lundi, 09 novembre 2015
Lucette...
Il nous aura tout fait, le Flamby ! Egouts, bas-fonds, vespasiennes et chiottes… Après le connard à moto qui va sauter la Gayet avec sa gueule d’ado boutonneux qui fait le mur de l’Elysée, le voilà maintenant, en ordure plénière et cloaca maxima, qui s’invite chez la Lucette, pourtant socialeuse bien triée sur le volet par l’autre Gangster, le voilà donc, Dumou, qui se la joue populo, causerie coin du feu et parler vrai à tous les étages, sauf qu’auparavant y a Monsieur D’laCom qui vient astiquer les parquets, changer la vaisselle, remplacer la Ricorée du pauvre et designer un brin la déco… Et puis, la Lucette, autant la briefer bien carré, lui dire ça qu’elle doit moufter, ça qu’elle doit pas moufter, lui apprendre les questions, lui faire réciter les réponses, lui enseigner la gestuelle, les mimiques, l’intonation et tout le barnum pour que François l’Andouille y soye pas trop pris au dépourvu, qu’il puisse tout bien regurgiter le message comme Gangster lui a dit de dire, et faire le joli effet électoral prévu dans les chaumières de la Démocrassouille…
Qu’il y ait encore, après ça, des démocrates sincères, des républicains loyaux et des socialistes militants, ça me déchire grave… Et que toute la servile corporation journaleuse oublie soigneusement de questionner les Valls, les Fabius, les Camba, les Barto, sur les frasques médiatiques du Gouda avarié qui nous sert de Président, ça en dit long sur l’état de l’info et de l’opinion dans ce foutu régime… !
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lundi, 26 octobre 2015
Les "Bourgeois" de Calais...
800 « cinéastes, écrivains, philosophes, chercheurs, intellectuels »… 800, c’est à dire une toute petite partie de l’immense armée de branleurs à caméras, micros, stylos et autres outils notoirement pénibles et épuisants… 800 qui vont bientôt être rejoints par toute la cohorte des signataires de la dernière heure qui ont raté le premier train mais qui n’entendent surtout pas laisser passer la si belle occasion d’arborer eux aussi, en sautoir, en « une » et en prime time, leur dégoulinante générosité de repus, leur gluante moraline de rassasiés et leur mol humanitarisme de satisfaits du bulbe et de la bonne conscience…
800 et bientôt trois fois plus, et dix fois plus sans doute, 10.000 peut-être qui ne vivent plus, ne mangent plus, ne dorment plus et qui « ne peuvent plus se taire » et ont donc « décidé »… attention … ran pa ta plan, pa ta plan, plan plan… tambours, trompettes et grandes orgues… ont décidé… d’accueillir chacun trois familles de migrants dans leur maison de campagne du Lubéron ? -Non. De renoncer à leur condition de vie de bobos privilégiés pour verser chacun, et pendant 5 ans, 3000 euros par mois dans un grand fonds destiné au soulagement de la misère exilée ? -Non. De loger les réfugiés dans les lofts douillets de leur progéniture cultureuse ?-Non.
Vous n’y pensez pas ! Foin de ces solutions qui sentent un peu trop le paternalisme de papa… Ont décidé, tout simplement de « dire non à la situation réservée à ceux qui sont actuellement les plus démunis de droits en France : les exilés de Calais ».
Effectivement, ça méritait bien que le père Joffrin, dit Mouchard, se lève la nuit pour faire chauffer les rotatives de Libé ! Et ça leur fera une belle jambe, aux exilés de Calais, de savoir que 800 connards ont dit « non », juste avant d’aller fêter ça dans un Fouquest’s de gauche en s’empiffrant d’un caviar prolétarien estampillé développement durable !
Lou...
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vendredi, 16 octobre 2015
Identité...
Ah ! certes, il fallait bien qu’un psy vienne se mêler au débat sur l’identité et nous lâcher sa demi-livre de moraline estampillée Tonton Freud ! Ce sera donc Laurent Danon-Boileau (pauvre Boileau !), membre éminent de la SPP (Société Psychanalytique de Paris), et ce sera chez l’autre Lolo, le Joffrin, Joffrin-Mouchard plus exactement et pour être complet… Tout va donc pour le mieux. http://www.liberation.fr/debats/2015/10/14/eloge-psychana...
Et Ducon-Boileau commence par nous dire, après les écoeurements et hauts-le-cœur de rigueur concernant Nadine M. et le F.N., que « sur ce point » (celui de l’identité), « la psychanalyse a quelque chose à dire »… Ce qui nous fait une belle jambe ! Ma concierge aussi, Danon, a quelque chose à dire sur l’identité, et mon plombier itou, et même qu’il en parle rudement bien à l’heure de l’apéro avec ses potes, et sans tortiller du cul comme toi et alambicquer ces phrases pas possibles que tu nous assènes du haut de ton magistère auto-proclamé de gratte-cerveau à 200 euros la passe !
Alors il nous dit quoi, Pépère Boileau, au fait ? –Que la vie psychique, pour éviter le ronron et la routine doit accepter l’inquiétude, que l’identité de chacun est poreuse, instable, indéfinie et que c’est bien comme ça, bref, la fixité est mortifère et « Je » doit rester un autre, car un peu de Rimbaud fait bien dans le tableau…
Outre que ce sont là des portes grandes ouvertes qu’enfonce Danon-Bélier, (le moindre gamin de 11 ans sait très bien et sans tout le jargon ad hoc qu’il est à la fois le même et pas le même que ce qu’il était l’année précédente et que ce qu’il sera l’année d’après, comme il sait très bien qu’il n’est pas tout à fait le même devant ses parents, son instituteur ou ses copains), ce qui me troue dans cette bafouille psychotique c’est l’injonction, de la part de ces champions de l’autonomie et de la liberté, l’injonction souveraine qui est faite à tout un chacun d’accepter les prescriptions du Diafoirus de service… Petit florilège : -« la vie psychique se doit d’accepter l’inquiétude » - « Elle est poreuse et doit le rester » - « Je » doit être un autre »… Il sort d’où ce « doit » ? il est appuyé sur quoi ? Et il nous dit quoi de celui qui en use et abuse ? Inquiétant, non ?
Bref, ce qui est « inquiétant » aussi (et donc salvateur !) c’est de voir l’inconséquence de tels gugusses qui récusent la notion d’identité au moment même où ils signent des deux mains leur nom et leur appartenance. Mais qu’est-ce qu’on s’en fout, Lolo, de savoir que c’est toi qu’as écrit cet article puisque, afin d’échapper à toute fixité mortifère, t’es déjà plus toi-même trois secondes après l’avoir signé et que la Société Psychanalytique de Paris à laquelle tu t’honores d’appartenir est peut-être déjà, à l’heure où je parle, tellement vont vite le mouvement et la porosité et sont instables les contours, la Société des Petits Parasites ou le Sercle (car l’alphabet aussi va très vite !) des Pitoyables Prétentieux… Et en plus, tu sais, Lolo, la Nadine, depuis sa sortie chez Ruquier, qui te dit qu’elle a pas « laissé vivre sa vie intérieure » et qu’elle est pas, désormais, ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre et t’aime et te comprend… Après Rimbaud, fallait bien un peu de Verlaine, non ?
Lou...
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lundi, 12 octobre 2015
Sophia Aram a-t-elle un problème avec son cul ?
