Joffrin fit mea culpa ? Que nenni ! Imagine-t-on Laurent le Magnifique s’aller répandre de tribune en tribune pour avouer tout simplement son erreur, faire amende honorable et dire qu’il était peut-être allé un peu vite en besogne et qu’on ne l’y reprendrait plus à s’enflammer grave sur un sujet où il comprend nibe et où son idéologie progressiste à la noix lui sert de lampe à pétrole... Que nenni ! vous dis-je... L’honnêteté intellectuelle, la simple franchise, l’élémentaire loyauté, c’est bon pour le peuple d’en-bas, pour les «petits», les «sans-grade» ou les «sans-dents», mais lui, Lolo-la-Science, persiste et signe et, plutôt que reconnaître humblement sa boulette, enfarine ses lecteurs dans une espèce de dissertation pour terminale S d’où il ressort que «ce n’est pas la science qui trompe l’opinion. C’est sa politisation.»
Dis, Joffrin, ça t’aurait arraché la gueule de dire juste que, pour l’occasion, c’est pas la science, bien sûr, qui trompe l’opinion, mais ton opinion de chiottes qui, joli coup double, trompe et la science et les lecteurs...
Et dire que c’est ça qui est, paraît-il, le fleuron de la presse française, c’est cette saloperie quotidienne, financée par notre pognon, qui est citée et reprise avec empressement, déférence et componction dans toutes les revues de presse de toutes les radios et de toutes les télés...
Et y en aura pas un dans toute cette pourrie corporation de la médiacratie dominante pour aller dézinguer un connard qui donne des leçons de morale au monde entier et qui a pas les couilles de se mettre un sac de cendre sur la tronche pour avouer humblement, pour une fois, qu’avec ses a priori idéologiques à la con il a enfumé grave le populo... Beuark...
Lou...

vendredi, 08 mars 2019

France-Cul, l'esprit des verrous...

Ah ! les ordures journaleuses, les petites crapules propagandistes, le Guillaume Esner, par exemple, ce matin sur France-Cul, à nous passer et repasser en boucle, en se léchant les babines, la condamnation de Barbarin, et l’Eglise pédophilienne par-ci, et la Manif pour Tous par-là, et que je te refasse un petit coup de pub pour « Grâce à Dieu », au cas où l’artillerie lourde publicitaire déployée depuis des semaines aurait toujours pas suffi à faire de François Ozon la Loi et les Prophètes qu’il mérite… Ah ! les salopards ! Comme ils ont été et sont toujours bien silencieux et discrets sur les révélations de Monseigneur Vigano concernant leur cher, très cher Pape François, le Pape des Migrants, le Pape de l’Ecologie, le Pape tiers-mondiste qui aurait couvert pendant des années combien d’autres excellences cardinalices tripoteuses d’enfants…Oui, mais voilà, Monseigneur Vigano serait un affreux réactionnaire, un horrible rétrograde, un infâme traditionnaliste et ses révélations, pourtant si bien argumentées, ne sont alors que broutilles insignifiantes pour la corporation des menteurs associés et des paraplégiques de l’information vaticane…

Et en ce 8 mars, au moment même où l’on apprend que des centaines de pourritures journalistes, dans les plus honorables rédactions parisiennes du soir et du matin, ont harcelé et harcèlent encore, par mains aux fesses interposées , coucheries promotionnelles et plus si affinités, des centaines de jeunes femmes en quête de notoriété médiatique, croyez-vous que Guillaume le Conquérant aurait fait venir sur son plateau quelques-unes de ces harcelées pour qu’elles balancent enfin en direct urbi et orbi les porcs-rédacs-chefs, les cochons-directeurs-éditoriaux qui formatent depuis des lustres la tronche du populo à grands coups d’humanisme altruiste et généreux tout en se faisant généreusement turluter sur la moquette par la stagiaire de service… ? Que nenni, on aime mieux faire venir la Balasquette qui va gentiment causer dans le poste sans faire de vagues et faire la promo, et du film de son pote Ozon ousque par pur hasard elle est dans le casting, et de son bouquin qui sort, comme c’est étrange, ces jours-ci… France-Cul, l’esprit d’ouverture, vous avez dit ? On se calme : je verrais bien le Guillaume Esner en voyageur de commerce pour grillages, clôtures, targettes et verrous ! Beuark !

mercredi, 09 janvier 2019

Sacré Honoré!

« Il est merveilleux de voir comme les hommes savent toujours s’entendre et s’unir pour une oeuvre d’agression et de destruction, tandis qu’ils sont si mous et si divisés quand il s’agit de résister et de conserver : la possession énerve. Il n’y a que ceux qui n’ont rien qui sont capables d’action. Voyez Rome s’élançant de ses collines pour conquérir le monde, et, quand elle est devenue l’empire romain, quand, en partageant son territoire, elle pouvait faire à chacun de ses citoyens un royaume, elle succombe sous le choc de quelques hordes barbares et inconnues que ses armes avaient dédaignées jadis dans leurs marécages et leurs forêts glacées. »

Balzac, Dom Gigadas.

mercredi, 07 février 2018

Justice de merde !

