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dimanche, 27 mai 2007

Pyrénées...

Bertrand Cantat envoie marie trintignant à la morgue : 8 ans de tôle.

Phynéas envoie un maghrébin à l'hôpital : 20 ans de tôle.

Il vaut mieux être artiste et en bonne santé que raciste et malade...

Lou blaisée...

Commentaires

Qui est Phyneas ?

Écrit par : kalle | lundi, 28 mai 2007

@Lou: Cantat jugé en Littuanie et considéré comme homicide involontaire (du moins coups ayant entraîné la mort sans intention de la donner).
@Kalle: Phinéas est un désiquilibré néo-nazi ayant agressé à coup de haches deux musulmans (mais ayant raté son coup).

Écrit par : Cadichon | lundi, 28 mai 2007

Merci Cad'.
Lou, pour une fois, je ne suis pas tout à fait d'accord avec vous : je pense qu'il est quand même beaucoup plus risqué de croiser ledit Phineas dans la rue que Cantat à l'un de ses concerts. Je veux dire : Phineas ne vous laisse pas le choix tandis que vous êtes libre de ne pas jouer à la famille d'alccolo-camés recomposée avec Cantat.

PS : Phineas, c'est pas ce mec qui s'était fait reconnaître dans la rue par un témoin au moment d'une interview ? Si c'est le cas, il me semble bien que l'agresseur était lui-même d'origine nord-africaine... non ?

Écrit par : kalle | lundi, 28 mai 2007

Les bobos comme Cantat ont les moyens de se payer de meilleurs baveux. Vous avez vu le frère de Cantat, Kalle, et ses parents ? Ils n'ont rien d'alcoolo-camés, je vous le garantis ; pas plus que Trintignant, le père de Nadine, jamais avare d'un petit couplet moralisateur. Le rockn'roll de Cantat, c'est du rockn'roll de cinoche. D'ailleurs Cantat a tué sa gonzesse par jalousie, un sentiment on ne peut plus "petit-bourgeois" (et non pas "sous l'emprise de la drogue", ça c'est un argument pour le disculper).

Dans le "crime de Phinéas", ce qui me paraît le plus significatif, c'est que celui-ci a justifié son geste par le désir de passer à la télé et dans les journaux. La profanation des tombes n'avait pas été suffisante (rien de plus banal aujourd'hui, surtout les crétins qui profanent des sépultures catholiques, ils n'ont rien compris au fonctionnement des médias), alors Phinéas s'est attaqué en plein jour à un maghrébin pour être sûr d'y passer (à la télé). C'est tout l'intérêt de cette affaire que la presse a bien entendu occulté, avec son sens particulier de l'"information".
Lou me fait souvenir aussi du témoignage rocambolesque cité par les médias, une preuve supplémentaire de leur ineptie, le témoignage de l'éducateur qui s'était occupé de Phinéas quelques années auparavant et qu'il avait orienté vers un BEP de peinture en raison de ses dispositions pour le… dessin. En réalité la presse, pas seulement "Détective", mais aussi "Le Monde", se nourrit de ces faits divers affligeants (Je conseille à Lou, si elle aime les romans policiers, la lecture des "Chiens écrasés" de Ludovic Roubaudi, même maison d'édition que Marc-Edouard Nabe, un écrivain qui sait manifestement de quoi il cause.)

Écrit par : Lapinos | lundi, 28 mai 2007

Bien sûr Cadichon (et Kalle) que les deux actes sont complètement différents... Mais j'avais envie quand même de noter ce putain de traitement différent lorsqu'il s'agit du crime des crimes : le racisme... Là, que le Tronchon ait été fils d'une mère violente, suicidaire et alcoolique et d'un père inconnu, il semble pas que ça ait très fort ému les Juges. Et ces circonstances atténuantes qui servent plein pot pour les battisti et autres crapules, s'évanouissent soudain devant l'énormité indicible et mémorielle et repentante de l'abomination absolue qui taraude nos sociétés...etc...etc... Et donc Tronchon doit prendre un max... pour faire plaisir à mouloud aounit et louis schweitzer...

Merci Lapin, je vais essayer de lire Roubaudi...

