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jeudi, 10 novembre 2011

Harry Rastignac...

L’avez vu, sur Canal +, je crois, y a quelques jours, l’autre grand con d’Hary Roselmack, Monsieur Discrimination-positive-et-quota-de-blacks-dans-les-médias, venu tout exprès nous causer des prisons ousqu’en grand courageux envoyé spécial à 10000 euros par mois il a plongé, avec toutes les précautions d’usage, qu’on se rassure, pour nous révéler l’enfer carcéral, le terrible enfermement et le douloureux calvaire de ces pauvres assassins braqueurs, pédophiles et violeurs privés de liberté…

Et comme il arrêtait pas sur le sujet, d’enfiler des banalités à pleurer dont un élève de terminale aurait eu honte, Monsieur Négritude-Révolté, profita de ce qu’on l’avait placé à côté d’Henri Guaino pour se redorer un peu la cerise et, complètement décalé du propos de l’émission, attaqua le conseiller de Sarko, sur le fameux discours de Dakar, voulant montrer que si les Noirs n’étaient pas entrés dans l’histoire, ils avaient quand même lu, là, en coulisse, cinq minutes avant, dans la préméditation du bon coup de buzz qu’il croyait créer, ils avaient quand même lu le vieil Hegel et qu’ils n’étaient pas que les vulgaires Banania qu’un vain peuple colonisateur pense…

Et notre enflure médiatique, qui finira sans doute ses jours sur le papier glacé de quelque pourri magazine de mode, de couper la parole à tort et à travers, en bon journaleux parasite et rebelle de salon, à ce brave Guaino qui, au lieu de lui citer Césaire à tour de bras aurait mieux fait de faire rimer Roselmack avec Rastignac pour vérifier si Ducon avait lu aussi la veille « La Littérature française pour les Nuls »…

Lou...

mercredi, 09 novembre 2011

Tempête chez les cumulards...

Ah ! les cons ! ah ! les comédiens ! Vous les avez vus, tous les socialos, les lebranchu, les ayrault, les emmanuelli et toute la clique des cumulards prébendiers de la république, vous les avez vus se dresser comme un seul homme, faussement indignés, furieux de façade, révoltés de galerie, parce qu’un autre petit marquis du camp d’en face a osé leur dire qu’ils avaient pris le pouvoir par effraction !

Et de sortir en chœur, et de claquer la porte, et de se précipiter devant micros et caméras, sans même prendre le temps de passer chez la maquilleuse, pour surjouer les pucelles effarouchées alors qu’ils ne sont que de vieux barbons véreux et décatis…

Et ça s’appelle « représentants du peuple souverain » !

Et ça touche, chaque mois, des dizaines de milliers d’euros sans compter les voitures de fonction, les locaux à prix d’ami, le pressing en solde et la buvette gratuite après le spectacle… ! Beuark !

Lou

mardi, 08 novembre 2011

Black and white

Imaginons dix secondes un candidat blanc à la présidentielle qui écrirait sur ses affiches « En 2012,vous allez quand même pas voter noir ! »… Wouahhh ! le scandale ! le méga tollé bien répercuté toutes ondes et la montée, au créneau de l’antiracisme, de tous les ordinaires cons du mrap, de sos racisme, de la licra, de la ligue des droits de l’homme et autres officines préposées à la vigilance permanente et sourcilleuse du droit chemin et de la pensée balisée…

Et voilà que Patrick Lozès , ancien président du Cran, c’est à dire du Conseil représentatif des associations noires, s’affiche pleine page (http://www.fdesouche.com/254513-presidentielle-2012-patri...) avec sa tête à la Soulages et sa cravate à pois, et, dessous, ce slogan : « En 2012, ne votez pas blanc »

Que croyez-vous qu’il arriva ? … Ce fut le rien qui domina : les vigilants s’assoupirent, les antiracistes somnolèrent et les droits de l’homme firent une petite sieste bien méritée…

Le La Fontaine nouveau est arrivé : Selon que vous serez blanc ou noir, les jugements de cour vous feront puissants ou misérables...

Lou

lundi, 07 novembre 2011

Lou Loulou... Lou Loulou...

Bon, je dois être un peu lente à l‘allumage, mais j’ai toujours pas compris pourquoi Loulou, qui pourtant avait eu une carrière exemplaire dans le luxe pourri des Saint-Laurent et des Bergé, qui avait été copine avec Warhol et Mapplethorpe, qui avait « travaillé » avec les meilleurs photographes de mode, qui était née dans une grande famille aristocratique et artistique, qui était mariée au fils de Balthus, qui avait créé sa propre ligne de bijoux, choux, cailloux, genoux, hiboux, qui personnifiait, avec son second julot, l’élégance, la beauté, la jeunesse et l’excès, j’ai toujours pas compris pourquoi, finalement, elle s’est jetée de la falaise…

Lou...

dimanche, 06 novembre 2011

Barbichu poudré...

Dans la série des joyeux connards blasphémophiles de la penséee unique, fallait surtout pas oublier l’ubiquitaire nullité théâtreuse Jean-Michel Ribes, à qui tous les médias servent la soupe au moins deux fois par semaine et qui veut se faire une jolie petite pub, lui aussi, en affichant, dans l'affaire Castellucci, sa courageuse résistance et son sublime héroïsme en carton-pâte à coups de pétitions bravaches et de chroniques matamores (cf Le Monde du 4 novembre, par exemple)…

Et Ducon, singeant la Fourest d’hier, de s’interroger tout pareil : « Mais quel est donc ce sacré qui tremble devant le rire, que les artistes font vaciller ? Quelles sont ces religions que la moquerie fait s’effondrer ? Quel est ce Dieu qui est blessé par une liberté de création capable de le contredire ? ».

Pauvre naze ! C’est pas le sacré qui tremble, c’est pas la religion qui s’effondre ni Dieu qui est blessé par l’insignifiance blasphématoire des sous-merdes dans ton genre artiste et cultureux, mais des hommes et des femmes à la religion simple et naïve qui ont pas eu la chance (ou la malchance) ni le temps de lire les œuvres complètes de Brecht pour atteindre le sublime degré de distanciation qui est le tien et qui fait de toi dans le meilleur des cas un paillasson, dans le pire une marionnette…

Lou...

samedi, 05 novembre 2011

Caroline chez Riss...

Me disais aussi : « Mais qu’est-ce qu’elle fout, la petite Fourest, à pas avoir déjà sorti l’artillerie lourde de ses chroniques mondaines pour stigmatiser les méchants intégristes et entraver à soi seule la résistible ascension de la bête qui monte ? » Eh ! bien, la voilà… dans Le Monde d’hier, en passionaria venner et laïcarde aux prises avec les « nouveaux inquisiteurs »…

Et tant qu’à faire, autant y aller bien gras tout de suite dans l’amalgame qui tue en assimilant les jeunes cathos qui jettent des œufs sur la pièce de Castellucci au risque de tacher grave la cravate des bobos à ceux qui jettent un cocktail molotov sur la moquette de Charlie-Hebdo au risque de foutre le feu à la moitié du quartier..

