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mercredi, 21 décembre 2011

Pierrot le Con...

Ah ! fallait bien qu’elle nous en cause, la Marcelle de Libé, de la grève des « agents portuaires de sécurité »… fallait bien, juste avant de prendre, comme un gros beauf, quelques vacances bien imméritées et sans attente, lui, dans ses transports malins, fallait bien qu’il crache son mépris du peuple vacancier et qu’il se la joue Front (bas) de Gauche et Besancenotien de mes deux en soutenant quatre connards qui bloquent des centaines de milliers de braves gens (enfumés, hélas, par la pseudo-nécessité de partir aux îles, au ski, ailleurs, loin d’eux-mêmes…) qui se retrouvent les enfants sur les bras et le bas de laine en fuite libre…
Marcelle, quatre connards hurleurs qui braillent avec drapeaux rouges en bataille, porte-voix à donfe et poings levés à la Mur des Fédérés, ça l’excite un max…

Mais par contre, des syndicats qui représentent que 8% des salariés et qui touchent chaque année quatre milliards d’euros de l’Etat, ça, Marcelle, ça le questionne pas plus que ça, des syndicats qui gèrent obscurément des centaines de vies de château par le biais de CE qu’ils contrôlent et de COS qu’ils domestiquent, ça l’interroge si peu que ça le laisse sans voix…

Marcelle, son truc de justicier en plastique et casque de moto, c’est juste de baver ses petites laborieuses phrases paradantes et pétaradantes d’indigné mirifique pour manifester urbi et orbi l’acuité de ses griffes de tigre de papier… Beuark !

mardi, 20 décembre 2011

Dindon Lindon...

Et un de plus qui s’y colle (Libé naturellement) : Mathieu Lindon, fils à papa et cousin à Vincent, a dû se dire, dans ses longues veillées au coin du feu, entre deux rots de Chivas et quatre regards énamourés sur ce décidément magnifique « Nicolas de Staël » qu’il faudra bien se résoudre à mettre un jour sur le marché, Mathieu Lindon, donc, a dû se dire que, tiens, peut-être, ça ferait pas mal dans le décor de soi-même et l’auto-promotion hebdomadaire de sa grandeur d’âme d’apporter son eau au moulin à prières du nouveau paria de la boboïdie, l’Etranger mal aimé, le Migrant refoulé, le Nomade rejeté…
Et pour ce faire, Monsieur Fils, tout empli du contentement de sa génialité, d’y aller de sa jolie trouvaille du jour : « Les Jaunes en Asie, les Arabes en Arabie, les Noirs en Noirie, les Etrangers en Etrangerie »… Et Nicolas Demorand de la trouver magnifique et de se la faire tatouer illico sur l’omoplate gauche et graver sans délai dans le marbre de Libé…

Ne lésinons pas, on dirait du Proust et l’on comprend alors aussitôt comment et pourquoi Mathieu, fils de Jérôme, a décroché le prix ceci-cela donné dans la plus grande transparence et en toute amitié par la corporation réunie…

Bon, que Ducon s’y colle aussi et déballe sa grandeur d’âme sur rotative pour pouvoir dire « j’y étais », rien de bien étonnant dans cette course à l’échalote du petit marquis qui sanglotera le mieux, le plus et le premier sur le malheur du monde et dressera son insoumission récalcitrante et inoxydable contre la Francerancie qui « résiste à l’envahisseur »… Par contre, si Ducon quittait un jour ses beaux quartiers d’opulence sécurisée pour aller vivre trois semaines en bas des tours de Montfermeil, peut-être qu’il rencontrerait enfin pas rien que des « médecins, artistes ou pilotes étrangers » mais aussi quelques racailles distinguées, dealers, délinquants, malfrats, petites frappes à capuche, guetteurs fous, caillasseurs déjantés qui pourrissent la vie des pauvres gens, et sans doute Lindon retournerait-il vite fait en Lindonerie…

 

lundi, 19 décembre 2011

Miss RSA...

