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mercredi, 28 novembre 2007

Dans la famille ducon...

Et tiens, dans la même série des journalistes de merde, le connard pierre marcelle de Libé qui ose quand même pas encore accuser les flics de bavure bien qu’il en rêve très très fort et qu’il en ait sans doute déjà écrit le brouillon dans sa petite tête de gaucho jubilateur, car ce serait pain béni pour sa chapelle médiatique… (A propos avez-vous vu il ya une dizaine de jours, dans Libé, lors des occupations de facs, cette annonce : « envoyez-nous vos photos d’occupation »... Demain sans doute on va avoir droit à « envoyez-nous vos tabassages de flics, vos incendies de poubelles"… Il fait quoi, joffrin, pendant ce temps ? Il astique l’argenterie de rothschild ?) … le marcelle donc qui ose pas encore parler de bavure mais qui prend bien soin de demander urbi et orbi que surtout l’on n’aille pas trop vite stigmatiser les jeunes caillasseurs et brûleurs de services publics, les incendiaires à capuche, les angéliques à grenaille, les doux à barres de fer dans la gueule, les mignons à pavés, les gentils à fusil à pompe qu’il absout par avance de tout ce qu’ils ne feront bien sûr pas, alors même, l’enculé, que dans les premières lignes de sa bafouille il trompette à tous vents que « la démocratie… c’est le respect des lois » !! S’ils avaient respecté les lois tes deux potes à moto, marcelle, ils auraient pensé à mettre une plaque, ils auraient roulé à 40 à l’heure, ils auraient eu un casque sur le crâne, ils auraient respecté la priorité… et ils seraient encore vivants… C’était peut-être pas des démocrates, finalement !

Et les casseurs post mortem, s’ils respectaient les lois, y aurait pas dix établissements publics en feu, des banlieues en état d’émeute et 100 flics blessés dont cinq, mais bien sûr tu t’en contrefous, grièvement… C’est sans doute le prix à payer pour la démocratie de tes rêves… Beuark !

Dis pierrot, tu veux pas aller faire cinq minutes l’envoyé spécial chez les barbares ? S’il y  avait un gentil à capuche qui, ne te reconnaissant pas, le con, pouvait te stigmatiser la gueule un peu grave et te fracasser ta moto, ça nous ferait des vacances…

Lou méchante...

mardi, 27 novembre 2007

Les salopards de France-Cul...

Voilà ce que c’est l’info chez les ordures matinales de France-cul. Hier matin, 7 h, à chaud, peu après l’accident des deux « jeunes » à moto. D’abord ce titre de la petite pute Marie-Pierre Véro : « Deux jeunes en moto percutés par une voiture de police. » Alors qu’il semble à peu près certain que c’est la moto qui a percuté le véhicule de police et pas le contraire. Seulement, quand on est une merde boboesque de France-cul et qu’on rampe chaque matin sur la moquette d’ali badou, payée par le fric de ces cons de français de souche sur lesquels on arrête pas de cracher, quand en plus on a encouragé à travers mille micros l’immigration à donfe, légale, illégale, clandestine, massive, familiale et mondialisée au nom de la grandeur du melting-pot et des joies du métissage, on se doit bien sûr de travestir les faits et de verser un peu d’huile sur le feu (c’est bon pour l’actu…) et de faire semblant de se solidariser avec ces jeunes barbares dont on voudrait d’autant plus faire des modèles de vertu qu’on les fréquente moins… A propos, t’habites où, Marie-Pierre ? Y a combien de caméras à l’entrée fortifiée de ta résidence ? Rassure-nous, t’es reliée au commissariat le plus proche au moins ? Ton Audi TT elle est bien assurée ?

 

Et c’est pas fini ! A qui va-t-on donner la parole, sur France-cul, alors que finissent de brûler les dernières voitures, que fument encore les restes du commissariat incendié ou de l’école primaire ? A Slimane, bien sûr , le gentil slimane qui éructe dans le micro avec des accents de guerre civile et qui a déjà terminé son enquête, qui était pas là mais qui a tout vu, tout entendu, tout compris, et qui désigne les coupables et qui demande des comptes à Sarko… Voici le texte hurlé au micro d’un connard d’envoyé spécial du nom de Franck Mathevon : « Mais les gens en ont marre… c’est pas la première fois que ça se produit, ça…Montfermeil, aujourd’hui Villiers, demain peut-être Gonesse… vous savez, tout ce qui est bougnoul, je dis bien bougnoul et noir, on respecte plus l’homme, on nous traite comme des chiens… ils ont même pas assisté aux personnes en danger… ces officiers-là… et c’est ça la République …etc… »

Si vous voulez entendre ça en live, taper francecul puis émissions puis les Matins puis archives puis lundi 26 puis écoutez, c’est dans les cinq premières minutes. Essayez ceci.

-Post-scriptum 1 :  Lorsque les immigrés sont coupables, on dit des « jeunes ». Lorsqu’ils sont victimes on dit « immigrés » ou « maliens » ou « maghrébins »… C’est pas compliqué, faut juste connaître le code.

-Post-scriptum 2 : Dis slimane, les mecs qui respectent pas l’homme, en l’occurrence, c’est peut-être les deux jeunes cons sur leur moto qui auraient pu aussi bien tuer ta petite sœur ou ta grand-mère qui traversait la rue…

-Post-scriptum 3 : Oui, Slimane, c’est ça la République , ce régime de merde où des partis de merde ont constamment l’œil fixé sur la ligne bleue des urnes et ne traitent les problèmes de société qu’en fonction de la courbe de leur popularité dans les sondages… Ca s’appelle république, ça s’appelle aussi démocratie.

 

Lou verbatim…

samedi, 10 novembre 2007

Nach Berlin !

Arte-info,  hier soir, 19 h 55, le connard teuton de service termine ou presque son journal en nous annonçant qu'on est le 9 novembre (ce qui est à peu près la seule information non mensongère d'ailleurs de sa prestation) et que pour l'Allemagne c'est donc un jour doublement anniversaire : anniversaire de la Chute du Mur de Berlin, il y a 18 ans, mais ça, nous dit-il de sa voix martiale, c'est pas très important et on va l'oublier tout de suite, on a pas que ça à faire, circulez y a rien à voir. Mais surtout, anniversaire de la Nuit de Cristal d'il y a ... 69 ans, et ça bien sûr c'est the évènement d'actualité in the world, celui qu'il faut à tout prix commémorationner et bien enfoncer dans la tête du populo...!

Ainsi, la chute du communisme, il y a moins de vingt ans, et alors même que cette idéologie et certaines dictatures communiste sévissent encore ici et là et ont cent millions de morts à leur actif, est considérée par la nomenklatura artienne comme broutille négligeable. Alors que nous devrions tous être terrorisés devant les dangereux frétillements du dernier poil de la moustache de tonton Adolf qui menaceraient la paix du monde 69 ans après la Nuit de Cristal !

Cerise sur le gâteau : le teuton fou d'enchaîner avec un sujet magnifique dont Faurisson soi-même n'aurait pas osé rêver : l'Université juive de Berlin (il me semble) vient de créer un cursus d'études supérieures intitulé :"Holocauste et Communication"... Pendant les commémorations, le Shoah bizness continue...

Lou germaine.

jeudi, 08 novembre 2007

L'Argent (suite)...

