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vendredi, 10 décembre 2010

Le connard suprême...

Mais ça fait combien d’années qu’Alain Duhamel nous impose ses analyses à deux balles, son sourire niais et sa morgue de gros cul installé pour l’éternité sur le petit écran ? Ils ont personne d'autre dans leurs cartons, sur la deux ?

J’ai dû le voir cinq minutes hier soir, par hasard, en face de Marine Le Pen, et une fois de plus, j’ai failli gerber…

Car cet espèce d’ectoplasme médiatique, qui fait la carpette depuis des décennies dès qu’il se trouve en face des ordinaires politiciens que Le Pen père appelait la « bande des quatre », retrouve son mépris douceâtre et sa mielleuse combativité lorsqu’il a à faire à quelqu'un du Front National.
Et le voilà alors, petit roquet minable envoyé par ses maîtres, non pour permettre l’ « expression démocratique et la clarification du débat », mais, par ses aboiements incessants, pour empêcher Marine Le Pen d’articuler une phrase de plus de douze mots et donc de pouvoir exposer aux Français ses analyses et ses solutions.

Et en plus son frangin a été quelque chose comme pdg de France-Télévision !! C'est quand qu'ils nous lâchent, cette famille d'ubiquitaires stipendiés ? Ils sont tellement aveuglés par leur propre ego que même pas ils se rendent compte de l'indécence qu'il y a à promener leur photomaton en boucle dans nos salons pendant des lustres ! Avec qui et combien de fois ils ont couché, physiquement ou psychiquement, pour s'incruster autant dans le paysage ?

Tiens, qui donc veut se charger du lancement d’une pétition pour que les connards médiatiques du service public payés grassement avec nos ronds, un, soient payés au smic, deux, ne puissent exercer leur sacerdoce à la con plus d’un an… Ca nous fera des vacances…

Lou pétitionneuse...

Commentaires

- Les "analyses" de Marine Le Pen, comme vous y allez ! Notez que vous avez raison, c'est ce que lui reprochais son paternel, d'être un peu trop freudienne.
- Cette flopée de Duhamel occulte en outre qu'il y en eût un précédent, plus utile puisqu'il dénonça prémonitoirement le cinéma comme un art de tapettes libérales dégénérées.

Écrit par : Lapinos | vendredi, 10 décembre 2010

Je vous complimente pour votre recherche. c'est un vrai œuvre d'écriture. Poursuivez .

Écrit par : Marion | mardi, 12 août 2014

Les commentaires sont fermés.