Ah ! putain ! voir audrey pulvar, bobo-montebourgeoise de haute graisse, métisse raffinée proclamée reine de la diversité visible et du coup de pouce télévisuel, la voir en procureuse pointilleuse, chez Ruquier, en face de wauquiez, se faire l’avocate éplorée des plus pauvres malheureux misérables à RSA, des chômeurs longue durée dans la panade, des qui ont du mal à joindre les deux bouts, la voir s’indigner, la salope, contre ceux qui cherchent à opposer les pauvres aux plus pauvres comme si ladite pauvreté la faisait souffrir, la pauvre chérie, dans toute sa noire chair de panthère sauvage rebelle, dont elle parla jadis dans une chronique fumeuse, sous la robe Christian dior, le parfum chanel n° 12 et les mignonnes boucles d’oreille van cleef and arps dont la couvre soigneusement arnaud le docile…
Et pourquoi qu’on l’entend pas, la gentille Audrey, si tant miséricordieuse et compatissante au pauvre peuple, pourquoi qu’on l’entend pas s’indigner contre l’ordure guillon, l’ordure ruquier, l’ordure val, l’ordure jean-luc hees qui sont là, dans la cooptation la plus éhontée, à côté d’elle ou dont elle dépend, et qui baignent dans le fric… pourquoi qu’on l’entend pas s’offusquer grave du montebourg de sa couche, ex d’Hortense de Labriffe s’il vous plaît, joyeux cumulard ordinaire qui doit engloutir chaque mois, sur les impôts des Français, en plus de la secrétaire particulière et de la voiture de fonction, de quoi verser 30 RSA réconfortants mensuels aux exclus chers à son coeur… pourquoi qu’on l’entend pas nous décrire par le menu ses propres fiches de paye de chez ruquier ou France-inter, sans compter les petits à-côté bien rondelets que Madame doit se faire en animant quelques talk-show pour pharmaciens en goguette ou colloques soyeux de quelque association humanitaire en mal de reconnaissance médiatique…

Attention, Audrey, range vite ton sac longchamp et tes boots iro, je sens que je vais gerber…

samedi, 17 décembre 2011

Canard cané...

Compassion généralisée, larmoyage collectif, pleurez chaumières, chialez télés, un journal agonise, un canard disparaît, France-Soir défunte en direct, et toute la corporation d’y aller de ses sincères condoléances, pluralisme en danger, bord de l’abîme, démocratie menacée, grande voix qui s’éteint et autres billevesées de circonstance…

Deux mots seulement aux chers confrères éplorés :

-La diversité informative, vous en avez strictement rien à secouer et je serais curieuse de connaître le nombre de bouteilles de champagne que vous avez dû sabrer dans les rédactions pour saluer le surcroît de lecteurs que la disparition de France-Soir allait vous amener…

-Puisque le pluralisme de la presse vous est si cher, comment se fait-il que jamais vous ne citiez, dans vos revues de presse et renvois d’ascenseur, le journal Présent, que jamais vous ne fassiezvenir sur les plateaux l’un de ses journalistes, et que vous n’ayez jamais lancé en grande pompe l’un de ces fameux et juteux partenariats éditoriaux dont vous avez le secret ?

vendredi, 16 décembre 2011

Fourest la Haine...

Bon, allez, on va pas se la jouer complètement ingénue et faire semblant de croire que dans la famille Le Pen il y pas, comme partout, le « misérable tas de petits secrets » qu’on trouverait aussi bien en grattant un peu chez le couple infernal Fourest/Venner ou chez le guignol Renaud Dély du Nouvel Obs ou la petite frappe Monnot du Monde…

Marine n’est pas un angelot, Jean-Marie non plus, et quant à Rémy Pflimlin, patron de France-Télévisions, sans doute si on allait faire les poubelles au bas de son hôtel particulier on trouverait, entre micros et caméras, culottes sales et caleçons merdeux en abondance…

Mais ce qui fait gerber grave dans l’émission d’hier soir, c’est de voir, à quelques mois des élections présidentielles, une chaîne publique, garante bien entendu de la qualité du débat démocratique et autres calembredaines du même tonneau, c’est de voir une chaîne publique diffuser un réquisitoire à charge, et même deux si on songe au récent « Diable de la République » sur la 3, contre un seul mouvement, le FN, et une seule candidate, Marine Le Pen.

Et dans le genre, les salopes réunies, Fourest/Venner ont pas fait dans la dentelle : les commentateurs invités s’appelaient Renaud Dély du Nouvel Obs, Monnot du Monde, Konopnicki de Marianne, Duhamel de partout, et les témoins d’immoralité avaient tous été soigneusement castingués chez les ex du FN, ceux qui ont quitté le parti pour de bonnes ou mauvaises raisons mais qui, forcément, allaient pas tresser des lauriers à la fille au Menhir…

Et c’est ainsi que des mecs d’extrême droite qu’on a jamais vu passer à la télé, qui sont censurés plein pot, qui ont jamais le droit à la moindre parole, dont on ignore totalement la frimousse, là, pour l’occasion, et à condition qu’ils crachent bien gentiment le venin attendu, on les sort de la naphtaline, on les installe confortablement dans le fauteuil, le temps qu’ils participent, consciemment ou pas, à la curée…