Écrit par : Lou | lundi, 28 mai 2007

Ce qui me dérange, c'est quand on fait le parallèle avec ce type (marocain d'origine, je crois) qui avait fendu à coup de hache le crâne d'un adolescent accompagné de sa petite amie.
L'adolescent, pour le coup était bel et bien mort.

Je crois me souvenir que le meurtrier avait bénéficié de circonstances atténuantes, eu égard à son faible "niveau culturel" (il venait d'un bled paumé dans les montagnes marocaines, un truc comme ça, pis en plus c'était un mimigré).
En tout cas, rien de raciste dans son acte, évidemment (d'ailleurs il était marocain, et c'est bien connu, les marocains, comme tous les africains d'ailleurs, sont exempts de ce virus sournois qu'est le racisme).
Il avait pris 12 ans de prison je crois (j'ai cherché l'histoire sur le web, mais pas trouvé).
La famille de la victime s'était d'ailleurs laissé emporter par une colère assez politiquement incorrecte.

Écrit par : blouzougu | lundi, 28 mai 2007

Ah bin non : je viens de trouver des mentions du crime et il semble que le verdict ait été 25 ans de prison. La victime s'appelait Romain, le coupable Hamadi Ed-Debch.

Écrit par : blouzougu | lundi, 28 mai 2007

Même si je suis convaincu que les deux actes sont différents, je suis aussi certain que la justice aujourd'hui n'est pas neutre.
Il y a trente-cinq ans encore, l’ordre juridique français se voulait impartial. Chrétien, impie, communiste, raciste, peu importait, l’accusé où le prévenu convaincu d’un crime ou d’un délit gardait les mêmes chances sans a priori ni prétention à l’examen des idées.
Cette approche impartiale n’est plus celle de notre justice sidérée par les « droits de l’homme » et l' « antifascisme » qui en sont le moteur, elle prend à son compte un rôle de police de la pensée et des sentiments.
Le juge d’aujourd’hui est imprégné par l'« antifascisme » internationaliste, étatique, universitaire, scolaire, médiatique etc.
Le juge de l’empire des « droits de l’homme », traque d’abord le « crime par la pensée », dont Orwell avait subodoré prophétiquement qu’il deviendrait le « crime fondamental qui contenait tous les autres ».
Ce péché capital est désigné ordinairement sous des vocables tels que fascisme, xénophobie, racisme, antiféminisme, antisémitisme, nazisme, extrême droite, etc.
En présence de ces mots, ou des idées et sentiments qu’ils sont censés recouvrir, il n’y a plus de débat possible, les idées ne sont plus vraies ou fausses, utiles ou inopportunes, mais scandaleuses, infâmes, ignobles, immondes, nauséabondes, répugnantes, écoeurantes, honteuses, indignes, etc.
Qualifications à rapprocher des injures communistes traditionnelles, fondatrices et armes de la guerre civile permanente, telles « vipère lubrique », « charogne puante », elles-mêmes à rapprocher de l’aphorisme de Sartre : « un anticommuniste est un chien ». Il s’agit, dans ce registre non de critiquer les idées ou leur application, mais de provoquer l’exécration haineuse envers qui les porte.
Hors du système des « droits de l’homme » il n’y a pas de Salut , hors du système ne réside que le vice.
Cadichon nous dit que Phinéas est un déséquilibré néonazi, et Lapinos que" l'emprise de la drogue" est un argument pour disculper Canta.
Est-il plus grave d’être un déséquilibré néonazi qu'un déséquilibré drogué ?.

Écrit par : lustucru | mardi, 29 mai 2007

@ Lapin : je ne vous parle pas du frère ou du père, mais des deux impliqués... Quant à la jalousie, c'est la manifestation d'un problème psychique grave que les gens qui en sont atteints refusent la plupart du temps de soigner. C'était peut-être le cas de Cantat, mais franchement je ne vois pas ce que la nature de sa musique a à voir avec cela...
Et à propos de taré, le Phineas m'a l'ait d'être gravement endommagé du neurone si je comprends bien vos explications ! Il mérite perpète en camisole, ce con.
Quant au bouquin de Roubaudi, on dira qu'il est divertissant mais qu'il n'apprend rien qui n'ait déjà été dit sur la question du journalisme-poubelle (dont l'auteur s'est largement nourri à une époque).

