mercredi, 07 septembre 2005
Feu sur Jézé...
Les temps sont durs, frères humains, surtout lorsque Lou zig-zague de francecul en télérama et de charlie-hebdo en le monde.
Télérama d’aujourd’hui : mr le directeur enfin revenu de vacances nous gratifie d’un titre en latin plutôt sympathique et que j’aurais bien retenu si « dies irae » ne l’avait devancé : « ad nauseam ».
Et c’est quoi qui fout la gerbe à mr jézégabel, bobo téléramesque ? C’est la guéguerre entre hollande et fabius, les combats de rue entre sarko et villepin.
Et de conclure tout triste : « c’est notre monde politique qui tourne en rond. A vide, ou plus exactement en vase clos. »
Pensez-vous que jézé va se poser la question une demie-seconde du pourquoi du comment ? Que nenni ! Si les susdits se plantent des poignards dans le dos au détour de chaque couloir, ce doit être simplement parce qu’ils ne sont pas gentils, généreux, mignons comme devraient les être de bons démocrates…
Ho, Jézé, si tu veux être moins con, écoute donc Lou cinq minutes : c’est point les hommes qu’il faut changer, c’est le système, c’est cette putain de démocratie que tu as tout le jour à la bouche et devant laquelle tu t’agenouilles vingt fois par jour et qui pourtant institutionnalise la course au pouvoir, ce qui implique que les politiques ne sont que des politiciens dont le seul horizon n’est pas le bien commun du pays mais, dans le meilleur des cas, le bien du parti (c’est à dire d’une frange de la France contre l’autre), dans le pire l’ambition personnelle.
Tu finis sur la « vacuité », Jézé. La vacuité c’est parler pour rien dire. Critiquer les conséquences d’un régime sans remettre celui-ci en cause, c’est vacuiter plein pot.
Télérama d’aujourd’hui : mr le directeur enfin revenu de vacances nous gratifie d’un titre en latin plutôt sympathique et que j’aurais bien retenu si « dies irae » ne l’avait devancé : « ad nauseam ».
Et c’est quoi qui fout la gerbe à mr jézégabel, bobo téléramesque ? C’est la guéguerre entre hollande et fabius, les combats de rue entre sarko et villepin.
Et de conclure tout triste : « c’est notre monde politique qui tourne en rond. A vide, ou plus exactement en vase clos. »
Pensez-vous que jézé va se poser la question une demie-seconde du pourquoi du comment ? Que nenni ! Si les susdits se plantent des poignards dans le dos au détour de chaque couloir, ce doit être simplement parce qu’ils ne sont pas gentils, généreux, mignons comme devraient les être de bons démocrates…
Ho, Jézé, si tu veux être moins con, écoute donc Lou cinq minutes : c’est point les hommes qu’il faut changer, c’est le système, c’est cette putain de démocratie que tu as tout le jour à la bouche et devant laquelle tu t’agenouilles vingt fois par jour et qui pourtant institutionnalise la course au pouvoir, ce qui implique que les politiques ne sont que des politiciens dont le seul horizon n’est pas le bien commun du pays mais, dans le meilleur des cas, le bien du parti (c’est à dire d’une frange de la France contre l’autre), dans le pire l’ambition personnelle.
Tu finis sur la « vacuité », Jézé. La vacuité c’est parler pour rien dire. Critiquer les conséquences d’un régime sans remettre celui-ci en cause, c’est vacuiter plein pot.
Et ce qui me file la gerbe, moi, ad nauseam, c’est de penser que t’es pas assez con pour pas l’avoir compris, mais que t’es assez salopard pour pas le dire ! Lou vachement déçue…
14:16 | Lien permanent | Commentaires (0)
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