Vous les connaissiez, vous, Lorrain de Saint-Affrique, Fernand Rachinel, Jérome Bourbon, de Rivarol ? Vous les avez déjà entendu développer tranquillement leurs idées comme tout un chacun ? Eh bien c’est fait, ça y est, et maintenant qu’ils ont bien craché dans la soupe, on va derechef les oublier pour cinquante ans…

C’est ça le journalisme selon la salope Fourest, c’est ça le débat démocratique selon la salope Venner : un portrait à charge sans un seul témoignage non pas même positif, mais seulement objectif… C’est, dans des centaines d’heures d’émissions visionnées, le choix longuement pesé du dérapage qui tue, du cadrage qui démolit, de la séquence qui fracasse… C’est enfin l’absence totale de droit de réponse dans l’émission ou juste après ou le lendemain…

Et en prime l’émission se termine sur ces mots assénés bien clair au cas où on aurait pas tout compris : ce qui caractérise Marine Le Pen, c’est une « vraie violence » et « un seul obstacle peut la freiner : la démocratie, la vigilance et le vote des Français »…

Si ça, c’est pas bourrer les urnes avec la bénédiction et la complicité des ordures du service public et des connards du CSA, mon Dieu que ça y ressemble… Beuark…

 

P.S. Si on veut se faire une idée plus complète des méthodes et de la déontologie de la Foureste, on peut aller lire ceci sur Wikipédia : 

« Sous le titre « Les lauriers de l'obscurantisme », Jean Baubérot, Bruno Étienne, Franck Fregosi, Vincent Geisser et Raphaël Liogier protestent dans Le Monde du 18 avril 2006 contre le prix du livre politique décerné à Caroline Fourest[4].

 En juin 2010, Alain Juppé accuse Caroline Fourest d'avoir écrit à propos de «l'affaire Saint-Eloi» un article publié dans Le Monde[6] qui « contient toute une série de contre-vérités ou de mensonges »[7].

Pascal Boniface, directeur de l’Institut de relations internationales et stratégiques (Iris), dans son livre intitulé Les Intellectuels faussaires[48] qualifie Caroline Fourest de « sérial-menteuse » et avance que la caractéristique principale de celle-ci serait « d’attribuer à ses adversaires des propos qu’ils n’ont jamais tenus pour s’en offusquer »[49].

 

 

mercredi, 14 décembre 2011

Cavanne pour un penseur fatigué...

Ah ! Cavanna… la vieille carne charlie-hebdesque… Monsieur-je-me-prends-pour-un-grand-penseur-et-un-indispensable-écrivain-mais-je-fais-semblant-que-non… Le voilà qui chronique dans Le Monde (daté du 9 décembre) pour éructer une fois de plus ses positions rancies d’athée flamboyant droit dans ses bottes jusqu’à la fin et hurlant merde à Dieu au bout du bout de son dernier soupir…

Et le Rital d’y aller de son couplet théophobe ordinaire de vieux laïcard radical et d’achever par un « rien n’est tabou, rien n’est sacré » de haute époque auquel nous ne pouvons bien sûr que souscrire en suggérant à la vieille cavanne de venir pisser avec nous au Panthéon sur les cendres de Jean Moulin et Jean Jaurès, de se torcher avec nous aux feuillets jaunis de l’Appel du 18 juin et de la Déclaration universelle des Droits de l’Homme, de jouer aux osselets, sans nous, avec les squelettes des Vendéens, Arméniens, Juifs et Cambodgiens génocidés et d’applaudir des deux mains les incendiaires récents des locaux de Charlie-Hebdo, locaux qui n’avaient, c’est bien connu, rien de transcendant ni de sacré ni de tabou et qui, par conséquent, relevaient très exactement d’un rire un brin explosif que Cavanna définit ainsi à la fin de sa laborieuse bafouille : « brutal, provocateur, imprévisible, injuste, sans pitié… le rire est la cruauté à l’état pur.. ».

Eh bien, ducon, de quoi tu te plains ? T’es servi, il me semble…

mardi, 13 décembre 2011

Caro la Borgne...