Ah ! bravo, aujourd'hui, on en a pour notre argent ! Allez donc voir le Libé des philosophes, et particulièrement cet article d'une certaine Cynthia Fleury, "philosophe" naturellement, chercheuse même au cnrs avec nos ronds et qui tortille du cul comme piquée par dieu sait quelle mouche joffrinesque pour tenter de nous expliquer les grands malheurs de la corruption démocratique... Elle est sûrement gentille Cynthia, mais elle serait allée faire un tour du côté de l'Oncle Charles de Martigues, eh ! oui, ce bon vieux Maurras, elle y aurait lu ce qui va suivre, écrit il y a pas loin de cent ans, actuel comme c'est pas permis, clair comme de l'eau de roche et suffisamment définitif pour rendre caduque ses pauvres incantations "citoyennes"... :

"Il est sûr que, de quelque façon qu’on s’y prenne, c’est l’Argent qui fait le pouvoir en démocratie. Il le choisit, le crée et l’engendre. Il est l’arbitre du pouvoir démocratique parce que sans lui ce pouvoir retombe dans le néant ou le chaos. Pas d’argent, pas de journaux. Pas d’argent, pas d’électeurs. Pas d’argent, pas d’opinion exprimée. L’argent est le géniteur et le père de tout pouvoir démocratique, de tout pouvoir élu, de tout pouvoir tenu dans la dépendance de l’opinion. Cela explique la fureur des discussions parlementaires quand elles portent sur le point d’incidence de l’argent et de l’électeur, de l’argent et de l’opinion, de l’argent et du gouvernement.

 

Chaque parti essaie de déshonorer l’autre. Mais ils sont tous déshonorés dans la mesure où ils sont démocratiques et reconnaissent au pouvoir le droit de naître comme il naît. La foule n’en sait rien, cela fait partie de la farce. Essaie-t-on de la renseigner, c’est un autre chapitre de cette dérision. De quelque façon qu’il se tourne, et quelque cri qu’il pousse, le pauvre peuple est gouverné par l’or et le papier, par ceux qui les détiennent, par ceux qui les vendent, eux seuls lui fabriquent ses maîtres et ses chefs.

 

L’amour de l’argent est commun aux régimes, aux peuples et aux hommes. Il y a des variations dans le degré de cette avidité et de cette avarice, mais l’histoire universelle ne montre nulle part un gouvernement qui fût libre de l’amour de l’argent ou qui pût être absolument affranchi de son influence. Seulement il y a des régimes qui existent indépendamment de lui. Il y en a d’autres auxquels il donne naissance directement et qui sans lui ne seraient pas…

 

En démocratie, l’élu peut être vertueux, il n’en est pas moins le produit et le producteur, l’effet et la cause de la ploutocratie souveraine. Elle l’a fait nommer, il la soutient donc, elle régénère son autorité en faisant renouveler son mandat, et il la défend de son mieux contre la justice et contre la nation.

 

Il n’y a pas d’exemple qu’on soit sorti de ce terrible cercle autrement qu’en substituant les autorités nées aux autorités élues et le droit héréditaire au droit électif."

Tu m'en veux pas au moins, Cynthia ?

Lou martégale...

 

 

mercredi, 07 novembre 2007

Con, Val et Sens...?

Dans l'édito de philippe val, dans Charlie de ce mercredi, ceci à propos des mal-logés de la Rue de la Banque :

"Je repensais à tout cela l'autre matin, rue de la Banque, lorsque, avec josiane balasko, patrick pelloux, emmanuelle béart, valérie lang, dominique sopo et marine chanel, nous étions venus soutenir les mal-logés qui dormaient sur le trottoir..."

Mais dis-moi donc, philippe, ça consiste en quoi de "soutenir les mal-logés" ? Leur serrer la louche gentiment, sourire 30 secondes aux caméras avec les mammas en boubou en toile de fond, leur offrir le café, lâcher royalement dix euros pour offrir des carambars aux gamins, taper en cadence sur les djembés...? Dis-moi, philippe, soyons plus concrets, veux-tu : tu aurais additionné les salaires et le patrimoine immobilier et financier des six connard(e)s qui t'accompagnaient, tu y aurais ajouté les lifting et les thalassos de la béart, les bouteilles de chivas du pelloux, les brushings du sopo, les nuits des césars de la balaskette et tes piges surnuméraires à france-inter, t'en aurais payé combien de mois de loyers décents aux mamadous qui te fendent l'âme mais qui laissent ton portefeuille intact ? La prochaine fois que tu passeras faire le charitable rue de la Banque, pense à amener ta calculette pour leur donner ces précieux renseignements aux mal-logés de ton coeur qui saigne... Ca devrait sacrément les intéresser.

Question subsidiaire : l'hortefeux couperosé, il pourrait pas nous concocter une jolie loi de solidarité boboesque ousque l'Etat providence pomperait régulièrement la moitié du salaire mensuel des journaleux du service public et des showbizeurs cocaïnés qui font pleurer Margot sur la misère du pauvre monde, afin de financer des programmes de logements sociaux métissés et cosmopolites et de leur apprendre le poids de la réalité ? Voilà de l'économie solidaire appliquée... Je sens que je vais créer ma (ou mon) propre think-thank ! (C'est comme ça qu'on dit, et qu'on écrit?)

Lou remerciée...

lundi, 05 novembre 2007

Déluge...

Et bien entendu, l'urgence absolue dans l'affaire de l'Arche de Zoé, justifiant le déplacement toutes affaires cessantes de sarko 1° soi-même, l'urgence absolue c'est de libérer les... journalistes ! Lesquels, naturellement, sont innocents, n'ont rien vu, rien su, rien entendu, rien dit.  Mais ils faisaient quoi, au fait, ces trois connards, la miss de FR3, le beau ténébreux de l'agence Capa et le photomaton de mes deux, ils faisaient quoi depuis un mois ou deux, ou plus ou moins, qu'ils suivaient l'affaire ? Ils avaient rien compris, eux qui pourtant comprennent d'ordinaire si vite, eux qui sont là pour nous aider, nous pauvres cons de lambdas citoyens, à décrypter le réel, dévoiler le sordide, décoder les magouilles et décortiquer la vraie vie ?

Curieux, quand même, cette ignorance et ce silence. Et plus curieux encore, ou plutôt tristement normal, le silence assourdissant de toute la corporation médiatique qui semble donc trouver normal que les trois cons aient rien dit depuis des semaines et qu'ils se refusent à dire encore quoi que ce soit aujourd'hui à leur descente d'avion ! Sans doute faut-il leur laisser le temps de nous concocter une jolie petite version bien soft et bien concordante de leur héroïque attitude...! Beuark...

Post scriptum : je crois avoir entendu que le pilote avait 76 ans ! Un pilote de 76 balais pour piloter 110 gamins, ça c'est de l'humanitaire !

Lou enivrée...

lundi, 29 octobre 2007

Coureurs de fonds...

Voilà une question qu'elle est bonne, in "Libé contrejournal

"Pourquoi courent-ils devant Police Secours? N’est-elle pas faite pour venir à notre, à leur, secours? La Police, normalement, gardienne de la paix, force de l’ordre. "

Et le Tchicaya questionneur de "Devoirs de Mémoires" de commémorationner à son compte les deux ans de la mort de Zyed et Bouna, nouveaux héros des transformateurs, de la même façon que Delanoé a jeté, jette et jettera des fleurs pendant encore vingt ans dans la Seine, chaque premier mai à la mémoire de Brahim Bouarram dont il se contrefout dans les grandes largeurs mais dont il perçoit bien tout l'intérêt électoral de quatre chrysanthèmes pris sur le budget de la Mairie de Paris et dont la pathétique flottaison larmoyeuse sur les eaux polluées de la Seine se chiffre en virginale pureté idéologique et en votes bobos à venir...

