mardi, 26 avril 2011
Oui-oui chez les Trotskards...
Petite dédicace spéciale à ce connard d’Edwy Plenel, qui, dans sa grande bonté, nous gratifie, chaque samedi, sur Francecul, de cinq minutes, probablement bien sonnantes et trébuchantes, de formatage à la con.
Et l’ex-trotskard qui a dirigé Le Monde pendant dix ans, qui dirige aujourd’hui Médiapart, et à qui sont grandes ouvertes toutes les tribunes, chroniques et éditoriaux pour qu’il puisse prolonger son sacerdoce de petit flic de la pensée, de cracher, ce samedi 23, sa bonne parole d’humanitariste hémiplégique à propos des étrangers si tant tellement stigmatisés que c’en est, Madame Bouzige, une honte absolue pour notre beau pays de la « promesse républicaine » (et oui !!) et des Droits de l’Homme… !
Et dans son élan sacré, Oui-oui (qui oublie en passant de nous dire à quels Mammmadous chéris il a offert les millions d’euros de son salaire mirobolant de patron du Monde) va attribuer la paternité de l’horreur raciste à Maurras qui, nous dit la canaille Plenel, a fondé « ontologiquement la différence et la hiérarchie entre les hommes »…
Alors, Ducon, si t’as cinq minutes, tu lis le texte ci-dessous (C’est dans Devant l’Allemagne éternelle, 1937), et si t’as des couilles, samedi prochain tu rectifies à l’antenne et tu pars trois ans repiquer du riz en Vendée, dans un camp de rééducation idéologique par le travail qui devrait te rappeler de bons souvenirs :
« Certes, il y a des races ! certes chacune a bien son âme et son génie, mais la race n’est point tout, il y a bien d’autres facteurs, et la constitution de la nature humaine, ses traits essentiels et ses grandes lignes, ne sont peut-être pas les plus négligeables de ces facteurs tant négligés. C’est une vraie merveille, en effet, de voir l’homme, à quelque type de nation qu’il appartienne, une fois qu’il est placé dans une certaine situation, réagir, uniformément, quel que soit le temps, le lieu, la couleur de la peau, et réaliser avec constance à peu près le même type de constitution sociale. »
Et des textes de ce genre, y en a à foison…
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mardi, 19 avril 2011
Piss-Maker...
Faut l’écouter, celui-là, l’Eric Mézil, minable petit trou du cul délocalisé d’Yvon Lambert en son palais d’Avignon, nous jurer ses grands dieux de l’impeccable orthodoxie et dévote catholicité de l’excrémentiel Serrano, artiste de mes deux, insolent de salon, pseudo-penseur de vernissage à cent-cinquante mille euros le cliché de verre de pisse argentique albumineuse et pelliculée…
Faut l’entendre le même esthète fluet nous comparer, sans s’étouffer de sa propre connerie, le dérisoire crucifix urineux de Serrano-la-Peste au Christ jaune de Gauguin ou aux Christ aux outrages de haute époque comme si toute la théologie se tenait dans sa braguette…
Faut l’admirer, le risque-tout, le rebelle, l’insoumis, s’affoler comme pucelle en chaleur et réclamer à hauts cris, le si bien nommé « commissaire », la protection bien bourgeoise et rapprochée de toutes les polices de France, mille vigiles, cent mille vigilants, gilets pare-balles en sautoir et forces de l’ordre sécuritaire démocratique en rangs serrés autour de son hôtel particulier, avec appel dolent aux délateurs…
Faut le voir hurler sa trouille bleue et sa vengeance de midinette et faire dans son froc de mignonne partouzarde sa haine d’infime ridicule petit moderne de la dernière pluie arc-bouté sans rire contre les ténèbres du Moyen-Age ressuscité…
Ah ! barbouiller d’esthétique merde l’immonde et outrageuse face de tant de canailles friquées, et exposer à bon entendeur salut leurs bulletins de salaire sur les cimaises de mon cul… !
Lou intouchable artiste…
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dimanche, 17 avril 2011
Le Monde d'Aram...
Tiens, elle m’avait échappée, la petite merdouille francintereuse Sophia Aram ! La voilà qui se fend,(12 avril) dans Le Monde, s’il vous plaît, journal de référence, d’un long article sur lequel son nègre préféré a dû suer sang et eau, pour se justifier d’avoir traité de « gros cons » les électeurs du FN.