Mais là où elle fait dans le sublime, l’angélique Foureste médiateuse, c’est lorsqu’elle se moque, du haut de son bac plus douze, de ses années d’EHESS et de son magistère quotidien au Monde et à France-Cul, des pauvres cons d’en face qui ont pas eu, comme elle, la chance de poser leurs fesses pendant des lustres sur les bancs de la fac et de décrocher la magistrale peau d’âne qui vous fait reconnaître et adouber par vos pairs… Et ceux-là, pour la fausse gentille et vraie salope Foureste, c’est alors rien que des « analphabètes de la dérision, littéralistes du dessin, incapables de faire la différence entre la critique des identités et celle des idées »… bref, des untermenschen à front bas qu’il faudrait vite fait liquider dans quelque camp ou quelque petit four à zyklon B protéiné…

Bon, arrêtons la plaisanterie, Foureste, écoute-moi deux minutes : ce qui est fort dommage avec tes arguties de merde, c’est que tu sois pas capable, toi l’intello, toi la savante, de faire la différence entre la réception que peuvent avoir de la dérision et des caricatures religieuses d’un côté des théologiens à recul critique actif qui savent très bien que leur Dieu n’est aucunement atteint par les chiures de cloportes des Luz, Riss ou Charb, et de l’autre des braves gens qui ont la foi du charbonnier, qui ont cette religion populaire, héritée, traditionnelle et cependant profonde et qui peuvent être, eux, blessés à mort dans leur humanité, dans leur dignité, dans leurs plus intimes convictions par ce qu’ils considèrent comme un sacrilège insupportable. Mais il est vrai que ceux-là, ce petit peuple que tu ignores complètement et qui fait pas partie de ton fan club de facebook ni des coktails branchés de la boboïdie, ceux-là, Foureste, toi l’humaniste, toi la gaucharde, tu les méprises joyeusement… Beuark…

vendredi, 04 novembre 2011

La démocratie, c'est des rats dans un égout (Clémenceau)...

De Gérard Filoche, ex-trotskard rangé des piolets au PS de Guérini et DSK, ce titre magnifique dans Le Monde du 3 novembre : « Au lieu de rassurer les marchés, essayons la démocratie. » !

Il vit où Papie Filochard ? En Biélorussie, en Birmanie, chez Fidel Castro ? Eh ! Filoche, réveille-toi… y a largement 200 ans qu’on l’a essayée, la démocratie, 200 ans qu’on a tout essayé en long, large et travers, la démocratie directe, indirecte, biaisée, debout, couchée, représentative, participative, populaire, impopulaire, de droite, de gauche, du centre, du haut, du bas, la république des coquins, des copains, des bandes, des clans, des clubs, la longue, la courte, la bleue, la rouge, la ripoublique, la démocrassouille… bref, toutes les formes de cette putain de vérole politique, y a 200 ans qu’on en crève… Et aujourd’hui, là, la mégacrise qu’on sait pas si on va s’en sortir, c’est qui qui nous y a mis dedans ? C’est pas par les élections qu’on a eu les sarko, les merkel, les berlu, les barroso, les papandréou ? Et oui, mon Gégé, c’est par ce merveilleux système de désignation des chefs d’Etat par le nombre, le nombre aveugle, le nombre stupide, le nombre que les marchés, justement, mènent exactement là où ils veulent en achetant les médias, et par les médias l’opinion, et par l’opinion les partis, et par les partis tous les fantoches qui s’agitent sur la scène démocratique et dont la vision politique est bornée par la ligne bleue de leur réélection…

Allez Filoche, rendors-toi dans ton long sommeil dogmatique d’apparatchik socialo, car pour « réduire à néant la domination de la finance », faut d’abord réduire à néant le régime de merde sur lequel tu engraisses depuis des lustres…

Lou...

jeudi, 03 novembre 2011

Charlie, le journal qui fait Boum !

Ah ! putain ! le pied ! Champagne ! Et du bon ! Un peu de douceur, enfin, dans ce monde de brutes, une oasis rafraîchissante dans la morosité quotidienne : Charlie Hebdo, crac, boum, badaboum, se sont fait exploser les ordis, brûler la moquette, briser les carreaux, démolir les cloisons… grosse frayeur boulevard Davout… tonton Molotov a enfin frappé.. arroseurs arrosés… fracasseurs fracassés… massacreurs massacrés… et toute la corporation, bien entendu, de monter au créneau… solidarité absolue… gros bouffi demorand en tête… qui va pas rater l’occase unique de se faire un joli coup de pub… moi, Père Courage, je vous héberge, vous accueille et vous loge bras ouverts… z’êtes chez vous à Libé-Rothschild… après avoir bien pris soin de réclamer en loucedé, l’ordinaire contempteur de la police et des pandores, cinquante superflics de protection rapprochée pour le cas où quelque autre enturbanné kamikaze et vénèr aurait dans l’idée de remettre ça, rue Béranger…
Ah ! le pied ! voir Charb qui, ordinairement « aime pas les gens » et crache sur la maison poulaga à longueur d’édito, aller se jeter aux genoux des flics , lécher les bottes de la garde prétorienne comme le premier lecteur du Figaro venu, réclamer la grosse exhaustive enquête et l’exemplaire répressive punition…

Et voir les pleureuses démocrates corporatistes y aller, toutes en chœur, sous la baguette frétillante et attristée de l’angélique totalitaire vierge Fourest, de leurs lamentos déchirants sur la pluralité menacée, la bête intégriste qui monte qui monte et la réaffirmation imprescriptible du droit sacré  à la caricature et au blasphème…


Ainsi on pourrait caricaturer et blasphémer ce que certains ont de plus sacré, plus sacré même que leur propre vie, et se la couler douce en sirotant du chivas le cul posé sur les fauteuils dorés de la médiasphère ! Parce qu’on est dessinateur de mes deux ou humoriste à gages on pourrait, non pas argumenter, démontrer, raisonner, discuter, mais moquer, salir, insulter, ridiculiser, cracher sans qu’un jour le bon gros mollard vous retombe sur le coin de la gueule ? Trop facile, mes jolis… Les gros cons que vous stigmatisez du haut de votre magistère de merde, à longueur de dessins et de caricatures, en ont peut-être ras le bol de votre guéguerre de gonzesses, bien planqués que vous êtes derrière les lois d’une démocratie bien pourrie décadente… Ils ont peut-être décidé de passer à autre chose… Faut pas trop charrier la charia…

Lou turban...

mercredi, 02 novembre 2011

Beuark, Plenel !

