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samedi, 16 novembre 2013

TBJ expliqué à ma fille...

Ca y est, même le beau Tahar, le Ben Jelloun qui s’y met ! Plus rien à plagier sans doute, on va donc se refaire la cerise  en écrivant des banalités affligeantes d’humanisme mou et de moraline en spray dans Le Monde de Pierre Bergé… Et il est pas le seul à sortir sa plume d’esthète, y a eu ailleurs l’Angot et la Despentes et mille autres qui viennent grossir la meute et se la jouer plus blanc que blanc (ce qui est quelque peu paradoxal pour des antiracistes… !) et surtout encore meilleurs littérateurs que le voisin, avec la formule qui buzze et le mot qui flashe (pour Angot, c’était : « Cette histoire de banane nous tue. », pour Despentes : « C’est vous, Madame, la belle et haute voix », et pour Tahar « racisme light et décaféiné » qui vous a un petit air branché assez sympathique pour le prochain Goncourt des lycéens…).

Et ce qui est commun à tous ces zombies, outre la volonté de briller en société et d’être invité au JT de Delahousse, c’est l’exacerbation, à partir d’un ou deux faits qui ne méritaient rien d’autre que la rubrique des faits divers, de la notion de Racisme majuscule, comme si toute la France s’était réveillée raciste, comme si tous les Français, demain dès l’aube à l’heure où blanchit la campagne, étaient prêts à ratonner, lyncher, enfourner, comme si leur lecture favorite était Gobineau, comme si Noah, hélas ! n’était pas jusqu’à il y a peu leur personnalité préférée et comme si, au quotidien, la grande majorité des Français, voire la quasi-totalité, y compris les beaufs, y compris les bas de plafond, ne vivaient pas en bonne intelligence avec leurs voisins blacks, rebeus ou feujs, sans se demander chaque seconde si leur adn est compatible avec le leur…

Seulement voilà, faut bien enfumer le débat, faut bien verser son écot au politiquement correct, faut bien se la jouer propre sur soi et invitable vite fait sur tous les plateaux télé…
Et le Ben Jelloun, psychologue pour midinettes, d’enfiler alors les perles les plus ressassées du pathos de rigueur : « rongé par le racisme… malaise entre soi et soi… jouissance à stigmatiser…dérives graves…bas instincts.. » sans oublier, bien sûr, l’indispensable « idées nauséabondes » ni le paragraphe bien senti sur le FN et ses « dérapages indignes »… Fermez le ban !

Pas un de ces connards intello qui soit capable, ou plutôt qui ait la volonté d’analyser tranquillement le phénomène et qui, au lieu de bégayer « racisme » à longueur de colonnes, s’essaye simplement à voir la réalité et à parler non de racisme mais de xénophobie.. même pas de xénophobie mais d’un simple ras-le-bol devant l’insécurité, le parasitisme et les milliards que l’Etat dépense pour financer depuis quarante ans son absence d’une véritable politique d’immigration contrôlée et maîtrisée…

Mais il est tellement plus facile de se donner bonne conscience et de parader au paradis des bobos avec les bobards de l’honneur perdu de Taubira… (Faudra que j’aille chez mon orthophoniste..).

Allez encore deux minutes sur Tahar le Plagiaire pour montrer son niveau intellectuel et moral :

-niveau intellectuel : « Tant que le souci principal des hommes politiques est d’assurer leur réélection , tous les dérapages les plus indignes auront lieu. » Pour s’imaginer qu’un jour les hommes politiques penseront à autre chose qu’à leur réélection, faut être un sacré putain d’analyste politique de haute graisse !

-niveau moral : « Il faut que les enfants sachent, tant que leur esprit est encore disponible, sur quoi se base le racisme… ». Et voilà… D’autres, qui se firent allumer grave, parlaient naguère de « temps de cerveau disponible »… Avec TBJ on en est carrément arrivé au lavage de cerveau… et le plus tôt sera le mieux… Commençons par les enfants ! Beuark… 

Lou...

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