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dimanche, 27 mai 2007

Pyrénées...

Bertrand Cantat envoie marie trintignant à la morgue : 8 ans de tôle.

Phynéas envoie un maghrébin à l'hôpital : 20 ans de tôle.

Il vaut mieux être artiste et en bonne santé que raciste et malade...

Lou blaisée...

samedi, 26 mai 2007

Delendae sunt Cannae...

Quinze jours qu'ils nous bassinent avec leur commémoration, leur montée des marches, leurs stars siliconées, leurs rebelles à noeuds paps, leur fric, leur luxe, leur compassion de merde, leur septième art absolument mâ-gni-fi-que, leurs jurys préformatés et l'insoutenable attente d'une palme d'or qui n'intéresse qu'eux-mêmes...

Et quinze jours, bien sûr, que toutes les chaînes, tous les micros, toutes les caméras sont braqués sur jeunes pouliches et vieilles carnes, vieux beaux et jeunes déjantés qui sont censés nous parler du monde comme il va, de la société comme elle devrait aller et des artistes qui portent le devoir sacré et la tâche exaltante d'être les révélateurs de notre présent, les contempteurs de notre passé et les prophètes de notre avenir...

Mais ils sont quoi, tous ces cons cultureux à deux balles pour en savoir plus que mon plombier sur tout cela ?

Qu'est-ce donc qui leur donnerait cette admirable lucidité et cette perspicacité du regard ?

Au contraire. Je crois, moi, qu'ils sont les plus mal placés, les cultureux et les filmeux, pour parler de la société, déconnectés qu'ils sont de tout ce qui, justement, fait société, comme on dit désormais...

Déconnectés de l'économique, car ils baignent dans le fric alors même qu'ils sont hors de toute production.

Déconnectés du social car ils vivent dans leur petit monde artificiel où ils ne fréquentent que les mêmes bobos qu'eux qui se béartisent ou se donquichottisent une fois par an à Saint-Bernard ou sur les Quais de Seine, histoire de passer au 20h...

Déconnectés de la morale car n'étant que dans la jouissance individuelle immédiate et ignorant ce que veut dire le mot responsabilité...

Et c'est ces cons-là qui se mêlent de nous dicter notre devoir... Beuark...

Caton revient, ils sont devenus fous...

Lou décinée...

vendredi, 25 mai 2007

La soupe est bonne...

Allez, on se le paye une fois de plus le petit con schneidermann qui, dans le Torchon Libéré qui lui sert de gamelle, monte à l'assaut courageusement contre le joggo-sarkozysme, semblant enfin découvrir que l'ennemi c'est le média..

Oui, bon, mais pour dire cela, le boutonneux d'"Arrêt sur Image" préfère quand même s'en prendre au bien commode honni épouvantail TF1 plutôt qu'à ses confrères et compères des télévisions et radios publiques...
Et donc le graphomane rothschildien écrit, entre autres, ceci :

"Et chacun d'oublier que l'information, sur la même chaîne, TF1, est dirigée depuis des lustres par un Robert Namias, dont l'épouse était conseillère en communication de Bernadette Chirac, sans que cela émeuve quiconque. Et chacun d'oublier, entre le Président et les oligarques français, les liens de parenté, de baptême, de fraternité, qui préexistaient au parachutage, et lui survivront."

Comment faire confiance à un soi-disant décrypteur de médias et cracheur-dans-la-soupe qui oublie de nous parler de Mermet  et Demorand sur France-Inter, de Badou, Duhamel, Kravetz, Kronlund, Lebrun, Laporte... etc sur France-Culture, qui formatent la tronche de la ménagère de 50 ans et des bobos de 35 depuis des années dans le sens de l'idéologie métissophile, migratomane et gauchocentrée qui sert de colonne vertébrale au discours dominant depuis des lustres...?

Et lorsque Elisabeth Lévy s'est faite virer manu militari d'une véritable émission d'analyse des médias, le samedi matin sur francecul ("Le premier Pouvoir"), on l'a vu où manifeter schneidermann ?

Et, tiens, j'y pense, Monsieur le Grand Transparent pourrait-il nous indiquer comme ça, en passant, pour qui il vote, lui et son équipe... ça nous permettrait peut-être de savoir enfin par qui, réellement, la télévision publique est colonisée...

