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jeudi, 28 juin 2007

Pendant les vacances, Boboland continue...

Et une de plus à nous faire pleurer sur ces enfants qu'on expulse au mépris de toute humanité, comme si les bobos de RESF étaient les seuls à avoir un coeur gros comme ça, des larmes de crocodile, du courage pour quinze et de la solidarité à revendre...

Oui, bien sûr, ils ont tout ça, sans doute, mais leur altruisme débordant et leur générosité exotique me font un brin gerber. Premièrement parce qu'elle va de concert avec une incapacité absolue à raisonner au-delà de l'individualité forcément compassionnelle de chaque cas... Or, la politique c'est du collectif...

Deuxiémement parce que cette vaste générosité carolienne ne va pas quand même jusqu'à amener notre larmoyante de service à couper en quatre son salaire, ses vacances, son train de vie, son appart, ses sorties... afin de commencer à accueillir vraiment, avec un peu plus de crédibilité que juste un bel article émouvant dans Libé, toute la misère du monde.

Cerise sur le gâteau, et pour que le lamento soit complet, la voilà qui convoque les grands ancêtres, l'absolu génocide et l'indicible horreur : "Bien sûr, j’ai pensé à ma mère, enfant juive et étrangère sous l’Occupation, qui s’était si souvent enfuie, elle aussi, qui avait si souvent couru. Juste pour se défaire de la tension sur elle, telle une glu, de la peur adulte omniprésente. J’ai pensé à ma mère et à tous ceux qui ont vécu parce que d’autres se sont intéressés à leur «cas», parce que d’autres les ont accueillis, cachés ; des instituteurs, notamment, qui leur ont donné la chance d’apprendre et, grâce à cela, de trouver leur place ici, dans ce si beau pays. J’ai pensé à tous ces gens qui existent aujourd’hui parce que leurs voisins, leurs amis, de parfaits inconnus parfois, ont, un jour, accepté de les voir."

On veut pas l'emmerder la petite Carole avec ses pleurs de papier et son coeur médiatique rothschildé, on veut pas l'emmerder mais elle aurait pensé aussi à ces milliers de vies brisées depuis trente ans (hommes, femmes, jeunes filles, enfants, brutalisé(e)s, violé(e)s, assassiné(e)s...) par des immigrés de première, deuxième ou troisième génération qu'on a accueillis sous la pression boboïde sans se donner les moyens de les "civiliser" (c'est à dire : intégrer à la cité), elle y penserait, la carole, ça nous la rendrait un peu plus crédible et, qui sait, peut-être même un brin plus sympathique...

Lou gentille...

lundi, 25 juin 2007

Fait divers..

Un journaliste a un accident de la route, renverse une grand-mère, tue un ado, écrase une fillette, ça fait trois lignes dans la page "faits divers" où d'ailleurs l'on se garde bien de préciser que le chauffard est journaleux à Libé, pigiste au Monde et cracheur de micro à francecul...

Un flic fait la même chose, et aussitôt toutes les crapules journalistiques d'y aller de leur interview de connards masqués qui, sous la capuche, ont tout vu : le gyrophare manquant, le feu rouge écarlate, la sale gueule du flic au volant et même la talonnette de sarko qui dépassait de la portière arrière-droite...

Le monde médiatique est vraiment un monde de sales cons qui se foutent royalement de la vie ou de la mort de tous les petits Nelson du monde (il se serait appelé Habib ou Karim, c'eût été que mieux pour les ventes...) pourvu, au moins, qu'elle leur permette de cracher leur minable venin de rebelles planqués... Beuark !

Lou trafalguée...

vendredi, 22 juin 2007

Schneidermaniaque...

 Allez, y a pas grand chose à extraire de la complainte bouffone du Schneidermann viré dans Libé d'aujourd'hui, mais on va quand même retenir ça :" Chez Nicolas, c’est chez TF1, et chez TF1, c’est chez Nicolas. Quoi d’étonnant, si l’on évoque l’ami Laporte ! Comme on est bien, entre copains, à évoquer les êtres chers, les amis communs, tous ceux qui sont partis, tous ceux qui reviendront. Comme c’est plus cosy, plus fun, plus excitant que chez papy Chirac ! "

Comme on est bien entre copains ! dit-il ! Faut dire qu'il est expert, le bougre ! Lorsque les copains c'est sarko, lagardère et la chazal, là le schneid enrage et s'étouffe. Mais lorsque les copains c'était et c'est encore tous ces cafards de gauche infiltrés et enkystés (ah ! gramsci !) depuis trente ans dans tous les rouages de l'appareil culturel, lorsque c'était et c'est le pote july, le pote plenel, les potes mermet, demorand, badou, laporte, spire, polac etc... qui formatent et reformatent encore la tronche du populo par pensée, par parole, par micros, paraboles et par émission, là l'ami schneid ça paraît pas le gêner beaucoup les dorures de château-rothschild qui doivent bien valoir celles de l'Elysée... Et la "décomplexion" de gauchards de merde qui se savent intouchables et qui en profitent en face d'une droite toujours vautrée lorsqu'il s'agit de culture, ça a pas l'air de le déchirer grave le Daniel de ces dames...