Plenel l’ordure… toujours la même petite chose à moustache chafouine et ubiquitaire… présent partout… au Monde… à Médiapart… à France-Cul … sur Paris-Première, avec, bien sûr, tout partageux qu’il se prétende, les émoluments grassouillets qui vont avec… la grosse cagnotte bien rebondie qui lui permettra un jour de faire relier plein cuir sur papier bouffant les œuvres complètes de Pépé Trotsky ou l’intégralité quasi pléiadesque de ses propres papiers de journaleux si tant expert en mensonges…

Et là, face à Zemmour, il y a quelques jours, sur Paris-Première (allez voir sur le site fdesouche), à propos du 17 octobre 61 dont les médias nous ont seriné ad nauseam la version officielle bien larmoyeuse et catastrophique de 300 cadavres arabes flottant surla Seine endeuillée, et là, face à Zemmour qui essayait de faire entendre la vérité historique d’à peine deux morts imputables aux forces de police (oui, je sais, 2 c’est déjà trop, sauf qu’il y avait manifestation violente et interdite…), alors que les morts arabes imputables aux fellouzes sur le sol français se comptaient par centaines (allez donc sur le site de Bernard Lugan, spécialiste de l’Afrique, vous faire une idée plus juste de la chose, à la date du mardi 18 octobre), et là, donc, disais-je, le Plenel pourri des grands jours, le squatteur de micros et de caméras qui supporte pas une minute une autre parole que la sienne, une autre vérité que ses propres oukases, d’interdire à Zemmour, par tous les moyens traditionnels de l’agit prop de haute époque, de contredire, oh ! si peu ! l’officielle vérité, la dominante version  obligatoire, bien manichéenne, avec sales flics français racistes d’un côté et gentils algériens angéliques de l’autre… Beuark…

Lou.

 

mardi, 01 novembre 2011

Mais où il est Doudou, dis donc...

Et maintenant ils vont nous prendre la tête avec Carlos !

Peucheurou ! L’Illich Sanchez Ramirez est en grosse colère caca boudin… on l’a mis à l’isolement, le pauvre chou… privé de dessert, de doudou, de dessins animés, d’ordinateur, de bibliothèque, de salle de muscu… Et la pauvre mignonne de s’énerver grave, de sa prison dorée, contre la loi bafouée, les droits de la défense ignorés, le cachot repoussant et la nourriture un peu trop moyenne… Eh ! Ducon, après avoir tué je ne sais combien de personnes au nom de tes engagements de merde, tu voudrais quoi ? La suite 2456 du Sofitel ? Les nuits du Carlton ? Les délices de Capoue ?

Dire qu’on nourrit des ordures pareilles depuis des lustres et qu’on leur fournit dentistes, psys, ostéopathes et manucures au frais du contribuable, alors qu’une bonne corde de marine aurait dû largement faire l’affaire depuis longtemps…

Et dire qu’il y a des ordures comme Europe 1 de Denis Olivennes (ex du Nouvel Obs) ou Libé du bouffi Demorand(ex de France-Culture) pour permettre à des déchets pareils d’épancher leur rhétorique idéologique à deux balles et leur ego de sous-dictateurs aux abois en Une de leurs médias de merde… !

lundi, 31 octobre 2011

Socialisme à visage rupin...

Bon, finalement, ils s’en sortent pas si mal que ça, les socialos… Tiens, allez, deux au hasard, dont on a parlé récemment : DSK d’abord, le trousseur mélano-ancillaire, cul et chemise pourtant avec la Sinclair qui, grande bourgeoise beauvoirisée, lui passe tout et l’incite même à manifester son ego gros comme ça où ça lui chante.. Le DSK, donc, c’est des va-et-vient aux Amériques juste pour tirer un coup, c’est des nuits d’orgie dans les palaces lillois, c’est des suites à 5000 euros la demi-heure, c’est les avocats les plus chers du monde, la location d’une modeste demeure à 50.000 euros la semaine, les limousines opaques et climatisées… etc … etc...

Et voilà qu’on nous cause, ces jours-ci, de la vente de la collection Fabius Frères, antiquaires sur la place de Paris depuis 129 ans, et dans les frères ou neveux y a bien sûr Laurent le Magnifique, conscience morale de la gauche philanthrope, grand protecteur du pauvre peuple, déploreur de misère sociale, soutien indéfectible des plus démunis, défenseur ardent des malheureux et contempteur impénitent du capitalisme inhumain… Et la vente en question a rapporté 9,6 millions d’euros (ce qui doit faire, avec mes comptes à moi, environ 7 milliards de centimes d’anciens francs !) que Lolo et ses frères vont soigneusement mettre à l’abri dans une de ces « abominables banques qui cannibalisent jour et nuit l’épargne du pauvre peuple suant sang et eau pour esssayer de survivre »…

 

Bon, je serais socialiste, les saillies de DSK dans les bas-fonds des Carlton/Sofitel de la planète, je m’en contrefoutrais royalement. Les luttes de courants entre hollando-fabusiens et montebourgeo-aubrystes, je m'en tamponnerais itou, mais savoir que j’appartiens à un parti de pourritures profilées humanistes et généreuses et pourtant si tant pleines de fric dans leurs coffres en titane, ça me ferait gerber grave…

dimanche, 30 octobre 2011

Mathématiques modernes : 23 = 0...

Fallait s’y attendre.. C’est par la tête que pourrit le poisson, c’est par les archevêques, et celui de Paris en particulier, que s’exprime la connerie et la lâcheté.

Citation «  Le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris et président de la Conférence des évêques de France, a condamné samedi lors d'un entretien à Radio Notre-Dame les agissements d'«un groupuscule qui se réclame de l'Eglise catholique sans aucun mandat» et qui «fait de la foi un argument de violence». «On est en face de gens qui sont organisés pour des manifestations de violence et pour obtenir ce qu'ils ont obtenu d'ailleurs, une place dans les journaux», a-t-il condamné. »

Ainsi, Monsieur 23,, Archevêque de Paris et patron de la Conférence des évêques de France, au lieu de s’élever contre le spectacle de merde du Théâtre dela Ville et d’aller prier avec les jeunes manifestants à l’entrée de la salle où le visage du Christ est traîné dans la merde, Monsieur 22, défile main dans la main avec tous les plus pourris libéraux-libertins de la boboïdie cultureuse et branchée et se vautre dans la plus pire veulerie cléricale en accusant les jeunes en question d’être : -un groupuscule, - d’agir avec violence, - de réussir à franchir la barrière médiatique…

Eh ! 21, le Christ, au début, y a à peu près 2000 ans, avec les 12 gugusses dont tu es censé être l’héritier, tu crois qu’il était pas lui aussi un groupuscule, groupuscule qu’il appelait « petit troupeau », si mes souvenirs sont bons, et dans sa bouche, ça avait rien d’une injure, c’était même affectueux… ?

Eh ! 20, tu t’es jamais entendu causer, dans tes sermons du dimanche, des marchands du temple et de la sainte colère et du sacré bordel que Celui que tu es censé représenter a foutu au milieu du consensus social et culturel de l’époque ?

Eh ! 19, ce qui t’emmerde le plus, finalement, c’est que la superbe omerta conciliaire que t’as réussi à maintenir depuis plus de cinquante ans, avec l’aide des grands médias, sur les chrétiens qui refusent de se coucher devant la pensée unique, qui veulent bien être dans le monde mais pas être du monde (ni du Monde, d’ailleurs !), et pour qui Dieu est Dieu, nom de Dieu, ce qui t’emmerde c’est que cette foutue omerta craque à l’occasion et laisse voir autre chose, en guise de catholicisme, que la langue de bois cléricale et la componction ecclésiastique qui te servent de colonne vertébrale…

J’arrête là, mais si je continuerais comme ça encore un moment, Monseigneur 18, j’arriverais vite, soit à 666, qui est le chiffre de la Bête, soit à zéro, qui est le chiffre de ton courage et de tes convictions...

samedi, 29 octobre 2011

Ben Ali, reviens, ils sont devenus fous...