Ceci dit, oui, pourquoi courent-ils, demande naïvement Tchicaya avec sa réponse toute faite : c'est la faute aux flics... Pourquoi couraient-ils Zyed et Bouna et pourquoi courent-ils toujours et partout leurs gentils potes des quartiers lorsque se pointe du bleu à l'horizon ? Est-ce que je cours, moi ? Est-ce que mes parents ont souvent couru ? Est-ce que mes neveux courent ? Sans doute ont-ils appris à courir tous ces rapides à capuchon auprès de leurs "grands frères", ces angelots des banlieues qui dealent, trafiquent, montent la garde, tiennent les murs, rackettent, tournantent, vandalisent, fauchent, détournent, tombeducamionnent...etc... et qu'ils aiment pas vraiment qu'on les dérange dans leur quotidienne et lucrative activité... Et s'ils courent si bien d'ailleurs, n'est-ce pas parce qu'ils nikent, adidassent et riboquent avec des pompes à mille balles à chaque pied, fruit sans doute de quelque virée rémunératrice ou du cumul d'aides sociales généreuses, que même pas je peux offrir à mes neveux à Noël prochain...

Tchic, toi qui te poses de si jolies questions, t'es-tu jamais demandé pourquoi y en a plein, même dans les "quartiers populaires" même des blacks et des beurs qui courent pas lorsqu'arrive la police ? Tiens, toi-même, monsieur l'adjoint de Bagneux, est-ce que tu cours, toi ?

Lou fondeuse...

vendredi, 26 octobre 2007

Guy, mot-clé...

Sur mes cahiers d'écolier,

Sur le sang du drapeau rouge

Sur la moustache à Staline,

j'écris ton nom, Guy Môquet.

 

Sur le pacte satanique,

germano-soviétique,

rouges-bruns amis amis

j'écris ton nom, Guy Môquet.

 

Sur Hitler tranquille à l'Est,

sur l'"Humanité" vautrée

pour paraître sous la botte,

j'écris ton nom, Guy Môquet.

 

Sur ton papa communiste,

stalinien aux ordres et sur

duclos, thorez, aragon,

j'écris ton nom, Guy Môquet.

 

Sur les lâches attentats,

sur la mort donnée derrière,

sur les otages abattus,

j'écris ton nom, Guy Môquet.

 

Sur la fausse résistance

du Parti de Fusillés

et Marchais au STO,

j'écris ton nom, Guy Môquet.

 

Sur les trafiquants d'Histoire,

les arrangeurs de photos,

les purgeurs-épurateurs

j'écris ton nom, Guy Môquet.

 

Sur les camps, la Sibérie,

le Goulag, le Guépéou,

sur le NKVD,

j'écris ton nom, Guy Môquet.

 

Sur Budapest cinquante-six,

sur Prague soixante-huit,

sur Berlin quatre-vingt-neuf,

j'écris ton nom, Guy Môquet.

 

Sur l'ouverture à Sarko

et sur l'erreur de guaino

qui s'est trompé de héros,

j'écris ton nom, Guy Môquet...

 

Lou elsée...

 

mardi, 23 octobre 2007

C'est le bouquet...

 

 Une fois n'est pas coutume, lisons "20 minutes" sur le net, pour y apprendre ceci :

"Plusieurs personnalités dont l'actrice Carole Bouquet, l'humoriste Guy Bedos ou encore l'écrivain Dan Franck ont apporté dimanche leur soutien aux familles sans logis, qui campent depuis le 3 octobre rue de la Banque à Paris (IIe), a constaté un journaliste del'AFP.

Carole Bouquet a exprimé son soutien à ces "victimes de +marchands de sommeil+" et mis en cause l'attitude de la ministre du Logement Christine Boutin : "Je sais bien qu'on ne peut pas trouver de solution en claquant des doigts mais au moins on se déplace".

A ses côtés, Guy Bedos s'est interrogé : "Est-ce qu'on peut décemment passer dans la rue, voir cela et ensuite rentrer chez soi ?", fustigeant l'inertie des "politiques de gauche comme de droite".

"L'humain est bafoué ici aujourd'hui", a renchéri le dessinateur Enki Bilal alors que l'ancien évêque d'Evreux, Mgr Jacques Gaillot, confiait sa "honte" devant une telle situation.

Dan Franck a réclamé "une réponse politique pour ceux qui attendent l'hiver avec crainte" alors que résonnaient autour de lui des cris en faveur d'une "application de la loi sur les réquisitions" de logements.

L'ancien ambassadeur Stéphane Hessel s'est dit "choqué" par "l'aspect raciste" de cette situation car la majorité des personnes qui campent sont noires."

Cerise sur les gâteux, le barde, l'inévitable gaillotin susurre sa "honte" de ses yeux transparents alors que saint Martin jadis, dans ces putains d'époque anté-conciliaires, n'hésitait pas à couper en deux son manteau...
Mais nos pleureuses agréées partagent plus facilement leurs larmes et leur sensiblerie que le contenu de leur portefeuille... Et on se demande, avec cette naïveté qui nous caractérise, combien de "sans-logis" visités par le fan club de guy bedos auront eu droit à passer oh ! même pas quelques heures mais seulement quelques minutes sur les sofas moëlleux des salopards venus se faire admirer à leurs côtés... Beuark !
Lou délogée...

 

vendredi, 19 octobre 2007

Elémentaire...

Nouveau cyclone en vue chez les obsédés de la race, et donc nouvelle croisade apocalyptique contre un certain Watson, nobel de médecine en 62 et père de l'adn qui plus est, c'est dire la perversité du personnage, qui, avec sa loupe et son filet à papillons aurait découvert et donc affirmerait, dans une approche assez perso de la génétique, l'infériorité des Noirs...

Si encore ce con de Watson avait découvert la supériorité des Noirs, la primauté des mélanodermes et l'incontestable suprématie des africo-centrés sur ces cons de blancs, il serait à l'heure qu'il est porté au pinacle par toute la boboïdie en extase qui lui tresserait mille couronnes, en ferait le nouveau darwin, l'accueillerait en triomphe au Musée des Arts premiers et danserait au son des tam-tam le dithyrambe solennel des Justes de l'humanité... Oui, mais voilà, il a eu beau faire et refaire ses calculs, rincer dix mille fois ses éprouvettes, cent fois sur le métier remettre le coton-tige, jongler avec les molécules et danser avec les atomes, pour lui c'est clair :"leur intelligence n'est pas la même que la nôtre"... Notez au passage la prudence de cet imprudent : c'est pas lui qui parle d'infériorité, non, ça c'est la prose à l'obsédé joffrinesque de service qui traduit en langage bobo-compatible le watsonien courant afin de mieux instruire le procès de l'infâme, procès qu'il instruit d'ailleurs in petto avec un vocabulaire moralo-judiciaire qui semble n'avoir que de lointains rapports avec la prose scientifique :"provocation, mépris, racisme, trouble de l'entendement, récidiviste notoire, article sulfureux...etc..."

Qu'on se rassure, dès qu'albert jacquard aura soigné sa bronchite chronique en postillonant dans les micros rentables et quotidiens de francecul, il prendra le taureau par les cornes et watson par le colbac pour remttre de l'ordre dans ce joyeux bordel scientifique...

