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dimanche, 13 novembre 2005

Serge Moati, fils de son père...

Mais comment peut-on supporter un tel con ? Comment, sinon parce qu'il est le fils de papa et que les "héritiers" ça existe même à gauche, comment peut-on lui confier une émission hebdomadaire : Ripostes, chaque dimanche, 18 h.

Il suffit de le voir 30 secondes ouvrir son émission avec ses rituelles débiles formules, de le voir jouer, car il joue bien sûr, et même il se regarde jouer, de le voir donc jouer l'agité du bocal qu'il est même pas, il suffit de voir comme il est fringué, ce bobo médiatique, de voir comment il gère même pas le débat, pour avoir envie de dégueuler qu'un tel con, un de plus, émarge sur nos impôts et pète dans sa graisse sur notre fric...
Et Finkielkraut, un des rares et seuls supportables du Paf, mais qu'allait-il faire aussi épuisé dans cette galère d'un débat sur les banlieues où il était interdit de parler d'immigration...? Un bon point quand même : ses citations de rappeurs de merde que personne bien sûr n'a reprises et que Moati a zappées illico...
Et Julliard, Monsieur nouvelobs en personne, la gauche soi-même dans tous ses avatars, Julliard qui en venait quand même, touché par la grâce du réel enfin reconnu, à oser suggérer et susurrer qu'on ne change pas les mentalités en huit jours, et que, pour ce qui est de faire disparaître les discriminations à l'embauche, il faudrait peut-être attendre encore un peu...

S'il eût été moins con Julliard, et un brin honnête, il aurait dit que la solution elle est pas devant nous mais derrière et qu'il fallait pas, tout simplement, accueillir les immigrés qu'on avait pas les moyens d'intégrer. Mais ça, Monsieur l'Historien ne l'a hélas jamais dit. Ni hier, ni avant-hier ni aujourd'hui...

Je sais, on me dira qu'il ne sert à rien d'aller chercher les solutions derrière. OK, mais tant qu'on aura pas le courage de dire où et quand et pourquoi on s'est gourrés dans les politiques précédentes, on résoudra pas l'aujourd'hui...

Lou moitée.

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