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mardi, 23 mai 2006

Rétroactiverts...

Que lis-je sur le site de Marianne ? Qu'alain lipietz, le député vert (de rage ?) aurait assigné la sncf pour avoir transporté, il y a plus de 60 ans, de Pau à Drancy, ses parents.... Cette action pourrait lui rapporter 60000 euros que lui verserait la justice, la sncf ou l'Etat français.

On suggère à lipietz, au nom du devoir de mémoire et de ses intérêts bien compris d'assigner également la région nord-pas-de-calais qui fournissait le charbon, les fonderies de Lorraine qui fabriquaient les rails, l'ign qui documentait les plans, l'école des Mines qui déterminait les tracés et les scieries de haute-savoie qui produisaient le bois dont on faisait les wagons...

Quand un député n'a rien de mieux à s'occuper que de ce genre de conneries rétroactives, c'est que vraiment il a rien à foutre du présent... Exit Lipietz.

Moi-même, il me souvient tout à coup que mon pauvre tonton marcel, il y a 44 ans, fut victime, au cours d'une partie de chasse, de quelques plombs égarés qui se logèrent dans sa bedaine et contribuèrent à activer sa vieillesse et sa mort. Je m'en vais de ce pas attaquer le Chasseur français et la Manufacture d'armes de Saint-Etienne..On sait jamais... je pourrai enfin mettre les sanitaires...

Lou cheminote...

lundi, 22 mai 2006

Fatal rond-point...

Libé, 20 mai, un article intitulé :"une mort qui sème le doute et le trouble à Montpellier", où nous est contée, dans l'inimitable style Libé, la mort de Nouredin, 18 ans, qui a fini dans un muret après une course-poursuite avec les flics. Rip. Versions divergentes, bien sûr, mais en gros, selon la police :"roulait sans casque, double les flics et leur fait un doigt d'honneur... prend la fuite... roule comme un dingue... prend le rond-point par la gauche... était connu des services de police...devait être jugé en septembre pour recel de vol de scooter..." !!

Mais le meilleur est encore à venir, car la mère, sans doute bien conseillée par tous les chacals de l'antiracisme, appelle à une marche silencieuse, une ... attention... "manifestation pour la justice"... ! Il est vrai qu'avec un tel pedigree, une manifestation sur ce thème s'impose... Dommage que le fiston, lui, ait plutôt choisi de vivre à côté ou en face de la justice...

Et ces cons de Libé qui boivent ça comme du petit lait et en rajoutent une couche, des fois que les banlieues de Montpellier s'enflammeraient, ça serait bon pour les ventes, ça, coco...

Un seul regret : que le gros july et le rothschild se soient pas trouvés sur le rond-point avec leur mercédès décapotable TDI 240 ch, ça aurait pu être sympa...

Lou chauffarde...

dimanche, 21 mai 2006

Divin divan... du vent...

C'est entendu, Gérard miller est un sale con, charlie-hebdo un torchon, la politicaillerie de la merde, la psychanalyse de la daube, ségolène du vent, Lou une teigneuse... et pourtant, et pourtant...il est pas inintéressant l'interview (je vous signale qu'"interview" est bisexuel...) de gérard miller (charlie du 17 mai, p. 2) psychanalysant la candidate ségogo... à coups de biroute et de priapisme...

Parfois je m'inquiète : croyez-vous que je doive m'allonger sur le divan ?

[Si vous devez chourer charlie, de préférence dans une grande surface. Merci.]

Lou kleinée...

samedi, 20 mai 2006

Black out... ou blacks in... ?

Grossière erreur de casting de raymond domenech : sur les 23 joueurs de l'Equipe de France sélectionnés pour la Coupe du Monde de Football il n'y a que 16 blacks ou assimilés... Pire : les trois gardiens de but sont blancs, ce qui interdit définitivement la possibilité de voir une équipe de France entièrement noire évoluer sur le terrain, et du même coup empêche toute éventualité d'une participation de l'équipe de France à la Coupe de football interafricaine. Que font les vigilants de la visibilité ?

Selon nos dernières informations, le Conseil Représentatif des Associations Noires (CRAN) envisagerait de porter plainte...

Lou crayeuse...

vendredi, 19 mai 2006

Ma cabale au tacatac...

Libé d'aujourd'hui (19 mai), un article du duo Bensaïd/Perrault ("un kidnapping sarkozien") pour nous faire pleurer une fois de plus sur le pauvre battisti que personne ne veut retrouver et qui doit se la couler douce avec ses droits d'auteur dans la poche et la fred vargas sur les genoux... Accessoirement, on nous parle également d'un ancien brigadiste qui serait victime lui aussi de l'infâmie sarkozienne.
Et les deux comiques troupiers de s'indigner de la rupture de la "parole donnée au nom de l'Etat français par un Président et un Premier ministre en exercice". (Tonton et Jospinou).

