mercredi, 28 juin 2006
la ganache Rothschild ?
Le grand con au prompteur entre les oreilles s'étant récemment exprimé et ayant évoqué Pétain, le petit con pierre marcelle de libé de july de rothschild de mon cul s'y met lui aussi dans sa "quotidienne" d'aujourd'hui.
Et, causant de Verdun, la petite ordure plumitive d'évoquer "la boucherie qui fit 300.000 cadavres". Ainsi, lorsque la nation se défend contre l'envahisseur au prix d'une résistance acharnée, au prix d'actes de bravoure, de courage et d'héroïsme exemplaires, la merde rétroactive marcelle n'y voit que cadavres et boucherie. On aimerait avoir lu l'horreur marcellienne sur d'autres boucheries mille fois moins justifiables, celles par exemple de ces "résistants" à la con qui assassinaient par derrière, dans les sombres temps, quelque locale autorité nazie et déclenchaient pertinemment répression sauvage et exécutions sommaires dont ils étaient bien sûr exempts... Ou les boucheries des épurateurs de 44/45 qui firent pas toujours dans la dentelle pour sauver le pays une fois les allemands rentrés dans leurs foyers...
Mais ça, Marcelle connaît pas. Le seul héroïsme de marcelle c'est de cracher, dans son torchon de merde, sur la "ganache" Pétain, comme il l'écrit joliment... Et dire que dans Le Monde du 26 juin y a une trentaine d'intellos artistes journaleux scientifiques qui publient un appel intitulé "Un monde sans "Libé", est-ce possible ?" ! La vraie question désormais, c'est : un monde sans ces cons, est-ce possible ?
P.S : Tiens, au fait, je lis dans le dico que la ganache est une crème pour fourrer les crottes en chocolat. Marcelle ne serait-il pas tout simplement la petite crotte quotidienne de July ?
Lou crottée...
15:35 | Lien permanent | Commentaires (46)
Commentaires
Je proteste. Pierre Marcelle n'est ni une crotte, ni une ganache. C'est un insecte coprophage, i.e. qui se nourrit d'excréments, nuance. De là l'aspect étronesque de ses chroniques, qui vous a fait prendre la partie pour le tout.
Écrit par : Sébas†ien | mercredi, 28 juin 2006
Aurais-je synecdoqué sans le savoir...?
Écrit par : Lou | mercredi, 28 juin 2006
À l'évidence, Lou, vous synecdoquâtes... ce qui est vite fait dès lors que l'on se hasarde à rapprocher n'importe quel sujet ou qualificatif d'un con avéré.
Voilà une clause de réthorique qu'il vous faudra prendre en compte à l'instant où vous évoquerez les facéties des faisans et autres poseurs de la presse et des micros bobos.
Écrit par : kalle | mercredi, 28 juin 2006
Un monde sans cons je ne sais pas. Mais une France sans cons ça semble dur !
Écrit par : philippe Flap | mercredi, 28 juin 2006
"Mais ça, Lou connaît pas. Le seul héroïsme de lou c'est de cracher, dans son torchon de merde, sur la "ganache" marcelle, comme elle l'écrit joliment..."
Oups, un copié/collé malheureux...
Écrit par : Le Rhéteur | mercredi, 28 juin 2006
C'est quoi que je connais pas, Rhéteur ? Copier/coller ne suffit pas, encore faut-il faire le minimum d'adaptations indispensables si l'on veut être crédible et efficace. Marcelle n'est hélas capable que de cracher sur les mêmes cibles faciles car totalement consensuelles... Que risque-t-il, notre héros, à cracher sur Pétain ? Rien. Moins que rien. Y a soixante ans que la pensée unique a désigné le vieux Maréchal comme la source de toutes les abominations... et le minable glaviot du minuscule marcelle n'est qu'une lâcheté de plus que le moindre embrun de l'Ile d'Yeu renvoie à son néant......
Écrit par : Lou | jeudi, 29 juin 2006
Je soulignais juste la ressemblance entre la cible et le tireur. On peut d'ailleurs continuer avec votre "Marcelle n'est hélas capable que de cracher sur les mêmes cibles faciles car totalement consensuelles" où le Marcelle se confond dans une jolie mise en abîme avec Lou qui fait idem.
Je passe sur la vision partisane et canularesque du rôle de la Résistance pendant le second conflit mondial...
Écrit par : Le Rhéteur | jeudi, 29 juin 2006
Devriez pas causer avec ce Rhéteur, Lou, un minimum d'intelligence et de bonne foi sont requis, c'est le genre de petit disciple de Vidal-Naquet ou de Pierre Marcelle, qui a lu Bernstein & Milza et qui se promène avec sa petite valise idéologique de blogue en blogue pour vérifier leur conformité avec l'Histoire officielle.