Lou inquisitrice...

mercredi, 16 mai 2007

Parola... Parola...

"Ohé, les tueurs, à la balle et au couteau, tuez vite !"

Ah ! comme il est joli le Chant des Partisans ! comme il respire la paix, la fraternité et l'amour, comme il respire l'ouverture à l'autre et la tolérance, l'amitié entre les peuples et le pluralisme...! Je serais Angela Merkel, je serais pas vraiment rassurée...

"Tueurs", c'est finalement une assez bonne définition de nombre de "résistants" aléatoires, opportunistes et retardataires...

Bizarre quand même, comme ce régime qui arbore si haut la Fraternité ne trouve que du "sang impur" ou des "tueurs" à mettre dans ses hymnes... La République est décidément un sacré foutu régime de guerre civile...

Je serais étée  la Conseillère en Communication du petit Nicolas, outre que je lui aurais interdit le Fouquet's et Bolloré, je lui aurais suggéré, afin de bien marquer la réconciliation française évoquée avec tant d'ardeur, d'annoncer là, au Bois de Boulogne, juste après l'hommage rendu aux 35 fusillés de la Résistance, qu'il allait, dans la foulée, demander le transfert des cendres du Maréchal Pétain à Douaumont, au milieu de ses soldats... On peut toujours rêver...

Lou songeuse...

Putaing - cong....

Z'avez lu Libé d'hier ? Y a une Madame Rokhaya Diallo qui a fondé une dix millième association antiraciste à arrière-fond mélanochrome et lamentatoire pour se plaindre, celle-là, qu'elle en a plein le boubou qu'on la considère, d'origine sénégalaise comme elle est, comme une... Noire !

On le dira pas parce qu'on est polie et qu'on tremble devant les Vigilants, mais si on aurait le droit de dire "les Noirs", comme on dit "les Corses, les Bretons, les Auvergnats, les Plombiers, les Avocats, les Putes, les Pédés, les Chiens, les Chats...etc...", si on aurait le droit que je viens de dire, on leur dirait, aux Noirs, qu'ils commencent vraiment à nous les briser grave avec leurs minorités visibles, invisibles, indivisibles, craniques, pigmentées, pâles, café au lait, chocolat, banania et thé à la menthe...

Quand je monte, le moins souvent possible, à Paris, et que je prends deux "croissangs" dans une boulangerie et que le boulanger me demande le temps qu'il fait, putaing, à Marseille, je me précipite pas chaque fois sur la première Préfecture venue pour fonder l'Association des Persécutés de l'Accent et des victimes de la Linguistique.

Compris, les Noirs ? Votre nombril est magnifique, il est pas encore le centre du monde...

Lou catalane...

Duas habet ??

Ouf ! tout va bien, il ne s'est rien passé. Finalement Sarkozy-la-Rupture n'ira pas jusqu'à ébranler les colonnes du temple, faire vaciller les antiques statues, nier les dieux et tuer le Père... Il ira bien sagement rendre hommage aux 35 résistants  fusillés du Bois de Boulogne... Service minimum pour un adoubement républicain sans risque : un genou à terre devant les grands ancêtres, une révérence profonde devant les ligues revanchardes de la "Résistance" officielle..., Nicolas résiste à tout, sauf aux "Résistants"... Avec en prime, peut-être, hélas, autre génuflexion devant les agités de la repentance et du bocal cranique, la Taubirette sectaire et radicale dans son premier gouvernement !

Voilà qui augure bien mal d'un courage politique qu'on eût pu croire mieux accroché... Cécilia, tire-toi, il est en train de devenir faible !!

Lou sceptique...

jeudi, 10 mai 2007

Dumas, quel pied !

Ils ont été gentils, finalement, les juges de la Cour de Cassation, de ne pas annoncer entre les deux tours que Roland Dumas, ce grand héros socialiste et mitterandien pur sucre, avait été définitivement condamné dans l'affaire Giacometti. (CF Le Monde du 10 mai)... Ca aurait fait une vilaine tâche rose saumon sur les blanches tuniques de Ségo-la-Pure, Ségo- la-probe, Ségo-l'intègre, qui eût pu lui faire perdre les élections...

