mercredi, 27 avril 2016
Maryse sur le gâteau...
Ah ! comme elle est mignonne, la Maryse Wolinski ! Déjà, elle nous avait fait un caca nerveux, y a quelques mois, parce que sur la plaque en hommage national à feu Monsieur Georges, ils avaient mis un « y » à la place d’un « i » ! Mais là, la barbaque à Pépère a pas encore fini de sécher dans la caisse, et la voilà, la grande magnifique altruiste qui a partagé par conjugalité toutes les merveilleuses aventures des généreux humanistes de la bande à Charlie, la voilà qui aimerait bien, une fois passée les larmes imposées, que les royalties des indemnisations tombassent un peu plus vite sur ses comptes en banques, histoire que la mort en héros couché de son Jojorge chéri ait pas servi complètement à rien ! Et l’article ousque j’ai lu, ébahie, l’impatience de la veuve éplorée à toucher enfin le pactole, l’article, donc, de préciser que « le préjudice patrimonial, c'est-à-dire économique, de Maryse Wolinski résultant de la perte de son mari, a été estimé par les experts à environ 1 million d’euros ». http://www.marianne.net/victimes-du-terrorisme-calvaire-du-fonds-indemnisation-100242347.html
Et bien, on s’emmerde pas dans la joyeuse corporation des magnanimes altruistes militants de la gomme et du crayon à papier ! Et comme on doit regarder de haut avec un souverain mépris d’artiste parvenu le pauvre smicard du BTP qui vient de tomber de l’échafaudage et qu’on va enterrer vite fait dans la plus roblotesque simplicité, la participation du fonds de solidarité, les fleurs des copains et l’anonymat de rigueur…
Question subsidiaire : Et les centaines de millions d’euros récoltés par les survivants du Charlesque attentat lors du grand élan de compassion larmoyeuse et tintinnabulante qui les fit riches à crever en moins de temps qu’il n’en faut pour dessiner le turban du prophète, ils sont où, il est où le pognon du grand bazar de charité boboesque post-traumatique, il pourrait pas un peu servir à payer le rimmel de Madame, la voilette grand deuil et les frais du déménagement… Beuark…
Lou...
12:18 | Lien permanent | Commentaires (0)
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