Waoouuuhh ! Putain ! Directmatin, tête de gondole, hier matin à l’entrée de la Garede Lyon, page 12, en partenariat avec Le Monde, naturellement, faut bien être partout : cette perle rare, ce joyau à ne manquer sous aucun prétexte : « Après vingt-trois ans de dictature, il est difficile de retrouver les réflexes d’indépendance et de liberté pour les journalistes tunisiens. Ils réapprennent le débat démocratique avec l’aide des chaînes françaises ». Fermez le ban !

Merveille des merveilles : toute la pire pourriture journalistique de l’audiovisuel public français, les champions de la question biaisée, du débat inégal, du regard torve, du virage de cuti, de la soupe servie chaude, de l’amalgame douteux, de l’enchaînement qui tue, des experts de mes deux, des invités triés sur le volet, de la fiche prédigérée, du petit doigt sur la couture, des rectifications inexistantes, de la déontologie en sautoir, de l’idéologie dégoulineuse, de l’info hiérarchisée ad libitum, du micro-trottoir sélectif, tous les plus pires cons qui se sont incrustés depuis des décennies dans notre Paf, et qui sont pas prêts d’en sortir, tous les plus pourris spécialistes du formatage idéologique, de la tête bien pleine et bien refaite, les plus sectaires partisans de la boboïdie gauchoyante, les plus intolérants démocrates inconditionnels, squatteurs d’antennes et indéracinables du micro, tous, dis-je, vont avec nos ronds, bien sûr, « apprendre le débat démocratique » aux Tunisiens !! Et pourquoi pas, alors, le retour de Ben Ali… ça serait pas pire, et ça aurait le mérite de la clarté. On espère qu’Ennahda va reprendre tout ça en mains vite fait…

vendredi, 28 octobre 2011

Sur la face de merde de roméo castellucci...

Tu parles s’il faut la soutenir la « liberté de représentation théâtrale » ! Et tous les joyeux cons cultureux, de chéreau à piccoli, de binoche à stéphane hessel, de s’indigner (Papie Stéphane a encore frappé !) à coups de comité et de pétitions contre les jeunes manifestants qualifiés automatiquement de « fascisants » par l’ordinateur central de la pensée unique, jeunes qui, d’ailleurs, n’ont rien fait d’autre que s’indigner (eh oui, Papie !) contre un spectacle qui honore le visage du Christ en le barbouillant de merde sous le regard ému et compatissant du microcosme décadent animé par le décati et thaïlandophile neveu de Tonton 1°…
Indignez-vous, qu’ils disaient, mais pas contre ceci, ni contre cela, indignez-vous seulement contre ce que vous indiquera papie Hessel ou ses clones chéreautique, piccolesques ou binochards, indignez-vous dans le sens de la marche, découpez vos tracts en suivant les pointillés bien tracés par Le Monde ou Libé, égosillez-vous sur les refrains habituels lancés par les rebelles à cul de plomb de France-Culture, et tout ira pour le mieux dans la pire pourriture démocratique ordinaire…

Et les connards sus-cités, les chéro-piccolo-binocho-hesseliens, sans oublier le Demeuré de Libé ni l’Israelewicz du Monde, si prompts à mobiliser tous les samu médiatiques de France et de Navarre dès que le moindre petit marquis de centre gauche est effleuré par la matraque en caoutchouc mousse d’un dixième de flic à peine énervé, tous ces connards, disais-je, de bien faire en chœur le bon gros silence médiatique étouffant sur les militants réacs sauvagement matraqués par les honnis CRS urgemment appelés à la rescousse par gelati-mota et ses sous-fifres, champions ordinaires du CRS/SS  soudainement métamorphosés, pour les besoins urgents de la cause castelluchienne, en veules supplétifs gestapistes de haute époque…

Beuark…

jeudi, 20 octobre 2011

Nom Dedieu !

Ah ! voilà ! Ca y est… je commence à comprendre… je me disais aussi : mais pourquoi donc ils nous causent autant, dans le poste, dela Marie Dedieu, otage là-bas quelque part chez les Somaliens ? Bon, ok, elle était paralysée, cancéreuse… ça faisait déjà deux bonnes raisons de faire pleurer les chaumières, mais enfin elle était tout de même pas journaleuse comme la petite Aubenas des quais de Ouistreham, elle était pas envoyée très spéciale comme Ghesquière et Taponnier, les deux clowns tristes du mois de juin dernier… Et puis y en a d’autres d’otages disparus ici et là dans le vaste monde… et z-ont pas toujours droit au tam-tam médiatique, eux…

Eh bien, ça y est… j’ai tout compris : elle avait signé en 71, dans le Nouvel Obs (c’est Joffrin qui doit être content, ça va lui faire de la pub !) le Manifeste des 343 salopes qui déclaraient, avec des risques pires que dans les « années sombres de notre histoire », s’être fait avorter, ce qui, aux yeux sélectifs des médias vaut toutes les légions d’honneur, vous mérite le prime time en moins de deux et fait de vous la tête de gondole du Journal de 20 heures…

Elle aurait milité,la Dedieu, contre l’avortement, pour la peine de mort ou autres causes infréquentables, tu parles si on se lamenterait dans la lucarne ! Tu parles si le sort de l’otage française ferait chialer les beaux yeux de marie drucker, élise lucet ou laurent delahousse ! Ils s’en contrefoutraient dans les grandes largeurs et te caseraient la chose dans un bas de page invisible, pas le moindre mot, pas le plus petit pixel…

Mais là, la fifille spirituelle de gisèle halimi et antoinette fouque, la militante du planning familial, voilà qui mérite sonneries de hautbois et résonances de musettes, funérailles grandioses, Te Deum à Notre-Dame et deuil national des médias réunis…

Parenthèse : elle était maqué, apprend-on, au pays de cocagne de sa vie kenyane avec un black de 25 balais de moins qu’elle. Question naïve : le colonialisme sexuel est-il soluble dans le féminisme soixante-huitard ?

 Lou

vendredi, 07 octobre 2011

Les vidangeurs...

Bon, c'est encore du retard : une note que j'avais écrite le 2 mai 2011, au moment de l'histoire des quotas de blancs dans l'équipe de France de foot... :

Médiapart, les fouille-merde du Paf, Monsieur Edwy Plenel soi-même et sa troupe d’enquêteurs à la noix, faiseurs de poubelles, racleurs de tiroirs, fouineurs de tinettes, à la recherche bien sélective du moindre pet politiquement incorrect qui va leur permettre de se faire de la pub tout en redorant leur blason d’irréprochables justiciers et chevaliers blancs (ou noirs, c’est selon…) de la démocratie.

