mercredi, 30 novembre 2011
CSA : Sommeil dogmatique...
Ah ! la belle totalitaire démocratie média et merdiatique française ! Ah ! l’objectivité délicate ! la si déontologique mission d’information du service public ! le droit imprescriptible à la vérité vraie ! la neutralité sacrée des journalistes et autres calembredaines de fin de colloques… !
L’histoire enfin du FN, ce soir en direct live sur l’étrange lucarne de France 3, garanti pur mensonge service public, moraline obligatoire pour tous, propaganda staffel de haute volée, avec samuel étienne aux commandes et 2 ou 3 autres connards du même acabit (kauffman, blanchard, deniau), vaguement historiens, vaguement documentaristes, mais très certainement et très précisément endoctrineurs patentés pour nous proposer – Ah ! le titre joli ! – « Le Diable de la République, histoire du FN »…
Et oui, à quelques mois des élections et en anticipation horrifiée d’un nouveau 21 avril de sinistre mémoire, vu que la Marine nationale commence à fluctuer sans mergiter, on ressort la grosse Bertha, dans le plus pur genre informatif, histoire de rappeler aux Français qui pourraient s’égarer quelques bonnes « vérités » bien choisies… on sait jamais… le hasard, les cons, qu’ils allassent tout guillerets et sans états d’âme voter Le Pen…
Et les connards du CSA, ils font quoi pendant ce temps ? Ils visionnent « Bonne nuit les petits » ? Ils fantasment sur le dernier clip de Lady Gaga ?
On suggère aux trois ordures susdites de continuer dans une si belle voie dénonciatrice leur vénérable sacerdoce et de nous donner, dans les semaines qui suivent, quelques autres documentaires dont voici déjà les titres : « Les crapules de FR3 », « Les pourritures du Service public », « Satan à l’UMP », « Lucifer chez les Verts », « Belzébuth au PS »… etc…
Cerise sur le gâteau : un débat doit suivre l'émission, débat dont, bizarrement, quelques heures avant la diffusion, la chaîne est incapable de donner le nom des participants… Gageons que les tractations doivent être sordides… Beuark !
Lou...
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lundi, 28 novembre 2011
Re-Bob... hélas !
Un bijoutier à Cannes hier, un flic à Vitrolles aujourd’hui, et bien sûr toujours les mêmes gueules enfarinées en ouverture des JT pour dire leur stupéfaction de commande et leur indignation mécanique devant ces faits forcément incompréhensibles…
Ok… ok, sauf que les mêmes, lorsque la vieille baderne Badinter va enfin passer lui aussi l’arme à gauche, les mêmes vont larmoyer et pleurer pendant huit jours et nous assommer d’impérissables louanges, de dithyrambiques éloges et de panégyriques à n’en plus finir à l’égard de ce grand humaniste qui…, de ce philanthrope admirable que… etc… etc… dans le genre de la Tatie Danielle de ces jours-ci...
Alors que le seul vrai coupable, celui qui arme depuis 30 ans le bras des salopards, c’est lui, lui qui, après le 10 mai 81 (bon anniversaire, Ducon !) se fait l’avocat des crapules, plaide pour les prisons dorées, les libérations conditionnelles, la réinsertion à tout prix (parenthèse, le malfrat qui s’est fait descendre avait déjà été interpellé quarante fois par la police ! Bonjour la réinsertion !), supprime la peine de mort, jette un doute généralisé sur les forces de l’ordre forcément toujours limite bavure, et autres joyeusetés altruistes et généreuses qui lui coûtent qu’un peu de salive et qui pourrissent la vie de milliers de familles tandis que le vieux Bob se la coule douce dans les apparts somptueux et sécurisés de la fifille à feu Bleustein-Blanchet… Beuark !
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vendredi, 25 novembre 2011
Raphaël Poujade...