@ Lustucru : oui, vous avez raison, sans faire de votre observation une généralité, beaucoup de juges se sentent investis de la mission "suprême" : dire le droit plutôt que de l'appliquer. Ils se substituent en cela au législateur... mais c'est bien le législateur qui leur a donné ce droit, à la fois moral et juridique. Donc nous voilà avec deux coupables. En revanche, votre point de vue concernant l'impartialité des juges "d'antan" est une complète vue de l'esprit. Chaque affaire avait "son juge" : s'il fallait juger deux anarchistes ayant estourbi un gendarme à moustaches, on sortait un hermineux bourgeois véhément et réac en diable qui, sans coup férir, faisait choir leur tête dans le bac à sciure. À l'époque, on envoyait des gamins au bagne pour avoir giflé leur contremaître et insulté leur patron (et quel patron...) au nom de l'ordre économique et du respect de la hiérarchie. Si, si.

Écrit par : kalle | mardi, 29 mai 2007

Kalle concernant l'impartialité des juges "d'antan" vous avez peut-être raison, mais c'étaient les nôtres, aujourd'hui nous sommes assujettis aux autres.
Pour le reste, je crois ne rien ignorer.
Le 26 février 1999, un éminent professeur de droit de l’université Panthéon-Assas (Paris II), le doyen Serge Guinchard, a donné une conférence en la prestigieuse Grand’chambre de la Cour de cassation.
Il traitait de l’influence de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et de la jurisprudence de la Cour de Strasbourg.
Dans son dessein général, le propos peut viser à bien des égards la procédure pénale, surtout le droit pénal coutumier dont la critique devient taboue (la Chape droitdelhommesque). L’auditoire était des plus recherché, puisque, outre de grands magistrats français et étrangers, des représentants du Premier ministre et du ministre de la Justice étaient présents.
Le doyen Guinchard, parlant des organismes européens.

"La Commission et la Cour européenne ont développé des méthodes d’interprétation du droit européen tout à fait originales, au moins pour l’esprit cartésien peu familier du droit anglo-saxon.
Avec de telles méthodes d’interprétation, on est loin du raisonnement juridique traditionnel français.
Nous sommes dans une autre logique, celle des concepts flous.
C’est une démarche pragmatique, anglo-saxonne certainement, à laquelle nous devons nous habituer".

Aveuglement ordinaire, c’est comme ça, dit-il en substance, ce n’est pas facile, mais il faut faire avec, on n’y peut rien, bref, la Chape le veut, aussi faudrat-il « nous habituer », comme tout bon domestique aux desiderata de son maître, à cette « démarche pragmatique, anglo-saxonne certainement… », aussi un peu totalitaire sur les bords, « anglosaxonne certainement… » : l’adverbe en dit long sur la perplexité du doyen.
Perplexe mais pas critique , « nous devons nous habituer » voilà, c’est comme ça, comme l’Euro, comme l’heure d’été, comme le référendum sur la constitution européenne en voie de passer par profits et pertes, comme les bombardements de « compassion » sur la Serbie et l’Afghanistan, comme la guerre en l’Irak, les inondations dans la Somme ou ailleurs, la fièvre aphteuse ou le cancer du sein, nous devons nous habituer ,voilà.
On ne va tout de même pas expliquer à un public très comme il faut que l’Europe continentale abandonne ses référents juridiques et plus généralement les vertus propres de sa civilisation juridique.
On ne va pas montrer que la souveraineté démocratique est en train d’abdiquer pour satisfaire, par pure flagornerie, pusillanimité et conformisme, les critères de la Chape.
Ceux-ci sont essentiellement fondés sur une « démarche pragmatique » reposant sur des « concepts flous », voila tout.

Écrit par : lustucru | mardi, 29 mai 2007

@ Lustucru : merci pour cet intéressant éclairage qui en dit long sur la renonciation à tout concept en rapport avec la souveraineté nationale. Las ! Je ne puis que constater que le droit anglo-saxon adopté par l'Europe, ne l'a pas été (adopté) par hasard. Il est la résultante de l'écrasante domination anglo-saxonne dans le monde du "business". Et, sans vouloir me vautrer dans la facilité, j'insiste pour dire que ce monde-là gouverne le monde que nous connaissons, vous et moi, le monde "vrai" qui est issu de la tradition et de l'histoire, et qui doit plier sans espoir d'appel au diktat de l'état de droit économique, seule institution d'avenir sous nos cieux...
Oui, Proglio/Dati valse avec Sarkozy/Paris-Match... et leurs idoles sont des cabinets de droit new-yorkais.
Dur, non ?