Sans doute conviendrait-il plutôt de se demander si cette sous-merde francinterisée à donfe a un cerveau… La seule chose certaine étant finalement qu’elle a un compte en banque bien garni et qu’elle l’alimente, la salope, avec notre fric généreusement octroyée par Radio-France, avec la bénédiction de Mathieu Gallet…
Fallait la voir, donc, la Sophia des chiottes, ce dimanche, sur la 5, à l’émission « Médias, le magazine », émission de réflexion, bien sûr, d’analyse, de prise de recul, d’argumentaire de haute volée, censée nous donner par voie médiatique entreposée le mode d’emploi correct et approprié de, justement, ces médias !!
Et Thomas Hugues, maître de cérémonie de ce barnum hebdomadaire, d’inviter pour nous aider à réfléchir, raisonner, disséquer et analyser, Sophia Aram soi-même, grande philosophe devant l’éternel, reine incontestée du concept, penseuse de premier plan qui, ne voulant surtout pas faillir à sa réputation, asséna à deux reprises au moins cette analyse impérissable : « Zemmour est un beauf qui a un problème avec sa bite ». Fermez le ban !
Voilà, au XXI° siècle, ce qu’on nous sert, sur les antennes publiques, en guise de critique intelligente, argumentation raffinée et décodage médiatique… Et en prime, Thomas Hugues sur le plateau et Mathieu Gallet dans sa somptueuse résidence secondaire, au lieu de prendre leurs responsabilités et virer manu militari la connasse, lui offrent une joli promo gratos pour son spectacle dans je ne sais quelle salle parisienne et sourient gentiment aux anges du PAF tandis que les couilles molles du CSA rôtent leur ultime cognac… Beuark..
Lou...
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samedi, 10 octobre 2015
Erri De Luca...
65 cinéastes, autant dire 65 planqués, 65 bobos, 65 connards qui se prennent pour des artistes et se croient investis de la lourde et exaltante mission de dire le vrai et le faux, le bien et le mal et de défendre, entre deux hoquets, deux chivas, deux homards, deux promos et deux divans, la veuve, l’orphelin, l’immigré, le miséreux, mais encore plus, bien sûr, le marginal, l’artiste, le rebelle, l’insolent… bref l’autre soi-même qu’ils croient voir avec délectation dans le miroir que leur tend la médiatique société dont ils sont les plus beaux fleurons…
Et ces jours-ci, le chouchou de ces dames c’est Erri De Luca, vague écrivain italien, qui, ayant déclaré, à propos du projet de tunnel TGV sous les Alpes pour relier Lyon et Turin qu’il fallait « saboter cette ligne TGV », risque, paraît-il, 8 mois de mitard… Bon, sur le fond, il a peut-être pas tort le De Luca de s’opposer à ce genre de projets, mais là où ça devient cocasse, c’est lorsque Ducon saboteur qui jouait du biceps devant les micros semble pas avoir les couilles d’aller au bout de ses prises de position et se met à tortiller du cul comme une communiante pour expliquer aux juges qu’il a jamais voulu dire ça, qu’il y a sabotage et sabotage, signifiant et signifié, phonème, phonétique et phonologie, Saussure et Benvéniste, et qu’il n’a pas dit ce qu’on lui fait dire ni encore moins ce qu’il a dit… Bref, Tonton Erri a les foies, les chocottes, une trouille monumentale d’aller moisir quelques semaines au gnouf et essaie de sauver ses abattis par l’oxymore, l’allitération, la litote, l’anaphore et la paronomase…
Et là où l’affaire devient du feu de Dieu, c’est lorsque toute la corporation de porteurs de caméra et pétitionneurs professionnels, accueillis en grande pompe par Joffrin-Mouchard de Libé (http://www.liberation.fr/debats/2015/10/08/liberte-pour-e...) vient au secours du matamore avec une argumentation pathétique : « Comment imaginer que des écrivains puissent être déférés à une Police des mots ? » Et comment imaginer alors, chers connards, que des putes puissent être déférées à la Police des mœurs, des banquiers à celle du fric et des pédophiles à celle des mineurs ?
Et oui, bonnes gens, on peut déférer votre plombier, votre crémière, votre facteur devant la Justice, les excellences à pellicules bougeront pas le moindre auriculaire, mais si l’on touche à quelqu’un du sérail, un artisse, de gauche de préférence, les voilà tous, comme un seul homme et comme n’importe quel beauf aviné, mobilisés et sur le pont pour défendre leur minuscule nombril… Beuark… !
Lou...
21:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 09 octobre 2015
Trisomiques...
Ah ! les voilà ces gros cons de Charlie qui sortent du bois et cassent la baraque, les voilà les magnifiques humanitaires, les impayables altruistes, les généreux affriolants pour lesquels il fallait que la France entière porte le deuil pendant 6 mois, descende dans la rue deux fois par semaine et embrasse sur la bouche Luz, Pelloux et Luce Lapin, les voilà ces ordures qui montrent bien tout à coup, avec leur une à gerber, jusqu’où va leur profond humanitarisme et leur haute mansuétude, jusqu’à insulter en toute bonne conscience et urbi et orbi les trisomiques et leurs familles…
Et y va y aller Valls leur tirer les oreilles en direct sur la 2, et il va y aller Flamby leur parler déontologie en direct sur Arte, et Cazeneuve, il va y aller leur faire la morale sur la 3 ?
Ah ! qu’on touche à un cm² du pagne d’un black, de la djellaba d’un rebeu ou de la kippa d’un feuj, et on les voyait aussitôt envahir les plateaux télé, écumants de rage, les yeux révulsés, la tignasse en bataille et touchés au plus profond de leur absence d’âme par cette atteinte à l’éminente dignité de la personne humaine, mais les trisomiques ne sont sans doute à leurs yeux que marchandise avariée et variable d’ajustement de l’espèce humaine et nos grands courageux doivent penser que les gogols ne savent pas manier une kalach… Mais j'en connais quelques-uns qui savent manier le bâton...
Espérons au moins que les millions de cons qui étaient Charlie jusqu’ici arrêteront demain de porter leur infamie en sautoir… Mais c’est pas gagné.
Lou...
18:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 02 octobre 2015
Race blanche...
Les mêmes connards qui grimpent aux rideaux de l’audimat dès qu’aux Etats-Unis un flic blanc dézingue un ado noir…
Les mêmes connards qui, au bord de l’orgasme, gueulaient « Black-blanc-beur » en 98 après cette si exaltante Coupe du Monde de Foot…
Les mêmes connards qui arrêtent pas de nous les briser avec leur merveilleuse société métissée en devenir (« Métis : Qui est issu de l’union de deux personnes de couleur de peau différente » Larousse)…
Les mêmes connards qui financent et subventionnent à plein budget le Conseil Représentatif des Associations Noires…
Les mêmes connards qui veulent promouvoir dans les médias la « visibilité des minorités de couleur »…
Ces mêmes connards, les voilà qui défouraillent à la kalach sur la pauvre Morano qui a simplement dit que la France était de race blanche, ce qui paraît, pour encore un peu de temps, assez évident et qui, en tout cas, n’a rien à voir avec une quelconque abhorrée hiérarchisation…
Inconséquents et cons… Joli cocktail !
Lou...
08:53 | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 25 septembre 2015
François... Hélas !
Ah ! qu’il est mignon, le Père François, gentil, doux, affable, populaire, médiatique en diable, coqueluche des foules en délire et roi de l’audimat universel…
Oui, bon, ok, on voudrait juste lui rappeler au Bergoglio, pour qu’il cesse d’arborer ce sourire de connivence avec un peu trop de crapules mondaines, ce passage de Mathieu 5, 11, à la fin des Béatitudes, histoire qu’ il se fasse pas trop d’illusion sur les raisons profondes de sa popularité provisoire ni sur ce monde auquel il semble, hélas ! un peu trop appartenir :
"Heureux serez-vous
si l'on vous insulte,
si l'on vous persécute
et si l'on dit faussement
toute sorte de mal
contre vous, à cause de moi."