Faut les entendre, chaque jour, à chaque changement d’émission, faut les entendre, les chroniqueurs, animateurs, producteurs de France-Cul, pousser leurs gingles récurrents sur la chance qu’on a, nous-autres auditeurs, d’écouter cette radio sublime, « tout savoir… tout écouter… », les entendre nous annoncer qu’ils nous offrent (avec notre pognon, bien sûr) des places de spectacle, qu’il ne faut pas manquer l’émission d’après, ni celle d’avant, ni celles de demain et d’après-demain, bref, les entendre racoler comme c’est pas permis, pire que la dernière pute du Bois de Boulogne, et ratisser large en plus, racoler pour France-Info, France-Inter, France-Musique, Le Mouv…etc..etc, le bon gros monopole étatique, véritables marchands du temple à essayer de nous refiler leur camelote… et avec ça, qu’est-ce que je vous mets ?... merci Madame Michu, et à très bientôt… vous voulez pas goûter mes paupiettes, toute fraîches d’aujourd’hui, exclusivité, prime time, buzz assuré… Et c’est ainsi que l’on trouve dans la bouche de ces bobos, contempteurs patentés du petit commerce poujadiste, le pire de la sollicitation putassière, de la réclame mercantile… la pub… la pub cent fois recommencée…
Et voilà que le petit Enthoven, Monsieur Je-laisse-papa-faire-le-gros-œuvre-et-j’arrive-pour-les-finitions, Raphaël donc, philosophe médiateux sur France-Cul, nous pond, ce mardi 22 à 7 h 17, avec sa voix de castrat carlabrunisé, nous pond, disais-je, une chronique impérissable de 6 minutes, 6 minutes de pur bonheur sur le thème de la « carte de fidélité » où, se prenant sans doute pour Roland Barthes, il exégèse plein pot, analyse, dissèque, plie, déplie et replie la simple phrase d’un caissier de la fnac ou virgin : « Vous avez la carte de fidélité ? » comme si c’était du Schopenhauer, pour y voir, horresco referens, « la voix du Marché… un monde qui supprime le choix… qui force la main… en un mot le viol subliminal du consommateur… »
Ohé, Ducon, quand on se prend pour un penseur altissime, qu’on a l’agrèg de philo, qu’on pense grandiose et grave en direct sur Sartre, Heidegger et Spinoza comme d’autres causent de Ribéry, Néné ou Gourcuff au Café du Commerce, la moindre des choses, la moindre des preuves d’intelligence ça serait de prendre juste ce qu’il faut de recul sur sa propre pratique et sur la pratique de la boîte où on cachetonne… Et au lieu, alors, de causer de virgin ou de la fnac qui sont d’autres sacrées boîtes à merde, on aurait aimé t’entendre sur l’auto-pub permanente de France-Cul et le viol quotidien, subliminal et rémunéré d’une radio dans laquelle tu te gaves quotidiennement…
P.S : Et puisqu’on est dans la cohérence, faudra peut-être, Raffy, que tu nous expliques comment tu arrives à concilier ta définition de la fidélité comme une vertu avec ta pratique de kangourou ithyphallique…
Lou...
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jeudi, 24 novembre 2011
Du pognon...
Ils en veulent du pognon, pour racheter la dette, diminuer les agios, renflouer les caisses sans fond de l’Etat-providence ? C’est pas compliqué. Suivez le guide…
-1/Supprimer les radios et télés publiques qui, sous leurs grands airs de déontologues généreuses, servent la même daube que les autres chaînes, sont pas plus objectives que le privé, fonctionnent à la promotion canapé, au copinage, à séné, rhubarbe et passe-droits, et sont des repères à planqués définitifs, rentes à vie pour des armées de connards qui ont rien d’autre à faire que proposer des divertissements débiles, formater la tronche du populo dans le sens de leurs engagements idéologiques et nous faire baver d’admiration devant des expositions ou des spectacles d’une nullité affligeante… Avec France-Inter-Info-Culture-Bleue…,la Deux,la Trois, Arte, France 24, etc… on doit bien pouvoir économiser 15 milliards, mettre le vieux Mermet à la casse et renvoyer Guesquière et Taponnier se rengager en Afghanistan avec la solde du biffin de base…
-2/ Supprimer les 2/3 des députés et sénateurs, bataillons d’incapables, d’inutiles, profiteurs fonctionnant au clientélisme le plus éhonté, préoccupés seulement de leur réélection, prêts à avaler toutes les couleuvres, disponibles pour toutes compromissions, toutes magouilles qui leur permettront de conserver leur fauteuil à privilèges… En garder une petite dizaine de chaque assemblée, pour le décorum et l’animation des jours de grand débat ( frappe des pupitres, doigts d’honneur, sorties fracassantes, chaleureuses embrassades à la buvette …etc ...). Allez, 10 milliards.
-3/ Supprimer les députés européens et toutes les subventions au « Machin » de Bruxelles, gros Léviathan monstrueux qui, derrière ses immeubles vitrées, pompe la substance vive des pays pour y asseoir sur des moquettes épaisses comme ça les gros culs de technocrates à costumes trois pièces qui ont rien d’autre à faire que décider par décret de la hauteur, la largeur, la couleur et la profondeur des étiquettes de camembert au lait cru … Ça devrait tourner autour de 25 milliards…
-4/ Supprimer tous les Musées d’art moderne où croupissent, à hygrométrie constante et sous surveillance rapprochée, toutes les plus infâmes merdes d’un art conceptuel qui fait gerber et dont le concept principal n’est jamais que la côte la plus élevée possible du marché… Renvoyer les performers fous, qui squattent des salles d’exposition immenses pour réaliser leurs ébats d’artistes à la noix, dans leurs deux-pièces cuisine… Et transformer tout ça en logements sociaux : 20 milliards…
Bon, allez, on va peut-être s’arrêter là pour aujourd’hui… Ça fait déjà 70 milliards en pas cinq minutes… Merci qui ? Merci Lou…
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mercredi, 23 novembre 2011
Lirébation...
Libé d’hier… z’avez vu leur Une : « Terreur Place Tahrir » !