F. Desouche prétend, et c'est plus que plausible, que ce type l'a dénoncé à la direction d'Hautetfort. Ça nous ramène aux heures les plus sombres de notre Histoire, pas vrai ? Certes, la sanction n'a pas été aussi dure pour Desouche, mais c'est l'intention qui compte.
Écrit par : Lapinos | jeudi, 29 juin 2006
On n'aura pas oublié, rhéteur, la tactique des résistants FTP consistant à provoquer - par assassinat interposé - l'assassinat d'otages, assassinat propice à modifier le regard de la population sur l'occupant, très majoritairement bienveillant jusqu'à Barbarossa.
Ces résistants-là ont employé des méthodes aussi efficaces que proprement dégueulasses. Les 75 000 fusillés... pas ceux que l'on croit !
Écrit par : kalle | jeudi, 29 juin 2006
Un historien scrupuleux dirait plutôt les résistants que la Résistance (avec un R en plus, quelle révérence!).
Il y eut des résistants à qui c'est faire injure que de les amalgamer dans la Résistance, notion qui relève de la mémoire politiquement construite et non de l'histoire. Résister est un réflexe de défense; la Résistance est un mouvement auquel on adhère. Z'avez déjà vu des moutons résister? Non. Des moutons Résistants? Ca pullule!
Marcelle, Libé, ces gens-là ont leur clientèle (en forte baisse), exploitent leur petit créneau et essaient désespérément de continuer d'exister. Mais c'est le radeau de la méduse. C'est la fin, et ils le savent. Ils devront se recycler chez "Femme actuelle" ou "Surfeur magazine". Les meilleurs iront à la télé, où ils animeront leur petite émission branchouillée de pipeuls des zarzélettres du mercredi soir sur TDC "Territoires-Diversités-Cultures". Dans 10 ans, Marcelle, lui, chroniquera dans "Sudoku-Ile de France", "le mensuel des sudoku pour un monde plus solidaire", tout à fait le genre de ses lecteurs bobos aux fonctions vitales déclinantes.
Comme des millions de gens, je considère les journaux gratuits comme une avancée parfaitement logique. Pourquoi entretenir une presse payante qui n'a plus aucune valeur ajoutée par rapport aux titres gratuits et qui vous gave (dans une version plus snob) de la même novlangue politicorectale?
Dans "1984", les gens reçoivent de l'information, ils ne vont pas en chercher! Voilà le progrès! Toute presse d'intelligence non formatée a disparu dans 1984. Encore un petit effort, et on y est!
Prochaine étape de la Vigilance Concernée: la blogosphère, qu'il convient bien entendu de réguler, d'humaniser, de droit-de-l'hommiser, de solidariser et de rectifier, pour le bien de tous et la bonne marche de la société citoyenne respectueuse de la diversité.
Les vestiges de la crispation réactionnaire que sont les journaux de Lou ou de Uno doivent laisser la place à des espaces de convivialité plus ouverts et surtout plus constructifs! Vous n'avez donc pas retenu le message tendance de la marche des fiertés homo-bi-trans-sexuelles? "Faites-vous enculer avec le sourire!"
Écrit par : l'ami fritz | jeudi, 29 juin 2006
@ Lapinos : Pour une oie blanche de la bonne foi, vous savez parfaitement instrumentaliser la rumeur et le mensonge.
Que Desouche ait réussi son coup de pub à grand renfort d'ennemi invisible, c'est un fait... Lui qui est si prompt à illustrer son blog de jolies vidéos, photos et autres colifichets pour idiots visuels, aurait probablement sauté sur l'occasion s'il avait ne serait-ce que l'ombre d'une preuve de dénonciation à laquelle seuls les manipulateurs et les manipulés semblent croire*.
Pour le reste, vos jugements à l'emporte-pièce ne regardent que vous. Il est vrai qu'ils ont cela de pratique qu'ils vous exonèrent de réflechir aux arguments des autres...
@ Kalle : Vous citez vos sources ? Ca m'intéresse de me documenter sur la question. Vous comprenez, je n'ai jamais rien vu de ce style dans les ouvrages qui sont à ma disposition.
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* Je m'étonne d'ailleurs de ne pas avoir vu émerger un faux depuis le temps. La propagandastaffel ne fait son boulot !
Écrit par : Le Rhéteur | jeudi, 29 juin 2006
@Rhéteur... >> "Je passe sur la vision partisane et canularesque du rôle de la Résistance pendant le second conflit mondial..."
