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mardi, 30 janvier 2018

L'intelligence peut se passer de Joffrin...

Il retient quoi, l’ordure Joffrin, des milliers de pages écrites par Maurras tout au long de sa vie ? Il retient quoi de ce « contemporain capital » salué par Apollinaire, Cocteau, Malraux et tant d’autres et qui eut une influence majeure sur toute la fin du XIX° siècle et sur la première moitié du XX° ? Il retient quoi de cet intellectuel d’un courage et d’un désintérêt absolus, tout entier donné à la recherche du bien commun français et des moyens de ce bien commun ? Il retient quoi, Joffrin-Mouchard, de ce monument d’intelligence, lui qui n’a pas dû lire plus de 20 lignes de Maurras et qui ne sait que crachoter dans son torchon la vulgate ordinaire imposée depuis 1945 par toute la presse résistantialiste et les médias bien-pensants ? Il ne retient bien sûr que la « haine antijuive » et le « monarchiste antisémite », oubliant de préciser qu’à cette époque l’antisémitisme de gauche se portait largement aussi bien que celui de droite, oubliant de préciser que l’antisémitisme de Maurras n’était pas un antisémitisme biologique mais un antisémitisme d’Etat qui luttait de la même façon contre les Protestants et les Francs-Maçons, ce qui nous éloigne quelque peu du racialisme d’Hitler, oubliant de préciser que les nazis eux-mêmes faisaient de Maurras non un simple « résistant » à leur politique, mais un « opposant », ce qui a une autre gueule, oubliant de préciser enfin ces lignes de Maurras consacrées à Pierre David, « héros juif d’Action Française » tombé au combat en septembre 1918 : « Son chemin ainsi accompli, tout seul, des confins de l’antimilitarisme jusqu’à ce degré de nationalisme intégral qui se donne et se sacrifie tout entier, mérite de rester dans les souvenirs du peuple français comme exemple vivant de la fidélité à ses forces anciennes et d’une accueillante hospitalité aux éléments extérieurs. La nationalité se crée par l’hérédité, par la naissance : le mot le dit. Elle peut s’acquérir par de bons services rendus… »


lundi, 22 janvier 2018

Les émois de Moi(x)...

Ah ! la mignonne ordure Yann Moix, le Zola du pauvre, qui prend Libé-Caviar pour l’Aurore et qui se prend lui, Moix, et Moix, et Moix, et Moix, chroniqueur-caviar de chez Ruquier (appointé à combien par émission, au fait, sur l’argent public ?) pour tonton Emile !
Yann Moix donc, en larmoyeux plumitif accusateur, linguiste benvenisto-saussurien d’exception, littérateur hors norme capable de citer Tartuffe, Lapalisse et Pinocchio dans un même soupir, Yann Moix capable surtout de se faire mousser le croupion, moralement et littérairement, sur le dos d’exilés-migrants ou migrants-exilés (le destin face au chiffre, dit-il, en sous-philosophe de sous-préfecture) qui lui tirent les larmes du stylo et les sanglots de la caméra et qui ne sont, tout bien pesé, que des malheureux, certes, mais également, comme dans toute société, des hors-la-loi, parasites, violents, racistes, profiteurs, casseurs… etc…
Car le Moix à Calais est souvent hémiplégique, le Moix est borgne, le Moix est cerveau droit ou cerveau gauche mais pas les deux à la fois…
Le Moix voit les migrants, pardon, les exilés « frappés, gazés, caillassés, brimés, humiliés » mais ne voit jamais les migrants, pardon, les exilés « frappeurs, caillasseurs, brimeurs, humilieurs » et plus si affinités… violeurs par exemple…
Le Moix ignore totalement la population calaisienne qui subit depuis des années les violences, délinquances, souillures, humiliations, voies de fait, brimades de la part des gentils exilés de son cœur…
Le Moix, il est vrai, s’en tamponne grave de la population calaisienne d’autant qu’il ne vit pas à Calais et qu’il ne connaît de la vie que les phrases ronflantes de ses piges, les studios bien chauffés et rigolards de ses chroniques télévisées, où la misère des migrants ne semble pas troubler plus que ça les roucoulements dindonesques de son pote Laurent Ruquier, les gras et gros émoluments de ses prestations en tous genres, les retours sur investissement de ses films et de ses bouquins et qu’il a jamais eu l’idée d’ouvrir ne serait-ce que quelques mètres carrés du garage de sa résidence secondaire ou de celle de Joffrin-Mouchard pour y accueillir en dame patronesse des quartiers chics les exilés de son coeur avant de leur offrir un sympathique petit tour du voilier qu’il a peut-être pas… Bref, le Moix n’est rien autre qu’une petite merde ordinaire et irresponsable faisant semblant, le temps d’une pige, de souffrir mille morts à l’aide mille mots… Beuark !!


cf :
http://www.liberation.fr/debats/2018/01/21/monsieur-le-president-vous-avez-instaure-a-calais-un-protocole-de-la-bavure_1624132

dimanche, 14 janvier 2018

Lactalis vs Haziza...