Ah ! qu’elle est belle la justice française ! Ah ! comme ils doivent jubiler le vieux Badinter et la vieille Taubire vautrés sur leur moquette du 16° en train de déguster quelque single malt d’exception en trinquant à la santé de cette justice de merde qu’ils ont contribué à fabriquer… ! Justice a été rendue : le jeune Sofiane Zermani, alias Fianso, alias rappeur débile, alias coqueluche de toute la corporation médiatique vautrée devant le politiquement correct, le métissage sémantique et la modernité triomphante, ce jeune con, donc, se permet, en avril 2017, de carrément bloquer une portion d’autoroute pour tourner un clip. Ni demande en préfecture, ni autorisation et ducon Sofiane s’accoude à une table de bistrot au beau milieu de l’autoroute A3 entouré d’une dizaine de figurants, sans se soucier une minute des risques d’accidents, sans rien avoir à faire de perturber grave la vie de centaines d’automobilistes, de mecs qui vont au boulot, de meufs qui vont à l’hosto… Mieux, il recommence quinze jour après à Aulnay-sous-Bois en déambulant au milieu de la chaussée entouré d’une centaine de figurants pour tourner un autre clip.
Et il a pris combien, le beau Sofiane, pour ça ? Eh bien il a pris quatre mois de prison avec sursis et 1500 euros d’amende !! Et son avocat, autre sous-merde judiciaire, de triompher en évoquant un « jugement très satisfaisant » et le Sofiane de se dire probablement in petto qu’il l’avait mis bien profond à cette salope de juge face-de-craie…
Et si mon Tonton Marcel demain il oublie cinq minutes sa ceinture ou s’il regarde furtivement le texto qui vient de lui arriver sur son vieux portable, il va avoir droit à trois points et 135 euros d’amende… Seulement mon tonton, lui, il fait pas de clip débile, il crache pas sur les flics et il paye ses impôts…
Selon que vous serez puissant ou misérable… Sauf qu’aujourd’hui, les puissants c’est les Sofiane et consorts, et les misérables, c’est le français moyen… Beuark !

Allez voir là : http://www.lemonde.fr/musiques/article/2017/04/12/enquete-sur-l-operation-escargot-du-rappeur-fianso_5109871_1654986.html?xtmc=sofiane_zermani&xtcr=1

mardi, 06 février 2018

Omerta...

Tiens, ils ne nous avaient donc pas tout dit, les ordures journaleuses de France-Cul et médias assimilés ! Ils ne nous avaient pas dit, dans l’affaire bien lourdement médiatisée de cet Italien de la Ligue du Nord qui a tiré sur un groupe de migrants, il y a deux jours, et en a blessé quatre, ils ne nous avaient pas dit que dans cette ville, Macerata, trois jours plus tôt, le 31 janvier, une jeune fille de 18 ans avait été sauvagement assassinée et découpée en morceaux par un Nigérian ! Bizarre, non, comme ils se posent pas trop de questions, parfois, les Guillaume Erner et consorts, bizarre comme ces enquêteurs exigeants, ces fouille-merde professionnels à qui la culture de l’excuse sert ordinairement de vade-mecum, ces journalistes d'investigation minimale vont pas trop loin chercher les explications qui pourraient gêner le formatage humanitariste pour lequel ils sont grassement payés… Beuark !


lundi, 05 février 2018

Les femmes et les enfants d'abord...

Entendu ce soir aux infos : « En raison de la vague de froid annoncée, les diverses structures d’accueil de la Region Ile-de-France vont ouvrir grand leurs portes cette nuit, avec priorité aux femmes et aux enfants ».
De quoi, de quoi ?
Et la Bimbo qui nous sert de Secrétaire d’Etat à l’égalité Hommes/Femmes, la Marlène même pas Dietrich qui se la joue plus féministe que moi tu meurs, celle qui parle de féminicide dès qu’un mec mate grave le genou de Claire, Madame Schiappa soi-même donc ne s’est pas fendue d’un tweet assassin immédiat et vengeur pour dénoncer cette atteinte intolérable à la dignité reconquise des femmes, ce traitement de faveur qui n’est rien d’autre que la trace honteuse de millénaires d’asservissement mulieresque et de domination patriarcale ?
Priorité aux femmes et aux enfants !… Décidément le schiappisme n’est plus ce qu’il était…

vendredi, 02 février 2018

Maurras, encore...

Libé encore, Libé toujours, Libé-torchon, Libé-ragots, Libé-Joffrin, Libé-Mouchard et aujourd’hui une superbe cohorte d’historiens, sociologues, militants, littérateurs, sans oublier bien sûr un raton-laveur, pour s’indigner de la commémoration du cent-cinquantième anniversaire de la naissance de Maurras.
Quelques perles dans cette prose laborieuse : « Maurras disait lui-même de sa pensée qu’elle était strictement indissociable de la haine des Juifs ». Va falloir qu’ils nous trouvent la citation exacte, les historiens à la noix, pour nous faire avaler la couleuvre. Chuis pas vraiment sûre que le mot « haine » soit celui retenu par Maurras qui écrivait dans sa magnifique « Prière de la fin » : « Ce vieux cœur de soldat n’a point connu la haine… ». Et quant à l’antisémitisme de Maurras (antisémitisme d’Etat qu’il faudrait prendre le temps d’expliquer, mais nos « historiens » sont pressés !), il n’est motivé par aucune haine, mais par une analyse sociologique dans laquelle Maurras inclut les Protestants, les Francs-Maçons et les Métèques, ce qui manifeste bien que tout caractère racial en est exclu.
D’autre part, si la question juive est au centre, au cœur et à la racine de la pensée politique de Maurras, va falloir peut-être que les gugusses signataires nous expliquent pourquoi, dans « Mes Idées politiques », ouvrage de plus de 300 pages, paru en 1937 et rassemblant l’essentiel de la pensée politique de Maurras, pourquoi donc il n’y a pas un seul chapitre consacré à l’antisémitisme, et pas un seul consacré à la notion de race… Bizarre, non, pour un obsédé de la pigmentation et du génotype ? Il va falloir aussi qu’ils nous fassent l’exégèse de ce paragraphe tiré de « Devant l’Allemagne éternelle » (1937) :

« Certes, il y a des races ! certes chacune a bien son âme et son génie, mais la race n’est point tout, il y a bien d’autres facteurs, et la constitution de la nature humaine, ses traits essentiels et ses grandes lignes, ne sont peut-être pas les plus négligeables de ces facteurs tant négligés. C’est une vraie merveille, en effet, de voir l’homme, à quelque type de nation qu’il appartienne, une fois qu’il est placé dans une certaine situation, réagir uniformément, quel que soit le temps, le lieu, la couleur de la peau, et réaliser avec constance à peu près le même type de constitution sociale… ».

