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mardi, 11 avril 2006

Les femmes aussi... hélas !

Libé, lundi 10 avril, un papier de l'"écrivaine" (si vaine, si vaine...) marie darrieussecq, intitulé "Les femmes ça crée aussi", à propos, pour le dire vite, des arts et des femmes. Peu importe. On se contentera de la première phrase ("Venue de la littérature, je découvre le monde de l'art...") en lui souhaitant de retrouver vite le tricot et le point de croix.

Pour donner un aperçu de la littérature et de l'art de la donzelle, voici, retrouvé dans quelque archive et paru dans Beaux-Arts magazine d'octobre 2005, ceci que je vais me contenter de décrire : il s'agit d'une photo d'un quelconque con retravaillée par un autre con et montrant un rappeur fou en concert en train de "se faire" une poule sur fond de Golgotha. Cet objet artistique a bien sûr été choisi par la darrieussecque comme particulièrement intéressant, et voici une partie de son commentaire : "Il lui fait quoi, le monsieur, à la poule ? A défaut de m'y connaître en hip-hop, je me suis renseignée sur l'anatomie des gallinacés à l'usage des zoophiles. L'oviducte de la poule est un tube circonvolutionné à paroi épaisse, très dilatable. ... Il se termine par le vagin, qui s'ouvre dans le cloaque, où se retrouvent les oeufs et la fiente, et aussi l'entrée du rectum. On peut donc dans le même mouvement enculer et enconner une poule (pour parler comme Sade). Le tout est d'en avoir envie."

On espère, pour l'honneur et la grandeur de la littérature et de l'art français que messieurs lang, aillagon et nomdedieu de vabres vont illico, à moins que ce ne soit déjà fait, proposer à la darrieusèche la légion d'honneur assortie d'une résidence aux frais de la princesse dans quelque poulailler de luxe. On aurait presque envie, dans le même mouvement, d'entarter cette salope et de lui refiler la grippe aviaire...

Lou galinette...

Commentaires

Vingt milliards de mille millions de noms d'un chien -pauvre chien- je vais de ce pas m'abonner à libé... et puis non je vais réfléchir encore un peu.

Écrit par : lustucru | mardi, 11 avril 2006

Darrieusecq ne sait pas écrire et son succès ne repose que sur le fait qu'elle se vautre dans la fange et que nombre de nihilistes sonts fascinés de voir ces horreurs décrites par une femme ("Vous vous rendez compte? C'est une femme qui a écrit cela."). Pas d'imagination dans la paillardise (n'est pas Rabelais qui veut). Juste de l'abomination.

Écrit par : Capulet | mardi, 11 avril 2006

Laissez moi deviner. Tout ce bel Art se retrouve subventionné en grande pompe par la suite ?

Écrit par : Ash | mardi, 11 avril 2006

Votre tête de turc, Lou c'est marie darrieussecq. Moi, c'est christine angot. A chaque fois qu'elle se pointe sur le plateau de campus (oui, je sais, moi aussi, j'ai un côté un peu maso) et qu'elle aborde un sujet, je suis saisi du vertige que génère la pensée bobo des écrivaines. Je m'énerve tout seul devant mon téléviseur.

Elle est capable de s'enflammer pour une phrase creuse et pseudo ésotérico-romantico-post-moderne d'un obscur écrivain apatride... J'ai jamais eu le courage d'ouvrir un de ses livres. Vous, peut être?

Écrit par : Rice | jeudi, 13 avril 2006

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