Ah ! comme ils sont mignons, nos journaleux causant de Lactalis dans le poste et, en direct de Craon, laissant tomber sur les pauvres Craonnais leur morgue, leur condescendance à l’égard de ces lâches, de ces pleutres qui se terrent au fond de leurs demeures et n’osent pas parler publiquement de l’affaire de peur que Lactalis un jour ne joue les représailles et ne les envoie pointer chez Chomdu…
Alors que eux, les journalistes, courage et insolence, audace et témérité… Ah ! bon ? mais… au fait… on en a vu combien de ces bravaches, de ces matamores, mener enquête et combien venir témoigner à visage découvert au sujet de l’ordure Haziza de LCP et de ses mains balladeuses et de ses frotti-frotta turgescents dans les couloirs étroits de la grande maison LCP and Co ? Elle a enquêté la Lucet ? Il a fait un talk-show le Pujadas ? Elle en a fait sa Une la Coudray ?
Et ces ordures-là viendraient donner des leçons de maintien !!! Beuark…

Lou...

vendredi, 12 janvier 2018

Route des Alpes...

Les ordures journaleuses, tous journaux et toutes chaînes confondues… Finie maintenant la Méditerranée… plus de boat people lybiens à se mettre sous la plume… qu’à cela ne tienne… la route des Alpes est ouverte et voilà nos envoyés spécieux qui s’en vont pleurailler à chaudes larmes, dans la buée des projecteurs, sur les pauvres migrants malheureux perdus dans la neige des cols glacés, doigts gourds, goutte au nez, pieds gelés… et parallèllement l’absolu dithyrambe pour les glorieux militants des ONG qui viennent montrer la frimousse pathétique de leur charité médiatique sur tous les écrans pour, du haut de leur humanitarisme à auréole, mieux titiller la mauvaise conscience du populo et faire pencher la balance macronienne du côté de la France grande et généreuse…
Bon, ok… humanisme, générosité, altruisme, charité même si vous voulez… mais voyons un peu… combien ils sont prêts à donner chaque mois, pendant dix ans, de leurs mirobolants salaires, ces salopards de journalistes apitoyés, pour payer la facture de leur générosité de façade ? Combien ils sont prêts à donner chaque mois, pendant dix ans, les gugusses des ONG avec leurs gueules enfarinées et leur guimauve de bons sentiments, pour accueillir dignement les migrants congelés qui leur fendent le cœur ? Combien ils sont prêts à donner chaque mois pendant dix ans les artistes et intellos qui ont déjà signé mille pétitions pour que la France ouvre grand les bras de leur cœur qui saigne ?
Quand toutes ces pourries corporations de crapules auront répondu à cette question et alimenté grassement la pompe à fric de leur humanitarisme de surface, on pourra peut-être commencer à considérer les choses d’un autre œil… En attendant, et en valeur humaine, ils valent cent mille fois moins que les migrants qu’ils prétendent aimer…

Lou...

lundi, 08 janvier 2018

Charlie et la chocotterie...

Ah ! les grands magnifiques courageux, héros du quotidien, résistants anthumes et posthumes, vigoureux audacieux, valeureux téméraires… la bande à Charlie qu’on commémore… trois ans déjà et derechef la vaillance à la Une, la hardiesse à Cabu, le stoïcisme à Charb, la bravoure à Wolinski… tous crevés à plat ventre sous la table et tous décorés de la Légion d’Honneur… la lavette Peloux en pleurs dans le giron de Flamby-la-Honte… Riss au garde-à-vous devant les trois couleurs… et toute cette bande d’anars-connards transis par une trouille momnumentale et coucounés depuis trois ans par des armées de sbires des RG, la DST au quotidien, le RAID sous le bureau du rédac-chef, eau, gaz et chocotte à tous les étages… des dizaines de milliers d’euros dépensés chaque jour pour que ces gugusses à l’héroïsme en carton-pâte puissent continuer impunément leurs blagues de potaches égrotants à la Cabu et proclamer urbi et orbi avec des soubresauts de vieux laïcards décatis leur droit au basphème, bien planqués derrière les gilets pare-balles de la maréchaussée… !
S’ils avaient un minimum de couilles, ces connards de chez Charlie, et une once de déontologie, c’est en terrain découvert, poitrine nue et avec panache, comme Gavroche, qu’ils iraient le brailler leur droit au blasphème, sans taper dans la caisse commune du smicard qu’ils prétendent défendre, et là, peut-être, on pourrait commencer à les prendre au sérieux… Beuark… !
Lou...