Ah ! autre perle : les mêmes agités du bocal se posent une autre question : « Inscrirait-on Marcel déat, Jacques Doriot, Pierre Laval, Philippe Henriot, sur la liste des commémorations nationales ? »
Euh… est-ce qu’on peut leur dire à ces grands professeurs d’histoire et de littérature aux titres ronflants que les quatre noms cités ne jouent pas vraiment dans la même cour et que la grandeur de l’œuvre intellectuelle, littéraire et politique des Déat, Doriot, Laval et Henriot n’est peut-être pas tout à fait au niveau de celle d’un Maurras qui irrigua et influença toute l’élite intellectuelle de la fin du XIX° et du début du XX°…
Mais nos historiens-censeurs et cuistres à grands ciseaux n’en ont cure. Ce qui compte pour eux, c’est de réactiver les vieux réflexes anti-extrême-droite des années 80 et de formater bien profond la conscience d’un peuple qu’on n’appelle régulièrement aux urnes que pour qu’il y glisse le bulletin sans surprise qu’on lui a soigneusement concocté dans d'obscures officines…

jeudi, 01 février 2018

Il est où Yann Moix ?

Il est où Yann Moix aujourd’hui ?
Il est où avec ses grandes phrases à la Zola et ses ultimatums de petit roquet médiatique ?
Il est où au moment où les angelots de Calais, ses chers « migrants-exilés » humanistes, altruistes, généreux et non-violents se tapent joyeusement sur la gueule, se flinguent quasiment à bout portant, au moment où l’on dénombre dans la jungle 17 blessés dont 4 par balle qui sont entre la vie et la mort, à l’occasion d’une rixe fraternelle entre Africains et Afghans ?
Il est où avec son vivre-ensemble, sa compassionnite en sautoir et ses grands airs de chevalier blanc, genre je suis une ong à moi(x) tout seul… ?
Il doit être sur les genoux de Ruquier, vautré quelque part sur l’épaisse moquette du studio surchauffé ou dans la salle de maquillage, attendant qu’on lui frisotte la moumoute avant de rentrer en scène nous refaire devant les caméras le coup des odieux policiers en train de méchamment gazer les si gentils et si pacifiques exilés-migrants de son cœur qui sont finalement un sacré joli tremplin pour l’estime de soi(x)…
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Pour mémoire, (Le Monde d'aujourd'hui) :

"Il s’agit du bilan le plus lourd depuis le 1er juillet 2017, lorsque des bagarres interethniques avaient fait seize blessés, dont un grave. Un an plus tôt, le 26 juin 2016, d’autres rixes avaient fait quarante blessés, dont aucun n’avait été atteint gravement.
La dernière rixe entre migrants ayant débouché sur des blessures par balle remonte au 25 novembre 2017, lors d’un échange de tirs entre deux groupes d’Afghans, possible règlement de comptes entre passeurs. Cinq d’entre eux avaient été blessés."


mardi, 30 janvier 2018

L'intelligence peut se passer de Joffrin...

Il retient quoi, l’ordure Joffrin, des milliers de pages écrites par Maurras tout au long de sa vie ? Il retient quoi de ce « contemporain capital » salué par Apollinaire, Cocteau, Malraux et tant d’autres et qui eut une influence majeure sur toute la fin du XIX° siècle et sur la première moitié du XX° ? Il retient quoi de cet intellectuel d’un courage et d’un désintérêt absolus, tout entier donné à la recherche du bien commun français et des moyens de ce bien commun ? Il retient quoi, Joffrin-Mouchard, de ce monument d’intelligence, lui qui n’a pas dû lire plus de 20 lignes de Maurras et qui ne sait que crachoter dans son torchon la vulgate ordinaire imposée depuis 1945 par toute la presse résistantialiste et les médias bien-pensants ? Il ne retient bien sûr que la « haine antijuive » et le « monarchiste antisémite », oubliant de préciser qu’à cette époque l’antisémitisme de gauche se portait largement aussi bien que celui de droite, oubliant de préciser que l’antisémitisme de Maurras n’était pas un antisémitisme biologique mais un antisémitisme d’Etat qui luttait de la même façon contre les Protestants et les Francs-Maçons, ce qui nous éloigne quelque peu du racialisme d’Hitler, oubliant de préciser que les nazis eux-mêmes faisaient de Maurras non un simple « résistant » à leur politique, mais un « opposant », ce qui a une autre gueule, oubliant de préciser enfin ces lignes de Maurras consacrées à Pierre David, « héros juif d’Action Française » tombé au combat en septembre 1918 : « Son chemin ainsi accompli, tout seul, des confins de l’antimilitarisme jusqu’à ce degré de nationalisme intégral qui se donne et se sacrifie tout entier, mérite de rester dans les souvenirs du peuple français comme exemple vivant de la fidélité à ses forces anciennes et d’une accueillante hospitalité aux éléments extérieurs. La nationalité se crée par l’hérédité, par la naissance : le mot le dit. Elle peut s’acquérir par de bons services rendus… »


lundi, 22 janvier 2018

Les émois de Moi(x)...