En fait de vision partisane, Rhéteur, la soupe uniforme qui nous est servie depuis soixante ans par radios, télés, journaux, commémorations, éducation nationale, journées du souvenir, 8 mai... etc... est effectivement hautement canularesque. Les saints résistants d'un côté, les infâmes collabos de l'autre, et rien au milieu... Aux uns les plaques et les discours, aux autres les crachats et le silence...
Le jour où l'histoire officielle de la Résistance et de la Collaboration sera autre chose que la justification à posteriori de la vision des vainqueurs communistés jusqu'au trognon, faudra pas oublier de me faire signe.
En attendant, vous devriez peut-être lire l'"Histoire critique de la Résistance" de Dominique Venner, chez Pyugmalion... Ca vous changerait de crèmerie... Mais je doute que Marcelle en ait fait un jour la recension dans ses chroniques de merde.
Écrit par : Lou | jeudi, 29 juin 2006
Petit oubli, Rhéteur : Maurras, lui, faisait remarquer finement que les Boches, pendant les années sombres, l'avaient traité d'"opposant". Et que s'opposer, c'est mieux que simplement "résister"...
Le vocabulaire a ses raisons que la raison ne connaît pas...
Écrit par : Lou | jeudi, 29 juin 2006
Merci, Lapin, pour le conseil, mais on va attendre un petit peu pour voir si l'indésirable s'incruste... et s'il s'incruste avec des arguments, on lui répondra...
Bravok, kalle et l'ami fritz, pour ces pertinents commentaires...
Écrit par : Lou | jeudi, 29 juin 2006
Rhéteur, une dernière pour la route, pour t'expliquer mon ton acerbe et mon ire récurrente : "On ne voit bien le mal de ce monde qu'à condition de l'exagérer"... Et c'est de Léon Bloy, bien sûr...
Écrit par : Lou | jeudi, 29 juin 2006
Ce rhéteur n'est pas là avec des arguments pour tenter de vous convaincre que la Résistance n'était pas en grande partie aux ordres de Moscou, tardive, lâche, inefficace voire dangereuse pour la population civile, ou encore le fait de gamins frondeurs comme Le Pen.
Il est de ceux qui intentent des procès - et qui les gagnent, forcément, à ceux qui se penchent un peu trop près sur les faits historiques. C'est pas dans mes habitudes de refuser de débattre, mais là…
Écrit par : Lapinos | jeudi, 29 juin 2006
Rhéteur ou Recteur?
Écrit par : l'ami fritz | jeudi, 29 juin 2006
Ce rhéteur me semble être un cuistre de la pire espèce, celle des.... je vous laisse finir.
Juste pour moucher ce gland blennorragique :
- Source pour les 75 000 fusillés : les propagandistes du PCF eux-mêmes.
- Pour le reste : les cours d'histoire que t'as séché. Ou alors (il n'est jamais trop tard pour cesser d'être un ignorant "Retors") : Amouroux, Sévilla...
Bon vent, Ducon.
@ Fritz : quel déploiement de talent, une fois z'encore ! Ai beaucoup ri avec le Sudoku de Marcelle !!!
Écrit par : kalle | jeudi, 29 juin 2006
@ kalle : Votre seule réponse malodorante et vulgaire résume le niveau des interventions de ce blog.
P.S. Mon cher Sévillia, et non pas "Sévilla", est tout sauf historien et c'est un homme du "milieu" qui vous le dit. Un plumitif qui n'a jamais mis le nez dans les sources...
@ Lou : Jolies citations... A défaut d'avoir de l'esprit, vous avez des lettres, c'est déjà pas mal.
@ Lapinos : Jolie pirouette pour ne pas débattre.
Bref, je vous laisse à votre médiocrité
Écrit par : Le Rhéteur | jeudi, 29 juin 2006
Comment s'appelle ce caractère de La Bruyère dont la suffisance pompeuse et péniblement savante n'a d'égal que la totale absence d'esprit?
Le rhéteur a l'esprit de majuscule, une majuscule qu'il inflige à son pseudonyme alors que la grammaire française lui imposerait la minuscule, visiblement intolérable. Et il a l'esprit de révérence.
Alors, Révérence Majuscule (et considération minuscule), Votre Grandeur! Les médiocres créatures dont je suis ne manqueront pas de suivre vos célestes évolutions au firmament universitaire où vous accédez en ce jour, et où l'on souhaite que les dieux vous restent favorables, car c'est bien là le gage superstitieux et imbécile de l'insigne médiocrité où nous nous tenons que de ne cesser d'admirer craintivement les Grandeurs et les esprits supérieurs tels que le Vôtre.