Et là, avec son armée de délateurs, mouchards, indics stipendiés et espions de bal musette, les ducons ont planté leurs micros dans le cul de Laurent Blanc et ont déniché l’introuvable perle de quotas de noirs et d’arabes qu’il faudrait raboter un brin pour qu’il y ait un peu plus de blanc dans la palette des footeux et que le melting pot dela Ligue1 ressemble un peu moins à du Soulages…

Dis donc, Plenel, quand tu milites pour les minorités visibles, pour la discrimination positive et autres sirops républicains, là, les notions de race, de noir, de blanc, ça paraît pas te gêner plus que ça, les quotas te restent pas en travers de la gorge et le taux boosté de mélanine des nouvelles élites te donne pas le prurit hexagonal ! Pareillement, lors des émeutes des quartiers, lorsque tes pourris copains journaleux de tous les médias réunis se contentaient d’un « jeune » bien générique pour trafiquer la réalité et s’éviter de rentrer dans les détails ethniques qui fâchent, là non plus on entendait guère tes haut-le-cœur déontologiques à géométrie variable sur le journaliste miroir du réel…

Et puis, si tu veux vraiment donner du boulot pour mille ans à tes éboueurs, envoie-les fouiner du côté des archives du Trotski de haute époque que tu adoras ou du Monde de basse époque que tu dirigeas (avec quels émoluments, au fait ?) , et mets vite fait tout ça en ligne sur Wikileaks, ça nous fera de la lecture…

mardi, 04 octobre 2011

le jeu de mots et ses rapports avec les cons

Allez, un petit bonus pour fêter mon retour : une note que j'avais écrite le 28 avril et que je n'avais pu envoyer pour raisons techniques... Retour dans l'archéologie :

Ah ! qu’il est gentil le bouffi bouffon Demorand, successeur de Joffrin chez Libé-Rothschild, à cinquante ou cent mille euros par mois sans doute, chargé de déontologie jusqu’à la gueule, expert en éthique médiatique haut de gamme et en morale journalistique appliquée… Ah ! comme il est mignon avec son titre pleine page dans Libé de mercredi : « Tueur en Syrie », avec en sautoir le portrait de Bachar el je-ne sais-quoi, bourreau de son peuple paraît-il…
Trois cents, quatre cents, cinq cents morts et plus en Syrie, et tout ce que ça inspire à nos journaleux, ordinairement, et pour la galerie, si facilement lacrymaux et zémus, c’est le super jeu de mots impeccable : « Tueur en Syrie / Tueur en série » ! Ah ! ah ! ah ! hi, hi, hi … et toute la rédaction de se taper sur les cuisses en cadence, s’esclaffer plein pot, féliciter chaleureusement le joyeux farceur oulipien qui a sorti la méga-vanne bien accrocheuse, le titre vendeur à la comment-vas-tu-yau-de-poêle… et tant pis pour les zigues qui crèvent sous les obus de tonton Bachir, l’important c’est d’avoir l’air spirituel… !

Les journaleux à gueule compassée sont bien toujours, en définitive, la même merde : pendant les massacres et malgré les indignations humanitaires, la littérature de bazar continue !

Et dire que les mêmes arrêtent pas de s’offusquer depuis des lustres d’un « Durafour-crématoire » qui à côté du « Syrial killer » de Demorand fait finalement bien pâle figure… Beuark !!

Dédicace

Dédicace spéciale aux connards de tous ordres et de tous calibres de la corporation média-merdiatique qui vont rabâchant en boucle le credo que leurs maîtres leur dictent : que Maurras est un infâme chauvin, un détestable xénophobe et un abominable raciste…

Ce texte, donc, de Maurras, dans Au signe de flore, ouvrage consacré à la fondation de l’Action Française et paru en 1933 chez Bernard Grasset :

Toute immigration n’est point malfaisante. On conte à Istres, petite ville au levant de la Crau, qu’une usine construite vers le milieu du siècle y attira de l’Italie une centaine d’ouvriers. Ces braves gens, séduits par les conditions du travail, la facilité de la vie et l’accueil gracieux de leurs hôtes, se fixèrent à Istres. Ils se marièrent aux filles de l’endroit, dont ils adoptèrent sans peine la coutume et le goût, au point d’abandonner leur langue originelle pour le provençal et le français du pays.  Leurs noms mêmes se francisèrent par d’inévitables déformations. Des enfants naquirent en foule qui, croisés de nouveau avec les anciens habitants, firent souche de Français normaux et de bons Français. Il n’est resté de l’alluvion étrangère qu’un monument, à la vérité fort précieux : les filles d’Istres, qui étaient belles, sont présentement les plus belles du pays provençal.

Ainsi ces humbles immigrants, comblés des avantages de notre ciel, ont bien rendu selon leur ordre et selon leur pouvoir ce qu’ils avaient reçu : ils ont accru en quantité, en santé, en beauté le capital physique de la race autochtone…

Bon, « race autochtone » et « alluvion » vont sans doute donner des démangeaisons à je ne sais quel edwy plenel ou bhl de passage, mais ce ne sera là qu’écume passagère, le fond du vieux martégal , lui, restera solide et pérenne…

Lou là…

mardi, 26 avril 2011

Oui-oui chez les Trotskards...

Petite dédicace spéciale à ce connard d’Edwy Plenel, qui, dans sa grande bonté,  nous gratifie, chaque samedi, sur Francecul, de cinq minutes, probablement bien sonnantes et trébuchantes, de formatage à la con.

Et l’ex-trotskard qui a dirigé Le Monde pendant dix ans, qui dirige aujourd’hui Médiapart, et à qui sont grandes ouvertes toutes les tribunes, chroniques et éditoriaux pour qu’il puisse prolonger son sacerdoce de petit flic de la pensée, de cracher, ce samedi 23, sa bonne parole d’humanitariste hémiplégique à propos des étrangers si tant tellement stigmatisés que c’en est, Madame Bouzige, une honte absolue pour notre beau pays de la « promesse républicaine » (et oui !!) et des Droits de l’Homme… !

Et dans son élan sacré, Oui-oui (qui oublie en passant de nous dire à quels Mammmadous chéris il a offert les millions d’euros de son salaire mirobolant de patron du Monde) va attribuer la paternité de l’horreur raciste à Maurras qui, nous dit la canaille Plenel, a fondé « ontologiquement la différence et la hiérarchie entre les hommes »…

Alors, Ducon, si t’as cinq minutes, tu lis le texte ci-dessous (C’est dans Devant l’Allemagne éternelle, 1937), et si t’as des couilles, samedi prochain tu rectifies à l’antenne et tu pars trois ans repiquer du riz en Vendée, dans un camp de rééducation idéologique par le travail qui devrait te rappeler de bons souvenirs :

« Certes, il y a des races ! certes chacune a bien son âme et son génie, mais la race n’est point tout, il y a bien d’autres facteurs, et la constitution de la nature humaine, ses traits essentiels et ses grandes lignes, ne sont peut-être pas les plus négligeables de ces facteurs tant négligés. C’est une vraie merveille, en effet, de voir l’homme, à quelque type de nation qu’il appartienne, une fois qu’il est placé dans une certaine situation, réagir, uniformément, quel que soit le temps, le lieu, la couleur de la peau, et réaliser avec constance à peu près le même type de constitution sociale. » 

Et des textes de ce genre, y en a à foison…

mardi, 19 avril 2011

Piss-Maker...

