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lundi, 27 février 2017

Black and White...

Ah ! comme on les entend exulter plein tuyaux, tous les connards patentés, de Libé à France-cul, de Guillaume Erner à Laurent Joffrin, devant l’hommage enfin rendu à cette magnifique Race Noire désormais à son apothéose, à son acmé, à son zénith, sur cette merveilleuse scène de la 89° cérémonie des Oscars enfin débarrassée, grâce au film « Moonlight », de la pâleur nauséabonde et de la blémitude désespérante de cette si détestée Race Blanche … L’ébène remplace enfin l’ivoire, Soulages détrone enfin Malevitch, et la de Kervasdoué de France-cul peut enfin se rêver en Bécassine crêpue, lippue, joufflue et fessue en attendant la prochaine séance d’UV qui devrait achever la métamorphose… Et dire que tous ces connards prétendaient, y a pas si longtemps, que les races n’existaient pas…

dimanche, 26 février 2017

Les ordures de Libé...

« Suicide paysan : la Faucheuse est dans le pré ». Voilà ce que ça leur inspire aux connards de Libé la détresse des paysans français : un jeu de mots débile. Et on imagine le Joffrin-Mouchard se taper sur les cuisses en cadence avec Patrick Drahi sur les genoux : « Ah ! Putain ! Patoche, on est vraiment les meilleurs… La Faucheuse est dans le pré ! Qui d’autre que nous pouvait trouver ça ? On a vraiment une sacrée équipe de bons journalistes ! Tiens, remets-moi donc un petit Chivas et une louche de caviar à la santé des cul-terreux ! »
Des paysans qui se suicident parce qu’ils en peuvent plus de travailler 70 h par semaine pour rien gagner, parce qu’ils voient leur travail anéanti par des prix indignes, parce qu’ils savent qu’ils vont transmettre à leurs enfants des exploitations non viables, parce que c’est toute une vie d’amour du métier qui s’écroule… Et nos journaleux de merde, le Joffrin en tête, trouvent rien de mieux à faire que de traiter ça avec un jeu de mots… Et c’est cette ordure qui vient chaque jour jouer les Père-la-Morale dans ses éditoriaux à la con… Et c'est des canards de ce calibre que la République finance à donfe avec notre pognon...Beuark…

vendredi, 24 février 2017

678.000... !!

Et ce connard de Flamby, il va y retourner maintenant dans la famille à Théo ? Il va y aller réclamer les 678.000 euros (six-cent-soixante-dix-huit mille !!) de subventions diverses et variées obtenues de l’Etat et des Territoires pour lutter, paraît-il, contre la violence, et qui semblent avoir disparu vite fait bien fait dans les poches un peu trop vastes de la sainte famille d’Aulnay…("suspicion d'abus de confiance et escroquerie") ? Il va nous la rejouer la grande démarche compassionnelle auprès du pauvre blackos innocent injustement agressé par les méchants et forcément coupables policiers tortionnaires ? Il va venir nous la faire en direct prime time sur toutes les chaînes sa repentance penaude et confuse que j’aurais peut-être pas dû y aller, que j’aurais dû sans doute attendre un peu les conclusions de la Justice, que ce con de Gantzer, mon communicant perso, a peut-être pété un peu trop vite les plombs qui lui servent de cerveau et que finalement, François, t’es rien qu’un gros relou (et je suis polie !) qui finit son quinquennat largement aussi mal qu’il l’avait commencé…
Et en plus, ducon, t'imagines un peu le nombre de brushings que t'aurais pu t'offrir pour 678.000 euros !!
Lou...

vendredi, 03 février 2017

Chamoiseau... de passage ?

Ah bèn voyons… fallait bien qu’il s’y colle le Chamoiseau aussi… Môssieur le Grand Génial Poète, Martiniquais en plus, empereur de la créolitude, basané juste ce qu’il faut, impénitent polygraphe, humaniste bon teint et plumitif poétiseur de toutes les souffrances humaines… Manquait plus que lui dans le chœur des pleureuses assermentées à chialer sa syntaxe luxuriante et ses oxymores inattendus, genre Taubira du pauvre, sur nos « Frères Migrants »…
Ecoutez plutôt, si ça vous tire pas les larmes :

« Les poètes déclarent que le racisme, la xénophobie, l’indifférence à l’Autre qui vient qui passe qui souffre et qui appelle sont des indécences qui dans l’histoire des hommes n’ont ouvert la voie qu’aux exterminations, et donc que ne pas accueillir, même pour de bonnes raisons, celui qui vient qui passe qui souffre et qui appelle est un acte criminel. »

Mais chuis d’accord total avec toi, Chamoise, sûr certain qu’il faut accueillir avec les trémolos requis le qui vient-qui passe-qui souffre-qui appelle… Et chuis bien sûre qu’avec tes droits d’auteur à foison, ta médaille en chocolat de Commandeur des Arts et Lettres (tiens, c’est un peu moins poétique tout à coup !), ton Goncourt 92, tes pied-à-terre à Paris, Fort-de-France et autres lieux… et ton grand cœur saignant et généreux, chuis bien sûre que tu vas nous les accueillir fissa les oiseaux migrateurs, sur ta moquette, dans ta piscine, sur tes territoires de créolité repue et magnanime, et tu leur ouvriras bien grand tes comptes en banques tout replets, tu leur offriras, grand seigneur, ton tableau de Basquiat, là, à gauche de la fenêtre, et cet immense Andy Warhol, sur le mur du salon, dont tu commences à te lasser… et ta cave, tes rhums arrangés de 2000 ans d’âge… et tes cigares à 500 euros l’unité… allez, Chamoise, quelques volutes mallarméennes pour les frangins voyageurs… tu voudrais quand même pas faire partie de ces « indécents » au cœur sec que tu fustiges… !
Allez Patou, allez, pousse, pousse, ça va venir… une infime impulsion, un petit effort clignotant, une luciole d’espoir… et si ça vient, si tu leur ouvres ta maison autant que tu leur ouvres ton cœur aux oiseaux de passage, fais le moi vite savoir, toute généreuse à donfe comme je me sens tout à coup suite à ta fourmillante exemplarité , promis, Chamoise, promis, j’achète ton prochain Goncourt (des Lycéens ?)…