Ah ! la mignonne ordure Yann Moix, le Zola du pauvre, qui prend Libé-Caviar pour l’Aurore et qui se prend lui, Moix, et Moix, et Moix, et Moix, chroniqueur-caviar de chez Ruquier (appointé à combien par émission, au fait, sur l’argent public ?) pour tonton Emile !
Yann Moix donc, en larmoyeux plumitif accusateur, linguiste benvenisto-saussurien d’exception, littérateur hors norme capable de citer Tartuffe, Lapalisse et Pinocchio dans un même soupir, Yann Moix capable surtout de se faire mousser le croupion, moralement et littérairement, sur le dos d’exilés-migrants ou migrants-exilés (le destin face au chiffre, dit-il, en sous-philosophe de sous-préfecture) qui lui tirent les larmes du stylo et les sanglots de la caméra et qui ne sont, tout bien pesé, que des malheureux, certes, mais également, comme dans toute société, des hors-la-loi, parasites, violents, racistes, profiteurs, casseurs… etc…
Car le Moix à Calais est souvent hémiplégique, le Moix est borgne, le Moix est cerveau droit ou cerveau gauche mais pas les deux à la fois…
Le Moix voit les migrants, pardon, les exilés « frappés, gazés, caillassés, brimés, humiliés » mais ne voit jamais les migrants, pardon, les exilés « frappeurs, caillasseurs, brimeurs, humilieurs » et plus si affinités… violeurs par exemple…
Le Moix ignore totalement la population calaisienne qui subit depuis des années les violences, délinquances, souillures, humiliations, voies de fait, brimades de la part des gentils exilés de son cœur…
Le Moix, il est vrai, s’en tamponne grave de la population calaisienne d’autant qu’il ne vit pas à Calais et qu’il ne connaît de la vie que les phrases ronflantes de ses piges, les studios bien chauffés et rigolards de ses chroniques télévisées, où la misère des migrants ne semble pas troubler plus que ça les roucoulements dindonesques de son pote Laurent Ruquier, les gras et gros émoluments de ses prestations en tous genres, les retours sur investissement de ses films et de ses bouquins et qu’il a jamais eu l’idée d’ouvrir ne serait-ce que quelques mètres carrés du garage de sa résidence secondaire ou de celle de Joffrin-Mouchard pour y accueillir en dame patronesse des quartiers chics les exilés de son coeur avant de leur offrir un sympathique petit tour du voilier qu’il a peut-être pas… Bref, le Moix n’est rien autre qu’une petite merde ordinaire et irresponsable faisant semblant, le temps d’une pige, de souffrir mille morts à l’aide mille mots… Beuark !!


cf :
http://www.liberation.fr/debats/2018/01/21/monsieur-le-president-vous-avez-instaure-a-calais-un-protocole-de-la-bavure_1624132

dimanche, 14 janvier 2018

Lactalis vs Haziza...

Ah ! comme ils sont mignons, nos journaleux causant de Lactalis dans le poste et, en direct de Craon, laissant tomber sur les pauvres Craonnais leur morgue, leur condescendance à l’égard de ces lâches, de ces pleutres qui se terrent au fond de leurs demeures et n’osent pas parler publiquement de l’affaire de peur que Lactalis un jour ne joue les représailles et ne les envoie pointer chez Chomdu…
Alors que eux, les journalistes, courage et insolence, audace et témérité… Ah ! bon ? mais… au fait… on en a vu combien de ces bravaches, de ces matamores, mener enquête et combien venir témoigner à visage découvert au sujet de l’ordure Haziza de LCP et de ses mains balladeuses et de ses frotti-frotta turgescents dans les couloirs étroits de la grande maison LCP and Co ? Elle a enquêté la Lucet ? Il a fait un talk-show le Pujadas ? Elle en a fait sa Une la Coudray ?
Et ces ordures-là viendraient donner des leçons de maintien !!! Beuark…

Lou...

vendredi, 12 janvier 2018

Route des Alpes...

Les ordures journaleuses, tous journaux et toutes chaînes confondues… Finie maintenant la Méditerranée… plus de boat people lybiens à se mettre sous la plume… qu’à cela ne tienne… la route des Alpes est ouverte et voilà nos envoyés spécieux qui s’en vont pleurailler à chaudes larmes, dans la buée des projecteurs, sur les pauvres migrants malheureux perdus dans la neige des cols glacés, doigts gourds, goutte au nez, pieds gelés… et parallèllement l’absolu dithyrambe pour les glorieux militants des ONG qui viennent montrer la frimousse pathétique de leur charité médiatique sur tous les écrans pour, du haut de leur humanitarisme à auréole, mieux titiller la mauvaise conscience du populo et faire pencher la balance macronienne du côté de la France grande et généreuse…
Bon, ok… humanisme, générosité, altruisme, charité même si vous voulez… mais voyons un peu… combien ils sont prêts à donner chaque mois, pendant dix ans, de leurs mirobolants salaires, ces salopards de journalistes apitoyés, pour payer la facture de leur générosité de façade ? Combien ils sont prêts à donner chaque mois, pendant dix ans, les gugusses des ONG avec leurs gueules enfarinées et leur guimauve de bons sentiments, pour accueillir dignement les migrants congelés qui leur fendent le cœur ? Combien ils sont prêts à donner chaque mois pendant dix ans les artistes et intellos qui ont déjà signé mille pétitions pour que la France ouvre grand les bras de leur cœur qui saigne ?
Quand toutes ces pourries corporations de crapules auront répondu à cette question et alimenté grassement la pompe à fric de leur humanitarisme de surface, on pourra peut-être commencer à considérer les choses d’un autre œil… En attendant, et en valeur humaine, ils valent cent mille fois moins que les migrants qu’ils prétendent aimer…

Lou...

lundi, 08 janvier 2018

Charlie et la chocotterie...

Ah ! les grands magnifiques courageux, héros du quotidien, résistants anthumes et posthumes, vigoureux audacieux, valeureux téméraires… la bande à Charlie qu’on commémore… trois ans déjà et derechef la vaillance à la Une, la hardiesse à Cabu, le stoïcisme à Charb, la bravoure à Wolinski… tous crevés à plat ventre sous la table et tous décorés de la Légion d’Honneur… la lavette Peloux en pleurs dans le giron de Flamby-la-Honte… Riss au garde-à-vous devant les trois couleurs… et toute cette bande d’anars-connards transis par une trouille momnumentale et coucounés depuis trois ans par des armées de sbires des RG, la DST au quotidien, le RAID sous le bureau du rédac-chef, eau, gaz et chocotte à tous les étages… des dizaines de milliers d’euros dépensés chaque jour pour que ces gugusses à l’héroïsme en carton-pâte puissent continuer impunément leurs blagues de potaches égrotants à la Cabu et proclamer urbi et orbi avec des soubresauts de vieux laïcards décatis leur droit au basphème, bien planqués derrière les gilets pare-balles de la maréchaussée… !
S’ils avaient un minimum de couilles, ces connards de chez Charlie, et une once de déontologie, c’est en terrain découvert, poitrine nue et avec panache, comme Gavroche, qu’ils iraient le brailler leur droit au blasphème, sans taper dans la caisse commune du smicard qu’ils prétendent défendre, et là, peut-être, on pourrait commencer à les prendre au sérieux… Beuark… !
Lou...

mercredi, 20 décembre 2017

Tin-Tin encore...