Toujours les mêmes connards, toujours la même bande à l’ordure demorand, digne successeur de l’ordure joffrin, le gros joufflu qui rit sous les bombes, contrepète dans les massacres, plaisante dans les flaques de sang, se marre dans les assassinats, ce qui, bien sûr, l’empêche pas de faire la morale au monde entier et de s’imaginer en déontologue en chef des plus grandes valeurs humanistes…
Donc, après le « Syrial killer » d’il y a quelques mois, qui avait dû marcher du feu de Dieu et enflammer la courbe des ventes, voilà que la troupe de jeunes et vieux cons à carte de presse remet ça avec « Terreur Place Tahrir » qui devrait faire vendre du torchon imprimé sur le dos ensanglanté des révoltés égyptiens dont demorand se fout comme de sa première chemise prada…
Et si on les aidait un peu ces journalistes à la noix… On pourrait par exemple leur suggérer, pour le prochain attentat en Inde : « Bombay sous les bombes », en Espagne : « Une Grenade en pleine gueule », au Pakistan : « Grosse merde à Karachi », à Montréal : « Ça canarde au Canada », chez les Helvètes : « La Suisse en Berne » sans oublier les Athéniens qui s’atteignirent ni les Perses qui se percèrent de quand nous étions en CE1… et pour faire bon poids et faire s’esclaffer le conseil de rédaction, on pourrait envisager, dans un autre registre : « Trisomiques en Mongolie » qui serait d’une délicatesse absolue…
Et pourquoi pas alors, à la recherche du temps perdu et dans l’insolence la plus délirante, mais tonton Rothschild fera sans doute les gros yeux : « On a eu chaud dans la shoah » qui serait du plus bel effet et qu’on pourrait peut-être même faire valider par le Crif…
Lou...
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mardi, 22 novembre 2011
Oraison funèbre...
Deuil national, inondations lacrymales sur toutes les chaînes, émotion à son comble, Duhamel en pleureuse, Lucet en émoi, Pujadas au mouchoir, louange unanime, invités triés sur le volet, tous bouleversés bien sûr, effondrés, abattus, avec en prime huit jours de commémoration-propagande, Tatie Danielle en prime-time à donfe, la combattante, la résistante, l’engagée, l’indignée, l’opiniâtre, la volontaire…
Tatie Danielle, celle qui serrait sur son cœur Fidel Castro et ses milliers de cadavres d’opposants, celle qui embrassait tendrement la femme à Mandela et les centaines de récalcitrants à l’ANC qu’elle passait au supplice du pneu enflammé, celle qui, deux fois par mois, mijotait un bœuf mironton à René Bousquet en évoquant l’heureux temps de la francisque, celle qui savait pas que son fiston était trempé jusque là dans l’Angolagate, qui ignorait les mains baladeuses de Strauss-Kahn, les affaires louches de Guérini, les montres de Julien Dray, les tableaux de maître de Fabius, les brodequins de Roland Dumas, les saloperies d’Emmanuelli, celle qui a oublié de vendre sa gentilhommière de Latche et son personnel de service pour venir en aide aux pauvres Africains privés d’eau, celle qui chialait devant le poste mais vivait bien bourgettement, 22, rue de Bièvre, une des 10 adresses les plus chères du 5° arrondissement de Paris, un appart à 15000 euros le m² et que l’on peut donc estimer à 3 millions d’euros (195 m²x 15000 €…) avec quoi l’on eût installé, sans doute, bien des pompes dans le Sahel…
C’était ça, aussi Tatie Danielle, mais les ordinaires fouille-merde du Paf se garderont bien de casser la si gentille image d’Epinal qu’ils vont nous servir en boucle pendant des mois, et Edwy Plenel soi-même ira sûrement de sa larme de singe triste et de sa compassion de commande…
(Ah ! le titre de Libé, demain, y a de fortes chances pour que ça soit : « La vieille dame digne »…).
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lundi, 21 novembre 2011
Robert le diable...
Meurtre d’Agnès, du côté du Chambon-sur-Lignon, et tous les experts psy de venir jouer les têtes de gondole au journal télévisé pour nous expliquer, la tête quand même un peu dans le sac, que la psychiatrie à laquelle ils ont consacré toute leur vie et qu’ils défendent mordicus dans leurs syndicats et officines diverses, que la psychiatrie, finalement, ne peut pas tout, que des comportements nickel chrome peuvent cacher des personnalités troubles, que des dysfonctionnements imprévus peuvent venir perturber parfois les gentilles prédictions des fils de Freud, et que même eux, psychiatres, tout bardés de diplômes sur le ça, le moi, l’œdipe et le sur-moi, sont quand même pas dans la tronche du salopard qu’ils expertisent…
Et pourquoi pas alors cracher le morceau tout de suite, nous avouer tout simplement qu’ils servent à rien sinon à se gaver d’honoraires faramineux, et qu’il vaudrait autant décider de la ré-insérabilité ou de la récidivité des jeunes ou vieux salopards par tirage au sort, jeu de l’oie, courte-paille, roulette russe, 421 ou loto sportif…
Et tant qu’à dire les choses telles qu’elles sont, faudrait peut-être qu’ils pensent à ajouter que le seul vrai responsable de tout ça, le véritable assassin de la jeune Agnès, c’est pas le jeune con qui est passé aux aveux, mais le vieux Badinter soi-même, l’homme qui touriste à nos frais dans toutes les prisons d’Europe pour faire sa promo et faire entendre sa bonne parole d’évangélisateur fou, faire ajouter une étoile de plus à chaque prison pas encore assez dorée à ses yeux et faire pleurer les chaumières sur les crapules qu’il ne rencontrera jamais dans le bunker à fric et code d’accès sécurisé qui lui sert d’humble demeure quelque part entre la Place des Vosges et le XVI° arrondissement…
Lou...