Écrit par : kalle | mercredi, 30 mai 2007

Et moi, sans vouloir me vautrer dans la difficulté, j'insiste pour dire que ce monde-là qui gouverne le monde que nous connaissons, vous et moi, j'ai du mal à m'y résigné.
(Kalle, que nous soyons d'accord -a peu pres- deux com de suite, c'est beaucoup trop, il faut revenir a une situation normale...).

Écrit par : lustucru | mercredi, 30 mai 2007

Je ne suis pas d'accord avec vous.


(ça va là ? J'ai bon ?)

Écrit par : kalle | mercredi, 30 mai 2007

Peut mieux faire.
Dans quelle catégorie dois-je ranger votre désaccord et vos ergotages

Écrit par : lustucru | jeudi, 31 mai 2007

Le rapport entre la musique de Cantat et sa condamnation, Kalle ? Si Cantat avait été un vrai rebelle, ce que le mot "rockn'roll" est censé signifier, il n'aurait pas bénéficié de la clémence d'une justice bien-pensante. Ça me paraît clair.

Écrit par : Lapinos | lundi, 04 juin 2007

C'est atrocement capillotracté, votre rapprochement, Lapin. Franchement, une vue de l'esprit... Vous semblez croire d'abord que Cantat est le seul musicien de son groupe (erreur), vous imaginez ensuite que c'est en écoutant sa musique sur un ipod que le juge a formulé sa condamnation.
Étonannt, non ?

Écrit par : kalle | lundi, 04 juin 2007

A moins que l'on ne me démontre le contraire, la musique de Noir Désir n'a pas fait un carton en Lituanie et doit avoir encore moins d'influence sur un juge.
Par contre il n'est pas impossible que dans ce pays pas encore passé à la moulinette progressiste féministe-libération des moeurs, on considère que l'on a le droit de dérouiller sa compagne si celle-ci reçoit des mails de son ex, à condition de ne pas frapper trop fort.

Écrit par : Cadichon | lundi, 04 juin 2007

Cad', doit-on imaginer que toute culture refusant d'être polluée par le discours gaucho-castrateur des connasses fémino-hystériques produit nécessairement des crétins obtus violenteur de gonzesse ? Frapper une femme n'est pas un droit, c'est un délit... point barre. L'homme qui frappe une femme - a fortiori son épouse - est une lopette molle du calbute.

Écrit par : kalle | lundi, 04 juin 2007

Kalle j'avance une hypothèse: en France si on prouve que tu bas ta femme, tu n'as pas la moindre chance devant un tribunal.
En Lituanie dans un pays où la femme n'a pas son mot à dire, on se dit peut-être que si la femme n'était pas totalement fidèle, elle l'a un peu cherché et que le principal tort de Cantat est d'avoir cogné trop fort et non d'avoir cogné.

Écrit par : Cadichon | lundi, 04 juin 2007

Je ne crois pas beaucoup plus à l'indépendance de la justice lituanienne qu'à celle de la justice française, Cadichon. Cantat est presque annexé au patrimoine national. Moins de deux semaines après son forfait (ne soyez pas systématique, Kalle, il y a des garces qui méritent un bon coup de pied au cul de temps en temps), les fans de "Noir Désir" réclamaient déjà la libération de leur idole.

Et je reste persuadé qu'un membre de "Brutal combat" ou de "Rebelles européens", dans les mêmes circonstances, aurait été jugé plus sévèrement qu'un bobo déguisé en rocker comme Cantat.

Écrit par : Lapinos | mardi, 05 juin 2007

Vu sous cet angle, assez d'accord avec vous, Cadichon. Mais bon, cela peut vous paraître suranné, mais je ne supporte pas l'idée qu'un homme batte une femme.