Écrit par : l'ami fritz | jeudi, 29 juin 2006
Si tu tiens à ton blog Dies Irae, dis au Rheteur qu'il a raison. Car quand il ne sait plus quoi dire, il est du genre a envoyer des petites lettres aux allem... euh aux hebergeurs.
Écrit par : françois | jeudi, 29 juin 2006
Le Rhéteur :
Va faire ta crotte ailleurs, merci.
Écrit par : Ash | jeudi, 29 juin 2006
Mais mon pauvre rhéteur, ce qui est vulgaire, c'est ta suffisance suintante de mépris... Pauvre nase qui erre de blog en blog pour distiller son fiel sans saveur. As-tu (enfin) compris que tu n'avais pas ta place ici, ici où nous conversons librement - nous mettant sous le bouclier d'un bel esprit - et où nous n'attendons des abrutis de ta caste de sous-riens qu'ils passent leur chemin en silence, dans l'ignorance de la conivence et de l'estime ?
À tous, amusez-vous du blog-notes de ce crétin :
- Se dépatouiller avec une invitation collective à boire un pot (et à le payer !) lancée à 74 personnes dans l’euphorie de la fin de matinée. --> pingre, le rhéteur !!!
- Arrêter de réagir sur les blogs qui n’en valent pas la peine --> ohohohoh !
- Conséquence directe : les supprimer de mes bookmarks --> ah bah oui, ce serait mieux, ducon.
- Régler le problème de la dissémination des données entre le powerbook et le macbook --> et si t'as deux minutes, tu plancheras sur l'effet de serre.
- Dire à P* que pour l’article c’est OK. --> ah oui, trop cool.
- Chercher activement les actes du colloque sur la bureautique de 1977 à rendre à C* --> purée, fréquente les hautes sphères, le rhéteur.
- Arrêter de faire des listes pour tout, c’est ridicule --> on ne te le fait pas dire, dunoeud !
Allez, bon vent jusqu'à l'université, et tant pis pour tes étudiants !
Écrit par : kalle | vendredi, 30 juin 2006
Revenons aux arguments maintenant que ce sous-produit de la loi Gayssot qui voudrait nous donner des leçons de débat s'en est retourné à son idéologie. Cette idéologie a fait plus de mal à l'intelligence française que la censure napoléonienne, moins efficace malgré sa sévérité.
Des historiens du genre de Vidal-Naquet, qui reconnaît qu'il a fait endosser à l'armée allemande des crimes commis par l'armée rouge, sciemment, pour ne pas ternir l'image de son camp, l'Université en est pleine. Il faut avoir un sacré culot pour avouer ça quand on est historien ! Ces faux-derches pleurent des larmes de crocodile sur l'emprisonnement de Diderot ou de Voltaire, et lorsque David Irving est foutu en taule, ils applaudissent. La plupart sont même pas malhonnêtes, ils se rendent pas compte de l'énormité, juste décérébrés.
L'autre jour sur le plateau de Fogiel, ça m'a bluffé, je me suis dit que vraiment, là, ils ne doutaient plus de rien, je me suis pincé quand j'ai entendu François Marcantoni, crapule corse de haut vol fichée au grand banditisme et fier de l'être, infatué comme pas deux, expliquer que sans la Résistance, il aurait sans doute eu une vie différente, rangée. Étonnement sur le plateau. Ben oui, c'est le désordre de la Libération qui lui a donné accès aux armes, qui a rendu le brigandage plus facile. Il a butté quelques Allemands avec sa bande, peut-être en face, je ne nie pas son courage physique, j'en sais rien, et puis il est passé naturellement au braquage, quand les Allemands sont repartis.
Merci pour ce cours d'Histoire non-officielle, M. Marcantoni. Le plus fort, le type se vante ensuite que son statut de Résistant l'a protégé, contre les flics, dans les procès, il a fait une longue carrière de gangster, exemplaire. Et les petites starlettes sur le plateau de Fogiel de se prosterner devant le grand résistant-couillu. Qu'on se le dise, Marcantoni est un héros, une star, il écrit des bouquins de souvenirs et se pavane sur les plateaux de télé. Avec le Dr Petiot, il faut l'ajouter à la liste des grands résistants célèbres.
Une thèse sur les crapules dans la Résistance, ce serait passionnant, sur la transformation du héros en crapule, y'aurait matière, faudrait être un peu cinglé pour s'y risquer, évidemment.
Mais, et les résistants de Londres, pas ceux qui sont entrés dans les bois en 1944, mais ceux qui ont répondu à l'appel du 18 juin ? Comme aurait dit De Gaulle : « Deux Juifs et cinq Bretons… »
Écrit par : Lapinos | vendredi, 30 juin 2006
Et bien, toute la ménagerie se déchaîne !