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jeudi, 17 novembre 2011
Renaud, c'est chiant...
Et maintenant ça va être l’épisode Renaud… On va tous les entendre, les larmoyeux, s’embringuer à longueur d’articles dans la sublime croisade pour éviter le suicide alcoolo du poivrot de luxe… On va nous faire chialer sur les malheurs de Sophie et les petits soucis imbibés d’alcool de Monsieur Séchan, rebelle à foulard rouge et peau de lapin passé grand bourgeois à yacht de luxe et loft coquet à la Closeriedes Lilas avant de sombrer corps et biens en dépendant de la dive bouteille après avoir pris grand soin auparavant de soigner sa déprime de bobo-pernod en faisant un ou deux lardons à je ne sais quelle artisse de mes deux, de 20 ans plus jeune que lui, qui le larguera deux ans plus tard et dont on doit être en train de payer les allocs de monoparentale…
Et on voudrait que j’aie des larmes pour ce connard qui se souciait bien peu des millions de gens qu’il insultait grave lorsqu’il crachait son fiel de pseudo-indigné dans « Hexagone » de sinistre mémoire ou soignait sa boboïdie et son ego de titi montmartrois en chantant le « camarade bourgeois, camarade fils à papa » qu’il n’a pas tardé à devenir ?
Allez Renaud, « regarde-toi, ah ! ah ! ah ! Regarde-toi, ah ! ah ! ah ! », mais, fais gaffe, on comprend que t'aies du mal à te supporter…
Lou...
09:04 | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 16 novembre 2011
Fromage de Hollande...
Y sont où les traîneurs de micro professionnels, les fouilleurs de poubelles patentés, les oreillards indiscrets, les preneurs de son anonymes, toute la cohorte des journaleux si prompts à mettre en tête de gondole, dans leurs torchons, les petites saloperies entre amis quand elles se passent côté droit ?
Y sont où lorsqu’il s’agit de nous raconter par le menu les tractations, manœuvres, marchandages, coups tordus, peaux de bananes, retours d’ascenseur qui ont forcément présidé à la mise en place de l’équipe de campagne de Flamby I°, espèce de puzzle impossible où il faut équilibrer les courants, respecter les quotas, visibiliser les minorités, protéger les éléphants, renouveler le personnel, faire plaisir à Martine sans fâcher Manuel et surtout, surtout, donner de la bidoche à mastiquer à tous ces nains et naines aux dents longues comme des couteaux qui tueraient père et mère et renieraient leurs plus sacrées convictions pour pouvoir être sur la photo et avoir, demain, un maroquin…
Y sont où, les journaleux qui devaient nous raconter tout ça ? Pas là… partis… le micro avait justement plus de pile, le portable était justement pas chargé… c’était justement les congés…et puis, en pleine crise, on va quand même pas désespérer Billancourt…
Lou...
21:16 | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 15 novembre 2011
Carence...
Ils sont venus, ils sont tous là, les d’ordinaire égalitaires à donfe, que tout le monde doit être pareil, pas un cheveu qui dépasse, la belle ordonnance totalitaire de l’égalitarisme républicain, avec appel aux tribunaux compétents et peines exemplaires pour la plus petite discrimination qui viendrait rompre l’uniformité grise de leur idéal de cimetière…
Ils sont venus, tous là, l’armée des cégétistes, bataillons de FO avec le sous-borloo Magny et ses frisettes poivre et sel de dandy muscadin, tous les plus purs syndicalistes fonction publique, défenseurs ronds-de-cuir, défileurs bureaucrates, acquis sociaux et autres planques bien grasses ad vitam aeternam…
Ils sont venus tous là, mais point pour réclamer l’égalité si chère à leur cœur de démocrates de mes deux, mais pour s’arc-bouter, les cons, sur leurs privilèges, prérogatives et passe-droits et pleurer plein les micros et inonder les caméras qu’on les met à la torture, qu’on les crucifie, les persécute et les tourmente au motif que Sarko-la-rigueur veut leur mettre un jour de carence dans leur gueule d’arrêt maladie, alors que dans le privé c’est trois jours qu’ils se fadent chaque fois qu’ils vont consulter pour leur dernière prostate ou leur prochaine gastro…
L’égalité, mais pas trop, surtout quand c’est moi qui profite… Beuark !!
Lou...
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lundi, 14 novembre 2011
Docteur de la mort...
