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mardi, 16 septembre 2025

François Morel, suite et fin...

Et voilà le Meslet qui s’en mêle !
Ils sont venus, ils sont tous là, dès qu’ils ont entendu le cri : ils vont le virer le Thomas, ah, ah, ah...
Non, non, qu’on se rassure, ils le vireront pas le Thomas Legrand, pas plus qu’ils ne vireront le Cohen...
Car déjà la meute monte au créneau : le Meslet en tête, directeur de je ne sais quoi, puis la Pigalle, directrice de mes deux, et bientôt, sans doute, la Société des journalistes de Radio-France, les syndicats, les zumoristes patentés, les chroniqueurs ubiquitaires, les pigistes, les preneurs de son, les maquilleuses, les Guillaume Erner de France-cul, sans oublier l’indispensable comité d’éthique maison, toutes et tous à venir défendre l’impeccable déontologie à géométrie variable des deux clowns tristes mouillés jusqu’au trognon... Et tous de bien tortiller du micro pour dire que non, ils n’ont pas dit ce qu’ils ont dit et qu’en bon français médiatico-progressiste, "faire ce qu’il faut pour Dati, Patrick et moi», ça veut surtout pas dire : «On va se la descendre vite fait», ni «T’inquiète, papa, elle sera vite grillée», ni «On va lui accrocher une belle casserole au cul», ni «Le contrat sera exécuté point par point», ni «On a suffisamment l’habitude de tripoter l’info pour que vous puissiez nous faire confiance», ni «Pas de panique, on tient toutes les rubriques de la maison», ni «C’est comme si c’était fait, les amis, vous pouvez rassurer Olivier Faure», ni... ni... ni... Non, bien sûr, rien de tout ça. «Faire ce qu’il faut pour Dati, Patrick et moi», ça veut juste dire que Patrick et Thomas vont aller offrir un joli bouquet de fleurs à Rachida pour son anniversaire le 27 novembre prochain...
Ce que c'est, quand même, la gentillesse...