Ah ! ils sont mignons les socialistes, à venir nous parler de vertu alors même qu'ils sont largement aussi pourris que les copains et coquins d'en face... Après l'affaire Elf, après la Deviers-Joncour, après les pompes à onze mille balles, voilà le beau Roland rattrapé par l'Homme qui marche de Giacometti... Il est vrai qu'à 85 ans, le Dumas doit plus courir très vite, même si ça l'empêche pas, le bougre, aux dires du Monde, de plaider encore aux assises ! En voilà un qui a réglé à sa façon et sans en référer aux fameux et indispensables partenaires sociaux, le problème des retraites et des trente-cinq heures...

Deux remarques annexes : Qu'un véreux de ce calibre exerce encore la profession d'avocat, ça plaide pas vraiment en faveur de l'honneur du Barreau.

D'autre part, que l'ex-Président du Conseil Constitutionnel soi-même se comporte comme un vulagaire malfrat corrompu jusqu'à l'os, ça plaide pas vraiment non plus en faveur de la "vertu républicaine" ni des "grands principes" des Incorruptibles à guillotine...

Lou royale...

mercredi, 09 mai 2007

Un piolet, vite...

Dans la famille "Putain quel style j'ai ! Regardez-moi écrire !", on avait déjà le vieux Marmande du Monde qui se prend pour Chet Baker chaque fois qu'il met un point-virgule, voici qu'on a depuis quelques mois le rothschildo-trotskyste Pierre Marcelle qui, à défaut d'être Céline, Aragon ou Montherlant, en est réduit, le pauvre, à faire et refaire du Marcelle en smoking, laborieusement hebdomadaire et fumeux en diable...
Si encore il n'y avait que ça ! Mais à son matuvuisme littéraire, marcelle ajoute la pourriture journaleuse la plus pire. Ecoutez-moi ça, dans Libé du 8 mai : 
"Qu'est-ce qui m'a pris, aussi, sous le beau soleil férié du 1er Mai, entre le pont du Carrousel, où se célébrait le douzième anniversaire du meurtre de Brahim Bouarram, jeté à la Seine par une horde issue d'un cortège du Front national, et la Bastille, où des femmes célébraient l'hypothèse de l'élection d'une femme, de faire étape dans la gueule de l'immonde ? Quelle vicieuse curiosité me fit aller observer en vrai, place de l'Opéra, l'annuel petit Nuremberg lepéniste, et respirer ses fragrances fétides ? Des frontistes, on a trop coutume de dire que ce sont des gens ordinaires, Français moyens qui apportent à de « bonnes questions » de « mauvaises réponses » A traverser leur troupeau encadré de chiens de garde siglés DPS et chaussés de rangers épaisses (ce que ça doit puer, là-dedans !), une autre impression domine, dans un mélange d'effroi et de pitié.
Ici, même les adolescents nerveux et bourrés de testostérone, porteurs d'une banderole du FNJ et d'appareils dentaires, ne font pas sourire. C'est un lieu où l'on ne sourit pas ­ hormis extatiquement, lorsque les enceintes débondent en orgues et en cuivres une symphonie grasse comme un requiem, annonciatrice de l'arrivée du chef. Marrant comme, sous l'immense drap bleu frappé du slogan «Le Pen- La France», ou quelque chose comme ça, il a l'air tout petit. Ici, chacun est lui, dans un carnaval de symboles improbables et d'uniformes importables dans la vraie vie, mais qui, sitôt qu'ils croisent une caméra, prennent la pose pour hurler une adhésion plus confuse que mystique. Outre des casquettes brûlantes d'une flamme tricolore sur des chefs chenus et des drapeaux accrochés à des sacs à main de rombière, on croisera de drôles de tee-shirts imprimés de drôles de désirs ­ Guevara en panneau de sens interdit, haillon de coton siglé GIPN ou, boulevard des Capucines, sur des triceps tatoués et sous les maxillaires qui vont avec, ce grotesque «Terrormachine» en noir et blanc, marchant à son pas de robot."
Voilà comment une sous-merde caviardeuse rend compte d'un rassemblement lepéniste ordinaire, voilà comment un journaliste à déontologie Libératoire en sautoir entend et comprend la sainte objectivité de ce "fabuleux métier qui honore, c'est bien connu, la probité et l'intelligence"...
Le lecteur moyen de Libé, qui ne mérite d'ailleurs guère mieux, il faut bien l'avouer, retiendra donc que le public du FN n'est qu'une "horde immonde, fétide et nazie, encadrée par des sous-hommes à visage de dogue et aux pieds qui puent". (Entre parenthèse, lorsque le Baros de l'Olympique Lyonnais a indiqué par gestes à je ne sais quel footeux noir qu'il puait, la Halde s'est arrêtée de respirer, la planète de tourner et Schweitzer de vigiler... Là, lorsque marcelle commet le même "délit" en pire car sans l'excuse de la pression du match, il ne se passe rien et schweitzer continue de caresser négligemment les cheveux bouclés de mouloud aounit...).
Pour cette ordure de marcelle, lorsqu'il s'agit du FN, la foule est forcément une horde primitive, les vieilles dames des rombières ridées, les membres du service d'ordre des chiens et les adolescents ne sont rien autre que triceps, maxillaire et testostérone.
Cerise sur le gâteau, il me souvient avoir entendu ces jours-ci, mais sur quelle radio ? que le soir de l'élection, un militant ump avait été jeté dans le Rhône, à Lyon, par des nervis gauchistes style marcelle en moins caviar... Mais cela, le lecteur de l'ordure Libérée n'en saura rien, car Pierrette Marcel est bien trop occupé à célébrer, en compagnie de delanoé, le, combien déjà ? ah oui, le ... 12° anniversaire de la mort de Brahim Bouarram qui, lui, ne savait pas nager... Beuark...
Lou pioleuse...