@ François : Tu es un lâche et un manipulateur. Tu le sais, mais ta petite course à la popularité dans le landernau nationaliste te préserve d'une saine remise en question.
Tu fais courir des bruits, tu calomnies dans une belle illustration des méthodes qui ont fait leurs preuves chez ceux que tu dis exécrer. Ton absence de moralité et de courage sont les meilleures garanties de la justesse de nos valeurs. Et en ce qui concerne ceux de ta suite, ils sont l'assurance que vous n'arriverez à rien avec des crétins pareils.
Je te laisse à ta petite bile d'agitateur de tête de gondole. Mais je te fais des gros poutous quand même.
@ Kalle : Vous, j'ai presque envie de vous tendre la main. Quelque chose me dit que sous le roquet qui tente pathétiquement de rédiger un commentaire mi-goguenard, mi-méchant il y a un gentil nanar qui souffre de quelque chose... Pensez-y.
@ Lapinos : Je dois avouer que devant tant de références, d'analyses brillamment menées je reste sans voix. Se faire une idée sur la Résistance avec une émission de Fogiel...
Que vous fassiez illusion ici, passe encore, mais soyez gentil : pas avec moi. Quand vous aurez quelque chose à dire sur le sujet qui nous importe, que vous aurez à citer autre chose qu'une émission qui occupe vos soirées sans joie, on pourra peut-être débattre. Pour le moment, je vous laisse à votre téléviseur.
Écrit par : Le Rhéteur | vendredi, 30 juin 2006
Ho lal la ! mais c'est qu'ils se connaissent tous les bougres... Et je ne serais donc que l'hôtesse naïve de blogueurs confirmés... Warum nicht ? Mais parfois j'arrive pas à vraiment tout suivre... Va falloir que je me décasanise un brin et que je me borisvianise un peu plus en allant ...surfer sur vos blogs...
Écrit par : Lou | vendredi, 30 juin 2006
@ rhétuer :
le roquet-nanar va paraphraser Audiard (un mec que tu méprises sûrement quand on sait ce qu'il a écrit sur la libération...) :
"Si je te tends la main, moi, c'est en travers de la gueule !"
Et pour faire plaisir à Lou (du moins, tenter de)
Ouah-ouah, imprudent rhéteur,
fais donc gaffe au rottweiler,
tu sais bien chaque nanar
a en poche un p'tit pétard
suffisant pour faire gicler
sur les murs ton esprit blet !
Écrit par : kalle | vendredi, 30 juin 2006
L'Histoire repose sur des témoignages, pour partie, surtout l'Histoire récente. Le témoignage de M. Marcantoni est intéressant, parce qu'il est libre. Il n'a d'ailleurs pas été contesté. Quand Fogiel invite sur son plateau un imbécile comme Marcantoni, qui ose dire des choses compromettantes pour la "résistance" corse à Paris, bien sûr que je suis attentif, plutôt deux fois qu'une, c'est pas tous les jours qu'on ne parle pas la langue de bois à la télé.
Ce n'est pas complètement nouveau, l'affaire Petiot nous avait déjà instruit dans ce sens, son beau parcours sans obstacle dans la Résistance. Les véritables historiens savent bien qu'un certain nombre de crapules ont intégré assez facilement la Résistance, profitant de son organisation assez déficiente, notamment à partir de 1944, voyant bien en quoi elle pourrait les blanchir.
Les véritables historiens savent aussi que sans la résistance, l'armée allemande aurait bien sûr plié devant l'armée rouge de la même façon. La résistance a-t-elle sauvé des Juifs ? Non, elle en enrôlé quelques-uns, c'est différent, elle a plutôt excité les forces d'occupation.
Le témoignage de mon grand-père paternel aussi, en zone occupée en province. Il entend l'appel du 18 juin à la radio, comme beaucoup contrairement à ce qu'on a pu dire, l'appel a même été reproduit dans des journaux assez facilement accessibles, et il est naturellement assez gaulliste. Il pense même à partir à Londres, mais ce n'est plus possible, on ne peut plus embarquer. Il restera assez gaulliste jusqu'en 1944, jusqu'à ce qu'il voie des tas de petites crapules "entrer dans les bois" et en profiter pour commettre des exactions dans tout le voisinage.
(Sur le témoignage du rhéteur, je remarque qu'il ne nie pas avoir tenté de faire interdire Desouche sur Hautetfort, il élude l'accusation.)
Écrit par : Lapinos | samedi, 01 juillet 2006
@ Lapinos : Mais personne n'a nié que des "crapules" (ce sont vos mots) aient fait partie de la Résistance. La différence entre vous et moi c'est que vous mettez ça et uniquement ça en avant pout discréditer l'ensemble des Résistants. Pas de mesure, pas de vue d'ensemble.