Mais quand c’est qu’il va enfin nous lâcher Tin-Tin au Con-Go, Louis-Georges Tin soi-même, avec sa psycho-maniaquerie racistoïde qui le pousse à sauter sur tout ce qui de près ou de loin ressemble aux cinquante nuances de noir répertoriées dans sa mélanothèque portative !
Cette semaine, c’est le footeux Griezmann qui le fait se trémousser, lequel a eu le malheur de se déguiser en Noir comme il aurait pu tout aussi bien se déguiser en chevalier blanc, nain jaune ou chaperon rouge… Mais Louis-Georges veillait, et la sentence de tomber ausitôt : « C’est incontestablement un acte raciste. »
Ainsi Ducon Tin-Tin il a le droit, lui, de créer un machin qui s’appelle le Cran (Conseil Représentatif des Associations Noires), et Griezmann ou mon beauf ou mon Tonton Marcel ils auraient pas le droit de se déguiser en serbo-croates, témoins de Jéhovah, plombiers-zingueurs, auvergnats, albinos, rebeus, noirs, jaunes, verts ou perroquets si ça leur chante ? Mais tu te prends pour qui, ma grande ? T’es juste le président du CRAN, t’es pas encore le bon Dieu !
Et puis, dis-moi, ça a pas l’air de te déranger plus que ça quand on stigmatise les « blondes » ou quand on dit que les Corses sont fainéants, ou quand on caricature l’accent provençal en intercalant un « putaing-cong » toutes les trois syllabes… Là, tu l’ouvres guère ta grande bouche, là on te voit pas courir les tribunaux, harceler les juges et te répandre dans toutes les radios… Et pourtant, Tin-Tin, si on y réfléchit bien, se soucier davantage de la stigmatisation des Noirs que de celle des Blondes, ça serait pas quelque part, en cherchant bien, une attitude légèrement raciste qui te ferait oublier l’universalité de la condition humaine pour te focaliser seulement sur les humains à peau noire ? Bizarre, non ?
Se déguiser en Noir est un acte raciste, dis-tu… Et se déguiser en con, c’est quoi comme acte ? Se déguiser en petit procureur à la noix, en train de renifler le moindre geste, la moindre attitude, la moindre situation pour y dénicher le sacro-saint racisme dont on fait son fond de commerce principal et prioritaire, c’est quoi ? C’est tout simplement de la daube, de la merde, de l’enc… de mouche exponentiel qui permet à quelques agités du bulbe, tourmentés de la mélanine, névrosés de l’épiderme et obsédés de la couleur de peau, de se donner une surface sociale, exacerber les communautarismes et accessoirement pomper des subventions à pleins tuyaux… Beuark…

vendredi, 08 décembre 2017

Johny, hélas !

Ah ! qu’ils sont mignons, tous ces connards de journaleux qui ont des larmes plein les yeux et les yeux au milieu de la figure un jour sur deux pour nous parler des restos du cœur, des migrants de Sicile, des Rohingyas ou de la crise humanitaire majeure au Yémen ! Et voici que, depuis trois jours, les mêmes péripathétiques arrêtent pas d’ouvrir leurs JT sur la mort de Johny et d’y passer au moins 20 minutes de témoignages z-émus, larmes à Drucker, deuil maximal, discours de Macron et autres dithyrambes inévitables et audimatiques !
Oubliés, soudain, les Rohingyas, oublié le Yémen, oubliés les migrants, les malheureux, les chômeurs, les sdf et tout ce qui fait l’ordinaire et fausse compassion de cette corporation pleine de fric et d’humanitarisme à deux balles…
Et tout ça pour qui ? Pour Johny, drogué, alcoolo, fraudeur fiscal, épouseur compulsif de femmes à qui il a sans doute promis à chaque fois l’amour absolu et la fidélité la plus totale, Johny plein de fric, Johny et ses bagnoles, Johny et le Fouquet’s, Johny et ses luxueuses résidences… ! Ah ! oui, tout cela méritait bien le ramdam médiatique des ordures à micros, le discours pathétique du Macron à bobos et l’officiel hommage, hélas ! du populo…
Et pendant ce temps-là, le brave petit smicard qui se saigne pour faire vivre sa famille dans l’honneur et l’honnêteté, le brave petit caporal qui se fait dézinguer en faisant son devoir au Mali ou en Afghanistan, la brave petite caissière de chez Leclerc qui recompte scrupuleusement les bons d’achat, ils ont droit à quoi ? A vivoter ou à crever loin des micros, des hommages officiels et des Légions d’Honneur qui déshonorent autant ceux qui les portent que ceux qui les distribuent… Beuark !

jeudi, 07 décembre 2017

Tin-Tin au Con-Go...