Plus que deux jours avant l’apothéose décisive de la petite Fourest, deux jours pendant lesquels tous les connards à micro vont lui servir la soupe chaude sur tous les plateaux, deux jours à se faire titiller l’ego, avec des moues de pucelle aux anges… Caro la guerrière… Caro l’insolente… Caro la superwoman qui va terrasser, dans une émission définitive, le « diable de la République » et envoyer aux poubelles de l’Histoire la Le Penfamily inc…

Et la petite salope de promener sa frimousse en boucle de chaîne en chaîne et de déverser à la tonne ses sophismes de jeune sorbonnarde de mes deux pour expliquer qu’elle ne fait là que le travail ordinaire du journaliste d’investigation qui gratte le vernis de l’apparence pour dévoiler la sordide réalité…

Que la chose arrive à quelques mois des Présidentielles et au moment où Marine Le Pen cartonne dans les sondages n’est bien sûr que pur hasard, coïncidence fortuite et jeu normalement aléatoire de la démocratie merdiatique…
Alors dis-moi un peu, Foureste, toi qui aimes tant chatouiller là où ça démange et débusquer les lièvres les mieux cachés, tu peux nous expliquer vite fait sur le gaz pourquoi qu’on t’entend pas sur les quatre milliards annuels versés à des syndicats qui ne représentent que 8% des salariés de France, pourquoi que tu fermes ta petite gueule de délatrice sur les magouilles du Comité d’Entreprise CGT de la Ratp, pourquoi que t’es en stand by sur le Comité des Œuvres sociales, derechef CGT, de la mairie de Montreuil, pourquoi t’es pas plus que ça effarouchée par le couple infernal DSK/Sinclair et leur train de vie obscène de pachas socialistes décadents… et les pompes à Roland Dumas, et les montres à Julien Dray, et les fraternelles combines des Guérini marseillais, et le pognon de Patrick Lozès, et les magouilles du PS du Pas-de-Calais, tu crois que ça vaut pas d’investiguer cinq minutes de plus … on t’a pas mis au courant, t’avais oublié de remonter la poubelle, t’étais trop occupée à enflammer Fiametta… ?

Allez, Foureste, t’es rien qu’une foutue petite balance hémiplégique, et avec ton regard sélectif sur la politique, t’es mille fois plus borgne que Jean-Marie Le Pen soi-même…

mercredi, 07 décembre 2011

Caroline pourrie...

Vous l’avez entendue, vous, Fourest la salope, Fourest la justicière, Fourest la démocrate, vous l’avez lu, entendu, vu s’élever  en chevalière blanche en Une de Libé ou du Monde contre les joyeux connards réunis du PS, du NPA, de SOS Racisme et de l’UEJF qui ont empêché la tenue d’un débat à Dauphine avec Marine Le Pen ? Vous l’avez entendu stigmatiser, toutes affaires cessantes, ces bas de plafonds qui n’ont d’autres arguments que la vocifération et la violence ? Vous l’avez lu s’indigner de ce que le patron de Dauphine, Laurent Batsch, ait pas eu les couilles de faire face et se soit couché devant l’argumentum baculinum ?

Moi non. J’ai pas vu sa frimousse angélique et ubiquitaire venir porter la bonne parole d’une démocratie à protéger par tous les moyens, d’un débat citoyen à faire vivre à tout prix, d’une tolérance emblématique de nos valeurs républicaines à arborer à toute force…

Imaginons deux secondes la situation inverse : des gros bras du FN cassant du bolcho… Ah ! comme elle y serait montée aux rideaux, la mignonne ! On l’aurait vu baver son indignation au même moment sur la 2, la 3, LCI, I-télé, Euronews, Le Monde, Libé, Le Journal de Mickey, Cartoon TV et autres lucarnes qui se seraient complaisamment ouvertes à sa colère civique… Mais là, l’hémiplégique salope doit dormir du sommeil du juste dans le même grand lit que toutes les ordures socio-démocrates et libérales qui, dans cette affaire, ont surtout fermé leur gueule… Beuark !

mardi, 06 décembre 2011

Expurgeons Balzac...

Ach so ! Razisme invegd ! Andideudonizme brimaire ! Invâme zaloberie !...

Bon, ok, le pensum de Patrick Besson était un brin lourdingue, et même s’il pouvait se légitimer du « bedid balai » du Baron de Nucingen de Splendeurs et misères des courtisanes, sa longueur en émoussait un peu le ressort…

Mais c’est quand même impressionnant comme ils nous les brisent, tous ces connards de sous-licraïstes droitsdelhommisés pour qui le moindre Y a bon Banania, le plus petit Durafour crématoire, ou la plus infime allusion au bronzage baraquobamien sont passibles des tribunaux de la bien-pensance institutionnelle et subventionnée!

Décidément, la pas si jolie Eva que ça a du souci à se faire côté intégration : non seulement elle ne maîtrise qu’approximativement le français, mais en plus elle semble fâchée définitif et grave avec l’humour…

Et c’est pas auprès de Noël Mamère (qu’on devrait désormais appeler Meinmutter, just for the fun…) ni de la Khmer verte Zézile Duvlot qu’elle va vaire des brogrès vulgurants en ze tomaine…

lundi, 05 décembre 2011

Master 2...