L'exemple unique pris chez Fogiel le démontre : hop, d'un cas particulier, faisons donc une généralité.
C'est toute la différence entre le discours froid et scientifique qui vise au vrai et l'opinion du vulgus qui sert une cause (qu'elle soit considérée comme valable ou non).
En ce qui concerne l'histoire de la Résistance, j'aimerais vous retirer une idée fausse que vous semblez avoir en tête : les sources principales ne sont pas orales, mais bien écrites. Les témoignages sont importants, c'est certain, mais on dispose aussi de beaucoup de "papiers" pour croiser tout ça.
Une autre chose : je le répète je ne suis pas responsable, de près ou de loin, dans la fermeture du blog de Desouche qui s'est fait une pub à bon compte.
Êtes vous assez stupide pour penser que j'ai mes entrées chez Hautetfort (peut-être suis-je un Illuminati ?) et faire fermer les blogs qui me déplaisent ?
A l'inverse, je souris de voir que par familiarité avec ses idées vous tombez dans le panneau de la victimisation. Vous êtes du genre à croire les politiques vous !
Réfléchissez cinq minutes !
Écrit par : Le Rhéteur | samedi, 01 juillet 2006
Une dernière chose : "les véritables historiens" ça n'existent pas. On est reconnu par ses pairs sur critères scientifiques ou on fait du journalisme comme Sévillia. Point.
Écrit par : Le Rhéteur | samedi, 01 juillet 2006
Il n'assume rien, ce mec...
Et puis... à le lire, on a vraiment envie de ne plus quitter les bouquins de Sévillia !
Je note que sur la référence à Amouroux, rhéteur ferme sa hure. Tant mieux.
Enfin : pour un gars qui ne voulait plus foutre les pieds ici, je trouve qu'il tape sévèrement l'incruste, le crétin. Il fait partie de ces nombrilistes tordus qui se font cracher à la gueule pour avoir le sentiment d'exister. Je l'imagine, pépère, seul devant son écran, fâché avec la terre entière, aigri, droit dans des bottes trop grandes pour lui, à épier toutes les réponses qui lui sont faites sur les blogs qu'il pollue !
Petit flicard de merde...
Écrit par : kalle | samedi, 01 juillet 2006
Jusqu'à présent, Rhéteur, quand je pensais à toi, me venait à l’esprit l’image du Juge Burgaud. Désormais, à cause de tes ridicules dénégations, ce sera celle de David Hotyat. Quelle décrépitude !
Écrit par : françois | dimanche, 02 juillet 2006
@ François : En attendant, tes petits mensonges pour attirer le chaland nationaliste ne sont prouvés que par tes hauts cris. C'est faible.
Menteur, manipulateur et lâche, ça fait beaucoup pour quelqu'un qui veut sauver la France.
Au fait, depuis ton coup de pub, ton bouton paypal te rapporte des sous ? Roublard, va !
@ Kalle : Fut un temps où pour de telles insultes, vous vous seriez fait rouer de coups (pas provoquer en duel, parce qu'on ne provoque en duel que ses égaux).
Écrit par : Le Rhéteur | dimanche, 02 juillet 2006
Ah tout celà me rappelle Réac'attack, en août dernier.
Jus†ine à l'époque avait rappelé la définition du mot rhéteur- malheureusement cet échange est perdu dans les archives desouchiennes-.
Mon petit Littré indique ceci à rhéteur : qui ne cherche que la forme du discours, sans s'attacher au fond des choses. Celui qui dissimulede mauvaises ou insuffisantesraisons sous une forme passionnée.
Petit souvenir ici :
http://leblogdurheteur.hautetfort.com/archive/2005/08/19/reac-attack-ii-le-retour-en-pire.html
Écrit par : Philippe | dimanche, 02 juillet 2006
@ Philippe : puisque votre culture se limite aux définitions du dictionnaire, je vous rappelle que pour Cicéron (qui reste une référence), la rhétorique vise à
1. Eduquer.
2. Emouvoir.
3. Convaincre.
Nous sommes loin de la définition tronquée que vous empruntez à M. Littré...
Écrit par : Le Rhéteur | dimanche, 02 juillet 2006
Je n'ai cité, il est vrai, que le second sens du mot. C'est celui qui convient le mieux m'a-t-il toujours semblé.
Modestement génial n'est-ce pas ?
Écrit par : Philippe | dimanche, 02 juillet 2006
Gros pollueur de blog, la couille flétrie.
