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mercredi, 05 avril 2006

Clap, clap, clap, clapier...

Il y a une semaine environ, cette info : les Français sont 60 ou 62 millions et ont le meilleur rapport qualité-prix pour ce qui est de la natalité.

Curieux, non ? Le pays des 343 salopes avortées, de lucien neuwirth, du ru346, de simone veil (la grosse), des 50 bougies du planning familial, des capotes chiraquiennes à 20 cts dans les lycées ... se mettrait, par génération spontanée sans doute, à faire des enfants et serait même the first in europe, mieux même que la conservatrice et réactionnaire irlande...

Mais aucun sociologue ni expert en néo-natologie, pas même un hervé le bras de l'ined, ne sont venus nous expliquer le pourquoi du comment de cet étrange phénomène... Bizarre, non ?

Réponse : ils auraient été obligés de dire que ce babyboom inespéré est essentiellement dû au taux de natalité des communautés immigrées et issues de l'immigration, ce qui aurait pu fâcheusement laisser entendre, un, que l'immigration (clandestins, immigrés, 1°, 2°, 3° générations...) est beaucoup plus importante que ce que l'on nous dit, deux, que l'intégration prend tout son temps et que les comportements ni les mentalités ne changent en huit jours ni même en vingt ans... Et ça, au paradis du "chez  eux chez nous" et du melting pot, c'est tabou de chez tabou...

Lou spontanée...

Commentaires

Le Bras n'est pas plutôt de l'EHESS ?

Écrit par : Artemus | mercredi, 05 avril 2006

un ami m'a tenu ce discours un peu machiavélique :
"L'immigration est toujours choisie, et jusqu'à maintenant, elle était choisie pour remonter la démographie française. "
Je ne sais pas trop quoi en penser...mais ça rejoint un peu ta note.

Écrit par : Polem | mercredi, 05 avril 2006

Le bon choix pour l'immigration c'est quand on a les moyens économiques, sociaux et culturels d'accueillir les immigrés dans de bonnes conditions. Sinon c'est du gâchis pour l'accueilli comme pour l'accueillant.
Ca n'a jamais été le cas depuis au moins trente ans. Le seul choix depuis trente ans ça a été de se vautrer devant les officines gauchos-bobos qui se ripolinaient la bonne conscience en faisant accueillir toute la misère du monde par les couches les plus fragiles de la population tandis qu'eux paradaient sur les plateaux télé ou les coquetels branchés en compagnie des emmanuelle-béart à la con qui deux ans plus tard délocalisent leur fric en suisse...

Écrit par : Lou | mercredi, 05 avril 2006

Ah la Béart avec ses lèvres pulpeuses elle a raté une belle carrière dans le cinéma de contact.
Je te trouve injuste avec elle Lou. Son départ pour la Suisse peut être considéré comme un geste de solidarité avec les immigrés. Elle veut partager la même expérience des durs bidonvilles genevois.
C'est vrai qu'il est facile d'être pour l'immigration quand on habite dans le XVIème.

Écrit par : Capulet | mercredi, 05 avril 2006

On reste en dessous du seuil de renouvellement de 2,3 enfants par femme.

Avec 200.000 avortements par an - c'est tout à leur honneur si les immigrées avortent moins -, E. Leroy-Ladurie a fait le calcul que le taux de mortalité infantile est redevenu ce qu'il était au XVIIe siècle.

Le terme de "baby-boom inespéré" qui est employé par les médias est donc une escroquerie de langage de plus.

Écrit par : Lapinos | jeudi, 06 avril 2006

-Lapinos, avec la société qu'on est en train de laisser derrière nous, j'en viens à me demander si le "renouvellement" est si important que ça...
Quant aux femmes immigrées, c'est à l'honneur de leur culture, mais le décervellement médiatique aura tôt fait de leur mettre la capote dans la main droite, l'abonnement au planning familial dans la gauche et l'adresse de gisèle halimi entre jambes...
-Capulet, tes bidonvilles genevois sont exquis...
-Artemus, je peux me tromper, mais je maintiens l'ined, à moins que le bras mange à plusieurs râteliers...

Écrit par : Lou | jeudi, 06 avril 2006

Et l'amour, Lou ? Êtes-vous sûre que ce pessimisme ne vous vient pas de la propagande ambiante ? Les dangers réels et immédiats n'ont jamais empêché de baiser, bien au contraire, tous les reporters de guerre vous le diront. L'instinct de survie, sans doute.

Ce sont les plans épargne-logement sur dix ans qui empêchent les bobos de se reproduire.

Écrit par : Lapinos | jeudi, 06 avril 2006

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