Accessoirement et parallèlement, j'entends, toujours chez les francecultureux dont je me repais, de la pub à donfe pour une expo du Musée d'art et d'histoire du Judaïsme intitulée "De Superman au chat du Rabbin", expo où l'on met "en "évidence le rôle important de nombreux artistes et auteurs juifs dans la bd"... Imaginons cinq minutes que le musée Xavier Vallat d'Aubenas inaugure une expo sur le "rôle important de nombreux journalistes juifs dans la presse française d'après-guerre", croyez-vous que les francecultés relaieraient la chose avec autant de gourmandise...

Lou questionneuse.

jeudi, 18 octobre 2007

Trice chauve...

Bon, si le noir désir de cantat est un peu contrarié par quelques menaces paratrintignanesques, on va pas s'en désoler outre mesure... mais au-delà du bertrand "en reconstruction" faut quand même s'extasier sur ces putains de journaleux qui s'indignent de ces menaces tout en indiquant (le figaro d'hier) que ledit cantat habite, prenez note s'il vous plaît, le village de Moustey, dans les Landes, et que sa maison est "isolée au bout d'un petit chemin de terre dans une pinède"... On se demande vraiment pourquoi le plumitif à la con qui se prend pour l'ign a pas joint à sa copie l'extrait cadastral et le code google earth qui permettrait à tout un chacun de proposer ses services pour un "contrat" en bonne et due forme à madame mère, nadine soi-même, qui se moquait royalement de savoir que sa fifille se déjantait allègrement dans la vie et sur la toile tant qu'elle était vivante mais qui devient inconsolable harpie maintenant qu'elle est quatre pieds sous terre... Insondable connerie...

Ceci dit, si l'on veut bien s'attarder deux minutes de plus sur le cas du ténébreux bertrand qui était, avant les quatre baffes malencontreuses, la coqueluche de la gauche rebelle et le porte-parole libertaire des anti-capitalistes radicaux, on sera heureux d'apprendre qu'il s'est conduit en tôle comme un gendre parfait, gentil mouton bêlant de servitude volontaire calculée, qu'il a pu produire pour justifier sa sortie anticipée un contrat de travail avec Universal music France pour la reprise de ses activités d'auteur-compositeur-interprête (c'est sympa, non, qu'un criminel puisse refaire le clown sur scène et se faire applaudir par des milliers de midinettes en chaleur pendant que le corps de sa victime continue de refroidir sous terre...!), et que, dans ses efforts de réadaptation on note entre autres le "versement grâce au produit de la vente d'un album et d'un dvd d'une indemnité de 200000 euros (eh oui, 130  bâtons !) pour deux des quatre enfants de la victime"...

Moi, je vais vous dire, qu'un libertaire anticapitaliste radical puisse sortir, sans sourciller et sans faire sourciller ses fans de Libé, d'Attac, de Charlie et des Inrock, 130 bâtons de la poche de sa chemise en moins de temps qu'il n'en faut pour écrire un tube de merde, ça me perturbe grave le système digestif et je sens que je vais bientôt aller gerber à... où, déjà ?... ah oui... à Moustey, dans les Landes...

Lou désirée...

mercredi, 17 octobre 2007

Adjanesque moraline...

Ah ! l'Adjani ! Manquait plus qu'elle ! Elle allait pas rester dans l'ombre quand même, éclipsée par la béarte, la deneuve, la bonnaire ou la birkine, assise sur la dernière marche de la philanthropie médiatique à pas montrer elle aussi urbi et orbi son grand coeur qui saigne, ses intimes convictions, sa générosité admirable, voire, voire... ses magnifiques capacités intellectuelles qui lui permettent de parler de l'"Autre" avec l'oeil qui chavire, la voix de Lévinas et le chignon frémissant de Nathalie Sarraute ...

Et d'enchaîner, à propos de l'ADN, bien sûr, mais c'eût pu être tout aussi bien à propos de Vichy, la colonisation, la guerre d'Algérie, Le Pen, l'esclavage, la fonte de la banquise, la montée des eaux, la crise des intermittents ou le massacre des bébés phoques, et d'enchaîner donc, tant la leçon est bien apprise et bien imprimée sur le disque dur, avec la "xénophobie, le pire reste toujours à craindre, l'ère du soupçon, amendement hors-la-loi, nous sommes tous des sang-mêlé, France pays des Droits de l'Homme...etc.."

Dommage, chère Isabelle, dommage que ton grand coeur ému ne frétille si bien devant les caméras que pour des causes, comment dire... morales... On aimerait davantage t'entendre cracher à la gueule de tes producteurs pleins de blé qu'ils ont pas le droit de gaspiller autant de fric pour le divertissement alors que des millions d'êtres humains crèvent de faim, ou cracher à la gueule de tes copains friqués de la Nuit des Césars qu'ils ont pas le droit de s'exhiber dans le luxe alors que des épidémies abominables ravagent la planète, ou à la gueule de lagerfeld /galliano /dior qu'ils ont pas le droit d'habiller des morues anorexiques à prix d'or alors que des populations entières n'ont rien pour se vêtir...
Quand t'auras fait ça, isabelle, quand tu leur auras, en plus, montré l'exemple en lâchant généreusement ton oseille superflue, on pourra peut-être enfin prendre au sérieux ta grande âme et les épanchements douloureux de ton coeur de bobesque enjoffrinée...

Lou soupçonneuse...

lundi, 15 octobre 2007

Unicellulaires...

Bon, je sais, c'est pas vraiment capital, mais l'avez-vous vue, vendredi soir, sur la 2, chez guillaume durand, la niaiseuse laure adler, petite insignifiante boboïde, absolue nullité venue là pour montrer son corsage à fleurs et, accessoirement rentrer dans le chou d'éric besson (qui resta de marbre) au nom de la gauche caviar, saumon et oeufs de lump qu'elle seule était censée représenter...
Quand on pense que ce protozoaire a dirigé pendant des mois france-culture (quoique, à la réflexion, c'est pas si tant que ça surprenant...), avec bien sûr la bénédiction de la droite molle, que cette amibe a produit ou animé des émissions de débat avec des intellectuels de taille, disons, respectable, que cet ectoplasme est sans doute directrice de collection chez je ne sais quel éditeur respecté et membre du comité directeur de quelques commissions de ceci ou de cela, y a vraiment de quoi se faire du mourron pour l'intelligence française..

Ajoutons, même si cela ne nous regarde pas, que le travail de deuil et d'édition pour le fils qu'elle perdit jadis et dont elle fit un bouquin dix-sept ans après (le deuil parfois dure longtemps...!) semble avoir été d'une redoutable efficacité si l'on en juge du moins par les grotesques lunettes m'as-tu-vu de parfaite pseudo-rebelle excentrique de salon obnubilée par son paraître médiatique qu'elle exhiba sur la fin de l'émission, car elle n'était venue, tout bien réfléchi, que pour ça...

Lou affreux loup...

samedi, 13 octobre 2007

Darfour, petits fours, même combat...

Ah ! les faux-culs, les ordures, les tartuffes, nouveaux hypocrites bigots de la religion DDH/MRAP dont louis schweitzer est dieu et mouloud le prophète, pleureuses et pleureurs, larmoyants sélectifs, sangloteurs sur ordre, tous au Zénith, joffrin, val et consorts, et BHL et axel kahn et piccoli, delanoé... toute la clique des friqués du show-biz, les caviardo-libertaires à la mords-moi-l'onfray, intellos à datchas, artistes à voiliers, cultureuses béardesques à comptes bancaires délocalisés, défileurs de mode à paillettes, curetons gaillotineux, sportifs thuramiques, rentiers euhacheuhéssèsse, cracheurs de micros, emplâtres de caméras... l'horreur comme si vous y étiez... tous les petits marquis et duchesses vaporeuses de la boboïdie triomphante d'écraser en choeur, ce soir, au Zénith, le sanglot de l'homme blanc sur l'ADN prélevé de l'Africain misérable et majestueux...