Mais il va pas bientôt nous lâcher, le gros Tin-Tin, Louis-Georges de son prénom, président du CRAN et autres officines de même tabac ! Grenouille de bénitier sociétal qui se veut aussi grosse que le bœuf, le voilà qui se prend pour Jupiter soi-même et ouvre sa grande gueule tous azimuts…
Déjà, créer un machin qui s’appelle le Conseil Représentatif des Associations Noires, ça fait doucement rigoler pour un antiraciste de haute volée qui trouve rien d’autre que de s’autodéfinir comme « noir », réduisant ainsi l’humanité à une couleur de peau, à quelques cellules mélanochromes plus ou moins actives, en admiration irrépressible et inconditionnelle sans doute à l’égard de l’oeuvre impérissable de Pierre Soulages !
Au passage, imagine-t-on quelque identitaire à peau claire créant le CRAB ? Et le Tin-Tin grimpant alors aux rideaux et ameutant la planète entière contre les abominables fascistes !
Bref… Mister Tin, donc, ces jours-ci, se fait remarquer en demandant au CSA de casser Ruquier et Moix (que je casserais volontiers d’ailleurs, mais pour de tout autres raisons..) sous prétexte que Moix semble avoir quelque amitié coupable avec Colbert et Napoléon, qu’il aurait mis quelques bémols à la vision tinesque de l’esclavage comme crime contre l’humanité et aurait suggéré qu’on pourrait peut-être contextualiser tout ça pour éviter d’introduire de l’anachronisme dans ce qui est essentiellement chronologie : l’Histoire.
Et dans la foulée, GLT appelle « une fois de plus France Télévision à programmer davantage d’émissions sur l’esclavage et la colonisation pour lutter contre l’ignorance, le révisionnisme et le négationnisme qui gangrènent la société française »… Fermez le ban !
Mais tout à fait, cher Georges-Louis, tout à fait, on pourrait d’aileurs y inviter vite fait Olivier Grenouilleau qui est sans doute l’historien le mieux informé sur ce sujet, ( cf son ouvrage : Les Traites Négrières ), on pourrait y parler enfin des traites orientales pratiquées par les ressortissants des pays musulmans, on pourrait y parler des premières traces d’esclavage des Noirs dans l’Egypte pharaonique et donc décider de détruire les pyramides, idem pour les Grecs et les Latins, et on pourrait alors joyeusement détruire le Parthénon et le Colisée, on pourrait y parler des centaines de milliers de Noirs qui se sont faits les complices et les pourvoyeurs de « chair nègre » auprès des esclavagistes et qui, c’est con, avaient oublié d’adhérer au CRAN, et peut-être même, cher Tin-Tin, en grattant un peu profond et en remontant la chronologie, qui sait si on irait pas tomber sur un de tes arrière-arrière grands-pères ou grands-oncles tin-tinnabulants qui aurait un peu traficoté dans ce genre de négoce et dont il faudrait brûler la mémoire et le nom en place publique afin de purger la planète de cette monstrueuse espèce… Et tiens, Tinou, on va même se la jouer grand prince : on te laissera le soin de craquer la première allumette…

dimanche, 03 décembre 2017

Casser le Barack !

Cruel réveil ce matin pour certains ! Barack le généreux, Obama l’altruiste, celui qui devait faire passer les States et le Monde des ténèbres à la lumière, de l’exploitation à la fraternité, remettre la justice sur ses pieds, éradiquer la misère, déposer les puissants de leur trône, renverser les superbes, élever les humbles et chérir les nécessiteux… Barack Obama soi-même, champion toutes catégories du « Yes, we can »… Eh bien oui, c’est tout à fait ça, yes he can, il peut tout, le bougre, même encaisser quatre cent mille dollars pour une conférence parisienne devant un parterre de puissants « napoléoniens » triés sur le volet…
C’est les pauvres qui vont être contents d’apprendre que ce cher, très cher même, Barack, est une ordure assez conséquente pour accepter de gagner en trois heures deux cents fois le salaire d’un smicard américain !
Beuark !!

samedi, 02 décembre 2017

Taubirette...

Bizarre ! On l’a pas entendue, la Taubirette, ex garde des sceaux reconvertie littéraire et pigiste en chef au Monde des Livres… on l’a pas entendue, l’indépendantiste, décolonisatrice, anti-esclavagiste, prêchi-prêchiste et humaniste mélanophile… on l’a pas trop entendue nous causer dans le poste de l’abominable esclavage qui sévit en Lybie et qui a récemment ému la planète merdiatique…
Elle était où, la Taubire ? A Cayenne, en train de gérer son immobilier ? A Paris sur un vélib ? Au festival d’Avignon ? Pourquoi qu’elle est pas venue nous dire avec sa prose flamboyante à la Césaire ou à la Glissant que l’esclavage c’était pas bien, que c’était l’abomination de la désolation et qu’il fallait éradiquer fissa cette innommable barbarie ? Pourquoi ? Tout simplement parce que les esclavagistes de Lybie c’était pas des blancs mais des noirs ou des arabes et que ça rentrait pas dans le logiciel binaire de Mâme la Justicière hémiplégique… !
Hé, Cri-Cri, la prochaine fois que tu nous causeras du Code Noir ou des traites négrières, ça va juste nous faire rigoler…
Lou...

vendredi, 01 décembre 2017

Les femmes et les enfants d'abord...

Annonce du Samu social de Paris : « En raison de la vague de froid sur notre pays, les centres d’hébergement d’urgence vont ouvrir dès aujourd’hui, avec une priorité pour l’hébergement des femmes et des enfants ».
De quoi, de quoi ? Priorité aux femmes et aux enfants ? Mais ils sont où nos antidiscriminateurs patentés, nos justiciers à pied à coulisse, nos égalitaires millimétrés ? Et elles sont où nos féministes exacerbées, nos chiennes de garde enragées, nos clitoridiennes à pompon, nos vaginales à rouflaquettes, nos féministes en mouvement, en goguette, en vigilance…?
Ainsi dans notre belle république sociale, obligatoire et égalitaire, l’on peut voir refleurir les privilèges honnis, les passe-droits éhontés, les discriminations les plus abjectes !!

Eh bè, con, il s’en passe de choses !!!
Mélanche, réveille-toi, ils sont devenus fous... !

mardi, 28 novembre 2017

Cache Investigation...

