lundi, 21 novembre 2011
Robert le diable...
Meurtre d’Agnès, du côté du Chambon-sur-Lignon, et tous les experts psy de venir jouer les têtes de gondole au journal télévisé pour nous expliquer, la tête quand même un peu dans le sac, que la psychiatrie à laquelle ils ont consacré toute leur vie et qu’ils défendent mordicus dans leurs syndicats et officines diverses, que la psychiatrie, finalement, ne peut pas tout, que des comportements nickel chrome peuvent cacher des personnalités troubles, que des dysfonctionnements imprévus peuvent venir perturber parfois les gentilles prédictions des fils de Freud, et que même eux, psychiatres, tout bardés de diplômes sur le ça, le moi, l’œdipe et le sur-moi, sont quand même pas dans la tronche du salopard qu’ils expertisent…
Et pourquoi pas alors cracher le morceau tout de suite, nous avouer tout simplement qu’ils servent à rien sinon à se gaver d’honoraires faramineux, et qu’il vaudrait autant décider de la ré-insérabilité ou de la récidivité des jeunes ou vieux salopards par tirage au sort, jeu de l’oie, courte-paille, roulette russe, 421 ou loto sportif…
Et tant qu’à dire les choses telles qu’elles sont, faudrait peut-être qu’ils pensent à ajouter que le seul vrai responsable de tout ça, le véritable assassin de la jeune Agnès, c’est pas le jeune con qui est passé aux aveux, mais le vieux Badinter soi-même, l’homme qui touriste à nos frais dans toutes les prisons d’Europe pour faire sa promo et faire entendre sa bonne parole d’évangélisateur fou, faire ajouter une étoile de plus à chaque prison pas encore assez dorée à ses yeux et faire pleurer les chaumières sur les crapules qu’il ne rencontrera jamais dans le bunker à fric et code d’accès sécurisé qui lui sert d’humble demeure quelque part entre la Place des Vosges et le XVI° arrondissement…
Lou...
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