C'est curieux quand même de les voir, ces deux zozos, si pointilleux sur la parole donnée alors qu'ils savent se montrer soudain beaucoup plus laxistes, flous et approximatifs sur l'application de telle loi (celle sur l'immigration par exemple) qui, elle, ne résulte pas d'une parole donnée par un politicien retors, électoraliste et séducteur, mais de la réprésentation officielle, nationale, démocratique et républicaine du peuple français...

Un peu plus loin, les deux clowns affirment sans rire :"N'est-il pas grand temps de tourner la page de ce passé qui ne passe pas...?", alors même qu'ils arrêtent pas de hurler avec les loups lorsqu'il s'agit de la seconde guerre mondiale et de nous imbiber alors de devoir de mémoire, d'éthique du souvenir ou de commémoration mémorielle à rallonge et à l'infini...

Enfin, rien, pas un mot, dans ce plaidoyer pro crapulo, rien sur les victimes de battisti... Sans doute la vie de deux ou trois carabinieri n'a aucune valeur aux yeux de ces deux ordures déontologues dont l'un est prof de philo et l'autre écrivain... Beuark !

Lou éthiquetée...

jeudi, 18 mai 2006

Cartes de séjour et bons sentiments...

Un article de plus, de deux insignifiants, samir naïr, prof à sciences-po, et un haut fonctionnaire quelconque, dans Libé du 17 mai, à propos de la nouvelle loi sur l'immigration... Et au milieu de quelques arguments finalement pas si cons et techniquement étayés, ces quelques phrases gentillettes :"L'article 28 supprime la délivrance de plein droit de la carte de résident aux ressortissants qui justifient de plus de dix ans de séjour régulier : même à ceux-là, elle pourra être refusée, et ils devront continuer de faire renouveler tous les ans leur carte de séjour temporaire. On détruit ainsi le principe du renouvellement automatique qui faisait tellement honneur à la France."

Voilà où en est l'intelligence en France en 2006 : quand on a pas d'arguments sérieux, mais qu'on veut quand même montrer sa grande générosité et saluer bien bas les vigilants, on va piocher dans l'armoire à moraline, et on se préoccupe soudain, avec un intérêt touchant, de l'"honneur de la France", c'est à dire de deux réalités, l'Honneur et la France, avec lesquelles on s'est allègrement torché pendant quelques décennies...

Tant de connerie m'époustoufle !

Lou désintégrée...

mercredi, 17 mai 2006

Daniel ou Camus..., il faut choisir...

Le temps... le temps...

Alors juste ceci, ce soir, lu dans le Magazine littéraire de Mai, consacré à Camus, un article de Jean Daniel qui écrit à propos de Camus et l'Algérie : "Camus voit apparaître la résignation à l'indépendance. Il se cabre. On ne répare pas l'injustice coloniale par l'injustice de l'indépendance. On ne substitue pas à la domination des colons français celle du despotisme arabe. On ne déracine pas des gens qui sont chez eux, aussi bien que tous les peuples qui se sont succédé comme occupants en Algérie. On lui dit que c'est le sens de l'Histoire et qu'il est inexorable. Alors Camus a l'impression de retrouver sa vieille ennemie, précisément l'Histoire, celle qui était idolâtrée par les staliniens pour justifier le sacrifice des peuples et celle qui est chantée par les intellectuels parisiens pour se résigner à l'exil des pieds-noirs, sinon pour le souhaiter..."

Le problème avec jean daniel, outre son incurable boboïsme, c'est qu'il a le mérite, certes, d'écrire ceci aujourd'hui, mais le tort de s'être opposé, à l'époque, à Camus...

Lou rmarine...

mardi, 16 mai 2006

Etre Racine ou rien...

Bon, c'est pas vraiment du racine, mais si on peut plus s'amuser...

"Sait-on, sait-on assez que ce cher Bozonnet

qui soudain se la joue effaré, perturbé,

découvrant, prétend-il, l'horreur de peter handke,

sait-on bien que ce minus habens à la manque,

ce cultureux nourri à la sauce aillagon,

fils putatif du Nomdedieudevabres et qu'on

a vu plus d'une fois revêtir la jaquette

d'un ministre d'antan nommé jack la languette,

sait-on donc que bobo, bozon, bobozonnet,

son air con, sa vue basse et ses cris effrayés,

alors que les Balkans n'étaient que cris et larmes,

horreurs, atrocités, jadis, en ces alarmes,

bozonnet, cultureux toujours plus, programma

la pièce qu'aujourd'hui il censure à fracas..."

[Le Monde du 9 mai, article de brigitte salino et emmanuel de roux :"Marcel Bozonnet avait fait donner une lecture publique de la pièce, qu'il juge "très belle", quand il était directeur du Conservatoire supérieur national d'art dramatique de Paris. C'était en 1994, au plus fort de la guerre en ex-Yougoslavie."]

Lou cornélienne...

lundi, 15 mai 2006

Putain, la technique... !