Elle va encore se la jouer « justicière implacable », ce soir, la Lucet, Elise pour les intimes, la pasionaria de France 2, celle qui traque les injustices, débusque les fraudeurs, pourchasse les multinationales, fait rendre gorge aux puissants… Madame Lave-plus-blanc soi-même, humaniste en diable, généreuse à plastron et à jolis émoluments, intrépide du micro et des biftons, magnanime de la plume et du compte en banque, bref, la journaleuse dans toute sa splendeur, rebelle et humaniste, insolente et altruiste, un condensé de la profession…
Juste que Madame Poil-à-gratter qui va si volontiers fouiller dans les poubelles des entreprises et soulever la moquette des patrons, pourquoi qu’elle nous a jamais fait un joli et croustillant sujet sur ses propres revenus, sur sa petite entreprise si bien graissée, sur le gros tas de pognon qu’elle encaisse semaine après semaine et depuis des dizaines d’années pour cracher dans un micro ou frimer devant une caméra ?
Pourquoi aussi qu’elle nous fait pas un bon mignon sujet, affriolant et vendeur maxi, sur son confrère, l’ordure Frédéric Haziza, de LCP, joyeux harceleur de couloirs, pinceur de fesses et frôleur de seins… ? Ça oui, ça serait du courage, de la vaillance, ça oui, Lucette, ça aurait de la gueule, du panache…et en plus t’imagines un peu l’audience ! Mais ça, jamais on y aura droit dans tes émissions à la con… C’est pas Cash Investigation que tu aurais dû lui donner pour titre à ton émission, mais Cache Investigation… Tout ce que vous ne verrez jamais dans mes frénétiques enquêtes… Tu n’es finalement, sous tes airs de grande dame incorruptible, qu’une petite merde médiatique comme les autres et qui me fait gerber… Beuark !

mercredi, 22 novembre 2017

Balance ta merde !

C’est qui, au fait, tout cet immense chœur des pleureuses, des outrées, des dolentes, des révoltées et leurs collègues masculins solidaires et révoltés itou par le déferlement de harcèlement sexuel et de main balladeuse qui soudain, mais depuis des lustres, rend invivable la vie des femmes ? Oui, c’est qui ?
C’est soit les politiques, soit les journalistes, c’est-à-dire les deux professions qui, bien sûr, connaissaient par cœur et depuis longtemps les frasques de DSK ou celles de Baupin ou de Lassalle ou de qui vous voulez… Et tous ces connards qui, maintenant que les réseaux sociaux ont parlé, se la jouent justiciers à moraline plus blanc que blancs, pères et mères la pudeur effarouchés et balanceurs de porcs tous azimuts, tous ces connards et connardes savaient tout de A à Z depuis des années mais se gardaient bien de lâcher le morceau, peur de perdre de juteuses places ou de se faire virer par le rédac chef…
Ah ! les deux belles professions de salopards donneurs de leçons, déontologues patentés, qui ont fermé leur clapet des années durant, ont participé plein pot à l’omerta généralisée et qui soudain, le vent ayant tourné et la mode aidant, se font les chantres de la délation, du mouchardage, de la dénonciation citoyenne, comme au plus beau temps de ce qu’ils appellent ordinairement en se pinçant le nez : les années sombres de notre histoire…
Et c’est ça qui nous représente… Et c’est ça qui nous informe.. Beuark !!

mercredi, 15 novembre 2017

Rissolé...

Ah ! la jolie petite fiente médiatique bien propre sur elle, gendre idéal de la boboïdie bien-pensante, issu, qui plus est, de la sacro-sainte diversité, Karim Rissouli, animateur en chef de l’émission CPolitique, sur la 5, le dimanche à 18 h 30…
Et donc, ce dimanche, justement, entre autres séquences, une consacrée à l’inévitable harcèlement sexuel qui est en train de devenir le « marronnier » de tous les médias. Et le Karim et son équipe de propagandistes fous avaient donc décidé de causer du harcèlement sexuel en milieu politique…
Que croyez-vous qu’il arriva ? Ce fut le FN qui morfla !
Car la séquence, naturlich, s’ouvrit sur une sombre histoire de harcèlement homo lié au FN, avec clair-obscur super chiadé et bande-son pathétique en prime, et se ferma sur le même témoignage déchirant de jean trop serré et de main au cul baladeuse à souhait appartenant à quelque pervers ordinaire du FN…

Ainsi, il y a 577 députés dans notre beau pays, et 348 sénateurs, ce qui fait donc 925 possibilités d’histoires de cul… Sur ce nombre, il doit y avoir au grand maximum une dizaine de parlementaires FN, mais la petite merde rissolienne, au lieu d’aller voir du côté du PS de DSK ou des Verts de Baupin ou du côté de chez Bayrou ou des LR ou des joyeux Marcheurs de Macron, est justement allée chercher côté FN pour ouvrir et fermer sa séquence, histoire de bien marquer les esprits en ouverture et de re-bien les marquer en fermeture pour que le populo se mette profond dans le crâne que ce parti est un parti de salopards, de harceleurs, de tantouzes et de prédateurs… Bref, toujours et encore la Bête immonde qu’il faut à tout prix éliminer… Et toujours la même Propaganda Staffel de haute époque dans les télés et radios publiques… Et le pourri Karim recevra sans doute très bientôt de ses pairs l’Oscar ou le César du professionnalisme le plus exquis et de la déontologie la plus authentique.. Beuark…

Lou...

mardi, 14 novembre 2017

Joffrin for ever...