Lou…
16:20 | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 10 août 2015
Hiroshima, Nagasaki, 200.000 morts pour rien...
Et ils sont où nos chevaliers blancs de l’info, courageux débusqueurs d’entourloupe, héroïques traqueurs de bobards, inlassables investigateurs et consciencieux rebelles du parler vrai ?
Ils sont où, à propos de Hiroshima et Nagasaki et de la bagatelle de près de 200.000 morts et deux villes réduites en cendres en quelques secondes, sous la douce et généreuse pression du noble index de Pépé Truman, digne successeur des trois magnifiques démocrates fous, partageux du monde de Yalta, Roosevelt, Churchill et Staline.
Ils sont où pour nous dire que ces 200.000 morts ne servaient à rien, que les jeux étaient déjà faits, le Japon déjà soumis et que Truman n’a donné l’ordre de larguer les bombinettes que pour tester grandeur nature la capacité de destruction de l’arme nucléaire et accessoirement montrer aux soviétiques que c’est lui qui avait la plus grosse ?
Tout cela est démontré, argumenté, prouvé et archiconnu (même De Gaulle, joli menteur pourtant, avait écrit dans ses Memoires : « A vrai dire, les Japonais s'étaient montrés, avant le cataclysme, disposés à négocier la paix. » et pour en savoir plus taper « hiroshima mensonges » ou aller voir le site du Point :
http://www.lepoint.fr/histoire/6-aout-1945-et-si-hiroshim...), mais hier midi, au JT de la 2, ce fut quand même, derrière le sourire humaniste du larbin de service, la même soupe tiédasse et aseptisée d’un Japon commémorant la catastrophe et pleurant des morts qui l’avaient bien cherché sous la statue impassible d’une pax democratica à faire gerber…
Et les mêmes salopards journaleux qui nous font chialer deux heures devant le minois d’une otage revenue au pays natal en pleine forme sont incapables de prendre trois minutes pour nous dire la vérité sur 200.000 Japonais envoyés ad patres sous les applaudissements nourris et le pouce baissé des meilleurs démocrates du monde ! Bonjour la déontologie !
Lou...
09:44 | Lien permanent | Commentaires (1)
dimanche, 09 août 2015
Prime time...
Bon, je sais, y a pire dans le monde, et largement pire, mais voir, ces jours-ci, Antenne 2 et France 3 consacrer la moitié au moins de leur JT, une fois de plus, au retour de l’enfant prodigue, une otage, une, pour la 12, l’Isabelle Prime qui nous revient en Falcon 2000 s’il vous plaît, avec arrêt rituel à Villacoublay, sas de décompression, débrief du Général Machinchose, cellule psychologique d’urgence, envoyés spéciaux, Gouda 1° au garde-à-vous sur le tapis rouge, Fabius en petit chose en quête d’existence, et tout l’ordinaire tremblement de la médiatisation à donfe d’un non-événement dont les 9/10° des Français se contrefoutent royalement…
Quand en plus tu vois descendre de l’avion, guillerette comme si elle revenait des fraises, la Miss Prime soi-disant si tant tellement éprouvée, épuisée, secouée et bouleversée par son insupportable calvaire de 163 jours, et que tu t’aperçois qu’elle a quand même eu tout le loisir, la mignonne, de se pomponner deux heures devant sa psyché pour savoir si elle allait sortir tête nue de l’avion présidentiel, ou en chapeau, en foulard, en keffieh, en bandana à fleurs, et que finalement, pour aller saluer la grande andouille boutonneuse, François 1° le Mou, elle a opté pour la casquette reebok (c’est sans doute eux qui z’ont payé la rançon…), tu te dis qu’otage ou pas, y a des coups de pied au cul qui se perdent et que les Yéménites ont bien du mérite d’avoir supporté pendant 163 jours cette lolita sans doute passablement chieuse...
Lou...
11:06 | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 08 août 2015
C'est dur d'être informés par des cons...
C’est celui qui assure les « Matins de France-Culture » pendant les vacances. Un certain Nicolas Martin, mais il pourrait tout aussi bien s’appeler Ali Baddou, Nicolas Demorand, Jean Lebrun, Marc Voinchet ou Arnaud Laporte, bref, toute la série des connards qui ont sévi, sévissent ou séviront jusqu’à plus soif, avec nos ronds et bien après l’âge de la retraite, sur les télés et radios publiques de cette pourrie république qu’il faudra bien un jour se décider à mettre à bas…
Bref, le Nicolas Martin, donc, ces jours-ci, c’était mercredi, jeudi ou vendredi, recevait, dans sa « Matinale », l’une de ces immenses coqueluches de ces médias qui s’entichent des cons à la vitesse grand V pourvu qu’ils causent dans le sens de vents dominants : Joann Sfar soi-même, humoriste à deux balles du « Chat du Rabbin » en 12 volumes et plus si nécessaire et si numéraire, lequel vient de sortir ou va sortir un film dont il vient faire la promo sur FC comme il l’a faite ou va la faire sous peu à France-Inter, France-Info, la 2, la 3, la 5, Arte… etc…
Et voilà ce pauvre Nicolas Martin, à la fin d’un entretien où il a pas arrêté de servir la soupe à l’artisse, qui se courbe jusqu’au sous-sol et se vautre aux pieds du Sfar en répétant en boucle quelque chose du genre : « Je vous remercie infiniment, cher Joan Sfar, d’avoir accepté mon invitation. » !
Ainsi, non seulement le Sfar se voit offrir sur un plateau vingt minutes d’auto-promotion pour gonfler les ventes et booster les entrées, mais en plus, le journaleux de service de se perdre en immense gratitude et reconnaissance éternelle pour la venue du prodige et l’acceptation de l’invitation ! Et le Joann, bien sûr, -pour être humoriste on n'en est pas moins homme - d'accepter les courbettes comme si elles lui étaient dues de toute éternité !!
Un peu comme si on offrait à Edouard Leclerc ou Madame Carrefour I/4 d’heure de pub gratos en prime time pour chanter les mérites de leur rayon frais et qu’on les raccompagne avec champagne et limousine jusqu’à la maison…
Lou...
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lundi, 13 juillet 2015
Otages, ô désespoir !!
Ah ! la belle démocratique pourrie société dans laquelle nous vivons !
Les 5 otages, les 5 d’Arlit, là-bas au Niger, qui avaient fini par être libérés en octobre 2013 à grand renfort de comités de soutien ceci, de médiatisation cela, de rançons versées/pas versées, de Falcom présidentiel, de tapis rouge à l’infini sur le tarmac de l’électoralisme, les 5 Ducons donc, les voilà-ti pas, toute cerise bien refaite et nickel-chrome dans leurs baskets, les voilà-ti pas, ces enfoirés, qui vont porter plainte, paraît-il, contre les 350000 euros d’indemnités que l’Etat envisage de leur verser !! 350000 euros, dix ans de salaire d’un cadre moyen, et ces messieurs-dames non seulement n’en veulent pas mais jugent cette somme dérisoire et « insultante »… Préjudice ceci, souffrances cela, traumatisme psychologique, nuits blanches et séquelles in aeternum…, ça vaut au moins le double !
Ohé, les connards, quand vous y êtes partis, au Niger, on vous y a obligés ? Et la situation géo-politique, vous la connaissiez pas ? Pourquoi vous êtes pas restés peinards en France à faire du terrassement, à secouer des moquettes, laver des vitres, ramasser des épinards, servir de l’essence, conduire des camions … ? C’était « insultant » ça aussi ? Vous allez nous faire regretter votre libération !