BHL, au journal du soir de la 3, hier vers 23 h… BHL toujours en vieux beau volubile et grand seigneur pommadé… BHL venu faire une fois de plus la promo de son bouquin sur sa guéguerre en Lybie… BHL donc à qui l’on demande de réagir aux propos de Marine Le Pen disant qu’en Lybie, aujourd’hui, les assassinats se multiplient avec la bénédiction des gentils démocrates du Conseil National de Transition… Et BHL alors de répondre tout simplement que Marine Le Pen « n’a pas voix au chapitre »…
Et voilà, c’est pas plus compliqué que ça… Lorsqu’une question embarrasse Ducon-Lévy, pacha de Marrakech et autres lieux, grand ayatollah de la démocratie nouvelle et talmudiste patenté des droits-de-l-homme, que fait-il ? Il élimine l’opposant (l’opposante, en l’occurrence) dans le plus pur style stalino-gayssotien des années de sel : « pas voix au chapitre… »… untermenschen… kaputt… sous-homme… sous-femme… négligeable… insignifiante… zéro… nichts… poubelles de l’histoire…
Comme si un connard qui a vécu 20 ans avec une frivole évaporée ostentatoire commela Dombaslede sinistre mémoire, pouvait avoir, lui, « voix au chapître » !!
Finalement, et malgré ce nom qu’il porte en sautoir comme le signe éternel d’une victimisation dont le fils du négociant en bois s’est en fin de compte pas trop mal sorti, finalement on aurait pu aussi bien le voir, le Braillard de l’Honneur de Vivre, en kapo des années brunes aboyant, aux quatre coins des camps, avec les bergers allemands, le non-être de ses ennemis…
Lou…
08:26 | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 12 novembre 2011
Les Zindiniais...
Ah ! la jolie médiatique unanimité consensuelle autour des zindignés, tous ces jeunes cons de Madrid, New-York, Londres, Paris qui, prenant au sérieux le super coup marketing du vieil Hessel, vont de capitale en capitale clamant leur indignation de ne plus pouvoir être de gentils petits fonctionnaires dans un monde qui dégraisse le mammouth à tout va ou leur indignation d’un monde devenu tout entier marchandise avec la bénédiction de leurs papas soixante-huitards rangés des pavés et reconvertis en porteurs d’attaché-case...Et les médias, bien sûr, de leur servir bien gentiment la soupe chaque soir et de prendre au sérieux ce prurit automnal comme si c’était la révolution qui s’annonce…
Alors une question, une seule aux petits boutonneux assis en rond sur les marches des palais : Vous vous indignez contre quoi ? C’est quoi le régime politique qui a amené tous les pays européens là où ils en sont ? C’est autour de quoi qu’il est bâti le grand unanimisme culturel sur lequel vivent nos sociétés depuis soixante ans ? Est-ce que c’est pas précisément autour de cette démocratie dont vous avez la tête et la bouche pleines et contre laquelle vous ne manifestez ni ne manifesterez jamais la moindre indignation salutaire ?
L’indignation n’a aucune valeur en soi. Ce qui compte, c’est contre quoi ou contre qui l’on s’indigne. Mais ça, Pépé Vaisselle, démocratisé lui aussi jusqu’au trognon, ça m’étonnerait qu’il vous le dise…
Lou...
20:11 | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 10 novembre 2011
Harry Rastignac...
L’avez vu, sur Canal +, je crois, y a quelques jours, l’autre grand con d’Hary Roselmack, Monsieur Discrimination-positive-et-quota-de-blacks-dans-les-médias, venu tout exprès nous causer des prisons ousqu’en grand courageux envoyé spécial à 10000 euros par mois il a plongé, avec toutes les précautions d’usage, qu’on se rassure, pour nous révéler l’enfer carcéral, le terrible enfermement et le douloureux calvaire de ces pauvres assassins braqueurs, pédophiles et violeurs privés de liberté…
Et comme il arrêtait pas sur le sujet, d’enfiler des banalités à pleurer dont un élève de terminale aurait eu honte, Monsieur Négritude-Révolté, profita de ce qu’on l’avait placé à côté d’Henri Guaino pour se redorer un peu la cerise et, complètement décalé du propos de l’émission, attaqua le conseiller de Sarko, sur le fameux discours de Dakar, voulant montrer que si les Noirs n’étaient pas entrés dans l’histoire, ils avaient quand même lu, là, en coulisse, cinq minutes avant, dans la préméditation du bon coup de buzz qu’il croyait créer, ils avaient quand même lu le vieil Hegel et qu’ils n’étaient pas que les vulgaires Banania qu’un vain peuple colonisateur pense…
Et notre enflure médiatique, qui finira sans doute ses jours sur le papier glacé de quelque pourri magazine de mode, de couper la parole à tort et à travers, en bon journaleux parasite et rebelle de salon, à ce brave Guaino qui, au lieu de lui citer Césaire à tour de bras aurait mieux fait de faire rimer Roselmack avec Rastignac pour vérifier si Ducon avait lu aussi la veille « La Littérature française pour les Nuls »…
Lou...
