vendredi, 22 novembre 2013
Libé - Charlie, même combat...
Après la sidération et l’ « horreur absolue », nous sommes heureux de vous informer que l’équipe Libé va mieux.
La cellule psychologique immédiatement mise en place pour cocooner les chochottes journaleuses épouvantées a permis au travail du deuil de s’effectuer dans les meilleurs conditions, d’autant que le pronostic vital du jeune César n’étant plus engagé, le « Tu quoque, fili ! » n’était plus à l’ordre du jour.
L’on a donc pu se laisser aller, sur les moquettes de la rue Béranger, dans le cadre d’un brain storming réparateur et entre deux chivas bien sentis, aux « couvertures auxquelles vous avez échappé » dont nous vous donnons ci-dessous les meilleures saillies :
L’extrême-droite qui tue
No pasaran
Abdelhacrime
Dekhar de police
Caméras de surveillance : Photo chope…
Un but Dekhar
Marche blanche contre un gris
César : « Tu me fends le cœur ! »
Rue Béranger, Dekhar pète…
Demorand à Vals : « Tu pouvais pas me trouver un facho ? »
La France Beur-Blanc-Boum
Lou...
07:44 | Lien permanent | Commentaires (0)
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