Je serais l’Etat, pas un kopeck je vous verserais ! On peut avoir été otages et demeurer de sacrés connards !
Lou.
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mercredi, 08 avril 2015
Commerce de détails...
Et voilà une fois de plus relancé le grand barnum médiatique autour du Borgne hideux et repoussant, de la Bête immonde, du Monstre nazi, Jean-Marie Le Pen tel qu’en lui-même enfin l’éternité le change, retrouvant son franc-parler et ses vieux démons, indédiabolisable définitif, écharde plantée profond dans la chair de sa fille et du Front national.
Premier acte chez l’ordure Bourdin, sur BFM, avec le « détail », « les Français veulent savoir », et bien voilà, c’est fait, ils savent.
Deuxième acte, dans Rivarol, qui n’a jamais eu une telle publicité, avec Pétain Valls et compagnie…
Premier acte : le détail. Et que dit Le Pen, au fait ? « Je ne dis pas que les chambres à gaz n’ont pas existé… mais je crois que c’est un point de détail de l’histoire de la deuxième guerre mondiale ».
Il y a bien sûr deux lectures de cette phrase : la première, celle qui nous est servie depuis toujours par les médias aux ordres, consiste d’abord à passer sous silence bien soigneusement la première partie de cette phrase, celle où Le Pen affirme qu’il ne nie pas l’existence des chambres à gaz, ce qui cadre assez mal avec l’image du négationniste forcené qu’on veut donner de lui. Elle consiste ensuite à faire comme si Le Pen disait que la souffrance de six millions de Juifs était un détail dont il se contrefoutrait royalement. Et nos médiateux alors de rouler des orbites effrayées, d’en appeler aux sombres époques et de se boucher le nez afin de ne point être contaminés par d’aussi nauséabondes et inexistantes affirmations, ce qui, notons-le, ne les empêche pas d’aller déguster cinq minutes plus tard caviar et petits fours (si l’on ose dire), une fois leur mission d’enfumage public accomplie…
Mais n’y a-t-il pas une autre lecture possible ? Une lecture qui ne gommerait pas la phrase embarrassante, une lecture qui, commençant par Larousse (« Détail : Petit élement constitutif d’un ensemble, et qui peut être considéré comme secondaire. ») considèrerait que Le Pen n’évoque pas là la souffrance juive ni l’inhumanité nazie mais simplement, puisque c’était là-dessus que portait la discussion, la technique employée par les nazis pour éliminer les Juifs, une lecture qui considèrerait aussi que ce que veut dire Le Pen c’est que, dans un conflit dont M. Wikipedia nous dit, entre autres, que :
-1-La Seconde Guerre mondiale constitue le conflit armé le plus vaste que l’humanité ait connu, mobilisant plus de 100 millions de combattants de 61 nations, déployant les hostilités sur quelque 22 millions de km², et tuant environ 62 millions de personnes, dont une majorité de civils..
-2- La somme des dégâts matériels n’a jamais pu être chiffrée de façon sûre, mais il est certain qu’elle dépasse les destructions cumulées de l’ensemble des conflits connus par le genre humain depuis son apparition.
-3- Le traumatisme moral ne fut pas moins considérable, la violence ayant pris des proportions inédites. Elle connut de multiples crimes de guerre, qui ne furent l'apanage d'aucun camp, crimes s'insérant dans une violence militaire et policière d'une intensité et d'une profondeur inégalées.
Dans un tel conflit, donc, le fait de savoir si six millions de Juifs sont morts dans des chambres à gaz ou de toute autre façon, n’est effectivement qu’un point de détail, c’est à dire un « élément qui peut être considéré comme secondaire », l’essentiel étant l’ensemble des souffrances, des morts et des destructions liées à la deuxième guerre mondiale, à l’intérieur desquelles a bien sûr toute sa place le sort dramatique réservé hélas au peuple juif, à l’intérieur duquel l’utilisation ou non de chambres à gaz semble bien être, si l’on sait ce que parler veut dire, un point de détail technique…
Si l’on ajoute à cela que le communisme, lui, est accusé d’avoir provoqué la mort de cent millions d’êtres humains et que, bizarrement, on n’a jamais vu les Bourdin and Co, lorsqu’ils ont sous leur micro les Pierre Laurent, les Mélenchon ou les Besancenot et autres brailleurs d’Internationale, leur balancer à la gueule ces cent millions de cadavres, on en vient forcément à se dire que les morts ne pèsent pas tous le même poids et que les indignations démonstratives de nos excellences cultureuses et politiques ne sont qu’immonde hypocrisie et définitive saloperie…
Lou...
21:43 | Lien permanent | Commentaires (2)
lundi, 06 avril 2015
Et la Gayet ?
A supposer même que le gros Hollande soit honnête et franc du collier, loyal, limpide et régulier, qu’il ait été soudain touché par la grâce et pris d’une irrépressible et extrême émotion compassionnelle pour les enfants d’Izieu, d’une émotion telle que même si 71 n’était pas un chiffre rond, comme les aiment les pros du compassionnisme, il fallait quand même y aller, illico presto et toutes affaires cessantes pour proclamer urbi et orbi l’horreur du crime, l’émoi du cœur, le vertige de l’esprit et l’empathie profonde de la sensibilité nationale avec la communauté juive aujourd’hui encore bouleversée… A supposer donc qu'il soit honnête et franc, le bouffi Flamby, la démocratie, ce pourri régime où l’électoralisme remplace tout : la pensée, le cœur et les sentiments, la démocratie, disais-je, nous oblige à penser que tout cela, tout, l’émoi, les larmes, le tremblement, les frissons, le pathos, les discours, tout cela n’est que simagrées, posture, pose, simulacres bien concoctés par d’élyséens experts en communication pour que la vieille baudruche boutonnante retrouve cinq minutes, en ânonnant les phrases écrites par d’autres que lui, quelques points de mieux dans les sondages, quelques voix de plus dans les urnes, quelque évanescente posture présidentielle qui pourrait lui permettre de se croire encore quelqu’un ou quelque chose…
Cette instrumentalisation, 71 ans après, de la souffrance juive d’antan, instrumentalisation mitterandienne autant que chiraquienne, que sarkozienne et hollandienne, instrumentalisation à laquelle participe, hélas, une grande partie de la communauté juive d’aujourd’hui, est sans doute l’une des plus énormes obscénités de nos démocraties post-shoahtiques…
Et il faudrait, chaque jour que Dieu fait, hurler à la face de ces ordures manipulatrices, au moment du caviar, du chivas, de la Gayet ou des soirées électorales, le mot définitif de Brodsky répondant à Adorno qui disait qu’après Auschwitz toute poésie était impossible : « Et le petit déjeuner ? »
Lou...
13:38 | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 28 mars 2015
Djibril, qui c'est ?

Voilà le genre de connard qui appelle à voter contre le FN dimanche... Ça donnerait plutôt envie de voter pour, non ?
Quand tu vois la casquette, les lunettes et la dégaine générale du gugusse, tu te dis qu'il doit pas y avoir grand chose sous le couvre-chef...
Lou...
18:22 | Lien permanent | Commentaires (3)
Violeur socialiste...