L'édito de colombani dans le Monde du 13 mai : gna gna gna... le dirlo prévient ses lecteurs... gna gna gna   s'il nous arrive malheur, ça sera la faute à galouzeau... nous n'avons fait que notre devoir... gna gna gna informer... nous ne cèderons pas aux intimidations... etc... et le finale, superbe : "Notre intention est de perséverer : contribuer à la manifestation de la vérité est la meilleure façon de défendre nos libertés, qui sont aussi les vôtres."

En fait, ce que voulait dire colombani, mais y a eu une erreur de prompteur, c'est : "contribuer à la manifestation de la vérité est la meilleure façon de sucer les roues des socialistes afin de préparer l'alternance et de gonfler nos ventes qui en ont bien besoin".

Lou prompte...

dimanche, 14 mai 2006

Bardamu jacta est...

Le commentaire du dimanche : aujourd'hui, le grand Ferdine et le "Voyage", et c'est tombé (huissier adjuvante) sur la page 150 de mon édition (Denoël, 1944, avec 15 dessins de Gen-Paul, mais dans quel état !), sur la galère de Ferdine aux States :

"Moi aussi peut-être, en réfléchissant bien, j'aurais pu rechercher un emploi dans un de ces bureaux dont je lisais les pancartes éclatantes du dehors... Mais à la pensée d'avoir à pénétrer dans une de ces maisons je m'effarais et m'effondrais de timidité. Mon hôtel me suffisait. Tombe gigantesque et odieusement animée.

Philosopher n'est qu'une autre façon d'avoir peur et ne porte guère qu'aux lâches simulacres.

N'ayant plus que trois dollars en poche, j'allai les regarder frétiller au creux de ma main, mes dollars, à la lueur des annonces de Times Square, cette petite place étonnante où la publicité gicle par-dessus la foule occupée à se choisir un cinéma. Je me cherchai un restaurant bien économique et j'abordai à l'un de ces réfectoires publics rationalisés où le service est réduit au minimum et le rite alimentaire simplifié à l'exacte mesure du besoin naturel..."

Alors, comment ou no comment ?

Lou touchée...

samedi, 13 mai 2006

Zéro pointé...!

 L'immonde pute karl zéro, ce matin, chez Elisabeth Lévy (émission Le premier pouvoir, écoutable pendant une semaine sur le site francecul), essayant de sauver sa tronche et s'enfonçant lamentablement. Monsieur nous explique pépère que maintenant qu'il s'est fait lourder, il peut cracher dans la soupe. Ce qui signifie tout simplement :-1/ que cet histrion "décapant, rebelle et subversif" n'a jamais mordu la main du maître qui l'employait. -2/ que Canalplus, la chaîne "décapante, rebelle et subversive", n'est rien d'autre qu'une merde monopolisto-capitalisto-libérale, une machine à fric  sans autre morale ni conviction que le veau d'or.

Bon, je vais encore me faire traiter de naïve et entendre murmurer dans vos chaumières que Lou découvre l'eau tiède mille ans après son invention... Aussi, je précise que bien sûr je le savais, mais l'entendre dans la bouche de ce "zéro pointé", ça fait du bien.

"Zéro pointé", c'est le titre d'un excellent article de Christian Combaz dans Valeurs Actuelles de cette semaine (sur site ou dans les kiosques). Allez-y voir, et lisez l'analyse fine et pertinente (avec une magnifique comparaison finale) de la façon dont le petit con s'est pris la porte dans la gueule par manque de lucidité :

"il est surtout châtié pour avoir pratiqué le fayotage idéologique en affichant une horreur m’as-tu-vu à l’égard de la droite à principes.
En l’occurrence la chaîne ne lui reproche pas expressément son intransigeance envers le Front national. Elle lui reproche de l’avoir compromise dans le registre de l’indignation, en exigeant de la plupart de ses invités qu’ils abjurent toute indulgence envers les idées inadmissibles. Or, si l’on écarte deux ou trois convictions criminelles, la notion de l’inadmissible est très relative en politique. Par exemple, la répulsion épidermique à l’égard de tout débat sur l’immigration est passée de mode. Mais Karl Zéro ne l’a pas compris à temps. Il se retrouve dans la position d’un apparatchik russe qui organiserait des réunions sur l’impérialisme capitaliste à l’heure où Poutine reçoit le président de Microsoft."

Lou admirative...

vendredi, 12 mai 2006

Tiens-toi droit !

C'est dans Libé du 12 mai, et ça parle d'ameublement en relation avec les postures habituelles des jeunes générations. Et ça donne ça :

«  Le vautré serait né autour des années 1980. Avec lui, le principe de bienséance du XIXe siècle, qui interdit «d'offenser le dos de sa chaise», a visiblement sauté. Cette génération ne s'assied pas, elle s'effondre, puis se laisse dégouliner à l'oblique du dossier. Biberonné au Stérogyl, vitamine favorisant l'absorption du calcium chez l'enfant, ce Bambi a poussé comme un bambou, jusqu'à parfois dépasser ses géniteurs d'un bon décimètre... Avec son côté monté en graine et ses allures de Gaston Lagaffe, le vautré reste sourd au parental principe du «tiens-toi droit» répété par ses autorités exaspérées.