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mercredi, 09 novembre 2011
Tempête chez les cumulards...
Ah ! les cons ! ah ! les comédiens ! Vous les avez vus, tous les socialos, les lebranchu, les ayrault, les emmanuelli et toute la clique des cumulards prébendiers de la république, vous les avez vus se dresser comme un seul homme, faussement indignés, furieux de façade, révoltés de galerie, parce qu’un autre petit marquis du camp d’en face a osé leur dire qu’ils avaient pris le pouvoir par effraction !
Et de sortir en chœur, et de claquer la porte, et de se précipiter devant micros et caméras, sans même prendre le temps de passer chez la maquilleuse, pour surjouer les pucelles effarouchées alors qu’ils ne sont que de vieux barbons véreux et décatis…
Et ça s’appelle « représentants du peuple souverain » !
Et ça touche, chaque mois, des dizaines de milliers d’euros sans compter les voitures de fonction, les locaux à prix d’ami, le pressing en solde et la buvette gratuite après le spectacle… ! Beuark !
Lou
11:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 08 novembre 2011
Black and white
Imaginons dix secondes un candidat blanc à la présidentielle qui écrirait sur ses affiches « En 2012,vous allez quand même pas voter noir ! »… Wouahhh ! le scandale ! le méga tollé bien répercuté toutes ondes et la montée, au créneau de l’antiracisme, de tous les ordinaires cons du mrap, de sos racisme, de la licra, de la ligue des droits de l’homme et autres officines préposées à la vigilance permanente et sourcilleuse du droit chemin et de la pensée balisée…
Et voilà que Patrick Lozès , ancien président du Cran, c’est à dire du Conseil représentatif des associations noires, s’affiche pleine page (http://www.fdesouche.com/254513-presidentielle-2012-patri...) avec sa tête à la Soulages et sa cravate à pois, et, dessous, ce slogan : « En 2012, ne votez pas blanc »
Que croyez-vous qu’il arriva ? … Ce fut le rien qui domina : les vigilants s’assoupirent, les antiracistes somnolèrent et les droits de l’homme firent une petite sieste bien méritée…
Le La Fontaine nouveau est arrivé : Selon que vous serez blanc ou noir, les jugements de cour vous feront puissants ou misérables...
Lou
07:58 | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 07 novembre 2011
Lou Loulou... Lou Loulou...
Bon, je dois être un peu lente à l‘allumage, mais j’ai toujours pas compris pourquoi Loulou, qui pourtant avait eu une carrière exemplaire dans le luxe pourri des Saint-Laurent et des Bergé, qui avait été copine avec Warhol et Mapplethorpe, qui avait « travaillé » avec les meilleurs photographes de mode, qui était née dans une grande famille aristocratique et artistique, qui était mariée au fils de Balthus, qui avait créé sa propre ligne de bijoux, choux, cailloux, genoux, hiboux, qui personnifiait, avec son second julot, l’élégance, la beauté, la jeunesse et l’excès, j’ai toujours pas compris pourquoi, finalement, elle s’est jetée de la falaise…
Lou...
09:10 | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 06 novembre 2011
Barbichu poudré...
Dans la série des joyeux connards blasphémophiles de la penséee unique, fallait surtout pas oublier l’ubiquitaire nullité théâtreuse Jean-Michel Ribes, à qui tous les médias servent la soupe au moins deux fois par semaine et qui veut se faire une jolie petite pub, lui aussi, en affichant, dans l'affaire Castellucci, sa courageuse résistance et son sublime héroïsme en carton-pâte à coups de pétitions bravaches et de chroniques matamores (cf Le Monde du 4 novembre, par exemple)…
Et Ducon, singeant la Fourest d’hier, de s’interroger tout pareil : « Mais quel est donc ce sacré qui tremble devant le rire, que les artistes font vaciller ? Quelles sont ces religions que la moquerie fait s’effondrer ? Quel est ce Dieu qui est blessé par une liberté de création capable de le contredire ? ».
Pauvre naze ! C’est pas le sacré qui tremble, c’est pas la religion qui s’effondre ni Dieu qui est blessé par l’insignifiance blasphématoire des sous-merdes dans ton genre artiste et cultureux, mais des hommes et des femmes à la religion simple et naïve qui ont pas eu la chance (ou la malchance) ni le temps de lire les œuvres complètes de Brecht pour atteindre le sublime degré de distanciation qui est le tien et qui fait de toi dans le meilleur des cas un paillasson, dans le pire une marionnette…
Lou...
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samedi, 05 novembre 2011
Caroline chez Riss...
Me disais aussi : « Mais qu’est-ce qu’elle fout, la petite Fourest, à pas avoir déjà sorti l’artillerie lourde de ses chroniques mondaines pour stigmatiser les méchants intégristes et entraver à soi seule la résistible ascension de la bête qui monte ? » Eh ! bien, la voilà… dans Le Monde d’hier, en passionaria venner et laïcarde aux prises avec les « nouveaux inquisiteurs »…
Et tant qu’à faire, autant y aller bien gras tout de suite dans l’amalgame qui tue en assimilant les jeunes cathos qui jettent des œufs sur la pièce de Castellucci au risque de tacher grave la cravate des bobos à ceux qui jettent un cocktail molotov sur la moquette de Charlie-Hebdo au risque de foutre le feu à la moitié du quartier..