Imaginons cinq minutes que le directeur d’école violeur de dizaines d’enfants à Villefontaine et ailleurs dans l’Isère ait été jadis membre du Front National ou candidat sur les listes Bleu Marine, imaginons les cris d’orfraie qu’aurait alors poussé la Vallaud-Belkacem, stigmatisant un parti qui protège et entretient des pédophiles dans ses rangs, imaginons les titres de Libé-Joffrin sur cinq colonnes à la une et l’édito du même Joffrin se félicitant d’avoir eu raison depuis si longtemps sur la dangerosité d’un parti qui couvre les agissements scandaleux de voyous pervertissant notre belle jeunesse française…
Oui mais voilà, le salopard était socialiste, était syndicaliste, était sur les listes de gauche en 2008… Mais ça, c’est ni la Belkacem ni le Joffrin qui vous le diront, et s’ils sont en cellule de crise en ce moment, c’est pas pour savoir comment se prémunir de telles ordures mais seulement pour savoir comment bien enfumer le peuple de France pour qu’il continue à penser que, malgré des bavures dans ce genre, la gauche n’en demeure pas moins la garante absolue de la moralité politique… Beuark…
Lou...
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vendredi, 27 mars 2015
Les Généreux...
Faut pas grand-chose, finalement pour se rendre compte d’à quel point le directeur de Libé, Laurent Mouchard (dit Joffrin) et son armée de journaleux déontologico-humanisto-rothschildés sont des sous-merdes à chier dont les pleurs de commande et les postures morales sont rien autre chose que simagrées et faux-semblants… Il suffit d’un titre à propos de l’accident de l’avion qui s’est écrasé près de Digne-les-Alpes et qui a fait 150 morts, et ce titre le voici, dans Libé du jour : « Andreas Lubitz, dissimulateur de haut vol ».
Voilà, tout est dit : le connard qui a pondu ce jeu de mots nullissime, le Rédac chef qui l’a accepté et le Directeur qui le couvre en ont rien à foutre des 150 cadavres éparpillés dans la Vallée de la Blanche, ils en ont rien à cirer de la douleur des familles, ni du tragique de la situation ni du respect et de la retenue dû à toute tragédie… La seule chose qui compte c’est leur petit ego de littérateur de mes deux, leur satisfaction dérisoire d’écrivaillon à la con et la courbe des ventes de leur torchon…
Et c’est ça qui vient nous donner des leçons de morale à longueur de colonnes, c’est ça qu’on subventionne de nos deniers, c’est ça qui se prend pour la conscience humaniste de notre société !
Tire tes pompes, Lolo, j’m’en va te gerber dessus…
Lou...
21:56 | Lien permanent | Commentaires (1)
mercredi, 18 mars 2015
Le Clézio et l'infini...
Ah ! la grande andouille molle qui s’en mêle… Monsieur Nobéloïde soi-même, longue maigre saucisse périmée, littérateur de mes deux à double nationalité et prénom à rallonge, nous annonce urbi et orbi l’immense imminente catastrophe qui nous menace, l’horreur sans nom qui nous attend : Môssieur Jean-Marie-Gustave va quitter la France !
Pauvre minuscule sous-merde qui déclare avec un courage surhumain : « Si Marine Le Pen gagne (eh ! ducon, c’est pas la loterie ! Tu l’as appris où le français ?), je rendrai mon passeport français et je ne garderai que mes papiers mauriciens. »
Mais vas-y, ma grande, tire-toi vite fait, on peut même t’aider à boucler la valise, prendre ton billet d’avion, brûler tes livres laborieux et insipides pour te rendre plus léger, fondre ta médaille en chocolat et te faciliter toutes les démarches pour aller retrouver ton cher Maurice…
Mais t’es bien sûr que tu garderas pas autre chose que tes papiers mauriciens ? Et ton pognon, tes milliers de liasses bien serrées, tes placements en bourse, tes actions et obligations, tes tableaux de maître, tes grands crus, tu nous en causes quand, Monsieur Grande Conscience ? Chez quels pauvres tu la délocalises ton oseille ? Plus facile, n’est-ce pas, de prendre la pose sur BFMTV que de nous dévoiler ton patrimoine, ce qui permettrait aux petits-blancs, que tu méprises de toute ta hauteur d’écrivaillon pour midinettes, de mesurer la valeur de tes engagements anti-FN… Chez Koestler, J-M-G, (Je Me Gave ?) tu serais plutôt le zéro que l’infini…
Lou...
08:07 | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 17 mars 2015
Pet-Ruquier
De Laurent Ruquier, humoriste à chier et homo à plein temps, dans son émission du 14 mars, sur la 2, On est pas couché : « Je regrette d’avoir donné la parole à Zemmour pendant cinq ans. » Fermez le ban !
Et au nom de quoi cette sous-merde médiatique donnerait ou retirerait la parole à qui que ce soit, avec nos ronds, sur une chaîne de service public ?
Même plus ils se gênent, ces connards, gavés de coke et de fric, pour dire tout haut et répéter en boucle, sous les applaudissements des chauffeurs de salle et le regard attendri de l’autre infâme merde Eymeric Caron, qu’ils sont là pour orienter, formater, diriger, canaliser les pensées et les votes de ce peuple qu’ils font semblant de respecter alors qu’ils ont à son égard le plus profond mépris… Beuark…
Et dire que l’émission s’appelle « On est pas couché… » Mais si, ma grande, t’es couché, vautré, à plat ventre devant les ordures qui te payent et qui valent pas mieux que toi… Paillasson de luxe, certes, mais paillasson quand même… Re-beuark…
Lou...
07:42 | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 16 mars 2015
Inconséquence...
Ces crétins traqueurs d’inégalité fantasmée nous imposent partout la parité homme/femme, jusque dans les moindres recoins de notre société décadente, et cela au moment juste où, grâce à leurs lois de merde et à leur débile théorie du genre, ils en viennent à récuser la notion même d’homme et de femme au profit d’un grand n’importe quoi où chacun déciderait ce qu’il est aujourd’hui qui ne serait d’ailleurs pas forcément ce qu’il sera demain ou après-demain…
Si Madame en jupe et bigoudis peut-être Monsieur demain matin et se promener moustache au vent, on voit vraiment pas pourquoi on imposerait des quotas de keums ou de meufs dans nos joyeuses assemblées délibérantes...
Non seulement ils sont cons, mais en plus ils sont cons…
Lou...
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dimanche, 08 mars 2015
Les Vallseuses...
Ah ! faut le voir et l’entendre, l’ubiquitaire Valls, se répandre dans tous les médias, sur tous les tréteaux, à l’Assemblée Nationale et partout où une presse à genoux lui tend généreusement ses micros, pour combattre le Front National !
Et le beau Manu d’y aller, verbe haut, menton volontaire, yeux écarquillés, bave aux lèvres et postillons en bataille, de ses peurs, de ses craintes et de ses tremblements devant l’horrible Bête qui monte, qui monte et n’en finit pas de monter, sans se rendre compte que c’est lui, et seulement lui, sa politique, son déni perpétuel des bien tristes réalités d’une société française exsangue, lui qui la fait monter, la Bête, et qui va la propulser, grâces lui soient rendues finalement, à son apogée, lui qui entretient avec ses Taubirettes, ses Najettes et toute son armée d’incapables ministres, qui entretient la flamme conquérante du Front National, lui qui fait se gonfler comme jamais la bleue marine vague qui va enfin emporter 40 ans de politique de merde, de gaspillages d’énergies, de démoralisation des forces vives du pays, d’incapacité à traiter les 2 ou 3 problèmes qui gangrènent la France : l’insécurité, l’immigration, l’assistanat, la fonctionnarisation…
Si Ducon Valls, Ducon Hollande, Ducon Sarko, Ducon Fillon, sans oublier Ducon Chirac s’étaient tranquillement attaqués à ces questions, sans langue de bois, sans tabous, sans complexe, sans moraline débilitante et largement contreproductive, Marine Le Pen ferait aujourd’hui paisiblement de la planche à voile à la Trinité-sur-mer et son papa animerait gaiement les banquets d’anciens d’Algérie en chantant a capella « C’est nous les Africains »…
Au lieu de ça, ils sont en train d'affoler les instituts de sondage et d'exploser les courbes d'intention de vote... Finalement le printemps devrait être assez plaisant cette année...
