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jeudi, 26 novembre 2015

Fabrice d'Almeida...

Il y a trois quatre jours, Fabrice d’Almeida, historien officiel pour télévision publique, propagandiste zélé de l’historiquement correct et inévitable commentateur à géométrie non variable des heures les plus sombres de notre histoire, d’Almeida, donc, apparaît trente secondes sur les étranges lucarnes pour causer lui aussi des attentats et délivrer la bonne parole définitive et rassurante sur l’abomination… Et que trouve-t-il à dire, le mignon d’Almeida, avec son sourire de gendre idéal pour ménagère de cinquante ans ? Ceci : « Le patriotisme, c’est l’amour des siens, le nationalisme c’est la haine des autres. » Point barre. Fermez le ban. Monsieur l’Agrégé a parlé. Juste qu’il faudrait peut-être que Môssieur l’Agrégé mette à jour son logiciel et qu’au lieu de propagander à donfe dans le sens du vent, il se dise que la réalité est parfois un peu plus complexe que ses certitudes à deux balles, et que la différence entre patriotisme et nationalisme ne se niche pas là où môssieur la voit mais plutôt dans une question de point de vue : le patriotisme ayant une approche plus affective du sujet, alors que le nationalisme en a une approche plus rationnelle. Mais dans les deux cas, ce qui importe, c’est le souci du bien commun, l’amour du pays, l’amour de la France, de son présent, de son passé et de son avenir.

C’est l’idéologisme, Fabrizio, qui est la « haine des autres », cet idéologisme dont tu es pétri et qui te fait même oublier les plus élémentaires notions que tu as bien dû apprendre jadis sur les bancs de l’université…

Lou...

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