Mais là où elle fait dans le sublime, l’angélique Foureste médiateuse, c’est lorsqu’elle se moque, du haut de son bac plus douze, de ses années d’EHESS et de son magistère quotidien au Monde et à France-Cul, des pauvres cons d’en face qui ont pas eu, comme elle, la chance de poser leurs fesses pendant des lustres sur les bancs de la fac et de décrocher la magistrale peau d’âne qui vous fait reconnaître et adouber par vos pairs… Et ceux-là, pour la fausse gentille et vraie salope Foureste, c’est alors rien que des « analphabètes de la dérision, littéralistes du dessin, incapables de faire la différence entre la critique des identités et celle des idées »… bref, des untermenschen à front bas qu’il faudrait vite fait liquider dans quelque camp ou quelque petit four à zyklon B protéiné…
Bon, arrêtons la plaisanterie, Foureste, écoute-moi deux minutes : ce qui est fort dommage avec tes arguties de merde, c’est que tu sois pas capable, toi l’intello, toi la savante, de faire la différence entre la réception que peuvent avoir de la dérision et des caricatures religieuses d’un côté des théologiens à recul critique actif qui savent très bien que leur Dieu n’est aucunement atteint par les chiures de cloportes des Luz, Riss ou Charb, et de l’autre des braves gens qui ont la foi du charbonnier, qui ont cette religion populaire, héritée, traditionnelle et cependant profonde et qui peuvent être, eux, blessés à mort dans leur humanité, dans leur dignité, dans leurs plus intimes convictions par ce qu’ils considèrent comme un sacrilège insupportable. Mais il est vrai que ceux-là, ce petit peuple que tu ignores complètement et qui fait pas partie de ton fan club de facebook ni des coktails branchés de la boboïdie, ceux-là, Foureste, toi l’humaniste, toi la gaucharde, tu les méprises joyeusement… Beuark…
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vendredi, 04 novembre 2011
La démocratie, c'est des rats dans un égout (Clémenceau)...
De Gérard Filoche, ex-trotskard rangé des piolets au PS de Guérini et DSK, ce titre magnifique dans Le Monde du 3 novembre : « Au lieu de rassurer les marchés, essayons la démocratie. » !
Il vit où Papie Filochard ? En Biélorussie, en Birmanie, chez Fidel Castro ? Eh ! Filoche, réveille-toi… y a largement 200 ans qu’on l’a essayée, la démocratie, 200 ans qu’on a tout essayé en long, large et travers, la démocratie directe, indirecte, biaisée, debout, couchée, représentative, participative, populaire, impopulaire, de droite, de gauche, du centre, du haut, du bas, la république des coquins, des copains, des bandes, des clans, des clubs, la longue, la courte, la bleue, la rouge, la ripoublique, la démocrassouille… bref, toutes les formes de cette putain de vérole politique, y a 200 ans qu’on en crève… Et aujourd’hui, là, la mégacrise qu’on sait pas si on va s’en sortir, c’est qui qui nous y a mis dedans ? C’est pas par les élections qu’on a eu les sarko, les merkel, les berlu, les barroso, les papandréou ? Et oui, mon Gégé, c’est par ce merveilleux système de désignation des chefs d’Etat par le nombre, le nombre aveugle, le nombre stupide, le nombre que les marchés, justement, mènent exactement là où ils veulent en achetant les médias, et par les médias l’opinion, et par l’opinion les partis, et par les partis tous les fantoches qui s’agitent sur la scène démocratique et dont la vision politique est bornée par la ligne bleue de leur réélection…
Allez Filoche, rendors-toi dans ton long sommeil dogmatique d’apparatchik socialo, car pour « réduire à néant la domination de la finance », faut d’abord réduire à néant le régime de merde sur lequel tu engraisses depuis des lustres…
Lou...
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jeudi, 03 novembre 2011
Charlie, le journal qui fait Boum !