Faut l’écouter, celui-là, l’Eric Mézil, minable petit trou du cul délocalisé d’Yvon Lambert en son palais d’Avignon, nous jurer ses grands dieux de l’impeccable orthodoxie et dévote catholicité de l’excrémentiel Serrano, artiste de mes deux, insolent de salon, pseudo-penseur de vernissage à cent-cinquante mille euros le cliché de verre de pisse argentique albumineuse et pelliculée…


Faut l’entendre le même esthète fluet nous comparer, sans s’étouffer de sa propre connerie, le dérisoire crucifix urineux de Serrano-la-Peste au Christ jaune de Gauguin ou aux Christ aux outrages de haute époque comme si toute la théologie se tenait dans sa braguette…

Faut l’admirer, le risque-tout, le rebelle, l’insoumis, s’affoler comme pucelle en chaleur et réclamer à hauts cris, le si bien nommé « commissaire », la protection bien bourgeoise et rapprochée de toutes les polices de France, mille vigiles, cent mille vigilants, gilets pare-balles en sautoir et forces de l’ordre sécuritaire démocratique en rangs serrés autour de son hôtel particulier, avec appel dolent aux délateurs…

Faut le voir hurler sa trouille bleue et sa vengeance de midinette et faire dans son froc de mignonne partouzarde sa haine d’infime ridicule petit moderne de la dernière pluie arc-bouté sans rire contre les ténèbres du Moyen-Age ressuscité…


Ah ! barbouiller d’esthétique merde l’immonde et outrageuse face de tant de canailles friquées, et exposer à bon entendeur salut leurs bulletins de salaire sur les cimaises de mon cul… !

Lou intouchable artiste…

dimanche, 17 avril 2011

Le Monde d'Aram...

Tiens, elle m’avait échappée, la petite merdouille francintereuse Sophia Aram ! La voilà qui se fend,(12 avril) dans Le Monde, s’il vous plaît, journal de référence, d’un long article sur lequel son nègre préféré a dû suer sang et eau, pour se justifier d’avoir traité de « gros cons » les électeurs du FN.
Et z’avez vu le titre de son papier ? « L’insupportable banalisation médiatique du FN ». Eh ! oui, mademoiselle ne supporte pas, le FN lui donne des vapeurs, le monocle la fait rire jaune et le bleu marine l’indispose… Ah ! comme c’était mieux avant, dans le monde bien manichéen des bons et des méchants, du noir et du blanc, des ténèbres et de la lumière, quand le bon peuple obéissait bien gentiment aux oukases de la corporation médiatique et quand la petite Sophie pouvait encore croire que son nombril était le centre du monde…

Et la voilà qui panique, peucheurette, à s’en déchirer la djellaba, à en bouffer ses babouches, à s’en décolorer le henné, parce que tout à coup, on lui a dit, avec mille ménagements, qu’elle était peut-être allée un peu loin…

Comment, comment ! Vous allez quand même pas me dire que cinq millions d’électeurs FN en savent plus que moi, valent mieux que moi, sont plus beaux, plus moraux, plus intelligents que moi, moi, moi sophia aram, « viscéralement attachée aux valeurs républicaines et laïques »…
Dis-moi, sophia, j’ai le sentiment que tes viscères, ils ont guère d’autre attachement véritable que les milliers d’euros que tu touches, après avoir été cooptée dans je ne sais quels castings de copains et de coquins, pour cracher ton misérable petit ego quotidien dans un micro, en n’oubliant pas au passage, y a pas de petit profit, de faire la promo de ton spectacle nul à chier…

mercredi, 13 avril 2011

A vot' bon coeur...

C’est pas compliqué, l’immigration : y a tant tellement de connards généreux dans notre beau pays, de pétitionnaires fous, chroniqueurs larmoyants, humanistes encartés, prosélytes magnanimes et métisseurs forcenés, tant tellement, disais-je, que le problème de l’immigration peut être solutionné en cinq minutes. On calcule vite fait et avec le minimum d’honnêteté requise le coût réel de l’immigration, une fois oubliés tous les contes bleus de nos éditorialistes préférés … On estime à cinq ans le temps nécessaire pour une stabilisation / intégration de l’immigré lambda, on décrète que pendant cinq ans il n’aura droit à aucune aide et qu’il ne sera donc admis à entrer en France que si la cohorte des généreux cités plus haut s’engage à prendre en charge ces cinq années de vaches maigres. Pour vous éviter de longs calculs fastidieux, les voici tout droits sortis de ma calculette : 2000 euros par mois ( je vous le fais à prix cassé…), qu’on arrondit à 20.000 euros par an, ce qui nous fait donc 100.000 euros pour cinq ans.

Dès que BHL aura versé 100.000 euros, on en fait entrer un, et pareil pour Arielle Dombasle, Pierre Bergé, Benoît Hamon, Harlem Désir, Sandrine Bonnaire, Guy Bedos, Pierre Perret, Laurent Joffrin, Jean Daniel, Yvon Lambert, Ségolène Royal… Tiens, ça en fait déjà 12, et des généreux à la con qui portent leur charité en écharpe et chialent depuis des lustres sur les charters, y en a des centaines de milliers qui vont donc pouvoir se ripoliner la bonne conscience, alléger leur taux d’Isf et manifester coram populo leur grandeur d’âme…

Et comme baromètre du désir d’immigration des Français, je suis sûre que ça vaut mille fois mieux que les sondages à la con d’Ipsos ou de la Sofres…

mardi, 12 avril 2011

Aisselle...

Ils s’y sont mis à quatre, et rien que des pointures, du lourd, du gratin : Morin, Rocard, Sloterdijk, von Weizsäcker… Et tout ça pourquoi ? Pour nous faire le capital et urgentissime éloge de Stéphane Hessel en nobélisable indigné. Lisez ceci, c’est d’ la bonne (Le Monde du 5 avril) :

« Stéphane Hessel a toujours choisi le bon camp, il a toujours été dans le courant qui allait dans le sens de la paix. Résistant contre la barbarie nazie, diplomate à l'ONU participant à sa création lorsque s'inventaient les instruments de règlement des conflits, portant haut et fort le message humaniste et internationaliste... Il a représenté l'ONU pour oeuvrer au côté du comité qui élaboraitla Déclaration universelle des droits de l'homme, ambassadeur de son pays quand la décolonisation s'accomplissait, dirigeant des grands programmes internationaux de développement, défenseur infatigable et intraitable des démunis sociaux et des populations bafouées dans leurs droits légitimes. ».

On va garder de ce panégyrique exalté que le début et la fin. Début : « Stéphane Hessel a toujours choisi le bon camp »… Et mieux et plus encore que ce que le claironnent nos quatre mousquetaires ! In utero il a choisi le bon camp, Pépère, embryon déjà et déjà fœtus, le voilà en fils et petit-fils de banquier, ce qui facilite grandement la douceur des premiers vagissements et le passage du stade oral au stade anal, ou l’inverse... Et ceci nous renvoie illico aux dernières lignes de l’apologie des quatre zozos : « défenseur infatigable et intraitable des démunis sociaux ».