Mais mon petit bonhomme, c'est quand tu veux ! Je voudrais pas faire mon Soral vs. Dantec, mais je pense sincèrement que les mecs comme toi se pissent dessus quand ils se trouvent en face de mecs comme moi.
Allez, va donc jouer les fier-à-bras ailleurs, Balthazar.
Lou va vite être gonflée par ces échnages de voyous !
Ah, pour Cicéron : oublies. Tu es très très loin de tout cela. Tu n'éduques personne (et pourtant nos impôts te payent, parasite !), tu n'émeuts que les amis des bêtes ou les cotisants à Perce-Neige, quant à convaincre...
Écrit par : kalle | lundi, 03 juillet 2006
Bon, pour résumer (et clore ?) ces intéressants débats, je dirais que j'ai bien aimé la position du Lapin quant aux années sombres, que le Rhéteur se la joue toujours un peu trop, que kalle s'échauffe certes un peu vite, mais il rime... que moi-même je m'étais un peu absentée et que j'ai pas pu tout suivre, mais que je viens quand même de répondre au rhéteur sur son blog (note : auto-critique), lequel me voyait déjà en fuyarde désargumentée... Non, mais sans blague !
Écrit par : Lou | lundi, 03 juillet 2006
Bravo Lou pour cette contribution utile sur le blog du crétin.
Oui, je m'échauffe.
Certes, oui.
Mais admettez que ce personnage est par trop symptomatique de ce que nous autres -contributeurs réguliers- "combattons" avec comme seule arme un clavier.
Alors avoir à subir sa cuistrerie et son mépris d'universitaire tocard et donneur de leçon ici même, de façon bêtement répétitive... merci bien.
Cet abruti a son blog, sorte de sanisette pour méninges malades. Qu'il s'en serve et par là-même, nous foute la paix !
Écrit par : kalle | lundi, 03 juillet 2006
Évidemment un historien véritable n'est pas un historien qui est reconnu par ses pairs, ce critère quasi-clanique est assez inopérant.
Non, un véritable historien se situera forcément hors-la-loi Gayssot, qui prétend réglementer l'Histoire ; intellectuellement, les dizaines de milliers de petits rhéteurs d'Histoire qui se font un devoir d'enseigner une Histoire certifiée conforme norme française ne peuvent être pris au sérieux que par des gamins de dix ans (Et encore, je suspectais déjà quelque chose à cet âge, les rhéteurs sont souvent tellement mal dégrossis !)
Par ailleurs, un certain recul est nécessaire par rapport aux faits. Le comportement typique de Vidal-Naquet, qui admet avoir dissimulé des faits historiques tant que c'était possible, le discrédite totalement en tant qu'historien. Là encore les petits rhéteurs sont inaptes à piger ça.
Les petits rhéteurs ne comprennent pas, ou font semblant de ne pas comprendre, que tandis qu'ils enseignent l'Histoire, l'Histoire continue de se dérouler. Que les Résistants communistes et gaullistes sont les vainqueurs de 1945, que la leçon des rhéteur n'est qu'un décalque de leur mythologie autosatisfaite.
La propagande, ce n'est pas nouveau, mais jamais l'esprit critique n'a jamais été aussi encadré par la loi, jamais la police de la pensée n'avait été aussi efficace auparavant en France, même pas sous Napoléon !
Mes témoignages ne conviennent pas au Rhéteur ? Pourtant des pans entiers de l'Histoire récente ne reposent que sur quelques rares témoignages, en l'absence de documents, et ça n'a pas l'air de déranger beaucoup les rhéteurs. Allez, passe ton capes d'abord, comme on dit dans le milieu…
(J'ai pris bonne note des dénégations du Rhéteur concernant Desouche, mais étant donné la virtualité du cas, il m'est difficile de me faire une opinion ; le Rhéteur fait semblant d'ignorer qu'une simple dénonciation peut suffire à faire arrêter quelqu'un, a fortiori à faire fermer un site non conforme, il y a des précédents.)
Écrit par : Lapinos | lundi, 03 juillet 2006
@ Lapinos : Et les sources ? Parce que c'est bien joli de voir des manipulations partout, des menteurs à tous les coins de rue, mais sans preuve votre témoignage vaut peau de balle...
Et savoir qui est historien et qui ne l'est pas, j'aimerais bien savoir ce qui peut en décider à part les pairs ?
Certainement pas quelques médiocres discutailleurs de blog qui n'ont jamais vu une archive de leur vie, ni écrit un seul bouquin.