 

Autre image caractéristique du comportement du vautré, son approche du canapé. Contrairement à ses parents, le jeune ne prend pas place sur un sofa. Il s'affale. Pile au milieu. Puis, avec ses jambes de faucheux, dessine une sorte d'accent circonflexe, les semelles de ses baskets en appui sur le rebord de la table basse. «Un angle d'assise à 127 degrés, que les scientifiques de la Nasa ont qualifié de "zéro gravité"…Le principe premier de cette génération vautrée est de chercher des points d'appui pour se libérer du poids de son corps. «La posture zéro gravité n'est efficace qu'à condition de la soutenir des coudes et des jambes, ce qui libère jusqu'à 60 % du poids du corps, précise Gérard Laizé. Faute d'appui, on comprendra alors la consommation excessive de coussins chez le vautré pour se caler les bras ou la tête, lourde de cinq kilos. Faute de repose-pieds, le phénomène baskets collées sur la table basse devient d'une logique évidente.»

 

Comme le vautré vit souvent en bande, il n'est pas rare de le retrouver avec ses comparses en plein squattage des surfaces planes qu'offre la maisonnée. Ces adeptes de la posture guimauve sont nés une souris d'ordinateur à la main et usaient de la télécommande avant de dire papa. Cette position, entre l'avachi et l'étalé… etc… »

Ne serait-ce pas, incognito, la meilleure analyse de la crise du CPE...?

Lou, (bien sûr) vautrée...

 

 

 

jeudi, 11 mai 2006

Taubirer : mentir par omission...

Sympathique, la Taubira avec ses accents pathétiques, son émotion de commande et ses envolées lyriques sur l'esclavage et la colonisation... Sauf que magouiller la mémoire, trafiquer l'histoire et trier dans le souvenir, c'est pas vraiment joli joli quand on se la joue Mère-la-morale sur tous les plateaux...

Ainsi donc, voici d'abord l'article I de la loi du 21 mai 2001 que Taubirette se félicite partout d'avoir fait voter :

 «La République française reconnaît que la traite négrière transatlantique ainsi que la traite dans l'océan Indien d'une part, et l'esclavage d'autre part, perpétrés à partir du XVesiècle, aux Amériques et aux Caraïbes, dans l'océan Indien et en Europe contre les populations africaines, amérindiennes, malgaches et indiennes constituent un crime contre l'humanité. »

 

Et voici maintenant, dans le Figaro du 9 mai, sous la signature de Thierry Portes, quelques vérités complémentaires que Miss Black-is-black se garde bien de proclamer dans ses nombreuses et abondantes prises de parole...

 

 

"Remonter à l'Egypte ancienne, à Athènes ou à Rome n'était sans doute pas nécessaire. En revanche, ne s'intéresser à l'esclavage qu'«à partir du XVesiècle», époque à laquelle les Européens ont abordé les côtes africaines, c'est oublier la traite orientale, organisée depuis le VIIe siècle par les Arabo-musulmans et leurs complices noirs-africains. Et c'est donc fermer les yeux sur un trafic, qui s'est maintenu au XXe siècle ; et sur une pratique, l'esclavage, qui se poursuit encore aujourd'hui, en Mauritanie, au Niger, au Soudan et dans les Etats du golfe Persique. Jusqu'à son abolition effective au tournant des années 1860, plus de onze millions d'esclaves ont été déportés par les différentes traites atlantiques, organisées par les Européens. Les traites orientales, contrôlées par les Arabo-musulmans, ont déporté quelque dix-sept millions d'esclaves entre le VIIe siècle et les années 1920. Quant à la troisième traite, le commerce des esclaves entre Africains noirs, elle aurait concerné quelque quatorze millions d'individus.

Selon Patrick Manning, après 1850, «les achats africains d'esclaves surpassèrent le volume combiné des esclaves exportés en Occident et en Orient». Olivier Pétré-Grenouilleau, dans un récent ouvrage (1), en vient à démontrer que «l'Afrique noire n'a pas seulement été une victime de la traite, elle a été l'un de ses principaux acteurs». Et d'ajouter que, «globalement, les pouvoirs africains sont restés maîtres des jeux de l'échange, tout le temps que la traite négrière dura».