mardi, 08 mai 2007

Ordures médiatiques...

Hier soir, le 19 - 20 sur France 3, et la Pulvarde aux manettes qui nous annonce avec son cul de poule habituel le sujet suivant, c'est à dire, il me semble, la déception des ségoléniens au soir de l'annonce des résultats de la mémorable branlée. Et ces pourritures de journalistes de trouver rien de mieux pour illustrer la chose que de filmer deux jeunes cons boutonneux complètement assomés et révoltés par l'éviction démocratique de Miss Bravitude. Et tandis que la Lolita pleure à chaudes larmes et se déchire le visage, le petit merdeux ségosphérien de hurler plein cadre et bien distinctement à l'adresse de sarkozy, à cette heure de grande écoute : "Enculé ! Enculé !".

Voilà comment France 3, avec nos ronds, informe la population et accessoirement incite les jeunes cons à foutre le bordel dans toutes les villes de France et de Navarre.

Je voudrais rester polie et pourtant je peux pas moins dire que les enculés, dans l'histoire, c'est le journaleux qui fait le sujet, le monteur qui sélectionne les images, la pulvarde qui les annonce et le directeur de l'info qui donne sa bénédiction. Et le Csa qui regarde Téléshopping.

Si Sarko vire pas cette racaille dans les six mois qui viennent, vaut mieux qu'il aille pousser la chansonnette avec son copain doc gynéco ou qu'il continue à se faire bronzer les miches sur le yacht à bolloré...

Lou exigeante... 

Piège à cons...

Entre la République "Libertude, Egalitude, Fraternitude" et la République de Fouquet's -Tinville, je suis finalement assez satisfaite de ne pas avoir choisi dimanche. De toute façon, il ne faut jamais choisir la République...

Lou huitmée...

vendredi, 04 mai 2007

Le sourire de la madone...

Et le mystère du sourire figé de la madone, il en parle quand, le petit kapo schneidermann qui veut nous faire croire, chaque semaine, sur la 5, dans "Arrêt sur image", que lui et lui seul et sa petite bande de merdeuses prétentieuses (dont une mignonne, oui, je sais...) ont la neutralité idoine, l'impartialité adéquate, la balance juste et l'équilibre parfaits pour nous décrypter le traitement médiatique de l'actu... Tu parles ! Tous et toutes d'autant et même plus sectaires et partisans qu'ils peuvent l'être en toute bonne conscience et parfaite sécurité puisqu'ils affichent quasi officiellement leur insoupçonnable vertu...