Ah ! les faux-culs, les ordures, les tartuffes... Lorsqu'il s'agit de prétendre qu'un prélèvement d'un micron de salive africaine à visée adéhénique va renverser de fond en comble les grands principes de la démocratie occidentale, les valeurs les plus sacrées de l'humanisme des Lumières et perturber durablement l'hypersensibilité familiale des Maliens délocalisés, ils sont tous là à parader sur les tribunes et cabotiner sur les tréteaux pour nous causer de leur conscience torturée et hoqueter sur leur philanthropique blessure narcissique, mais lorsqu'il s'agit de se vautrer dans les coktails gothaïques, de jetsétiser avec les excellences, de croisiérer avec les golden boys ou de péter dans la soie des châteaux marocains avec l'arielle à deux balles sur les genoux, un oeil sur la collection d'art contemporain, l'autre sur les cours du dow jones et du cac 40, là, les papy piccoli et les tontons bhl n'ont plus d'état d'âme, toute l'horrible puanteur de leur fric moisi leur remonte pas à la gueule, la misère du pauvre peuple ne les fait plus souffrir, le sanglot de l'Africain devient inaudible, la plainte du smicard imperceptible, le gémissement du sdf insignifiant, et si ténu, si minuscule, si infime le malheur du monde...

Beuark !!

Lou zénicht

jeudi, 11 octobre 2007

Zemmour...

Pas trop le temps aujourd'hui, et puis Zemmour dit tellement bien certaines choses dans Le Monde, à propos du gros Sopo(rifique) de SOSRac, que j'aime autant vous en donner un aperçu pour vous inciter à aller voir le reste (si mon lien marche pas, allez au site du Monde et cherchez...)

Voici l'aperçu

"Il a posé sur son petit bureau ses petites armes de petit flic de la pensée. Il a tiré, dans Le Monde du 29 septembre. Mollement. "Réactionnaire", dit-il ; et puis, "il parle comme Le Pen" ; et puis encore "il a peur, Zemmour". La routine. Dominique Sopo n'est pas très inventif. Pauvre Sopo, présidence de SOS-Racisme, ça eût payé. Jadis entre Coluche et Simone Signoret ; désormais médiocre collecteur de subventions, et gendarme sifflant les "dérapages sur l'immigration". Gendarme de Saint-Tropez.


Même pas peur ! Les temps changent. Il s'en plaint. Comme un vulgaire réactionnaire. Mais un réactionnaire préfère les chansons d'Aznavour et Brel à celles de Joey Starr ou Cali. Les rentrées littéraires avec Aragon, Mauriac, ou Jacques Laurent, plutôt qu'avec Christine Angot ou Amélie Nothomb. Déteste l'architecture de l'après-guerre. Donnerait trente années de FIAC pour un seul tableau de Vermeer. Ne croit pas que "le niveau monte à l'école". N'associe pas spontanément le "langage caillera" à Rimbaud. Ne s'extasie pas devant les familles recomposées. A la nostalgie du temps où la France était "la grande nation". Bref, un réactionnaire est un homme sans goût ni raison qui mérite les camps de rééducation. Un criminel.

On peut le rassurer, Sopo en est loin. Sa pensée est simple, voire tautologique : ce sera mieux demain. Pourquoi ? Parce que ce sera demain. Sopo est un progressiste. On allait dire à l'ancienne. Mais on ne voudrait pas le vexer. Sopo ne s'est pas aperçu que la religion du progrès était morte dans les tranchées de 1914. Il n'a qu'un siècle de retard. Sopo ne sait pas qu'on a lu Pierre-André Taguieff ; on a bien compris que le progressisme antiraciste n'était que le successeur du communisme, avec les mêmes méthodes totalitaires mises au point par le Komintern dans les années 1930. "Tout anticommuniste est un chien", disait Sartre. Tout adversaire de l'antiracisme est pire qu'un chien. En tout cas, dit Sopo, ne devrait pas être invité à la télé. La télé, c'est important pour Sopo. C'est vrai, on ne l'y voit pas assez. Amis producteurs, faites quelque chose !..."

Lou enamourée...

mercredi, 10 octobre 2007

Good luck !

Un jour l'ADN, un jour la Cité de l'Immigration, un jour les vapeurs de Fadela Amara, un jour la Mémoire, un jour la Repentance, un jour la Colonisation Positive, un jour les Banlieues, un jour les Indigènes de la République, un jour le Cran... non, mais, c'est pas encore bientôt fini de nous les briser avec cette immense chance pour la France que serait l'immigration !

Le jour où la Cité du même nom voudra faire une exposition instructive et intelligente, plutôt que de permettre à Mathilde Monnier de faire des entrechats sur les tapis persans et d'améliorer son intermittence dorée, ils pourraient peut-être afficher, en face des photos des "immeubles-que-nous-ont-construits-ces-pauvres-immigrés-et-des-kilomètres-de-route-qu'ils-nous-ont-balayés", ils pourraient peut-être afficher les milliers de kilomètres de dossiers judiciaires liés à la délinquance immigrée de 1°, 2° et 3° génération... Et on pourrait alors reparler sérieusement de la chance ou de la malchance qu'est pour un pays et pour les immigrés eux-mêmes cette immigration qui devient le must de nos sociétés de merde...

Lou souchée...

lundi, 08 octobre 2007

Détail...

Et les voilà sur le pont tous les ordinaires cons du tam-tam antiraciste... Tous à poursuivre de leur ire implacable et subventionnée et de leur déontologie à géométrie variable ce pauvre Fillon qui réussit enfin à faire une percée dans les médias... Rendez-vous compte, Fillon a osé dire, dans un moment d'égarement sans doute, que l'amendement concernant les tests ADN n'était qu'un "détail masquant l'ensemble de la loi"... Was ? What ?... Fous afez ti "Tétail" ! Ach so ! ze mot n'est blus tans nos digzionnaireus... Kaput ! Vuzillé Villon ! etc... etc...

Et naturellement, les premiers procureurs à se précipiter sur les micros sont le mouloud de ces dames, Monsieur Emèrâpé soi-même et un certain pierre henry, directeur général de France Terre d'Asile (asile de fous sans doute !) qui voit dans le "détail" utilisé par Fillon un clin d'oeil appuyé au Front National et à Gros Neuneuil de Saint-Cloud...
Car désormais, voyez-vous, lorsque nous apercevrons un détail se balladant gentiment sans emmerder personne, il ne faudra pas, sous peine de familiarité condamnable avec la bête qui monte, le ventre encore fécond et tonton adolf soi-même, il ne faudra point parler de détail mais de broutille, vétille, bagatelle, petit rien, particularité insignifiante ou élément accessoire...

On pourra dire, par exemple, sans encourir leurs oukases, que messieurs mouloud aounit et pierre henry sont des petits riens sans importance de la pensée politique contemporaine, des broutilles insignifiantes de l'intelligence conceptuelle, des bagatelles dérisoires du massacre de la pensée...