Lou...
17:02 | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 28 février 2015
Massacre à la tronçonneuse...
Ah ! la joyeuse pourrie bande de cons, tous partis et médias confondus, à pleurer en boucle les stèles assyriennes du Musée de Ninive et autres inestimables trésors méticuleusement explosés par la Daesh Company Inc., avec un joli retour de mémoire visuelle (c’est bon pour l’audimat, ça, Coco…) sur les Boudhas de je sais plus où que les Talibans firent sauter aux jours heureux de l’Afghanistan islamique…
Et tous d’y aller, Flamby 1° en tête, dans son anglais de midinette, son parler mécanique et ses yeux de merlan frit, de leur lamento des grands jours, intense deuil culturel, voilette artistiquement déployée, perte irrémédiable, bominable destruction, Unesco à la rescousse, torrent de larmes et pleureuses assermentées…
Et ce sont ces mêmes connards, Flamby en chef d’escadrille, qui se pâmaient, il y a peu, à l’enterrement de Charb au son d’une Internationale de haute graisse qui arrêtait pas de leur fredonner aux oreilles l’imprescriptible et martiale formule : « Du passé faisons table rase… »…
Les mêmes cons, itou, qui arrêtent pas de se réclamer d’une République iconoclaste qui, aux jolis temps de la Révolution triomphante, outre des centaines de milliers de non-conformes, réfractaires, ci-devants, Vendéens et Chouans exterminés sans état d’âme, détruisit des milliers d’églises, oratoires, statues, tombeaux, châteaux et autres œuvres d’art…
Ohé, les gauchos ! faudrait savoir, on la fait la table rase ou c’est juste une chanson à boire pour fin de banquet républicain ? Les talibans, les islamistes, les intégristes que vous faites semblant de combattre, ne font rien d’autre que d’appliquer à la lettre les consignes de votre propre généalogie… Faudrait voir d'assumer un minimum...
Lou...
15:39 | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 10 février 2015
Vieille Baderne...
Le hasard me met sous les yeux quelques lignes de l’inévitable Badinter, vieille baderne ubiquitaire préfaçant un larmoyant ouvrage de généreux et altruistes romanciers et romancières de mes deux consacré à la prison (Passés par la case prison, Ed de la Découverte, 2014).
Et dans ses trois pages de préface, le gendre préféré de Bleustein-Blanchet, bien au chaud dans sa résidence sécurisée du XVI°, écrivant sans doute sur la moquette luxueuse de son cabinet de réflexion et sous le regard attendri de sa collection de tableaux de maîtres, ne trouve ni le temps, ni l’espace, ni le moyen d’évoquer une seule fois le sort des victimes. Pas un mot, pas une ligne : les victimes, leurs familles, leurs proches, leurs amis peuvent bien crever pourvu que monsieur Badinche, lui, puisse étaler son humanisme rutilant en pleurant à chaudes larmes sur le sort des crapules…
Et voici ce que ça donne, les larmes du vieux Badinter : « Depuis qu’elle a été conçue comme punitive, la prison est l’espace clos où celui qui a enfreint la loi de la cité est privé de sa liberté d’aller et venir, soumis à une autorité extérieure. »
Et oui, Robert, la prison est punitive, c'est un scoop, et oui, c’est un espace clos d’où (en principe) l’on ne peut sortir (que pour un temps, rassure-toi, que pour un temps, les libérateurs conditionnels et les remetteurs de peine sont là pour que ça dure le moins longtemps possible… cf les Coulibaly et Kouachi de début janvier…), et oui, ils sont soumis à une autorité extérieure (tu voudrais quoi, qu’en plus d’avoir braqué, tué, violé, on leur donne les clés du bazar et la haute direction des opérations… ?).
Et le père putatif de la Taubirette d’achever ainsi sa tirade : « En prison, lieu d’expiation, le détenu souffre, dans son corps et dans son cœur. »
Oh ! peucherette, tu y as déjà mis les pieds dans une taule, Ducon ? Tu les as déjà vu rire, les taulards, se bousculer, plaisanter, se marrer, déconner, se comporter comme des collégiens, (en chier parfois aussi bien sûr, et heureusement quand même…), tu les as vu cantiner des steacks gros comme le bras, regarder Canal + en boucle, se promener vêtus de survêt de marque qu’aucun maton ne pourra jamais se payer, tu les as vus exercer leur propre pouvoir, leur propre sadisme, leur propre cruauté sur leurs camarades, tu les as vus faire de la muscu à donfe, aller à la bibliothèque, poursuivre des études, faire de la photo, de la vidéo, de la radio, rencontrer des artistes, des intellos et même, Ducon, des anciens Gardes des Sceaux venus se refaire une virginité toute pleine de moraline dégoulinante dans ce « monde de souffrance », ce « lieu de douleur » ?
Allez, Bob, rendors-toi, ça nous fera des vacances.
J’aurais juste aimé, mais je suis tellement naïve, que tu prennes cinq minutes pour évoquer la souffrance du corps et du cœur de tous ceux et de toutes celles qui pourrissent la bouche pleine de terre dans un lieu d’où ils ne reviendront jamais… mais ceux-là et celles-là, à part une si discrète allusion aux « errements passé », tu t’en fous comme de ta première liquette…
Lou...
10:48 | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 05 février 2015
République de mes deux...
C’est quand qu’ils vont nous lâcher avec leur république de merde, tous ces connards ?
Encore tout à l’heure, Flamby 1°, président incapable et boutonneux en train de surfer sur l’irrésistible charliesque remontée de la courbe des sondages dans une conférence de presse soigneusement concoctée par son armée de communicants (« Faut y aller, François, c’est le moment, t’auras pas quatre cadavres estampillés « Charlie » à te mettre sous la dent toutes les semaines… »), Flamby 1°, donc, tout chaud sorti des draps de la Gayet, qui nous répète en boucle avec son air de hibou ahuri, pendant 1 h 30 de grand oral, la République ceci, la République cela, les valeurs républicaines, l’école de la République, la justice de la République, l’attachement des Français à la République…
Eh, oh , ducon, qu’est-ce que t’en sais de l’attachement des Français à la République ? T’en es si fier que ça de ton pourri régime pour nous le ressortir comme un ventriloque fou toutes les 12 secondes ?
Et d’abord, la République de quoi ? Et la République de qui ? Celle de DSK, celle du sang contaminé, celle de Bygmalion, celle de 30% de Français représentés par seulement deux députés, celle des parlementaires-voyous, des parlementaires-privilégiés, des parlementaires-absents, la République des 1.500.000 morts de la première guerre mondiale, celle qui déclare la guerre à Hitler au plus mauvais moment et se prend quatre ans d’occupation nazie, la République de Monsieur Thiers, celle du « Je vous ai compris » qui laisse massacrer des milliers de pieds-noirs et de harkis, celle des parachutes dorés, celle des centaines de milliards de la dette, la République des multirécidivistes cocoonés et dorlotés façon Taubira, celle des jeunes manifestantes à jupe plissée et ballerines coursées par Valls le Matamore, la République des banlieues qui crament tous les cinq ans, celle de l’illettrisme, des incivilités, de la délinquance, la République des flics partout, dans les crèches, les écoles, les facs, les hôpitaux, les cinémas, les bus, les trams, les trains, les églises, les mosquées, les synagogues, celle des portiques à huit cents millions d’euros, la République totalitaire des médias… et on pourrait continuer comme ça jusqu’à demain…
Alors, Flamby, si tu veux qu’on t’écoute, tu arrêtes de nous parler de la République et tu nous causes dans le poste de la France, de notre pays, de notre nation, de notre terre, de quelque chose de réel et de tangible et pas d’une baudruche, d’une vessie de merde qu’on essaye de nous faire prendre pour une lanterne vénitienne depuis plus de deux cents ans…
Lou...