Le jour, scheid, où je t'entendrai t'interroger, toi le décrypteur fou et le déontologue en chef de la médiaterie, t'interroger, dis-je, sur l'absence permanente et totalitaire, toujours, partout, sans exception, de journalistes de Rivarol, Présent, Minute, l'Action française, Eléments, Nouvelle Ecole, Monde et Vie, Radio Courtoisie.. etc... dans toutes les émissions de la radio et de la télé publiques, je commencerai à penser que peut-être tu es autre chose  qu'une infâme merde médiatique comme les autres, sauf qu'à la saloperie totalitaire tu ajoutes, toi, l'affreuse hypocrisie... Mais ce jour-là, il est pas encore arrivé ! Attention, je vais vomir...

Lou retournée...

Les deux infinis...

Décidément le nombre des cons est infini...

Le Monde d'hier nous apprend, par exemple, que 7000 personnes ont déjà signé une pétition réclamant plus d'émissions consacrées aux migrations sur France-Télévision. Les initiateurs de la chose sont les habituels syndicalistes cgtaires, journaleux pétitionnaires, droitdelhommistes patentés, immigrationnistes de choc et autres excellences boboïdes.

Premièrement, des émissions sur le sujet, y en aurait plutôt mille fois trop que pas assez. Pas un jour, une heure, une minute sans une émission sur l'infini malheur et la pitoyable détresse des migrants en butte aux passeurs véreux, aux bateaux-passoires en surcharge, aux flics, aux racistes, aux requins bleus, aux frontières, aux centres de rétention, à la double peine, aux marchands de sommeil, à la langue du pays, aux patrons exploiteurs, aux électeurs de Le Pen, aux portiers des boîtes de nuit, aux ronds-points dangereux, aux transformateurs électriques... etc...

Deuxièmement, la seule émission qui serait un peu nouvelle dans ce domaine c'est une émission qui s'appellerait "combien ça coûte" et qui, oubliant la langue de bois,  chiffrerait objectivement le coût des politiques de la ville depuis trente ans, de la délinquance liée à l'immigration, des structures scolaires, pénitentiaires, sanitaires, policières, judiciaires liées spécifiquement  aux populations migrantes, les subventions aux milliers d'associations colorées, aux festivals métissés, aux cavalcades polyculturelles et autres foutaises antiracistes, le coût également des fauteuils luxueux où le schweitzer de la Halde et ses petits copains posent leur cul, et accessoirement le coût de l'espèce de Musée de l'Immigration qui est en train de se mettre en place, le coût du ministère hortefeuquien et de la moquette des nouveaux bureaux de ni pute ni soumises... Si c'est ça qu'ils demandent, les cons, je veux bien être la 7001° signataire...

Petite précision indispensable : tout ceci non pour stigmatiser les immigrés qui n'en peuvent mais (encore que parfois ils pourraient faire un petit effort...) mais les connards de droite et de gauche qui ont mené ou laissé mener la pire des politiques immigrationnistes possible...

Lou délocalisée...

mercredi, 20 juin 2007

Les Transparents...

Ah ! putain ! écoutez-le, le minable lamento de la schneidermania.. Peuchère, pauvre chéri qui ne sait pas ce qu'il va devenir... viré comme un malpropre, limogé comme un soutier, remercié à coups de pied au cul, dégagé manu militari... on lui a cassé son joli joujou, sa petite niche merdiatique, et le voilà en pleureuse qui nous en pond des pages sur son blog, qui s'épanche sur toutes les radios, bavoche dans toutes les tribunes libres, non pas pour lui, bien sûr, qu'allez-vous donc penser ?, mais pour l'indispensable travail démocratique qu'il faisait avec son équipe de merdeuses en fleur afin de nous éviter de mourir cons, trompé(e)s et abusé(e)s par une société du spectacle dont le bon Daniel était le seul à savoir savoir si artistement soulever le voile pour nous en montrer les dessous crasseux, les chaussettes trouées et le roi nu...

Bon allez, schneid, t'en fais pas, on s'en remettra de plus te voir nous gâcher le café du dimanche, notre désarroi n'est pas si terrible que ça...

Mais par contre, juste un mot : toi qu'es si fort pour nous causer de "la petite voix du doute" et de l'indispensabilité absolue de ton magnifique boulot de décryptage médiatique, tu pourrais peut-être, en guise de chant du cygne grandiose et généreux, nous expliquer par le menu, entre deux hoquets au caviar chez mr de rothschild et deux chivas chez Libé, ce que furent les critères qui t'ont propulsé, y a 10 ans à peu près, à la tête de cette émission, et c'était quoi, aussi, les critères qui te firent choisir tels collaborateurs plutôt que tels autres, telle ou telle émission à décrypter, tel ou telle invité(é) à convoquer... Et accessoirement, tu nous dirais aussi le coût de cette émission, ce que fut ton salaire et celui de tes petites copines, ce que seront tes indemnités de licenciement...etc... là vraiment on commencerait à croire que tu es autre chose qu'une pauvre merde médiatique comme les autres et qu'arrêt sur images ne signifie pas surtout pour toi :"Arrêt sur fromage"...

C'est bizarre, quand même, comme les grands transparents sont d'une opacité absolue lorsqu'il s'agit de leur "minable tas de petits secrets"...

Lou vitrifiée...

Casting...

Ohé, les Jaunes, ça suffit plus, aujourd'hui, de bosser et d'être honnêtes, vous seriez un brin assistés, èrémistes, chômeurs, dealers, casseurs, branleurs, vous seriez vous aussi représentés au gouvernement... Nobody 's perfect...

Lou ictérée...