Par contre, là où ils sont pas vraiment insignifiants, les deux clowns tristes, c'est dans l'utilisation des fonds publics. Je suis allée surfer cinq minutes chez France Terre d'Asile (d'aliénés ?) et j'y ai lu, dans le rapport financier 2005, sauf erreur de ma part car je suis une piètre comptable, que cette joyeuse et philanthropique association payée sur nos ronds touche 11542315 euros de subventions diverses et variées pour 11668396 euros de salaires sans doute déontologiquement nickel...! Voilà de l'asile qui rapporte !

Lou experte...

P.S Un bravo à la socialeuse Nadine Moreno (je crois) qui a remis les choses au clair sur ce sujet.

samedi, 06 octobre 2007

Femmes que vous étiez jolies...

Selon des sources bien informées, l'organisation de la prochaine Journée de la Femme (8 mars 2008) devrait être confiée par le Président de la République à Stéphane Pocrain, black médiatique vert mamérien foncé de la bande à ruquier et accessoirement cogneur sans état d'âme de son épouse (procès vers le 16 novembre...).

Il serait assisté dans cette mission par Francis Terquem, avocat du Mrap, ex-membre de SOSRacisme et lui aussi cogneur impénitent de Madame, et par Bertrand Cantat, gaucho-chanteur-libertaro-lituanien et cogneur définitif de marie trintignat qui l'avait bien cherché...

Isabelle Alonso hésiterait encore à rester chez ruquier pour assurer ses fins de mois ou se porter partie civile pour rassurer sa conscience.

En outre, le thème du colloque international initialement programmé pour cette Journée sous le titre prémonitoire de "La Gauche et les Femmes" serait en passe de devenir, pour coller davantage à l'actualité : "Mon Gauche et les Femmes"...

Lou marcello-cerdane...

vendredi, 05 octobre 2007

Modeste contribution immédiate au débat relatif aux statistiques ethniques...

Allez, au hasard... On prendrait, tiens, les évènements tout récents de Saint-Dizier, cette nuit, et on statistiquerait ethniquement, après leur avoir ôté leur cagoule, les 40 "jeunes" qui ont caillassé les pompiers, les flics, foutu le feu à la Maison des Jeunes et de la Culture (demi-mal, me direz-vous...) et à je ne sais quoi d'autre encore, on statistiquerait itou dans la foulée les habitants du quartier "sensible" du Vert-Bois, ça m'étonnerait pas que l'on ait des éléments significatifs sur la grandeur du métissage, l'infinie beauté de l'hybridation, l'intense vertu du melting-pot et la souveraine majesté de trente ans d'immigration délirante, déferlante et non maîtrisée...
Accesoirement, on pourrait, par exemple, chiffrer le coût des mesures sociales de tous ordres dont bénéficient les familles des 40 capuchons caillasseurs, on présenterait la note à Monsieur Schweitzer de la Halde, et on se rendrait alors vite compte que sa déontologie va pas beaucoup plus loin que les limites dorées de ses divers comptes bancaires...

Lou banquière..

jeudi, 04 octobre 2007

Barman...

Bon, alors la Birmanie, je sais même pas où c'est, et j'ai pas assez la passion des foreignes affaires pour m'interroger sérieusement sur les vices et vertus du régime birman... Mais quand j'entends ces connards de journalistes (france-cul en tête, mais ailleurs et sur papier itou) nous rejouer la nuit de cristal avec la voix coupée par les sanglots comme s'ils y étaient, quand je les vois gober et diffuser à qui mieux mieux tous les témoignages les plus affreux de je ne sais quels dissidents abominant une junte qui aurait pourtant coupé tous les moyens de communication, quand je les vois répéter à longueur d'antennes la "junte militaire" au lieu de dire simplement le "gouvernement birman", quand je les vois sauter sur la répression sanglante et médiatiquement payante comme la vérole sur le bas-clergé bouddhique en se pourléchant les babines de pouvoir mettre enfin du sang à la une et révéler leur immense philanthropie compassionnelle pour les damnés de là-bas, quand je les vois ouvrir d'autant plus leur gueule aujourd'hui qu'ils l'ont tous (et leurs pères itou) hermétiquement fermée à l'époque de feue l'union soviétique, quand je les vois pleurer sur la répression revêtus d'un T-shirt à l'effigie du Che tortionnaire, quand je les vois larmoyer cinq minutes devant les caméras avant d'aller s'envoyer en l'air dans un hôtel quatre étoiles entre caviar et prostituée rangooneuse, quand je les vois commencer à évoquer les bébés coupés en deux, les peaux tannées, les fours, les camps, la gégène, les charniers, les pals, les grilles, les crocs de boucher, bonzine jetée aux lions et Bouddha crucifié sur un char, quand je vois tout ça, je me répète qu'ils sont décidément d'insondables connards et qu'il va nous falloir attendre encore quelques années pour savoir ce qui s'est réellement passé chez les Birmans...

Lou incrédule...

mercredi, 03 octobre 2007

Acide déxoyribonucléïque...

Bon, c'est clair que c'est pas avec cette histoire d'ADN à la mords-moi-l'hélice qu'on va régler les problèmes de l'immigration, et Mariani aurait mieux fait de se tirer une balle dans le pied. Mais quand on voit tous les cons monter au créneau, bannière des droits de l'homme en tête, déontologie à la boutonnière et pétition charliehebdesque en sautoir, ça file une sacrée envie de dire "chiche !" à Hortefeux... Mais il chichera pas, le bougre... Le voilà déjà tremblant, en train d'amender l'amendement, d'y rogner ceci, râcler cela, limer le reste pour qu'enfin la marianesque proposition ne soit plus qu'une petite fiente sans effet que même une taubirette pourrait signer des deux mains...
Mais revenons aux cons deux minutes, aux cons de la pétition : y a les cons stratégiques (comme villepin par exemple, qui se tamponne de la misère du monde comme de son premier bain de mer à Biarritz, mais qui a bien envie d'emmerder Sarko), y a les cons showbizés (l'adjani ou la moreau par exemple qui ont toujours un stylo qui bave dans leur corsage pour le cas où passerait un vol de pétitions à ne rater sous aucun prétexte), y a les cons footballeurs (comme lilian thuram) qui signent pour pas avoir l'air d'être des cons de footeux justement, y a les vieux cons à la raymond aubrac a qui on a dû susurrer dans le sonotone que jean moulin avait déjà signé, y a les cons nègres comme BHL qui signe parce que ségolène a signé, laquelle signe parce que son ex a signé, lequel signe parce que fabius a signé, lequel signe parce que bayrou a signé (on est là dans la catégorie des cons électoraux), lequel signe parce que patrick pelloux a signé et que c'est lui, forcément, qui conduit l'ambulance...!

Et puis y a philippe val le raisonnable, qui, assis sur ses 5000 euros mensuels de rédac-chef de Charlie (peut-être 6 ou 7000 euros maintenant ?) s'indigne, la voix cassée par l'émotion et le coeur en écharpe (à propos, tu touches combien, philippe, pour piger chez le gros demorand de france inter ?), s'indigne donc, ( et t'as été recruté sur quels critères ?), s'indigne disais-je (et combien également de ton éditeur ?), s'indigne re-donc, de l'immense tort fait aux immigrés, de l'honneur perdu des politiques, de la montée du populisme et de la démocratie en danger...
Juste un mot, philippe, en caressant ton chat, histoire de te calmer l'indignation et de refroidir la bouilloire : lorsque on te voit écrire avec des larmes dans la plume et de l'indignation plein le micro que "le degré zéro de la politique c'est l'attribution de tous les maux à l'immigration", on a envie de te dire d'abord que t'as loupé, toi le grand citateur, une belle occasion de citer Barthes, mais surtout que le degré zéro de l'intelligence c'est l'interdiction, que tu pratiques et partages depuis vingt ans avec toute la classe politico-médiatique de merde, de tout véritable débat sans tabou ni trompette concernant l'immigration...