14:37 | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 31 janvier 2015
Après la tragédie, les affaires reprennent...
Ouf ! on est rassuré ! Tout va pour le mieux au royaume de « Je suis Charlie » : le travail du deuil est terminé, la cellule psy est allée faire un tour dans le Vercors, on a rangé les cercueils chez Roblotland, les larmes ont séché, les voilettes ont rejoint les armoires, Patrick Pelloux a réussi à se décoller de l’accolade de Famby-la-Pieuvre et Joffrin a enfin obtenu, pour son accueil de l’équipe à Charlie, le rôle de l’Abbé Pierre dans le remake attendu de « Hiver 54 »… Angoulême fait semblant de pleurer encore un peu, histoire de couvrir le bruit assourdissant des caisses enregistreuses et voilà qu’on a droit à la première manif corporatiste post-charlienne (http://www.lemonde.fr/bande-dessinee/article/2015/01/31/angouleme-les-auteurs-de-bd-en-appellent-a-francois-hollande_4567512_4420272.html) : les auteurs de BD, les coloristes, les traceurs de bulles, les dénicheurs d’onomatopées, les correcteurs d’orthographe, les taille-crayons, les trempe-pinceaux, bref tous ces zozos à qui on a répété en boucle depuis des années qu’ils étaient les indispensables magnifiques cultureux du 8°, 9° ou 10° art, se sont mis en marche en se disant qu’il y avait peut-être à profiter du merveilleux élan compassionnel autour de feu leurs confrères pour gratter, au nom des risques évidents d’une profession dont le taux de mortalité vient soudain d’atteindre des sommets, pour gratter, disais-je, quelque conquête sociale bien sentie, bien sonnante et bien trébuchante qui leur permettra de vivre grassement de leur humour de potache et de leurs coups de crayon aléatoires…
Ohé les mecs, la décence, ça vous dit quelque chose ? Et Verlaine et Rimbaud, ça vous parle ? Quand Verlaine, qui était même pas djihadiste, a tiré sur Rimbaud, ni l’un ni l’autre ne cotisaient à la RAAP, pas plus d’ailleurs que Van Gogh quand il s’est tranché l’oreille, et derrière, ni les uns ni l’autre ne sont allés organiser une manif « Je suis démuni » pour se faire rémunérer leurs alexandrins ou leurs coups de pinceau… La culture subventionnée, ça fait vraiment gerber…
Lou...
22:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 30 janvier 2015
Pascal, Montaigne et Pena-Ruiz...
Ah ! il est bien bon, le Pena-Ruiz, dans Libé du 27, bien planqué derrière ses tableaux de maître, ses émoluments ceci cela et ses résidences secondaires, à venir nous causer laïcité du haut de son bac + 12 et de son agrèg de philo… !
Et Ducon est pourtant incapable de comprendre des choses élémentaires : incapable de comprendre la différence qu'il y a entre la critique, la discussion, l'argumentation et la caricature, l'insulte, l'injure, le blasphème ; incapable de comprendre que la violence, c’est pas rien qu’un poing dans la gueule ou une rafale de kalach, ça peut être aussi un dessin, un mot, une phrase… ; incapable de comprendre que pour un croyant (pas pour un théologien, pour un croyant), Dieu est intimior intimo meo, encore plus intime à moi-même que moi-même, et que toucher à Dieu c’est mille fois plus grave que toucher au croyant lui-même ; incapable de comprendre qu’effectivement, pour le croyant de base, le charbonnier lambda, la « croyance colle à la peau » et que la « peau et la chemise » sont une seule et même chose… Qu’est-ce que tu veux, Riton, ma Tatie Marguerite, entre ses journées dans les champs, ses mômes à torcher et la soupe à faire cuire, elle a pas vraiment eu le temps de préparer l’agrèg de philo ni de lire Montaigne dans le texte… Seulement, ma Tatie Marguerite, tu t’en fous comme de l’an quarante, ce qui t’intéresse, c’est le gratin, la crème, les intellos, les qui sont capables de mettre de la distance entre eux-mêmes et leurs convictions…C’est ce mépris de classe envers les humbles et les petits qui me fait gerber… C’est Pascal, je crois, qui disait qu’il ne croyait que les histoires dont les témoins se feraient égorger… Il devait pas avoir la même chemise que toi ni la même peau que Montaigne…
Et quand tu viens nous dire à grands coups d’étymologie à la noix que « le respect s’applique aux personnes et non aux choses ou aux croyances », ok, je veux bien, ma grande, mais si demain je brûle le drapeau français, si je siffle la Marseillaise, si je crache sur la Déclaration des Droits de l’Homme, si je me torche avec la Constitution, si je conchie ton tablier de franc-mac, ton équerre, ton compas et toute ton hétéroclite panoplie de gugusse sectaire et ésotérique, tu vas faire quoi ? Tu vas continuer tranquillement à te limer les ongles ou tu vas hurler au blasphème et courir vers tous les tribunaux laïques de ta foutue république pour faire embastiller fissa la récalcitrante…D'autant que pour ce qui est de la répression, les grands ancêtres que tu chéris tant, ils en connaissaient un rayon...
Ah, oui, j’allais oublier : tu écris aussi que « les dessins de Charlie-Hebdo n’ont jamais visé les personnes ou les groupes de personnes comme tels » ! En plus de relire Pascal, faudra que tu penses à prendre rendez-vous chez ton ophtalmo, ou alors c’est qu’on a pas dû lire le même Charlie…
Lou...
22:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 29 janvier 2015
Anniversaire et pétition...
70 ans, on allait quand même pas laisser passer incognito l’anniversaire, bien sûr ! Et toute l’habituelle cohorte des rafraîchisseurs de mémoire, apôtres du souvenir, zélateurs du passé qui ne passe pas, rabâcheurs de souffrance, jardiniers d’auschwitzienne douleur, d’y aller, une fois de plus, de leur lamento des grands jours, de leurs cris déchirants et de leur inévitable pétition libératoire…(http://ecrans.liberation.fr/ecrans/2015/01/26/liberons-in...).
Mais oui, rendez-vous compte : les négationnistes sont toujours là, les cons, même pas morts, présents partout, envahisseurs d’internet ousqu’ils répandent leur nauséabonde propagande, leur incitation à la haine, leurs manipulations réitérées, et pervertissent la probité candide et le lin blanc des âmes neuves…
Et comment lutter contre l’abomination de cette désolation ? On pouvait penser qu’un tel aéropage de champions de la raison raisonnante, d’antiracistes de haut vol, licraïstes distingués, intellos unefistes, dialectiques penseurs shoahtistes, on pouvait penser qu’ils allaient nous sortir le grand œuvre définitif d’argumentation impeccable, d’imparable logique perspicace, d’historique péremptoire entendement qui aurait enfin écrasé sous des tonnes de savoir lucide, sagace et clairvoyant, les pauvres nazes nazis révisionnistes, les polissonnes faurissonneries négationnistes et les quenelles avariées du bazariste Dieudonné… Bref, qu’il était hyper facile de leur mettre enfin, à ces salauds empêcheurs de commémorer en rond, le nez dans leur infâme merde et manifester ainsi urbi et orbi combien sont débiles leurs arguments, fausses leurs affirmations, douteux leurs témoignages, et faire enfin triompher par les Lumières majuscules de la voltairienne raison l’officialité imputrescible de la seule Histoire autorisée, laïque, gratuite et obligatoire…
Oui, mais non…
Dignes émules du Vidal-Naquet de haute époque qui refusait finement de discuter avec des gens qui, disait-il, prétendent que la lune est faite de fromage blanc, dociles disciples d’un Jean-Claude Gayssot, député communiste qui se fit le champion, en 1990, de l’histoire officielle estampillée consommable (et il en connaissait un rayon, le bougre, lui qui avait été stalinien de stricte observance pendant des lustres…), tous les débiles signataires de la pétition ci-dessus (dont on voudra bien exclure, par bonté d’âme, les anciens déportés) réclament une fois de plus le flicage, la répression, l’encasernement et une police de la pensée enfin efficace et radicale… Et les voilà alors qui répètent en boucle, dans le saint des saints du temple de leur Déesse Raison la mantraïque formule déjà formulée dans Le Monde du 21 février 1979 par une bande d’historiens de mes deux : « Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a été possible. Il a été possible techniquement puisqu'il a eu lieu. Tel est le point de départ obligé de toute enquête historique sur ce sujet. Cette vérité, il nous appartenait de la rappeler simplement : il n'y a pas,il ne peut y avoir de débat sur l'existence des chambres à gaz »… !