Écrit par : Le Rhéteur | lundi, 03 juillet 2006
Ah, ah, ce qui est drôle avec les rhéteurs, c'est qu'ils trahissent très vite leur goût immodéré pour la discipline le leur petite armée bien disciplinée, on devine très vite sous les habits du libre-penseur qui prétend puiser à toutes les sources d'information, l'uniforme du hussard noir-rouge. Les rhéteurs lisent-ils Patton ET Faurisson, par exemple, pour éclairer leur lanterne ? ainsi que leurs ancêtres plein de lumières l'auraient fait, parce qu'à défaut d'être tous honnêtes ils étaient cultivés. Non, les petits rhéteurs d'aujourd'hui se contentent de lire ce qui a reçu l'imprimatur de la Place Bauveau. Ils peuvent se dispenser d'être intelligents parce qu'ils ont la police de leur côté (c'est ça qui les perdra peut-être, Lou).
Dans le cadre du blogue de Lou, il n'est pas dans mes intentions d'étaler des bibliographies entières, bien entendu, ça n'est pas très commode et puis ça serait un peu prétentieux. Mais il me semble qu'un témoignage non autorisé par-ci par-là, ça peut être intéressant.
Encore une fois et puisqu'on est bien forcé ici de vous le demander gentiment, Rhéteur, retournez à vos moutons et à vos concours, vous n'êtes pas un spécimen assez rare pour qu'on le dissèque (socialement) plus longtemps.
Écrit par : Lapinos | lundi, 03 juillet 2006
Votre dernière réponse mon cher Lapinos, vous classe irrémédiablement chez les cuistres et autres agitateurs de sous préfecture qui parlent beaucoup, mais n'ont pas l'ombre d'une référence. Comme Loulou, qui brasse beaucoup de vent, mais peu d'idées vous maniez bien l'attaque ad hominem et ça en reste là.
Ne faites pas passer votre inculture crasse pour de la politesse c'est risible. On évite sûrement le KO en s'enfuyant du ring, mais on n'échappe pas au déshonneur.
Bon vent gentil provocateur de pacotille.
Devant cette débâcle intellectuelle prévisible, je me retire.
Je vous salue.
P.S. Désolé de sortir du cadre étroit qui vous sert à analyser le monde extérieur, mais j'ai lu avec profit Faurisson et Wellers. Comme quoi...
Écrit par : Le Rhéteur | lundi, 03 juillet 2006
Eh, Ducon, si je sais compter (si, si, je sais), ça nous fait une deuxième sortie, ça !
J'espère (et je pense ne pas être le seul) que tu ne vas pas nous refaire un come-back façon Zizi Jeanmaire...
Précision : "Bon vent", c'est quand on reste à quai.
Or là, c'est toi qui te casses sur ta barcasse à deux balles, Kersauzon de mes couilles ! (oiups, pardon, Lou).
On sait que ça te fâche d'attendre tout seul d'avoir du monde sur ton blog de daube pour coopté soumis, mais sois plus fort que ton adrénaline, ne réponds pas, ne craque pas... en un mot : va péter dehors.
Merci, Ducon.
PS : moi aussi, Ducon
Écrit par : kalle | lundi, 03 juillet 2006
On peut poursuivre un peu la sociologie du rhéteur, Lou ? Moi j'aurais plutôt tendance à dire : « J'ai une plus grosse bite que la tienne, nananère ! », tandis que le rhéteur, lui, il dit : « J'ai une plus grosse culture que la tienne, nananère ! », ça c'est le goût des rhéteurs pour les trucs flous, pas quantifiables. Les rhéteurs aiment bien les labels, les pin's, les slogans, ils se sentent en sécurité avec, comme une vieille bigote avec son chapelet.
Les rhéteurs aiment bien se protéger dans leurs propres phrases, aussi, qui sont souvent des périphrases. Le nôtre dit par exemple : « Personne n'a nié que des crapules (ce sont vos mots), etc. », ça veut dire qu'il admet qu'il y a eu des crapules, mais il veut pas prononcer le mot, il a peur de blasphémer contre la Résistance, MÊME SOUS LE COUVERT DE L'ANONYMAT !
Et puis celle-ci : « J'ai lu Faurisson avec profit », des fois qu'on le dénoncerait à ses collègues, il pourra brandir la garantie de sa petite dialectique fourchue. C'est sans doute ce qui l'incite à se barrer maintenant, il doit redouter qu'on lui demande quel profit, exactement, il a tiré.
Autant pour un rhéteur se faire insulter par quelqu'un comme Kalle, c'est presque un titre de gloire, autant avouer qu'il a lu Faurisson peut être gênant, vis-à-vis de sa carrière, de ses relations sociales, de sa gonzesse, etc.
Écrit par : Lapinos | mardi, 04 juillet 2006
Ah le Rhéteur... que de beaux mots pour masquer une culture de morts...
Écrit par : Ash | mardi, 04 juillet 2006
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