Hou la la ! Pour nous faire avaler la sincérité d’Hessel en « défenseur intraitable des démunis sociaux », va falloir nous en dire et nous en montrer un peu plus, au moins nous exhiber sa feuille d’impôt, sa pension de retraite de diplomate multicartes, l’état de son patrimoine, l’épaisseur de la moquette du salon, les tableaux de maître accrochés à ses cloisons, les grands crus et millésimes exceptionnels qui dorment dans sa cave et enfin le secrétaire Louis XV en marqueterie grand luxe sur lequel, avec son « Mont-Blanc » collector, il a rédigé ses indignations citoyennes à 100.000 exemplaires et les droits d’auteur qui vont avec… Et après, peut-être on le nobélisera , Pépère, et on lui laissera le temps d’écrire sa vraie véritable biographie qui lui permettra s’il a un minimum de lucidité et de courage, de corriger un brin l’hagiographie délirante des quatre lèche-bottes et de s’indigner un peu contre lui-même et les quelques saloperies que, forcément, il a dû commettre, comme tout le monde, en pensées, en paroles, par action et par omission…

Lou bliée...

samedi, 09 avril 2011

Les grandes familles...

Ah ! ah ! scrogneugneu.. Pépé Trintignant est pas content du tout… Voilà que Bertrand Cantat qui eut un si noir désir à l’égard de Marie Trintignant qu’il l’envoya ad patres dans une chaude soirée d’août 2003 à Vilnius, voilà que Cantat, gentil chouchou des médiateux et des artisses, non seulement se baguenaude tranquille à l’air libre depuis bientôt quatre ans, mais remontre sa figure d’archange ténébreux et sa voix de cogneuse dans tous les bacs à disques des Virgin-Fnac et, pire encore, est invité d’honneur ou presque du prochain festival d’Avignon, sous la houlette d’un certain Wajdi à la noix qu’a trouvé personne d’autre pour réciter quatorze vers et demi du vieil Eschyle, et avec la bénédiction d’Archambault-Baudriller, les bouvard et pécuchet du spectacle vivant contemporain qui pompent nos impôts comme des sangsues faméliques et se réjouissent sans doute de la réintégration des crapules dans la grande famille des artistes à la con.

Je dois avouer que j’ai beaucoup de mal à partager l’intense douleur et la pathétique indignation de Papie Trintignolle, et ceci pour deux ou trois raisons :

-un, quand on se la pète artiste de gauche et engagé antifasciste de pellicule et tout le tremblement, on réagit pas comme le premier beauf venu et on respecte, le petit doigt sur la couture du linceul, la décision de justice qui fait qu’une ordure qui a purgé sa peine n’est plus une ordure mais un homme debout que l’on respecte comme de bien entendu…

-deux, quand on est le fils d’un riche industriel, qu’on a fait deux ou trois fois le Paris-Dakar, qu’on achète des hectares de Côtes-du-Rhône comme d’autres une demi-baguette en comptant la monnaie, et qu’on se finit les fins de mois en récitant de l’Apollinaire en boucle à 80 balais bien sonnés, on a même pas le droit d’être de gauche puisque la gauche, c’est bien connu, c’est que des pauvres ou des partageux…

-trois, quand on s’est félicité, paillettes et champagne, du succès de sa fille qui a tourné des rôles de déjantée, qui s’est fait faire quatre enfants par quatre pères différents, qui a affiché urbi et orbi ses convictions libertaires de petite boutonneuse gâtée, on vient pas chialer après lorsqu’elle se fait mettre une branlée d’enfer par le premier Cantat venu avec qui elle s’est embarquée et avec qui elle a partagé ses idées, son cul, sa dope et, in fine, sa violence..

-quatre, quand on bêle avec tous les badinterophiles de comptoir contre la si horrible peine de mort avilissante et qu’on applaudit des trois mains son abolition, faut pas vraiment s’étonner de voir la frimousse au Cantat en tête de gondole de toutes les scènes de France alors qu’elle devrait être dans la sciure au fond d’un panier…

Désolée, Jean-Louis, mais pour le travail de deuil, comme ils disent, faudra pas compter sur moi…

Lou... tre-tombe...

vendredi, 08 avril 2011

Adieu vieux beau...

Ah ! laurent joffrin ! l’homme de Libé, désormais du Nouvel Obs, en attendant le prochain mercato et les ponts d’or qu’il engloutira derechef dans sa besace de bobo mal rasé, entre deux piges sur arte, trois chroniques sur rtl, quatre commandes pour télérama ou les inrock…

Ainsi va le monde des propagandistes associés, rois du formatage de tronche, monopolistes impénitents de la pensée unique et chantres de la bien-pensance de rigueur…
Et notre Lolo-bobo est pas content du tout de Robert Ménard, jadis pote et désormais persona non grata chez les joffrin (cf Nouvel obs du 1° avril) Tant que Robert Ménard s’ agitait à « Reporters sans frontières », pissait dans le sens des vents dominants, défendait « les journalistes en difficulté à l’étranger », se faisait le chevalier servant de Florence-Aubenas-otage-universelle, crachait sur les dictateurs zonnies et jouait au « sémaphore démocratique », Ménard était « précieux »…

Oui, mais voilà, Ménard est en train de passer avec armes et bagages chez les Le Pen, ou, comme dit Joffrin, « de Trotski à Maurras » (ce qui est pas pire, cher Lolo, que de passer de Rothschild à Perdriel…)… Et donc, sans réfléchir une minute à la validité de ses arguments, sans se dire non plus qu’il n’y a que les cons qui ne changent pas d’idées, sans se remettre en question une demi-seconde, Laurent Joffrin, du haut de sa fortune personnelle et de son magistère sidéral, déclare, (Audiard aidant, car Lolo n’est pas une vulgaire sophia aram) que Ménard est un con.

Dis, Joffrinou, si t’aurais des couilles, au lieu d’insulter à distance en faisant des jeux de mot avec ta plume en cul de poule, tu proposerais à Ménard (qui en plus, n’est-ce pas, n’est même pas un intellectuel !) un petit face à face à la loyale où il pourrait t’expliquer qu’il a pas rompu avec les intellectuels assis mais avec les intellectuels pourris qui n’ont jamais eu du peuple qu’une vision lointaine et toute théorique, et qui, quotidiennement, dans leurs coquetèles branchés, leurs vernissages chichiteux, leurs obscènes festivals de cannes et autres sauteries pour happy few, renient les idéaux de leurs 20 ans…

mardi, 05 avril 2011

Lambert du décor...