 

Le lien causal entre colonisation et esclavage, évident pour les Antillais, Guyanais et Réunionnais, mérite également d'être précisé. «La traite par l'Atlantique, rappelle Olivier Pétré-Grenouilleau, s'est achevée quelques décennies avant le processus ayant véritablement conduit à la colonisation de l'Afrique noire.» S'ils ont exporté des esclaves dans leurs possessions des Amériques et des Caraïbes, c'est la lutte contre l'esclavage que les Européens exportèrent dans leurs nouvelles colonies africaines. La théorie abolitionniste, née et forgée en Occident, servit même à justifier l'avancée des armées.."

 

Lou bronzée...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

mercredi, 10 mai 2006

Benoit, pointure 41, taille XVI...

Lu dans Le Point du 4 mai :"Contrairement à ses prédécesseurs, Benoît XVI ne dédaigne pas de porter des vêtements griffés ou d'utiliser des produits de marques connues. Ainsi le souverain pontife se chausse Prada ou Geox et porte des lunettes de soleil Bushnell. Il écoute Bach sur son iPod Apple et les sièges de sa papamobile sont en cuir Natuzzi..."

Si ces informations sont exactes, il y a vraiment quelque chose de pourri au royaume du Vatican. A quand les logos de Nike ou Mac-Donald sur la tiare papale ? A quand une pub pour un Saint-Emilion au moment de la consécration ? A quand un clip d'Airbus pour célébrer le jeudi de l'Ascension ?

Finalement, on va finir par préférer Ratzinger à Benoît XVI...

"Et de vestimento, quid solliciti estis ?... Quaerite ergo primum regnum Dei et justitiam ejus, et haec omnia adjicientur vobis." (Matthieu, VI)

Lou missionnaire...

mardi, 09 mai 2006

Mon amie (boute) Flicka...

On aimerait que le boutefliqué du Val-de-Grâce, au lieu de soigner sa gastro à nos frais à coups de "génocide colonial" et autres conneries à usage interne, nous explique pourquoi les Maghrébins représentent en France 30% des travailleurs étrangers mais 50% des chômeurs... et aussi pourquoi le taux de chômage des ressortissants du Maghreb ayant suivi des études supérieures est quatre fois plus élevé que pour l'ensembles des actifs du même niveau (24% contre 6%) ?

Intégration difficile, parasitisme récurrent, assistanat chronique, délinquance lucrative ou... ou... racisme, colonialisme et général Massu ?

[Chiffres tirés d'un intéressant article sur l'immigration,  de Michel Godet dans le Figaro de mardi 9 mai.]

Lou assommée...

lundi, 08 mai 2006

Justice 1981...

Week-end ordinaire : Une fillette de 5 ans assassinée dans les Bouches-du-Rhône. Un gamin de quatre ans assassiné et violé dans la Nièvre... Robert Badinter, lui, se porte comme un charme. Merci.

Lou rageuse...

dimanche, 07 mai 2006

Grand jeu-concours du dimanche matin...

Ouvrez la Bible au hasard, vous y trouverez toujours la réponse à vos questions... Et si on essayait avec Maurras ...

C'est parti..."Mes idées politiques"... on feuillette.... attention... on tombe sur la page... 155... et ça donne (sous contrôle d'huissier !) ceci :

"Quand nous disons "politique d'abord", nous disons : la politique la première, la première dans l'ordre du temps, nullement dans l'ordre de la dignité. Autant dire que la route doit être prise avant que d'arriver à son point terminus ; la flèche et l'arc seront saisis avant de toucher la cible ; le moyen d'action précédera le centre de destination."

Et voilà le travail... Quel génie ce Maurras ! Un cadeau (lequel ?) à celui/celle qui fera le meilleur commentaire de ces phrases ou qui fera le meilleur lien avec l'actualité...

Lou aléatoire...

samedi, 06 mai 2006

Bobozonnet...

Des centaines de milliers de morts au Darfour, l'Irak à feu et à sang, la famine, la peste, le choléra, la grippe aviaire, le chikun, bref, l'ordinaire du monde comme il va, et ... et Nomdedieu de vabres recevant, toutes affaires cessantes, peter handke et bozonnet, bozonnet et peter handke... mille excuses, sorry... fallait-il y aller ou pas... Milosevic et le travail du deuil... la Serbie ou le théâtre du vieux-colombier... bref, tout juste l'ordinaire cultureux... tempête au fond d'une marmite... par le ptit bout de la lorgnette... chacun voit le partage de midi à sa porte... la culture ouverture sur l'universel, mon cul... ce qui compte, c'est bozonnet versus peter handke versus milosevic versus l'infiniment petit nombril intermittent de quatre artistes décadents, en deux mots comme en mille, salut antonin, l'ombilic des nains...

Indépendamment de tout ça, le plus joli quand même c'est le bozonnet suspendant, supprimant, interdisant la pièce handqueuse, mais surtout, surtout jurant ses grands dieux que jamais, grand jamais, il n'est, n'a été, ni ne sera, horreur absolue, affreux reniement, un censeur...

Bozonnet, un peu plus de couilles et un peu moins de gueule pour assumer ta censure et tes ciseaux, ça nous permettrait de considérer les artistes autrement que comme le néant qu'ils sont trop souvent...