Lou d'octobre...

mardi, 03 juillet 2007

Feu sur le quartier général !

Hier matin, 7h - 9h, Les "Matins"France-Culture... Sujet : l'indépendance de la Presse.

Et pour parler de ce vaste sujet, sous la houlette de la petite crapule Ali Badou qui a l'invitation sélective, deux autres ordures du même tonneau, Laurent Joffrin, chargé de la rothschildosuccion à Libé, et Pierre Haski, ex de Libé et patron de je ne sais quel blog "citoyen" largement promotionné par le badou de ces dames transformé pour l'occasion en homme-sandwich... Et ces trois-là semblaient pas plus gênés que ça de se retrouver entre soi, accompagnés in fine, au cas que les clous de la bien-pensance de gauche fussent point suffisamment enfoncés, de l'ubiquitaire socialiste olivier duhamel et de l'inévitable rauque et glauque boboïde marc kravetz (ex de Libé comme il se doit)... Tout ça, comme de bien entendu, payés grassement sur nos deniers...

Voilà comment on cause de l'indépendance de la Presse et de son objectivité, et de sa déontologie, sa probité, ses grandeurs et ses servitudes, sur les ondes publiques chaque matin... Le kärcher le plus urgent, sarko, c'est pas dans les banlieues qu'il faut le passer, c'est dans la gueule des totalitaires démocrates qui monopolisent micros et caméras en toute impunité depuis des lustres....

Petite question subsidiaire : les cinq connards sus cités se sont-ils jamais offusqués publiquement, au nom de saint pluralisme et de sainte tolérance qu'ils révèrent quotidiennement, de ce que jamais, dans aucune revue de presse, n'ait été et ne soit évoqué l'ombre du soupir de l'esquisse d'un article de, par exemple, Présent ?

Lou présente...

jeudi, 28 juin 2007

Pendant les vacances, Boboland continue...

Et une de plus à nous faire pleurer sur ces enfants qu'on expulse au mépris de toute humanité, comme si les bobos de RESF étaient les seuls à avoir un coeur gros comme ça, des larmes de crocodile, du courage pour quinze et de la solidarité à revendre...

Oui, bien sûr, ils ont tout ça, sans doute, mais leur altruisme débordant et leur générosité exotique me font un brin gerber. Premièrement parce qu'elle va de concert avec une incapacité absolue à raisonner au-delà de l'individualité forcément compassionnelle de chaque cas... Or, la politique c'est du collectif...

Deuxiémement parce que cette vaste générosité carolienne ne va pas quand même jusqu'à amener notre larmoyante de service à couper en quatre son salaire, ses vacances, son train de vie, son appart, ses sorties... afin de commencer à accueillir vraiment, avec un peu plus de crédibilité que juste un bel article émouvant dans Libé, toute la misère du monde.

Cerise sur le gâteau, et pour que le lamento soit complet, la voilà qui convoque les grands ancêtres, l'absolu génocide et l'indicible horreur : "Bien sûr, j’ai pensé à ma mère, enfant juive et étrangère sous l’Occupation, qui s’était si souvent enfuie, elle aussi, qui avait si souvent couru. Juste pour se défaire de la tension sur elle, telle une glu, de la peur adulte omniprésente. J’ai pensé à ma mère et à tous ceux qui ont vécu parce que d’autres se sont intéressés à leur «cas», parce que d’autres les ont accueillis, cachés ; des instituteurs, notamment, qui leur ont donné la chance d’apprendre et, grâce à cela, de trouver leur place ici, dans ce si beau pays. J’ai pensé à tous ces gens qui existent aujourd’hui parce que leurs voisins, leurs amis, de parfaits inconnus parfois, ont, un jour, accepté de les voir."

On veut pas l'emmerder la petite Carole avec ses pleurs de papier et son coeur médiatique rothschildé, on veut pas l'emmerder mais elle aurait pensé aussi à ces milliers de vies brisées depuis trente ans (hommes, femmes, jeunes filles, enfants, brutalisé(e)s, violé(e)s, assassiné(e)s...) par des immigrés de première, deuxième ou troisième génération qu'on a accueillis sous la pression boboïde sans se donner les moyens de les "civiliser" (c'est à dire : intégrer à la cité), elle y penserait, la carole, ça nous la rendrait un peu plus crédible et, qui sait, peut-être même un brin plus sympathique...

Lou gentille...

lundi, 25 juin 2007

Fait divers..

Un journaliste a un accident de la route, renverse une grand-mère, tue un ado, écrase une fillette, ça fait trois lignes dans la page "faits divers" où d'ailleurs l'on se garde bien de préciser que le chauffard est journaleux à Libé, pigiste au Monde et cracheur de micro à francecul...

Un flic fait la même chose, et aussitôt toutes les crapules journalistiques d'y aller de leur interview de connards masqués qui, sous la capuche, ont tout vu : le gyrophare manquant, le feu rouge écarlate, la sale gueule du flic au volant et même la talonnette de sarko qui dépassait de la portière arrière-droite...

Le monde médiatique est vraiment un monde de sales cons qui se foutent royalement de la vie ou de la mort de tous les petits Nelson du monde (il se serait appelé Habib ou Karim, c'eût été que mieux pour les ventes...) pourvu, au moins, qu'elle leur permette de cracher leur minable venin de rebelles planqués... Beuark !

Lou trafalguée...

vendredi, 22 juin 2007

Schneidermaniaque...

 Allez, y a pas grand chose à extraire de la complainte bouffone du Schneidermann viré dans Libé d'aujourd'hui, mais on va quand même retenir ça :" Chez Nicolas, c’est chez TF1, et chez TF1, c’est chez Nicolas. Quoi d’étonnant, si l’on évoque l’ami Laporte ! Comme on est bien, entre copains, à évoquer les êtres chers, les amis communs, tous ceux qui sont partis, tous ceux qui reviendront. Comme c’est plus cosy, plus fun, plus excitant que chez papy Chirac ! "

Comme on est bien entre copains ! dit-il ! Faut dire qu'il est expert, le bougre ! Lorsque les copains c'est sarko, lagardère et la chazal, là le schneid enrage et s'étouffe. Mais lorsque les copains c'était et c'est encore tous ces cafards de gauche infiltrés et enkystés (ah ! gramsci !) depuis trente ans dans tous les rouages de l'appareil culturel, lorsque c'était et c'est le pote july, le pote plenel, les potes mermet, demorand, badou, laporte, spire, polac etc... qui formatent et reformatent encore la tronche du populo par pensée, par parole, par micros, paraboles et par émission, là l'ami schneid ça paraît pas le gêner beaucoup les dorures de château-rothschild qui doivent bien valoir celles de l'Elysée... Et la "décomplexion" de gauchards de merde qui se savent intouchables et qui en profitent en face d'une droite toujours vautrée lorsqu'il s'agit de culture, ça a pas l'air de le déchirer grave le Daniel de ces dames...