Et z’avez vu le titre de son papier ? « L’insupportable banalisation médiatique du FN ». Eh ! oui, mademoiselle ne supporte pas, le FN lui donne des vapeurs, le monocle la fait rire jaune et le bleu marine l’indispose… Ah ! comme c’était mieux avant, dans le monde bien manichéen des bons et des méchants, du noir et du blanc, des ténèbres et de la lumière, quand le bon peuple obéissait bien gentiment aux oukases de la corporation médiatique et quand la petite Sophie pouvait encore croire que son nombril était le centre du monde…
Et la voilà qui panique, peucheurette, à s’en déchirer la djellaba, à en bouffer ses babouches, à s’en décolorer le henné, parce que tout à coup, on lui a dit, avec mille ménagements, qu’elle était peut-être allée un peu loin…
Comment, comment ! Vous allez quand même pas me dire que cinq millions d’électeurs FN en savent plus que moi, valent mieux que moi, sont plus beaux, plus moraux, plus intelligents que moi, moi, moi sophia aram, « viscéralement attachée aux valeurs républicaines et laïques »…
Dis-moi, sophia, j’ai le sentiment que tes viscères, ils ont guère d’autre attachement véritable que les milliers d’euros que tu touches, après avoir été cooptée dans je ne sais quels castings de copains et de coquins, pour cracher ton misérable petit ego quotidien dans un micro, en n’oubliant pas au passage, y a pas de petit profit, de faire la promo de ton spectacle nul à chier…
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mercredi, 13 avril 2011
A vot' bon coeur...
C’est pas compliqué, l’immigration : y a tant tellement de connards généreux dans notre beau pays, de pétitionnaires fous, chroniqueurs larmoyants, humanistes encartés, prosélytes magnanimes et métisseurs forcenés, tant tellement, disais-je, que le problème de l’immigration peut être solutionné en cinq minutes. On calcule vite fait et avec le minimum d’honnêteté requise le coût réel de l’immigration, une fois oubliés tous les contes bleus de nos éditorialistes préférés … On estime à cinq ans le temps nécessaire pour une stabilisation / intégration de l’immigré lambda, on décrète que pendant cinq ans il n’aura droit à aucune aide et qu’il ne sera donc admis à entrer en France que si la cohorte des généreux cités plus haut s’engage à prendre en charge ces cinq années de vaches maigres. Pour vous éviter de longs calculs fastidieux, les voici tout droits sortis de ma calculette : 2000 euros par mois ( je vous le fais à prix cassé…), qu’on arrondit à 20.000 euros par an, ce qui nous fait donc 100.000 euros pour cinq ans.
Dès que BHL aura versé 100.000 euros, on en fait entrer un, et pareil pour Arielle Dombasle, Pierre Bergé, Benoît Hamon, Harlem Désir, Sandrine Bonnaire, Guy Bedos, Pierre Perret, Laurent Joffrin, Jean Daniel, Yvon Lambert, Ségolène Royal… Tiens, ça en fait déjà 12, et des généreux à la con qui portent leur charité en écharpe et chialent depuis des lustres sur les charters, y en a des centaines de milliers qui vont donc pouvoir se ripoliner la bonne conscience, alléger leur taux d’Isf et manifester coram populo leur grandeur d’âme…
Et comme baromètre du désir d’immigration des Français, je suis sûre que ça vaut mille fois mieux que les sondages à la con d’Ipsos ou de la Sofres…
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mardi, 12 avril 2011
Aisselle...
Ils s’y sont mis à quatre, et rien que des pointures, du lourd, du gratin : Morin, Rocard, Sloterdijk, von Weizsäcker… Et tout ça pourquoi ? Pour nous faire le capital et urgentissime éloge de Stéphane Hessel en nobélisable indigné. Lisez ceci, c’est d’ la bonne (Le Monde du 5 avril) :
« Stéphane Hessel a toujours choisi le bon camp, il a toujours été dans le courant qui allait dans le sens de la paix. Résistant contre la barbarie nazie, diplomate à l'ONU participant à sa création lorsque s'inventaient les instruments de règlement des conflits, portant haut et fort le message humaniste et internationaliste... Il a représenté l'ONU pour oeuvrer au côté du comité qui élaboraitla Déclaration universelle des droits de l'homme, ambassadeur de son pays quand la décolonisation s'accomplissait, dirigeant des grands programmes internationaux de développement, défenseur infatigable et intraitable des démunis sociaux et des populations bafouées dans leurs droits légitimes. ».