Lou endeuillée...

vendredi, 05 mai 2006

Napalm pilot...

La lecture de Charlie-Hebdo réserve parfois (rarement, je vous l'accorde) de grands moments de bonheur. Ainsi, la page 7 de la dernière livraison (Charlie du 3 mai ) nous cause d'Elie Wiesel, l'incontournable mémorialiste de la shoah, pris la main dans le sac en train de faire de la pub pour une marque d'agenda électronique, "Palm pilot", avec une photo où l'on peut voir l'archange du devoir de mémoire tourner vers nous un regard lourd de souvenirs, les mains jointes pour Dieu sait quelle oraison, tandis qu'en noir sur fond blanc on peut lire :"Remember, Never Forget", et, en-dessous, quelques phrases que voici en version française :"-Qui se souviendra de déposer les chemises au pressing ? -Qui se souviendra d'aller chercher du lait à l'épicerie ? -Qui se souviendra d'apporter le rugelach à la Commission présidentielle pour la restitution des biens juifs d'Europe de l'Est ?"

Ainsi donc, après Auschwitz, selon Adorno, plus rien n'était possible : ni l'art, ni la pensée, ni la poésie, ni l'amour, ni la morale, ni la veille, ni le sommeil (et Brodski avait ajouté finement : mais à ce moment-là, le petit déjeuner non plus !)... L'on est donc heureux d'apprendre, grâce à l'irrécusable et désormais oxydable caution d' Elie Wiesel, qu'après Auschwitz la bassesse, la veulerie et la publicité ont encore de beaux jours devant elles... Bizness is bizness...

Lou nocturne...

jeudi, 04 mai 2006

Sermon du jeudi soir...

Ce qui est terrible dans la démocratie, c'est qu'aucun discours, aucune analyse, aucune prise de position ne peuvent être reçus innocemment. C'est que partout et toujours s'instille le soupçon de l'électoralisme, des dents longues, des regards torves, des places à prendre et des urnes à remplir. Impossibilité radicale d'un discours politique au sens noble du terme, sans double fond ni arrière-pensée, mais avec le seul souci du bien commun. Finalement, suprême et joli paradoxe, la démocratie est le système par excellence qui rend impossible tout comportement vraimen "citoyen".

Amen.

Lou bourdalouée...

mercredi, 03 mai 2006

Delors, de l'argent, de l'or, de l'argent...

La grosse Aubry, ce matin, chez le demorand de francecul, martine la joufflue, la rayeuse de parquet, miss delors (de l'or ?), fifille à papa, la bourgeoisie socialiste dans toute sa splendeur, 12 chalets, trois masures, quatre lofts, des comptes chez clearstream, trente tableaux de maître, mobilier in, moquette off pur mérinos, bref, la gauche caviar direct export de chez fauchon... et généreuse avec ça, à nous pleurer sur l'immigré, larmoyer sur le sans-papier, chialer sur le clando, toute bouffie d'idéologie de merde et de racolage électoral... et l'autre en plus, au mépris de tous les régimes, le Demeuré, de lui servir la soupe à la louche... c'est pas ça qui va l'aider à rentrer dans ses tailleur... Bon, quoi-t-elle a dit notre Martine chez les socialos ? Ceci : "on ne peut pas être de gauche et ne pas être dans ce combat [celui de l'immigration] d'une clarté absolument totale..." Déjà, la clarté absolument totale, ça doit faire un sacré flash..., t'aurais intérêt, fifille, à porter un masque à soudure... Mais au-delà, être dans la clarté, ma chérie, ça serait arrêter ton discours à la con qui te sert juste à ramasser le plus de voix possibles pour la course à l'échalotte, et ça serait surtout faire venir quatre sociologues, des vrais, pas les sociologues médiatiques qui trafiquent le réel pour mieux le faire rentrer dans le cadre ouateux de la pensée officielle, mais ceux qui se coltinent au réel pour lui faire dire la vérité du social.

Et on leur ferait analyser, sans racisme aucun, ma grande, rassure-toi, on leur ferait analyser, sur deux ou trois générations, l'influence de l'immigration sur : - la courbe de la délinquance - la baisse du niveau scolaire - l'état sanitaire du pays - le trou de la sécu - le trou des prestations sociales et des politiques de la ville- la courbe du chômage - la montée du communautarisme - le rôle de l'immigration dans les émeutes du mois de novembre... etc.. etc... Et après ça, martine, si t'es toujours demandeuse de plus d'immigration, c'est simple : tu ouvres grand la rue solférino, tu demandes à françois et jack de pousser un peu leur gros cul pour faire de la place, et tu leur sers, à tes potes "chez-eux-chez-nous" un méchoui géant toute l'année pour aller enfin au bout du bout du bout de ta générosité de papier... Et en plus, ça te permettrait peut-être de lâcher la Royal qui commence à nous les gonfler grave...

