Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 28 janvier 2011

Mercato...

Et oui, c’est le grand jeu d’hiver des chaises musicales : arrivée du bouffi Demorand à Libé, départ de Fogiel-la-came d’Europe… on prend les mêmes connards qui ont déjà écumé toutes les radios, formaté toutes les tronches depuis 10, 15, 20 ans, juré leurs grands dieux de leur attachement indéfectible à la chaîne (la chaîne !) qui leur serrait momentanément le cou, que c’était la meilleure, la seule vraiment déontologique, la merveille d’une ambiance de travail exceptionnelle, d’une équipe soudée et remarquable… etc… ce qui ne les empêche pas, ces belles âmes, de larguer les amarres dès que brille à l’horizon le pognon, le fric, le blé, l’oseille dont d’ailleurs, comme c’est curieux, on ne connaîtra jamais, malgré la sacro-sainte transparence saluée par tous comme la nouvelle divinité, on ne connaîtra jamais le montant du pactole, pactole largement financé par nos impôts, qui accompagne les déplacements erratiques de ces mercenaires qui vendent leur beau-parlage et leurs pseudos-convictions comme le dernier de ces marchands de soupe qu’ils regardent ordinairement de haut… Beuark !

mardi, 25 janvier 2011

Fredo la carpette...

Monsieur Repentance a encore frappé ! Frédéric Mitterrand, neveu de Tonton et Sarkonépoté grave, après avoir avoué naguère en direct live avoir couché en Thaïlande avec d’imberbes boxeurs de 40 ans dont les pampers se devinaient à peine, vient de soigner récemment son lumbago avec deux inoubliables révérences, l’une à propos de Céline, l’autre à propos de Ben Ali.

Côté Céline, c’est devant Serge Klarsfeld et le Crif que s’est vautré carpett-fredo, célébrant, puis ne célébrant plus le cinquantenaire de la mort de l’auteur du « Voyage ».

Côté Ben Ali, notre paillasson national, qui le trouvait particulièrement fréquentable lorsqu’il lui devait beaucoup et lorsque sa côte avait encore fière allure, vient soudain de se découvrir un enthousiasme généreux pour le peuple tunisien et ses magnifiques élans démocratiques.

Côté Céline, c’est sans doute mieux ainsi, finalement, car c’est dur d’être commémoré par des cons.

Et côté Ben Ali, on suggère à Fred l’éponge de se faire fissa naturaliser « Iles Caïman » s’il veut profiter quand même, malgré ses belles déclarations, du tas d’or de Madame Trabelsi…

mercredi, 19 janvier 2011

Fiente inter...

Tiens, Sophia Aram, je la connaissais pas, cette connasse ! Il a suffi d’un petit tour chez Fdesouche (oui, je sais, j’ai un peu de retard, c’était il y a quelques jours et ça se trouve maintenant en page 4 !) et de 2 ou 3 clics pour voir cette espèce de sous-clone de Guillon et Dahan, laborieuse petite merde franceintereuse ânonnant, les yeux rivés sur son papier, mais avec force mimiques quand même, car désormais, on n’arrête ni le progrès ni les cons, on filme la radio !!! Anonnant, disais-je, des séries de vannes anti Le Pen, avec bien sûr la certitude, garantie pur Val pur Hess, de ne pas courir le risque d’une confrontation avec la Bête où il faudrait argumenter et enfiler autre chose que de l’impertinence en carton pâte…
Pauvre petite fiente dérisoire toute imbue d’elle-même, qui se gardera bien de nous dévoiler les critères du casting truqué qui l’ont amenée là où elle est ni les montants de ses émoluments de rebeu-rebelle de service et de salon, payée grassement par le contribuable pour faire entendre la voix de ses maîtres en même temps que celle d’une « diversité » qui, joli paradoxe, est en train de coloniser bon train et sans états d’âme, cette fois, les étranges lucarnes de l’homme blanc…

lundi, 10 janvier 2011

Double peine...