Allez, pour une fois, hommage à Joffrin (et oui, tout arrive… un petit coup de fatigue sans doute…), Joffrin qui, sur la nouvelle tarte à la crème des bobo-féministes à la con : l’écriture inclusive, écrit quelque chose d’intelligent, argumenté, plein de bon sens et percutant qu’on peut se donner la peine, mais surtout le plaisir, de lire en entier :


« Changer la langue, pourquoi pas ? Elle change tout le temps. L’Académie française n’y peut pas grand-chose. Elle s’est illustrée par son habileté en donnant aux partisans de «l’écriture inclusive», destinée à rendre aux femmes leur place légitime dans l’usage du français, un argument en or. Ainsi ce sont les croûtons chamarrés qui s’opposent à la réforme : c’est donc qu’elle est de toute évidence progressiste. Voilà un service rendu à la cause féministe…
Il faut aller un peu plus loin. Rationaliser les accords, féminiser les titres professionnels, éliminer les expressions ou les règles évidemment machistes : cela se conçoit très bien. Mais il est une proposition à laquelle tout défenseur de la langue française doit s’opposer avec la plus grande énergie : le «point médian». Cette intempestive prolifération des «·e» et des «·s» est absurde. Elle est doublement illisible : dès qu’on dépasse les deux occurrences par paragraphe, le texte ralentit automatiquement la lecture en accrochant l’œil par une succession de protubérances grotesques ; et il est impossible de la lire à haute voix. Essayez : comment prononce-t-on «les avocat·e·s» ? Faut-il dire «les avocats» ? On supprime dans ce cas le féminin pourtant écrit noir sur blanc. «Les avocates» ? On élimine le masculin, ce qui va tout de même un peu au-delà des ambitions de la réforme. «Les avocateuesses» ? Elégance rare. «Les av ocat, point e point s» ? Commode…
Résistance machiste ? Conservatisme obtus ? Argument facile et idiot. Toujours cette intolérance sommaire des militants, en permanence prêts à sacrifier le beau au bien… La création d’une novlangue bien-pensante servira-t-elle vraiment la cause des femmes ? Elle aura pour effet immédiat de diviser la population, de déclencher une sorte de guerre civile sémantique qui fera perdre beaucoup de temps à tout le monde. Pour introduire l’écriture inclusive, il faudrait commencer par exclure ceux qui pensent mal ? D’ailleurs les langues où ces questions d’accord ne se posent pas (elles sont nombreuses à ne pas accorder les adjectifs ou à utiliser le neutre) ont-elles favorisé l’émancipation féminine ? On doute…
Un essai pour voir. Soyons un instant «inclusifs» jusqu’au «point médian» : revient-il aux militant·e·s de décréter la langue ? La langue parlée par les un·e·s et les autres (autre·e·s ou autres ?) doit-elle obéir aux oukases (oukase·e·s ?) des théoricien·e·nes politiquement correct·e·s ?, des leader·euse·s champion·ne·s parmi les bien-pensant·e·s. Ne risque-t-on pas l’émergence d’un charabia digne des précieux·se·s ridicules, combattu·e·s par d’aussi caricaturaux·ales vieux·ieilles barbon·ne·s réactionnaires ? Joli débat… Et la littérature ? Faudra-t-il rebaptiser quelques romans ? Les Possédé·e·s de Dostoïevski ; Les Plaideur·se·s de Racine, etc. Il y a sûrement d’autres possibilités, plus élégantes, que des grammairiens ouverts pourraient proposer. Dans le cas inverse, on passe de Simone de Beauvoir à Orwell. Il y a mieux à faire pour les partisan·e·s de l’égalité… »

dimanche, 12 novembre 2017

Les Mutins..., putain !

Ah ! faut la voir et l’entendre toute la clique des ordures médiatiques pleine aux as et bien accrochée comme une arapède à son sacerdoce de propagande idéologique non stop, faut la voir traiter, avec le pathos de rigueur, les larmes feintes et la voix en écharpe, traiter, dis-je, des mutins de 1917 !
Tous des héros, bien sûr, des rebelles, des courageux, des exemplaires, dont il faut à tout prix redorer le blason, rétablir la mémoire et hisser haut sur les autels la trace de leurs hauts-faits inénarrables.
Et tous ces salopards de journaleux, douillettement planqués dans leurs studios climatisés (cf le « Journal » de la 2, y a pas une heure), de cracher leurs glaviots délicats sur l’armée, sur les gradés, sur la justice militaire… sans oublier bien sûr l’inévitable couplet sur Pétain (Pétain qui, aux dire même de ses soldats, fut le plus humain des chefs, le plus soucieux de leur condition..), Pétain, responsable, naturellement, des plus pires horreurs de la boucherie nationale et probablement déjà, en 1917, cherchant sur une carte où pouvait bien se trouver Montoire…
Et, pour le bon poids, tous ces reportages à la gloire des mutins ne sauraient se dérouler sans la bande son ad hoc où ne manquent jamais, en fond sonore, quelques gentils couplets d’une "Internationale" qui fut, est et restera l’hymne des cent millions de morts de l’immense et généreuse et humanitaire aventure du communisme international… !
Petite question subsidiaire à ces connards de journaleux qui bavent devant les mutins juste après avoir admiré la détermination sans faille d’un Macron en posture de majestueux chef de guerre anti-Daech : qu’est-ce que vous en faîtes des un million quatre cent mille morts de cette guerre de 14 si mal préparée par la 3° République pourrie et pourrissante ? Si les autres sont des héros, eux c’était quoi ? Des lavettes, des pleutres, des obéissants, des soumis, des résignés ? Et la geste héroïque de ces centaines de milliers de soldats français qui se sont battus jusqu’au bout, au péril de leur vie, par amour de leur pays, par solidarité avec les copains, par respect envers eux-mêmes, pour que la France conserve sa liberté et ne soit pas soumise au joug allemand, c’est quand que vous nous la racontez ?

lundi, 08 mai 2017

Saluons Macron...

EM comme Emmanuel Macron,
Emmerdement Maximum,
Election Médiatique,
Etrange Marionnette,
Etonnamment Moderne,
Envahissement Migratoire,
Entreprise Mercantile,
Embrassons Merkel,
Enfumage Médiatique,
Europe de Merde
Elysée Mammon,
Et Maintenant.. ??