mardi, 13 décembre 2016
Ta gueule, Elkabbach !
Elkabbach, sans doute l’un des plus grands condensés de merde médiatique ubiquitaire et totalitaire…
Aux manettes depuis plus de cinquante ans, vieux bonobo ranci passant de branche en branche et de chaîne en chaîne, du public au privé et du privé au public, pour distribuer quotidiennement la formidable pourriture éclabousseuse de sa voix, de sa gueule, de ses fiches, de son idéologie, de ses minables provocations, de ses servilités, de ses renvois d’ascenseur, de sa lèche éhontée à l’égard de tous les pouvoirs…
Mais comment des ordures pareilles, et des nullités de ce calibre (il suffit de le voir officier à « Bibliothèque Médicis » pour jauger vite fait l’incompétence crasse du vieux beau empêtré dans ses fiches…) peuvent-elles arriver à se maintenir aussi longtemps dans le paysage médiatique ?
Par quoi les tient-il donc tous les directeurs de chaîne, les assoupis du CSA, les véreux politiques de tous bords, par quelles inavouables ficelles, par quels douteux secrets, par quelles avariées et innombrables arrière-cuisines, pour avoir pu taper l’incruste avec une telle constance et pendant autant de lustres sur la grisaille à vomir de nos écrans télé ?
Et comment cette crapule démocratique a-t-elle pu accepter dans les replis puants de son absence de déontologie de monopoliser à soi seule et sur un temps aussi long autant de micros et de caméras, d’animer autant de débats, de diriger autant d’interviews ? Il est où le pluralisme, elle est où la diversité, elle est où l’ouverture quand le même connard incompétent et bouffi d’orgueil officie pendant cinquante ans sur les étranges lucarnes ?
Et le pognon, le pèze, l’oseille, le blé que ce salopard à la généreuse figure a dû accumuler , pompé aux trois-quarts sur l’argent public, tout au long d’une interminable carrière de postillonneur en chef aux émoluments de diva ! Beuark…
Lou...
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mercredi, 07 décembre 2016
Gayssot-Rossignol...
Et ils sont où les amis de la liberté d’expression, tous ceux qui, paraît-il, sont prêts à se battre avec Voltaire pour que même l’adversaire ait le droit d’ouvrir sa gueule ? Ils sont où les champions incontestés des droits de l’Homme, il est où le Joffrin-Mouchard, elle est où la vieille potiche Badinter, le sénile Bedos, le Tubiana, la Binoche, le Demorand, la Robin, le Baddou, le Duhamel, la Lucet… ? Ils sont où tous ces connards libertaires, altruistes, tolérants, lorsque la Rossignol pond ses oukases liberticides et, sur l’avortement, veut voir qu’une tête, pas un bouton de guêtre qui dépasse, que tout le monde enfin juge pareil, pense pareil, opine pareil, et répète en boucle, dans une touchante unanimité, les mantras gouvernementaux : que l’avortement est incolore, inodore et indolore, que c’est un geste d’une simplicité enfantine et d’une banalité biblique, que c’est un acte libérateur, émancipateur, progressiste, et que, si tu as le malheur de pas être dans les clous et de pas réciter le mantra dans le bon ordre et sans y changer une virgule, tu vas vite te faire gauler par la police de la pensée unique et aller te faire purger le ciboulot de tes mauvaises pensées dans les usines à formater de notre si libérale république…
Ainsi elle est tellement féministe, la Rossignol, qu’elle prend les femmes pour des demeurées, pour des sous-merdes incapables d’élaborer elles-mêmes, sur l’avortement, leurs propres idées, leur propre doctrine en confrontant les discours différents et pluriels des pro e des anti et de prendre ensuite leur décision en toute liberté, sans que des matrones socialistes estampillées « planning antifamilial » viennent leur tenir la main et penser et agir à leur place…
Avec la loi Gayssot, c’est l’Histoire qui était socialiste et obligatoire, avec Rossignol, c’est l’avortement, et demain quoi ? Pour éplucher des patates ou se faire une couleur, faudra aller demander le mode d’emploi officiel à la Royal ou à la Pellerin ou à la Touraine ? Beuark…
Lou...
14:03 | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 06 décembre 2016
Les ministres varient, la connerie demeure...