Le jour, scheid, où je t'entendrai t'interroger, toi le décrypteur fou et le déontologue en chef de la médiaterie, t'interroger, dis-je, sur l'absence permanente et totalitaire, toujours, partout, sans exception, de journalistes de Rivarol, Présent, Minute, l'Action française, Eléments, Nouvelle Ecole, Monde et Vie, Radio Courtoisie.. etc... dans toutes les émissions de la radio et de la télé publiques, je commencerai à penser que peut-être tu es autre chose  qu'une infâme merde médiatique comme les autres, sauf qu'à la saloperie totalitaire tu ajoutes, toi, l'affreuse hypocrisie... Mais ce jour-là, il est pas encore arrivé ! Attention, je vais vomir...

Lou retournée...

Les deux infinis...

Décidément le nombre des cons est infini...

Le Monde d'hier nous apprend, par exemple, que 7000 personnes ont déjà signé une pétition réclamant plus d'émissions consacrées aux migrations sur France-Télévision. Les initiateurs de la chose sont les habituels syndicalistes cgtaires, journaleux pétitionnaires, droitdelhommistes patentés, immigrationnistes de choc et autres excellences boboïdes.

Premièrement, des émissions sur le sujet, y en aurait plutôt mille fois trop que pas assez. Pas un jour, une heure, une minute sans une émission sur l'infini malheur et la pitoyable détresse des migrants en butte aux passeurs véreux, aux bateaux-passoires en surcharge, aux flics, aux racistes, aux requins bleus, aux frontières, aux centres de rétention, à la double peine, aux marchands de sommeil, à la langue du pays, aux patrons exploiteurs, aux électeurs de Le Pen, aux portiers des boîtes de nuit, aux ronds-points dangereux, aux transformateurs électriques... etc...

Deuxièmement, la seule émission qui serait un peu nouvelle dans ce domaine c'est une émission qui s'appellerait "combien ça coûte" et qui, oubliant la langue de bois,  chiffrerait objectivement le coût des politiques de la ville depuis trente ans, de la délinquance liée à l'immigration, des structures scolaires, pénitentiaires, sanitaires, policières, judiciaires liées spécifiquement  aux populations migrantes, les subventions aux milliers d'associations colorées, aux festivals métissés, aux cavalcades polyculturelles et autres foutaises antiracistes, le coût également des fauteuils luxueux où le schweitzer de la Halde et ses petits copains posent leur cul, et accessoirement le coût de l'espèce de Musée de l'Immigration qui est en train de se mettre en place, le coût du ministère hortefeuquien et de la moquette des nouveaux bureaux de ni pute ni soumises... Si c'est ça qu'ils demandent, les cons, je veux bien être la 7001° signataire...

Petite précision indispensable : tout ceci non pour stigmatiser les immigrés qui n'en peuvent mais (encore que parfois ils pourraient faire un petit effort...) mais les connards de droite et de gauche qui ont mené ou laissé mener la pire des politiques immigrationnistes possible...

Lou délocalisée...

mercredi, 20 juin 2007

Les Transparents...

Ah ! putain ! écoutez-le, le minable lamento de la schneidermania.. Peuchère, pauvre chéri qui ne sait pas ce qu'il va devenir... viré comme un malpropre, limogé comme un soutier, remercié à coups de pied au cul, dégagé manu militari... on lui a cassé son joli joujou, sa petite niche merdiatique, et le voilà en pleureuse qui nous en pond des pages sur son blog, qui s'épanche sur toutes les radios, bavoche dans toutes les tribunes libres, non pas pour lui, bien sûr, qu'allez-vous donc penser ?, mais pour l'indispensable travail démocratique qu'il faisait avec son équipe de merdeuses en fleur afin de nous éviter de mourir cons, trompé(e)s et abusé(e)s par une société du spectacle dont le bon Daniel était le seul à savoir savoir si artistement soulever le voile pour nous en montrer les dessous crasseux, les chaussettes trouées et le roi nu...

Bon allez, schneid, t'en fais pas, on s'en remettra de plus te voir nous gâcher le café du dimanche, notre désarroi n'est pas si terrible que ça...

Mais par contre, juste un mot : toi qu'es si fort pour nous causer de "la petite voix du doute" et de l'indispensabilité absolue de ton magnifique boulot de décryptage médiatique, tu pourrais peut-être, en guise de chant du cygne grandiose et généreux, nous expliquer par le menu, entre deux hoquets au caviar chez mr de rothschild et deux chivas chez Libé, ce que furent les critères qui t'ont propulsé, y a 10 ans à peu près, à la tête de cette émission, et c'était quoi, aussi, les critères qui te firent choisir tels collaborateurs plutôt que tels autres, telle ou telle émission à décrypter, tel ou telle invité(é) à convoquer... Et accessoirement, tu nous dirais aussi le coût de cette émission, ce que fut ton salaire et celui de tes petites copines, ce que seront tes indemnités de licenciement...etc... là vraiment on commencerait à croire que tu es autre chose qu'une pauvre merde médiatique comme les autres et qu'arrêt sur images ne signifie pas surtout pour toi :"Arrêt sur fromage"...

C'est bizarre, quand même, comme les grands transparents sont d'une opacité absolue lorsqu'il s'agit de leur "minable tas de petits secrets"...

Lou vitrifiée...

Casting...

Ohé, les Jaunes, ça suffit plus, aujourd'hui, de bosser et d'être honnêtes, vous seriez un brin assistés, èrémistes, chômeurs, dealers, casseurs, branleurs, vous seriez vous aussi représentés au gouvernement... Nobody 's perfect...

Lou ictérée...

dimanche, 27 mai 2007

Pyrénées...

Bertrand Cantat envoie marie trintignant à la morgue : 8 ans de tôle.

Phynéas envoie un maghrébin à l'hôpital : 20 ans de tôle.

Il vaut mieux être artiste et en bonne santé que raciste et malade...

Lou blaisée...

samedi, 26 mai 2007

Delendae sunt Cannae...

Quinze jours qu'ils nous bassinent avec leur commémoration, leur montée des marches, leurs stars siliconées, leurs rebelles à noeuds paps, leur fric, leur luxe, leur compassion de merde, leur septième art absolument mâ-gni-fi-que, leurs jurys préformatés et l'insoutenable attente d'une palme d'or qui n'intéresse qu'eux-mêmes...

Et quinze jours, bien sûr, que toutes les chaînes, tous les micros, toutes les caméras sont braqués sur jeunes pouliches et vieilles carnes, vieux beaux et jeunes déjantés qui sont censés nous parler du monde comme il va, de la société comme elle devrait aller et des artistes qui portent le devoir sacré et la tâche exaltante d'être les révélateurs de notre présent, les contempteurs de notre passé et les prophètes de notre avenir...

Mais ils sont quoi, tous ces cons cultureux à deux balles pour en savoir plus que mon plombier sur tout cela ?

Qu'est-ce donc qui leur donnerait cette admirable lucidité et cette perspicacité du regard ?

Au contraire. Je crois, moi, qu'ils sont les plus mal placés, les cultureux et les filmeux, pour parler de la société, déconnectés qu'ils sont de tout ce qui, justement, fait société, comme on dit désormais...

Déconnectés de l'économique, car ils baignent dans le fric alors même qu'ils sont hors de toute production.

Déconnectés du social car ils vivent dans leur petit monde artificiel où ils ne fréquentent que les mêmes bobos qu'eux qui se béartisent ou se donquichottisent une fois par an à Saint-Bernard ou sur les Quais de Seine, histoire de passer au 20h...

Déconnectés de la morale car n'étant que dans la jouissance individuelle immédiate et ignorant ce que veut dire le mot responsabilité...

Et c'est ces cons-là qui se mêlent de nous dicter notre devoir... Beuark...

Caton revient, ils sont devenus fous...

Lou décinée...