Rude semaine ! Un, j’avais cru comprendre que le borgborymeux Marc Kravetz de Francecul, l’espèce de zombie matinal qui polluait l’antenne depuis au moins quinze ans de ses portraits à la con pompés vite fait sur internet et recrachés illico dans un français caverneux et approximatif, j’avais cru comprendre qu’il disparaissait enfin de la circulation et allait jouir loin de nous d’une retraite que nous avions bien méritée… Oui, mais voilà, c’était sans compter sur le côté morpion de toutes ces grandes âmes médiatiques, ces généreux officiels estampillés gauche caviar et copains et coquins qui ne lâchent pas leur proie qu’ils ne l’aient auparavant sucée jusqu’au sang et qu’ils n’aient en conséquence rempli jusqu’à la gueule avec nos ronds leur joli compte en banque délocalisé…

Et c’est ainsi que le Kravetz n’a lâché les Matins de Francecul que pour se retrouver, avec la bénédiction de toute l’administration de la chaîne, deux heures plus tard, dans une autre émission, pour le même boulot de propagandiste rauque, fort de ses états de service dans le gauchisme mou et de son grand âge…

Car ce salopard, qui n’a pas arrêté de hurler à la mort contre cette foutue réforme des retraites qui allait obliger le pauvre misérable travailleur à s’épuiser au-delà de 60 ans et qui allait donc empêcher les plus jeunes d’avoir accès aux boulots que ne libèreraient pas les forçats des 35 heures, ce salopard, disais-je, il a quel âge d’après vous ? Et bien, il va tout simplement fêter, l’année prochaine, caviar et champagne pour toute la chaîne, comme un vulgaire Galabru ou une Moreau décatie, ses 70 balais… Propagande et tirelire sont les deux mamelles du Médialand, et Kravetz est leur prophète… Beuark..

Double peine, hélas, car le lendemain, hasard d’un zapping d’insomnie, je tombe chez F-O Giesbert (quel connard celui-là aussi !), après le retour de Kravetz, sur le retour de Bedos ! Enfin, dans la famille Bedos, après le père, je voudrais le fils Nicolas ! Fils à papa largement aussi con que son géniteur, humoriste nul, bien mis sur orbite par le népotisme de la profession, et qui va sans doute pas tarder à pointer lui aussi à l’Isf avant d’aller défiler, balaské et béartisé à donfe, à l’Eglise Saint-Bernard les jours de manif télévisée et de publicité gratuite… Beuark, beuark et rebeuark…

lundi, 03 janvier 2011

Populisme...

Ah ! comme ça les emmerde, le populisme ! Que le peuple, ce peuple qui est le centre et la pierre d’angle de leur système, se laisse aller parfois à ne pas obtempérer à leurs oukases, à faire confiance à la Bête immonde, à ne point écouter le joli conte pour enfants de la démocratie chamallow, que le peuple ne soit pas le gentil caniche qui leur mange dans la main, mais qu’il pense parfois à rebours de la soupe tiédasse qu’on lui sert à satiété, voilà qui les défrise grave et les oblige même à inventer un mot : populisme, pour lequel je propose la définition suivante : le populisme, c’est quand le peuple pense pas comme les élites. Et, corollaire indispensable, la démocratie, c’est quand les élites tyrannisent le peuple.

Et, pour être pédagogue en plein, quelques exemples :

Quand le peuple (ou plutôt ses « représentants », car le peuple, on le consulte surtout pas sur ces sujets) vote contre la peine de mort, pour l’avortement ou, bientôt, pour le droit à l’adoption pour les parents homosexuels, c’est la démocratie magnifique et exemplaire.

Quand le peuple, le vrai cette fois, par referendum et malgré les campagnes médiatiques, se prononce contre Masstricht, quand il propulse Le Pen en challenger de la présidentielle ou quand il approuve à 70% des mesures sécuritaires qui ne viennent d’ailleurs jamais, c’est du populisme…

Ainsi va la démocratie au pays de Marianne V !

Et le jour où le populisme foutra un énorme coup de pied au cul de la démocratie, oui, je sais, c’est peut-être pas demain la veille, mais ça réveillera les alleluia et ça sera cassoulet pour tous…