Lou tardive...

mardi, 02 mai 2006

L'horreur publicitaire...

Le Monde du 29 avril. Un article intitulé :"La pub s'incruste dans nos neurones", avec ce début qui, désormais n'est plus de la science-fiction mais notre quotidien dégénéré à moins de dix ans :

"A Paris, Marie passe devant une affiche de cinéma. Automatiquement la bande-annonce se télécharge sur son téléphone portable vidéo. L'adresse du cinéma le plus proche apparaît ainsi que l'horaire de la prochaine séance en version originale puisqu'elle est professeur d'anglais. Tentée, elle achète sa place en ligne pour une séance dans une heure. Une publicité pour une chaîne de restauration rapide toute proche s'affiche alors sur son écran. Si elle s'y rend immédiatement, une promotion sur sa formule préférée lui sera offerte. En chemin son oeil s'arrête sur un écran publicitaire électronique qui la "reconnaît". Une animation s'affiche : veut-elle participer à un jeu concours pour une crème revitalisante adaptée aux femmes de quarante ans, l'âge de Marie ? Elle est séduite, mais ça, la marque le sait déjà grâce à son étude de neuro-marketing. Résultat : elle reçoit dans la minute un bon d'achat sur son téléphone portable... etc... etc..."

Et l'article s'achève avec l'inutile, impuissante et lancinante question sans réponse : Que faire ?

Premièrement, quand on est Le Monde et qu'on se gave de publicité depuis cinquante ans, on ferait mieux de fermer sa gueule. Deuxièmement, on aurait intérêt par contre à ouvrir un essai de 1969 dans lequel on pouvait lire ceci :

"Les mass-média nous conditionnent, ils font de nous des esclaves, ils nous fabriquent des désirs, ils nous imposent des décors, ils nous transforment de force en clients ou en prosélytes, ils entonnent dans des millions et des millions de bouches l'eau fétide du grand fleuve "Vendre, vendre, vendre". Ils nous volent notre vie et notre âme, même quand ils feignent de respecter notre liberté. Ils sont, sous toutes leurs formes, l'agent le plus puissant de l'aliénation de l'homme contemporain... Toute forme de débarquement et d'intrusion dans les consciences doit donc être l'objet, premièrement d'une autorisation, quand on s'est assuré qu'elle n'a pas de caractère nocif, deuxièmement d'une redevance, car elle est l'utilisation d'un terrain. Car il n'est pas plus normal de se servir des consciences pour y déposer des oeufs que de la rue pour y garer sa voiture ou d'un champ pour y construire un hangar. C'est l'envers de la liberté d'expression... Autoriser la publicité, c'est en déterminer le tonnage, le débit et l'application afin de protéger le public contre lui-même. Le premier résultat à atteindre, c'est de diminuer puis de faire disparaître le caractère obsessionnel de la publicité, c'est à dire d'obtenir, contrairement à ce que rêvent tous les publicitaires, que le public soit libre de ne pas voir la publicité..."

Le seul problème pour Le Monde, c'est que ces lignes sont tirées de "Sparte et les Sudistes", un livre de Maurice Bardèche...

Lou spartiate...

 

lundi, 01 mai 2006

Enfin un premier mai unitaire...

Le discours du 1° mai que vous n'avez pas entendu...

"Que veulent-ils donc, au juste, les ouvriers ? Ils veulent d'abord s'évader de l'anonymat où ils ont été jusqu'ici trop souvent confinés. Ne pas vendre leur travail comme une marchandise, ne pas être traités comme des machines, mais comme des êtres vivant, pensant, souffrant, avoir avec leurs chefs des relations d'homme à homme... Ils veulent ensuite échapper à l'incertitude du lendemain, être protégés contre les aléas du chômage,trouver dans leur métier une sécurité ou, pour mieux dire, une propriété, avoir la possibilité d'y avancer jusqu'à la limite de leurs aptitudes. Ils veulent en outre  participer dans une mesure raisonnable au progrès de l'entreprise à laquelle ils sont associés, avoir une sauvegarde efficace contre les misères qui les guettent lorsque survient la maladie ou lorsqu'arrive la vieillesse, pouvoir élever leurs enfants et les mettre en état, selon leurs capacités, de gagner honorablement leur vie..."

Maréchal Pétain, Discours de Commentry, 1° mai 1941.

Lou enphilippée...

dimanche, 30 avril 2006

Guer III...

...et fin...

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Guerni II...

...suite...medium_pic2.4.jpg

Guernica... I

medium_pic.3.jpgEt voici la suite annoncée...... peut-être... Pour en savour plus, encore deux notes...

         Lou incertaine...

Marmeland...