Ah ! putain ! le pied ! Champagne ! Et du bon ! Un peu de douceur, enfin, dans ce monde de brutes, une oasis rafraîchissante dans la morosité quotidienne : Charlie Hebdo, crac, boum, badaboum, se sont fait exploser les ordis, brûler la moquette, briser les carreaux, démolir les cloisons… grosse frayeur boulevard Davout… tonton Molotov a enfin frappé.. arroseurs arrosés… fracasseurs fracassés… massacreurs massacrés… et toute la corporation, bien entendu, de monter au créneau… solidarité absolue… gros bouffi demorand en tête… qui va pas rater l’occase unique de se faire un joli coup de pub… moi, Père Courage, je vous héberge, vous accueille et vous loge bras ouverts… z’êtes chez vous à Libé-Rothschild… après avoir bien pris soin de réclamer en loucedé, l’ordinaire contempteur de la police et des pandores, cinquante superflics de protection rapprochée pour le cas où quelque autre enturbanné kamikaze et vénèr aurait dans l’idée de remettre ça, rue Béranger…
Ah ! le pied ! voir Charb qui, ordinairement « aime pas les gens » et crache sur la maison poulaga à longueur d’édito, aller se jeter aux genoux des flics , lécher les bottes de la garde prétorienne comme le premier lecteur du Figaro venu, réclamer la grosse exhaustive enquête et l’exemplaire répressive punition…
Et voir les pleureuses démocrates corporatistes y aller, toutes en chœur, sous la baguette frétillante et attristée de l’angélique totalitaire vierge Fourest, de leurs lamentos déchirants sur la pluralité menacée, la bête intégriste qui monte qui monte et la réaffirmation imprescriptible du droit sacré à la caricature et au blasphème…
Ainsi on pourrait caricaturer et blasphémer ce que certains ont de plus sacré, plus sacré même que leur propre vie, et se la couler douce en sirotant du chivas le cul posé sur les fauteuils dorés de la médiasphère ! Parce qu’on est dessinateur de mes deux ou humoriste à gages on pourrait, non pas argumenter, démontrer, raisonner, discuter, mais moquer, salir, insulter, ridiculiser, cracher sans qu’un jour le bon gros mollard vous retombe sur le coin de la gueule ? Trop facile, mes jolis… Les gros cons que vous stigmatisez du haut de votre magistère de merde, à longueur de dessins et de caricatures, en ont peut-être ras le bol de votre guéguerre de gonzesses, bien planqués que vous êtes derrière les lois d’une démocratie bien pourrie décadente… Ils ont peut-être décidé de passer à autre chose… Faut pas trop charrier la charia…
Lou turban...
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mercredi, 02 novembre 2011
Beuark, Plenel !
Plenel l’ordure… toujours la même petite chose à moustache chafouine et ubiquitaire… présent partout… au Monde… à Médiapart… à France-Cul … sur Paris-Première, avec, bien sûr, tout partageux qu’il se prétende, les émoluments grassouillets qui vont avec… la grosse cagnotte bien rebondie qui lui permettra un jour de faire relier plein cuir sur papier bouffant les œuvres complètes de Pépé Trotsky ou l’intégralité quasi pléiadesque de ses propres papiers de journaleux si tant expert en mensonges…
Et là, face à Zemmour, il y a quelques jours, sur Paris-Première (allez voir sur le site fdesouche), à propos du 17 octobre 61 dont les médias nous ont seriné ad nauseam la version officielle bien larmoyeuse et catastrophique de 300 cadavres arabes flottant surla Seine endeuillée, et là, face à Zemmour qui essayait de faire entendre la vérité historique d’à peine deux morts imputables aux forces de police (oui, je sais, 2 c’est déjà trop, sauf qu’il y avait manifestation violente et interdite…), alors que les morts arabes imputables aux fellouzes sur le sol français se comptaient par centaines (allez donc sur le site de Bernard Lugan, spécialiste de l’Afrique, vous faire une idée plus juste de la chose, à la date du mardi 18 octobre), et là, donc, disais-je, le Plenel pourri des grands jours, le squatteur de micros et de caméras qui supporte pas une minute une autre parole que la sienne, une autre vérité que ses propres oukases, d’interdire à Zemmour, par tous les moyens traditionnels de l’agit prop de haute époque, de contredire, oh ! si peu ! l’officielle vérité, la dominante version obligatoire, bien manichéenne, avec sales flics français racistes d’un côté et gentils algériens angéliques de l’autre… Beuark…
Lou.
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mardi, 01 novembre 2011
Mais où il est Doudou, dis donc...
Et maintenant ils vont nous prendre la tête avec Carlos !
Peucheurou ! L’Illich Sanchez Ramirez est en grosse colère caca boudin… on l’a mis à l’isolement, le pauvre chou… privé de dessert, de doudou, de dessins animés, d’ordinateur, de bibliothèque, de salle de muscu… Et la pauvre mignonne de s’énerver grave, de sa prison dorée, contre la loi bafouée, les droits de la défense ignorés, le cachot repoussant et la nourriture un peu trop moyenne… Eh ! Ducon, après avoir tué je ne sais combien de personnes au nom de tes engagements de merde, tu voudrais quoi ? La suite 2456 du Sofitel ? Les nuits du Carlton ? Les délices de Capoue ?
Dire qu’on nourrit des ordures pareilles depuis des lustres et qu’on leur fournit dentistes, psys, ostéopathes et manucures au frais du contribuable, alors qu’une bonne corde de marine aurait dû largement faire l’affaire depuis longtemps…
Et dire qu’il y a des ordures comme Europe 1 de Denis Olivennes (ex du Nouvel Obs) ou Libé du bouffi Demorand(ex de France-Culture) pour permettre à des déchets pareils d’épancher leur rhétorique idéologique à deux balles et leur ego de sous-dictateurs aux abois en Une de leurs médias de merde… !
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