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vendredi, 08 décembre 2006

Porco Marcello...

Toujours l'infime / infâme crottin pierre marcelle (Libé d'aujourd'hui) [bon, eh bien toujours pas très futée la Lou pour les liens... Cliquez donc sur "rebonds" quand vous y serez... Titre de l'article : Histoire sans légende".] qui passe sans état d'âme de july en rothschild, de plenel en joffrin, carpette docile sur laquelle viennent s'essuyer les godasses les successifs directeurs de la bobogauchitude-"Libérons le Caviar !"...

Ce qui n'empêche pas le marcello de continuer à ouvrir grand sa minuscule gueule de roquet sur tout et n'importe quoi, mais de préférence contre les sales méchants blancs mesquins et veules et pour les gentils black-beurs, héroïques victimes du racisme omniprésent.

Aujourd'hui, le voici qui se dresse de toute sa bassesse contre la plaque que la Mairie de Paris vient d'élever en pieux souvenir électoral à la mémoire glorieuse de malik oussékine qui s'en était pris plein la gueule et même pire lors d'une manif d'étudiants en décembre 86. Jusque là, pour marcelle, tout va bien. Sauf que monsieur le justicier regrette quand même  que la plaque n'indique point suffisamment que le malik fut matraqué à mort par une meute de policiers blancs racistes et kronenbourgés jusqu'à la lie...

Ok, marcelle, on va te suivre un brin dans tes élucubrations... Déjà, sur la plaque à la mémoire de julien quémeneur que la Mairie de Paris ne manquera pas d'ériger dans vingt ans, faudra pas oublier de préciser que le flic qui a tiré était antillais, myope et pas tout à fait un angelot d'après ses antécédents... Mais en plus, sur toutes les plaques que l'on inaugurera désormais à la pieuse mémoire de toutes les victimes des crapules diverses et variés qui font la qualité de vie de notre beau pays, faudra surtout pas oublier de graver dans le bronze qu'elles sont tombées, ces victimes, sous les balles ou le couteau ou le lacet d'un salopard de chômeur noir érémiste ou d'une ordure de dealer arabe de 15° génération ou, rassure-toi Marcelle, on va pas se laisser piéger par ton antiracisme à deux balles, ou, donc, par une crapule de journaliste blanc quotidiennement chroniqueur de merde...

Lou légendaire...

Commentaires

http://www.liberation.fr/rebonds/221893.FR.php

Ca devrait marcher là, non?

Écrit par : XP | vendredi, 08 décembre 2006

Merci XP, là, ça marche... Je crois que j'économisais un peu trop les caractères... Grazie mille...

Écrit par : Lou | vendredi, 08 décembre 2006

Bien vu, Lou... ma come sempre, diciamo.
Sauf que ! Sauf que ! Y'a échauffourée chez vous zossi : depuis quand la Kronenbourg produit-elle de la lie ? Hein, je vous le demande ? C'est qu'elle a jamais été bidasse, pompier ou supporter, cette Lou. Sinon elle saurait - comme le dit notre bien aimée Caisse très institutionnelle - que la Kro c'est zéro dépôt et même pas une petite consignation !

Écrit par : kalle | vendredi, 08 décembre 2006

Ca m'apprendra à m'aventurer en terra incognita...
Jusqu'à l'hallali, ça vous irait ?
Arivederci... (avec un ou deux "r"...?).

Écrit par : Lou | vendredi, 08 décembre 2006

Con due "r", sarebbe meglio !

Écrit par : kalle | samedi, 09 décembre 2006

Danke... und aufwiedersehen...

Écrit par : Lou | samedi, 09 décembre 2006

Si y'avait que des cardiaques comme Oussékine dans les émeutes, on pourrait recruter des angelots dans la police.

Qu'est-ce qui vous émeut chez ce Quémeneur, Lou ? Il est Breton, et après ? Je le suis pas mal, moi aussi, assez bien placé pour vous affirmer que dans la participation à des émeutes et à des saccages, les Bretons n'ont rien à envier aux Antillais et qu'ils méritent autant qu'eux d'être éduqués à coups de matraques. Le Breton n'est pas une mauvaise race, mais s'il n'est pas sacqué dès son plus jeune âge, ça peut donner les pires résultats.

(En aparté) Petit débat à la télé l'autre jour sur la prison, chez ce petit malin de Taddéi, et témoignages d'anciens détenus intellos, relativement contradictoires avec le vôtre, Lou. Comme le sujet m'intéresse, de m'approcher un peu de la vérité là-dessus, j'aimerais savoir ce que vous pensez de leurs arguments. En gros ils disent que la situation varie énormément d'une prison à l'autre, que chaque prison a ses propres règles, et que la situation a beaucoup empiré par rapport à leur "époque", à savoir le début des années quatre-vingt, notamment pour ceux, la majorité, qui sont à quatre, cinq ou six par cellules. L'un disait même qu'il réclamait le mitard pour être seul. Pouvez-vous m'en dire plus sur votre propre expérience de visiteuse ?

Écrit par : Lapinos | samedi, 09 décembre 2006

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