Mon chroniqueur préféré, francis marmande, le roi du jazz graphique et de la corrida parlée, in The Monde du 26 avril, avec, pour une fois, un intitulé superbe : "Mais où est donc Guernica ?" Profitons du titre, car y a que ça de bon. Le reste est une indigeste salade sur le tableau de picasso que la ministresse espagnole de la culture n'a pas voulu prêter aux basques sous prétexte, à peu près, qu'il y avait pas de camion assez grand pour le transporter. Bon. Vu la valeur de la chose, c'eut été plus simple de le plier en douze et de le mettre dans le coffre de la première seat venue, mais, bon, on badine pas avec l'art, surtout l'art nul et officiel...

Là où le marmande est grandiose, c'est dans son approche de l'histoire digne du komintern des grands jours. Citation :"Le 26 avril, jour de marché, le village basque de Guernica est inondé de bombes incendiaires par des avions de la lutwaffe. Guernica, 7000 habitants, mythe de la liberté du peuple basque... dénombre 1654 morts et 889 blessés. ... Ni objectif militaire, ni cible intéressante, Guernica sert de pur laboratoire, de répétition générale, de terreur expérimentale des populations civiles, de mise au point des bombardements incendiaires de masse..." Fermez le ban.

Alors certes, on peut pas à la fois jouer de la contrebasse, chroniquer au Monde, fréquenter le petit opportun, taquiner la muleta, professer à l'université et en même temps se tenir informé sur les hauts et les bas de la mythologie guerniquéenne... Un petit rappel donc, (profitons de ce que le révisionnisme concernant la guerre d'Espagne n'est pas encore interdit...) pour que la marmelade soit, la prochaine fois, plus digeste. Rappel que j'espère lisible, et tiré de la revue "Enquête sur l'Histoire", n° 16, 1995, article de Philippe Conrad...

Dernière minute : Lou techniquement pas prête - stop - texte promis dans prochaine note - stop - aujourd'hui si possible - stop - mille excuses -stop -

Lou floue...

samedi, 29 avril 2006

Cloaca maxima...

Une fois n'est pas coutume : gloire à Scheidermann (encore qu'il faudrait peut-être s'interroger sur ses véritables motivations...) qui, seul ou presque de tous les médias, a signalé haut et fort (cf Libé de vendredi 28 avril et le site de Dantec : sur le ring) le bouquin de Jean Robin : "Ils ont tué la télé publique", bouquin qui, enfin, démolit Ardisson. Et à travers ardisson, tous ceux qu'il tient,  les beigbeder, les ruquier (et à travers ruquier la hyène puante miller) qui, sur le service public, avec notre pognon et la bénédiction des politiques, font et défont les carrières, les réputations, les valeurs et tirent quotidiennement ce qui peut demeurer de pas trop pourri dans les mentalités vers les égoûts de la médiacratie triomphante par le rire bien-pensant de leur médiocrité...

Il ne faut pas manquer (site wwwjournalisme-continu) l'ordure ardicon, pseudo-catho, pseudo-royco, en face de denisot sur canal + déclarer :"je place la littérature au-dessus de tout" au moment même où jean robin révèle 60 pages plagiées dans je sais plus lequel de ses bouquins de merde...

Plaçons définitivement ardisson au-dessous de tout...

Lou égoutière...

vendredi, 28 avril 2006

Maman Pascaud chez les bohèmes...

Inquiétant éditorial chez les téléramistes associés. La dernière parution (Télérama du 26 avril) laisse clairement entrevoir un important déficit de communication. En effet, pour se parler, à l'intérieur de l'entreprise, l'équipe de rédaction en est réduite ... au téléphone ! D'où le titre du dernier éditorial : "Allo, bobo"... (p. 7)

Une lueur d'espoir cependant : tous, paraît-il, se reconnaissent instantanément et tous, donc, illico, répondent...

Lou lipo...

jeudi, 27 avril 2006

Duco, ducon, duhamel...

Hier, mercredi 26 avril, aux Matins du demorand de francecul, la chroniquette ordinaire et envahissante de l'olivier duhamel, lequel, sentencieux et professoral, assène ses certitudes quotidiennes en matière d'immigration... Et le voilà qui, reprenant la formule que sarko vient de piquer à de villiers qui la déroba à Le Pen : "la France si tu l'aimes pas tu la quittes" (en anglais dans le texte : "love it or leave it"), le voilà donc qui ajoute à peu près, avec une fierté non dissimulée, ce corollaire qu'il juge évident :"Mais si tu l'aimes, alors tu peux, toi l'immigré, y rester à ta guise sans qu'on te mette cinquante bâtons dans les roues...".

Syllogisme pour syllogisme, on peut donc dire au Dudu, si je le suis bien :"Ta femme, si tu l'aimes pas, tu la quittes (même que ça lui fera du repos...), mais tous ceux qui l'aiment ont le droit de coucher avec elle (et là, ça va lui faire du travail !)..."

Si c'est ok, ducaramel, gros dilemme : ou tu changes fissa la literie, ou tu changes de syllogisme...

Lou allongée...