jeudi, 06 avril 2006
La vie des fauves...
On a reçu ça (La Provence du mercredi 5 avril) : 
Naturellement, il convient d'être attentif au sur-titre, au titre et surtout aux dernières lignes, in cauda venenum, superbes, où le bavocheux de La Provence se surpasse.
Sans pour autant être une acharnée partisane de la chose, on aimerait rappeler à ce petit con que la LVF n'était pas la LVFSN et que sa raison sociale n'était pas de servir le nazisme mais de lutter contre le bolchevisme, ce qui fait toute la différence. Ceci dit, entre peste brune et rouge choléra, les cons qui tiennent aujourd'hui ce genre de chroniques n'ont jamais lutté (sans risques bien sûr) que contre la peste, laissant le choléra répandre à foison ses millions de morts, ses goulags, ses famines, au nom du sens de l'histoire et des chants funèbres des lendemains promis...
Lou waldeck-rochetée...
19:07 | Lien permanent | Commentaires (6)
Commentaires
Les vérités sont bonnes à dire, vous méritez des félicitations tous les jours.
Écrit par : lustucru | jeudi, 06 avril 2006
Chère Lou si votre plumage est à la hauteur de votre plume, vous êtes la phénix des hôtes de la toile.
Au fait je vais probablement fermer mon blog suite aux insultes et aux menaces continues. Mais je reviendrai sous un autre pseudo, shakespearien probablement.
Écrit par : Capulet | vendredi, 07 avril 2006
La seule manière de lutter concrètement contre le communisme était à l'époque de servir le nazisme.
Rappeler plutôt que le fait que le père de Jospin ait été nommé maire par le gouvernement de Vichy et que Mitterrand ait été décoré de la francisque n'a jamais empêché les socialistes de voter pour lui.
Écrit par : Lapinos | vendredi, 07 avril 2006
En parlant de bolchévisme, Cyril Ferez a fini de cuver...
Écrit par : Artemus | vendredi, 07 avril 2006
Quand tu dis qu'ils n'ont lutté que contre la peste brune, tu les surestimes. Ils ne l'ont fait que moyennant finance pour masquer l'inanité de leur oeuvre. Et ils ne l'auraient jamais fait face à un vrai danger nazi. Combatrre le nazisme aujourd'hui demande moins de courage que Don Quichotte face aux moulins à vent.
Écrit par : capulet | samedi, 08 avril 2006
Absolument d'accord, Cap. La plume parfois s'emballe... Et ceci méritait d'être précisé.
Comme le méritait aussi le passé francisquée de leurs grands hommes... Merci rabbit.
Écrit par : Lou | samedi, 08 avril 2006
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