Ultime petite merde de ce putain de gouvernement vallsien, l’affaire de l’affichage anti-sida aux slogans débiles et putassiers ! Oyez, oyez, braves gens, le nouvel évangile socialo : « Avec un amant, avec un ami, avec un inconnu… Coup de foudre, coup d’essai, coup d’un soir… S’aimer, s’éclater, s’oublier… Les situations varient, les modes de protection aussi. »
Et c’est avec ces huit mille saloperies d’affiches placardées dans cent-trente villes de France, non pas dans les boîtes gay, non pas dans les sous-bois torrides, non pas dans les plages à cul, mais à moins de deux cents mètres d’une école, d’une crèche, d’une église, que les connards qui nous gouvernent s’imaginent faire reculer le sida.
Et c’est en prônant ouvertement la baise tous azimuts, avec n’importe qui et dans toutes les positions qu’ils prétendent gagner la guerre contre le VIH ! Ah ! il doit bien se marrer Monsieur VIH ! Avec des ennemis de ce calibre, cornaqués par une Marisol Touraine inconsciente ou débile et soigneusement coachés sans doute par quelques publicitaires LBGT qui, au passage, ont dû toucher gras, c’est pas 7000 nouveaux cas chaque année qu’on va avoir, c’est 10000, 20000, 30000… Et hop, un p’tit coup d’essai pour la Touraine, hop, un p’tit coup d’un soir pour la Rossignol !
Mais soyons claire, elles le savent parfaitement, que ça sert à rien, côté santé publique, ce genre de campagne : la preuve, 7000 nouveaux cas chaque année en 2016, alors que depuis les années 80 c’est des milliards qu’on a balancé dans des campagnes toujours plus inutiles… comme si les pédés étaient plus cons que les autres et incapables de se tenir informés !
Par contre, qu’est-ce que c’est bon de faire enrager les cathos, de faire chier les réacs, de détruire un peu plus la famille, la morale, les valeurs, l’enfance, la jeunesse…
Qu’est-ce que c’est bon de tordre le cou à ces vieilles notions abolies d’un amour respectueux, responsable, engagé, ouvert sur la vie, pour mieux promouvoir la baise bien bestiale, bien animale, le « coup », comme ils disent… Beuark !
Lou...
21:39 | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 05 décembre 2016
Déontologie, mon cul !
Catherine Matausch, femme-tronc de service sur France 3, plantée là depuis des années avec notre pognon, bien formatée bien formateuse, gentille gendarmette servile de la pensée unique, à cracher et recracher ses laius tout bien exactement comme on lui a dit de faire à la Conférence de Rédaction d’avant son Journal du Soir : là tu souris, ma poule, là tu fais la gueule, un’ deusse, un’ deusse et en avant la musique…
La Matausch donc nous causait, vendredi ou samedi soir, du referendum en Italie où le Matteo Renzi, bien propre sur lui, allait probablement se faire démolir la carrière en moins de temps qu’il n’en faut pour torcher une pizza, et cela, horresco referens, au profit du mouvement « Cinque Stelle » de Beppe Grillo ou de la très droitière « Lega Nord » de Matteo Salvini, deux infames partis « populistes ». Et l’on imagine toute la rédaction de France 3 tremblante de peur sous la moquette devant la Bête qui monte, qui monte, qui monte même au-delà des Alpes et qui risque de casser la baraque des nantis et des pourris réunis de la politique et des médias…
Et la Matausch donc, au lieu de dire tout simplement ce qu’elle aurait dû dire : « Elections incertaines, serrées, hasardeuses, problématiques ou tendues », ce qui est bien la seule façon honnête et déontologiquement compatible de parler de la chose, la Matausch donc d’y aller, la voix grave et le regard inquiet, de ses « Elections à très très haut risque » en boucle, comme si elle était là, la salope, pour nous dire qu’elle et sa chaîne de merde étaient toute dans le camp de Renzi et qu’il fallait fissa que nous en fîssions autant, et comme si c’était à elle de nous dire dans cette affaire où est le risque et où est la chance… Mais ils se prennent pour qui ces connards !
C’est ça la connivence ordinaire des médias et de la pensée unique, tellement ordinaire et tellement naturelle qu’ils s’en rendent même plus compte et qu’on l’étonnerait sans doute, Cathy la Soumise, si on lui disait de s’occuper de son cul plutôt que de nous dire pour qui on doit voter…
Lou...
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