Circulez, y a rien à voir ! Avec cette logique de néanderthalien, il faut arrêter immédiatement les recherches sur les causes de l’accident du F-16 grec en Espagne, car il est clair qu’il ne faut pas se demander comment techniquement un tel crash a été possible. Il a été possible techniquement puisqu’il a eu lieu… Et voilà pourquoi votre fille est muette ! C’est les familles des pilotes décédés qui vont être contentes… Et c’est le petit Macron qui va sabrer le champagne : plus d’enquêtes, plus de recherches, plus d’instruction interminable, plus de police scientifique, on va en faire des économies… on va te la rembourser en moins de deux, la dette…
Et moi, toute novice récente charlienne que j’étais en train de devenir, moi qui croyais naïvement qu’on pouvait, qu’on devait, qu’il fallait débattre de tout, rire de tout, se moquer de tout, me voilà soudain amputée de tous mes jolis élans libertaires… Et merde !
Lou…
15:15 | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 28 janvier 2015
Valls, les Juifs, les Français...
Va falloir qu’il s’explique, peut-être, Tonton Valls… Celui qui coursait à coups de lacrymos les collégiennes à jupette plissée de la Manif pour tous, celui qui vient juste de se la jouer Plus Charlie que moi tu meurs dans la récente séquence médiatico-terroriste, celui qu’arrête pas d’envoyer à toutes les caméras de grands coups de menton présidentiable, celui qui soudain nous met l’armée partout, la police partout, les flics partout (et la justice nulle part !), celui qui fait avec Madame la devanture des magazines people catalans, voilà-ti pas, le bougre, que lui revient en pleine gueule un petit quelque chose qu’il nous cachait bien méticuleusement, sa profonde pensée et sa non moins profonde détestation du passé français…
C’est même Libé-Joffrin qui nous en informe dans une tribune du 22 janvier d’un écrivain israélien, Avraham B Yehoshua, : « le Premier ministre français, Manuel Valls, avec une grande générosité d’esprit, a proclamé que le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens ».
C’est quand que tu nous donnes tes critères de sélection, Manu ? C’est quand que tu nous expliques en prime time comment on distingue si aisément un Juif d’un Français ? C’est quand que tu nous animes un petit ciné-club sympathique avec une programmation d’enfer : Le Juif Suss suivi du Chrétien Marcel ? C’est quand que tu montres urbi et orbi, si j’ose dire, ta si « grande générosité d’esprit » ?
Bon, Manu, ta petite saillie sur l’apartheid français, c’était déjà du lourd, mais après ça, quand même, t’auras pas trop l’air d’un con, tu crois, quand tu vas venir nous causer laïcité dans le poste ? T’auras pas trop l’air d’une ordure quand tu vas venir nous causer racisme ? T’auras pas trop l’air d’une sous-merde quand tu vas venir nous chialer à gros bourdon ton immense amour de la France… ? Beuark !!
J’vas te dire, Manu, tant qu’à faire dans la calculette, le départ d’un Valls, d’un Hollande et de la quinzaine de pantins de ce gouvernement de branleurs serait un sacré soulagement pour 65 millions de Français…
Lou…
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jeudi, 22 janvier 2015
Ecrasons l'infâme...
Le plus joli paradoxe de la tragédie nationale et planétaire des Charlie’s Brothers, c’est quand même de voir toute la républicanaillerie de France et de Navarre, de Bartolone à Dati, de Valls à Belkacem, de Cambadélis à Hollande, de les voir donc, tous ces comiques, ces incapables, ces bouffons, ré-instaurer gravement, sur le dos des quatre dessinateurs, athées, anticléricaux et antireligieux notoires, la plus sérieuse, la plus morale, la plus respectable, la plus austère, la plus vertueuse et la plus chiante des religions : la religion républicaine.
Faut les voir se précipiter, tous ces nazes, pour endoctriner bien profond toute la jeunesse de France, de la maternelle à l’université, en faire des citoyens dociles, de bons petits démocrates modèles répétant en boucle ce qu’on leur aura appris à répéter. La télé n’y suffisant plus, l ‘école va se charger de décerveler grave toutes ces chères têtes blondes, et l’on formatera les maîtres, l’on formatera les profs, les pions, le assistantes maternelles, les nounous, les pédiatres, les gynécos, les sages-femmes et peut-être même les responsables des banques de sperme et d’ovocyte pour bien être sûr de rater personne. Et, au nom, naturellement, de la liberté, de la diversité, du pluralisme et de la démocratie, l’on fera boire à toutes et tous le même lait de moraline laïque et obligatoire qui permettra de mieux gérer le nécessaire sursaut républicain de 2017, lors de l’irrésistible avancée de la vague bleu Marine…
Devant cette religion frelatée, cette tentative totalitaire de prise en main de la conscience de tout un peuple, y a plus qu’un mot d’ordre : Ecrasons l’Infâme… sauf que l’Infâme, c’est eux…
Lou...
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mercredi, 21 janvier 2015
Hollande, + 21 - Pays bas, moins 100 ...
Quand on pense qu’il y a plus de 200 ans que la République nous est servie sur un plateau comme ce régime génial qui a remplacé l’obscurantisme et le dogmatisme d’ancien régime par le triomphe de la raison raisonnante, de l’argumentation éclairée, des Lumières enfin répandues et de la haute philosophie… !!
Et voici qu’il suffit de huit jours de pathos à donfe médiatiquement organisé autour de la mort de quatre provocateurs imbéciles (les autres, bien sûr, n’étant cités qu’afin d’équilibrer la balance et pas avoir l’air trop connement corporatistes…), pour que des milliers de cons se mettent à processionner en boucle, toutes bannières déployées, en récitant, à coups de « Je vous salue Charlie » dévotement articulés, les mystères douloureux, joyeux et glorieux de ce nouveau rosaire pour temps de crise, et pour que Mollusque I°, l’un des Présidents les plus nuls que ce foutu régime nous ait octroyé, pour que Mollusque I°, croisement hasardeux d'un bouton d'acné et d’une Vache-qui-rit, prenne 21 points dans les sondages alors même que tout ce ramdam n’a d’autre effet que de rendre exponentiel le risque d’attentat terroriste sur notre territoire et d’enflammer partout dans le monde une haine anti-occidentale qui se traduit déjà par des dizaines d’églises brûlées et des centaines de morts…
Ah ! il est beau le peuple souverain...!
En ce 21 janvier de sinistre mémoire, Louis, reviens, ils sont devenus fous…
Lou...
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