Pauvre petit con, donc, schneid, qui oublie de dire que le sourire figé de ségolène c'est le sourire de celle qui sait qu'elle a avec elle tous les cultureux et journaleux subventionnés, tous les théâtreux publics, les saltimbanques, les artissses en tous genres qui vivent de notre taf, celle qui sait qu'elle peut compter sur toutes les sous-merdes bénabaresques ou higelinées, sur la ruquièrerie toute entière, le fogieland intégral, sur la mattausch, la lucette, le pujadas, sur la noaillerie, la thuramitude, la caviarothschildie, le Bergéspace, la pinaulterie venisienne, sans oublier les milliards de micro-associations cityennes pompeuses de fric qui ne représentent que les trois membres cooptés de leur Bureau mais devant qui se couchent tous les micros...

Eh bien ça, et le reste, le roquet schneidermann oubliera sans doute de nous en donner le savant décryptage joli qu'il s'interdit et qu'on lui interdit de montrer... Couché, Daniel, au pied... Beuark..

P.S. Ceci dit, que sarko accepte d'être soutenu par un doc gynéco, ça augure pas vraiment bien de la suite... Pourvu qu'il le nomme pas à la culture

Lou chienne...

 

Rideau, la ridée...!!

Ca y est, la vieille grue fripée, la subventionnée jusqu'au trognon de tous les tréteaux, la mnouchkine soi-même qui s'y colle enfin, à lécher les chevilles à Ségo, à trembler de toute sa vieille carcasse devant bénito sarkozy qui s'approche en loucedé pour le tango de la mort et le viol au-dessus d'un nid de cocus... Et la voilà qui rameute le ban et l'arrière-ban, qui râcle tous les fonds de tiroirs et fonds de bidets de la gauche molle, dure, centre, extrême, chaude, froide, tiède, caviar, bourge, bobo, banlieues, comme un seul homme, bergé/besancenot cul et chemise, rothschild/laguiller chemise et cul, pour parier (pauvre Blaise !) contre la "certitude sombre" du petit nicolas, au profit sans doute de la "bravitude pâle" de miss zapatero-prodi...

Et mémé Molière de s'agenouiller, malgré l'arthrose, dans un "je vous en supplie" pathétique, pour qu'aucune voix ne manque à la Madonne des SCI, à l'admiratrice béate de la justice chinoise, à l'incapable paresseuse de claude allègre, à l'autoritariste méprisante d'éric besson... Il faut saisir, dit-elle, la "chance espiègle" du 6 mai... et, accessoirement, les subventions plus généreuses que jamais pour le théâtre du soleil... Beuark... Pour un peu, ça me donnerait envie d'aller voter...

Lou pêche à la ligne...

mercredi, 02 mai 2007

Celui qui scandalise un seul de ces petits...

Hasard d'un zapping malencontreux, vers midi, aujourd'hui, je tombe sur l'histrion Nagui en animateur d'un jeu télévisé. Et le voilà qui, à propos d'une question portant sur les origines militaires d'internet, se met à dire, le plus naturellement du monde : "Comme quoi y a pas que du mauvais chez les militaires..."

Imaginons la même phrase à peine modifiée : "Comme quoi y a pas que du mauvais chez les pédés, les juifs, les arabes..." Hou ! la la ! le tintouin qui s'en fût suivi ! L'on eût vu le haldien schweitzer en avaler ses financements, le rose delanoé postillonner ses anathèmes, le mrapiste mouloud s'arracher le turban, le grand rabbin sitruk déchirer ses vêtements... bref c'eût été l'info du jour et ségolène n'eût pas manqué, ce soir, d'appeler à résister au ventre toujours fécond de la bête qui monte tandis que sarko eût trouvé ça inacceptable et répréhensible...

Alors que là, rien, nihil, nada, nichts, niente, nothing... Tout va bien chez les bien-pensants et les bon-conscients...

Et que tel enfant de militaire, tel bonhomme de huit ans, fils du lieutenant lambda ou telle mignonne gamine, fille du capitaine X, risque d'en éprouver je ne sais quel tourment psychologique déstructurant ou quelle désillusion ravageuse, c'est pas vraiment le problème de tous les vigilants du monde qui ne vigilent que leurs petites affaires perso et se torchent chaque jour un peu plus de ce prétendu humanisme qui leur sert de faire-valoir... Beuark !

Lou zappée...