On peut avoir un Master 2 de je ne sais quoi, faire partie des rastignac de la discrimination positive, être de gauche et promu tête de gondole de Libé par le gros Demorand, et être quand même un sacré con…

Bon, Amine, on va pas s’arrêter aux détails, on va même te faire confiance sur les qualités exceptionnelles de ta maman, sur son amour de la France de Zidane et sur sa contribution fiscale généralisée à la richesse de plus en plus problématique de notre pays…

Il n’empêche que ça suffit pas pour obtenir comme ça, juste sur de bons sentiments et sur le témoignage de son fiston intello, la nationalité française…

Dans un Etat de droit, y a des critères pour accéder à la nationalité et tout refus n’est pas systématiquement un crachat, y a aussi une souveraineté qui fait qu’un pays a le droit d’estimer que le quota d’immigration acceptable est ou non dépassé…

Et puis, Amine, pour une maman exceptionnelle qui fait honneur à l’intégration et qui est peut-être une chance pour la France, combien de chômeurs, de fraudeurs, de parasites, de délinquants, d’assassins, de violeurs issus de l’immigration  qui ont contribué sans doute bien plus que Guéant à transformer le rêve français en cauchemar !

Une hirondelle ne fait pas le printemps, Amine, même si elle fredonne Piaf et Jacques Brel…

Et c’est justement le pseudo-accueil de toute la misère du monde pratiqué sans discernement par les politiciens dont tu rêves pour 2012 qui explique qu’aujourd’hui, et indépendamment de la qualité individuelle de chacun,la France en tant qu’Etat n’ait plus la capacité d’accueillir davantage d’immigration et que la France en tant que société exprime un sentiment de rejet dont les bons immigrés font forcément les frais…

Accessoirement, Amine, quand tu commenceras à réfléchir autrement qu’au travers des lunettes néo-paternalistes de tes maîtres du Boboland, tu essayeras de te demander pourquoi c’est bien plus facile à Demorand et Rotschild de t’accueillir dans leur torchon plutôt que d’accueillir toute la misère du monde dans les appartements luxueux dans lesquels ils crèchent…

Allez, Amine, encore un effort pour être digne du master 2…

 

jeudi, 01 décembre 2011

Diabolo-menteur...

Bon, je dois dire qu’hier soir, vers 20 h 30, je faisais pas trop la fière… Ma fille, me disais-je, tu t’es peut-être emballée un peu vite… si ça se trouve, pour une fois (mais vraiment une seule et toute petite fois…) la téloche va se révéler honnête et le gentil Samuel Etienne, avec sa tronche de gendre idéal (un peu en dedans quand même et qui pourrait finalement épouser mon neveu…) va nous la faire à peu près équilibrée…

Et bien non… j’avais tort de m’inquiéter, les rois de la désinformation ont été fidèles à eux-mêmes, le plateau particulièrement sélect, avec miss Fourest en bonus, qui nous concocte pour le mois de décembre sur la 2 une jolie petite saloperie anti FN que les croquignols du CSA s’apprêtent à bénir de leur grand goupillon tiède…

Bref, le film fut ce qu’il devait être : une merde ; les interviewés étaient tous des ex du FN (c’est bien connu, on n’invite jamais autant les mecs du FN sur les plateaux que lorsqu’ils ont rompu bruyamment avec le Patron !) qui se bousculaient pour balancer grave sur leurs anciennes amours ; et quant à la révélation de la soirée : que JMLP ne voulait surtout pas du pouvoir (révélation appuyée sur 4 mots et un point d’exclamation :« Dieu nous en garde ! », jetés à la va vite en 40 ans de carrière politique… Tu vois un peu le sérieux de la chose !), bizarrement on n’eut pas la réponse de l’intéressé lui-même que l’on vit pourtant abondamment questionné, soit qu’on ne la lui ait pas posée de peur d’une réponse qui n’allât pas avec le scénario, soit que le Menhir ait répondu autrement que l’attendaient les « historiens » de service…

Quant au débat, Louis Alliot aurait pu faire mieux que quelques moues gentillettes qui ont dû lui valoir un savon en rentrant au bercail, Collard fut brouillon et les quatre connards d’en face firent juste la fumée qu’il fallait pour qu’on n’entendit rien de clair et d’argumenté…

Faudra faire mieux la prochaine fois, sinon, Lou se réfugiera dans les bras de Morphée…