En réplique au « Piss Christ » (c’est à dire un crucifix plongé dans un verre d’urine), œuvre d’un de ces « artistes » à la con dont le marché fait monter ou descendre la côte en fonction des cours de la bourse, de la hausse du prix du brut ou du copinage des Frac, à propos donc du « Piss Christ » exposé à la Galerie yvon lambert d’Avignon avec la bénédiction et les grasses subventions de l’Etat (Ministère de la Culture), de la Région Paca, du département de Vaucluse, de la ville d’Avignon, de la Sncf, de Lvmh et autres saloperies sponsorisantes, on aimerait savoir si, au nom de la sacro-sainte liberté de l’art et des artistes, yvon lambert soi-même, frédéric mitterrand, michel vauzelle, marie-josée roig, bernard arnault et guillaume pepy exposeraient aussi volontiers leur propre portrait maculé de merde ou accepteraient de se livrer à une « performance » qui ne déparerait pas la galerie de ducon-lambert où, par exemple, ils se compisseraient joyeusement les uns les autres, se prendraient à la hussarde pour l’édification des jeunes générations ou, mieux encore, restons artistiques à donfe, se magritteraient magistralement jusqu’à plus soif…
Mais ces connards qui sont pour toutes les transgressions se garderont bien, alors que ça n’est que leur toute petite personne qui est en jeu, de se mettre dans ces situations obscènes dont ils affublent si volontiers un crucifix…
Et pour ce qui est de Mémère Roig, mémairesse d’Avignon, qui termine ainsi sa laborieuse justification : « Les brasiers des autodafés nous le [le risque que le politique décide de ce qui doit être monté au public] rappellent à chaque détour d’une histoire contemporaine qui porte encore les stigmates de ses totalitarismes », on lui dira donc à Madame UMP que les pires totalitarismes de notre histoire contemporaine sont sans doute encore à venir lorsqu’on considère la hauteur morale et la lâcheté des élites qui nous gouvernent… Beuark !

"Grosse connasse"...

Sophia Aram, sous-merde chroniqueuse à France-Inter, humoriste de bazar ahanant laborieusement ses quatre minutes quotidiennes de micro, l’œil rivé sur son papier où tout est bien écrit à la virgule près, sophia aram donc (on voit vraiment pas pourquoi on lui mettrait des majuscules !) traite (chronique du 23 mars, 8 h 55) les électeurs du Front National de « gros cons », illustrant cette magistrale analyse politique par l’interview spécialement sélectionnée d’un microcéphale de service éructant sa haine de l’étranger en même temps que son vote FN (comme si des bas de plafond, y en avait pas, et des bien plus costauds !) chez les fans d’Aubry, DSK, Sarko, Mélenchon ou Duflot…).

Il doit donc être possible, sans aucun problème, de traiter itou nicolas sarkozy qui nomma Jean-Luc Hees à la tête de radio-France, lequel nomma philippe val à la tête de France-inter, lequel nomma la petite aram comme chroniqueuse matutinale, de les traiter donc, ces quatre jean-foutre, de gros cons, sans encourir plus que ça les foudres d’une justice qui voit pas vraiment d’inconvénient à ce que des millions de citoyens et néanmoins électeurs du Front National se voient insultés (et avec leurs ronds !) par une petite fiente minuscule dont on se demande même pas par quelle entourloupette plus ou moins ragoutante elle se retrouve à postillonner chaque matin dans un micro…

Lou...

vendredi, 01 avril 2011

Sidacon...

Et c’est reparti pour le Sidacon 2011 ! 48 heures non stop d’horreur télévisée, avec un troupeau de connards, Bergé en tête, portant en sautoir, comme une légion d’horreur de leur asservissement au politiquement correct, le petit ruban rouge sang manifestant qu’ils en sont eux aussi, sinon de cul, au moins de cœur, homophiles militants et gay-pridés jusqu’au trognon…

Et pendant ce temps, qu’importe que des millions d’enfants innocents crèvent du paludisme, de la lèpre, de malnutrition et des cent mille maladies tropicales dont nos flambants roses se contrefoutent dans les grandes largeurs…

Lou...

mercredi, 30 mars 2011

Alzheimer...

Henri Weber, député européen PS, passé par le PC, la LigueCommuniste et autres joyeusetés totalitaires qui lui ont fait avaler Budapest 56 comme un chamallow à la framboise avant de se ranger électoralement chez les bobos socialos, Henri Weber donc monte au créneau lui aussi contre la vague bleu marine et se fend, dans Le Monde d’aujourd’hui, de quelques paragraphes gentiment corrects sous le titre définitif de « Le FN, un programme antinational », ce qui, dans la bouche d’un internationaliste militant de jadis, vous a une saveur assez particulière…

Après avoir causé de la sortie de l’euro, Weber en vient au fond de commerce permanent de Madame Marine : l’immigration. Et voici ce que nous en dit notre savant « docteur en philosophie » (et oui !) : « La contribution de ces travailleurs à l'économie française est largement positive. Ils versent annuellement 60 milliards d'euros d'impôts et de charges sociales aux budgets de l'Etat et de la protection sociale ; dans le même temps, ils reçoivent environ 48 milliards d'allocations publiques. »

Dis-moi, Riton, ou c’est ton encéphalogramme perso qui est naze ou c’est les piles de ta calculette, mais mes calculs à moi ils sont pas vraiment concordants…

A supposer que tes 60 milliards positifs versus 48 milliards négatifs soient exacts, t’as peut-être oublié quand même quelques micro-paramètres sympathiques sur le coût réel de l’immigration depuis des décennies : t’as oublié, par exemple, les centaines de milliards de la fameuse « politique de la ville » qui a jamais servi à rien sinon à appauvrir le pays, t’as oublié les autres centaines de milliards du budget de la justice, des prisons et de la police où l’immigration (attention, Riri, je dis pas les immigrés…) tient une place non négligeable, t’as oublié les centaines de milliards d’une Education nationale dont les programmes spéciaux d’accueil, insertion, remédiation, alphabétisation, ont fleuri et fleurissent encore comme aux plus beaux jours, t’as oublié la facture hospitalière, t’as oublié la Halde, t’as oublié les centaines de milliards généreusement offerts aux associations de grands-frères antiracistes et positivement discriminants, t’as oublié les arnaques aux allocs, à la Sécu, aux impôts, t’as oublié les primes au retour, t’as oublié le kérosène des charters, t’as oublié la lutte contre la drogue, les abribus fracassés, les retraites au pays des multi-centenaires, t’as oublié les centaines de commissions sur la burqa, le voile, la laïcité, l’islam de France, t’as oublié… t’as oublié… t’as oublié ... Dis Riton, t’es sûr que tu nous démarres pas un Alzheimer ? Faudrait peut-être consulter… D’autant que moi aussi, j’ai dû en oublier pas mal…

 

jeudi, 24 mars 2011

Scènes de la vie de BoHèLe...

Ce qui est grandiose et bouleversant chez BHL c’est qu’il peut aussi bien nous écrire, pathétique et larmoyant : « Scènes de vie dans la Lybie libre » (cf Le Point du 10 mars) que, quelques heures plus tard, le temps de revenir de Tripoli en jet privé, hédoniste vautré sur les tapis de haute lisse de son palais de Marrakech, peloteur énamouré des seins de moins en moins satinés de son Arielle de bazar, dégustateur avisé de « pure malt » de 200 ans d’âge modestement partagé avec Pierre Bergé, il peut très bien, disais-je, nous écrire tout pareil : « Scènes de vie au bord de mon jacuzzi »… Juste que ces scènes-là, on y aura droit ni dans Le Point, ni dans La Règle du Jeu… car il est bien plus facile, n’est-ce pas, cher Nanar, lorsqu’on est plein aux as, de s’indigner des lointains dictateurs voyous qui assassinent les Droits de l’Homme, que de s’indigner de soi-même en voyou captateur de fric, de pouvoir, d’influence, de réseaux, de médias.. qui monopolise l’espace public et pète dans la soie de son compte en banque tout en compassionnant à donfe, avec pile poil la dramaturgie indispensable, sur la misère des opprimés…