Lapin, si certaines méritent - c'est une analyse fort subjective - une mandale ou un coup de pied au cul, je pense que la force de l'homme consiste à prendre ses distances, à être plus fort que l'instinct ou la passion, ou que sais-je... En cela Cantat a agi comme une merde. Vous grossissez le trait à loisir, évoquant le délire de ses "fans". Autant évoquer le bon sens de la population de Sainte-Anne. De plus, Libération (qui s'est autoproclamé conscience publique dans ce sordide dossier) n'est pas l'exact reflet de l'opinion publique nationale, ne l'oubliez pas ! Bien des gens se foutent de Cantat et de son désir à deux balles (fut-il noir), non ?

Écrit par : kalle | mardi, 05 juin 2007

Un bon croquis valant parfois mieux qu'un long discours, comme on dit dans l'armée, il suffit d'avoir vu une fois une femme à terre se faire savater par son homme pour comprendre ce que ce geste a de vil, de lâche et de pervers.

Toutefois, et ceci n'explique pas cela, on ne dira jamais assez combien le clan Trintignant, et en premier lieu la vieille peau qui lui sert de chef, c'est montré pour l'occasion sur son vrai jour, à savoir une famille de mafieux pleine de morgue puant à plein nez le strass et le népotisme, les relations au sommet de l'état et la subvention culturelle.... Il fallait voir à la barre cette bonne femme s'en prendre aux enfants de Cantat et leur ancien ministre socialiste d'avocat plaider (et obtenir) qu'on les dépouille au profit des enfants de Marie...Pour ne rien dire de leur maison de famille qui prend soudainement feu sans que la police ne se mettre aux trousses des incendiaires.
En la personne de cette salope, c'est incarnée et mise à nue toute la gauche caviar, celle qui l'été pète dans la soie sur les hauteurs du Lubéron et l'hiver dans les cocktails de Jack. Toute y était: la vénalité parfumée aux bons sentiments, le best-seller d'après meurtre disponible en librairie alors que le cadavre sent encore, Lio en tournée de deuil sur tous les plateaux TV, l'humour de chiotte de Guy Bedos courageusement tournée contre un homme en prison...
XP en colère, pour parler comme la patronne.

Écrit par : XP | mercredi, 06 juin 2007

Bien vu et bien dit, XP. Globalement (comme l'on dit au Djièyte), je suis furieusement d'accord avec vous.

Écrit par : kalle | samedi, 09 juin 2007

Xp, je me permets, sans mettre en cause la totalité de votre com où vous dépensez une verve, une culture, une invention, une variété une finesse, une indépendance sans égales, d'attirer votre attention sur les conséquences de la révélation de faits que nous ignorions, c'est-à-dire : " l'été ils pètent dans la soie sur les hauteurs du Lubéron et l'hiver dans les cocktails de Jack" .
Ils pètent dans la soie, soit, dans les cocktails de Jack, passe encore, mais sur le Luberon, c'est intolerable.
Le méthane est un gaz a effet de serre et donc polluant, son emission est sévèrement contrôlée, vous voyez le rapport ?.
Monsieur Bush fils ne plaisante pas avec ces choses-là, monsieur Poutine non plus, sans oublier madame Merkel, monsieur Blair.
Monsieur Sarkozy de Nagy Bocsa va donc devoir, justifier, expliquer à ses homologues du G8 cette gigantesque pétarade sur le Luberon.
La dialectique de monsieur Sarkozy ayant fait ses preuves, passons.
Mais la révélation de cette massive émission de gaz a des conséquences potentielles que vous semblez ne pas mesurer, imaginez, oui imaginez qu'à l'entrés des aéroports, à New York, à Ouagadougou, à Jérusalem, etc, un panneau donne aux voyageurs en partance pour la France le conseil impératif de se munir d'un masque à gaz, je n'insiste pas.
Du temps que j'y suis je vous fais part de ma reflexion au sujet du premier paragraphe de votre com, voilà, je me suis dis ; xp est à la mode du passé avec même une nuance qui est à la mode du passé antérieur, je vous explique : vous semblez ignorer que nous vivons une époque où la discrimination est punissable et où la discrimination positive est préconisée, donc dans une situation où vous casseriez deux dents à un homme, vous devez en casser quatre à une femme ceci au nom de la discrimination positive bien comprise sans quoi vous risquez le procès, l'amende, la prison, la roue pas encore, je me demande même comment il se fait que cantat ait été condamné pour avoir appliqué ces regles simples et conviviales... sans doute encore une injustice de la justice.

Écrit par : lustucru | dimanche, 10 juin 2007

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