On va garder de ce panégyrique exalté que le début et la fin. Début : « Stéphane Hessel a toujours choisi le bon camp »… Et mieux et plus encore que ce que le claironnent nos quatre mousquetaires ! In utero il a choisi le bon camp, Pépère, embryon déjà et déjà fœtus, le voilà en fils et petit-fils de banquier, ce qui facilite grandement la douceur des premiers vagissements et le passage du stade oral au stade anal, ou l’inverse... Et ceci nous renvoie illico aux dernières lignes de l’apologie des quatre zozos : « défenseur infatigable et intraitable des démunis sociaux ».
Hou la la ! Pour nous faire avaler la sincérité d’Hessel en « défenseur intraitable des démunis sociaux », va falloir nous en dire et nous en montrer un peu plus, au moins nous exhiber sa feuille d’impôt, sa pension de retraite de diplomate multicartes, l’état de son patrimoine, l’épaisseur de la moquette du salon, les tableaux de maître accrochés à ses cloisons, les grands crus et millésimes exceptionnels qui dorment dans sa cave et enfin le secrétaire Louis XV en marqueterie grand luxe sur lequel, avec son « Mont-Blanc » collector, il a rédigé ses indignations citoyennes à 100.000 exemplaires et les droits d’auteur qui vont avec… Et après, peut-être on le nobélisera , Pépère, et on lui laissera le temps d’écrire sa vraie véritable biographie qui lui permettra s’il a un minimum de lucidité et de courage, de corriger un brin l’hagiographie délirante des quatre lèche-bottes et de s’indigner un peu contre lui-même et les quelques saloperies que, forcément, il a dû commettre, comme tout le monde, en pensées, en paroles, par action et par omission…
Lou bliée...
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samedi, 09 avril 2011
Les grandes familles...
Ah ! ah ! scrogneugneu.. Pépé Trintignant est pas content du tout… Voilà que Bertrand Cantat qui eut un si noir désir à l’égard de Marie Trintignant qu’il l’envoya ad patres dans une chaude soirée d’août 2003 à Vilnius, voilà que Cantat, gentil chouchou des médiateux et des artisses, non seulement se baguenaude tranquille à l’air libre depuis bientôt quatre ans, mais remontre sa figure d’archange ténébreux et sa voix de cogneuse dans tous les bacs à disques des Virgin-Fnac et, pire encore, est invité d’honneur ou presque du prochain festival d’Avignon, sous la houlette d’un certain Wajdi à la noix qu’a trouvé personne d’autre pour réciter quatorze vers et demi du vieil Eschyle, et avec la bénédiction d’Archambault-Baudriller, les bouvard et pécuchet du spectacle vivant contemporain qui pompent nos impôts comme des sangsues faméliques et se réjouissent sans doute de la réintégration des crapules dans la grande famille des artistes à la con.
Je dois avouer que j’ai beaucoup de mal à partager l’intense douleur et la pathétique indignation de Papie Trintignolle, et ceci pour deux ou trois raisons :
-un, quand on se la pète artiste de gauche et engagé antifasciste de pellicule et tout le tremblement, on réagit pas comme le premier beauf venu et on respecte, le petit doigt sur la couture du linceul, la décision de justice qui fait qu’une ordure qui a purgé sa peine n’est plus une ordure mais un homme debout que l’on respecte comme de bien entendu…
-deux, quand on est le fils d’un riche industriel, qu’on a fait deux ou trois fois le Paris-Dakar, qu’on achète des hectares de Côtes-du-Rhône comme d’autres une demi-baguette en comptant la monnaie, et qu’on se finit les fins de mois en récitant de l’Apollinaire en boucle à 80 balais bien sonnés, on a même pas le droit d’être de gauche puisque la gauche, c’est bien connu, c’est que des pauvres ou des partageux…
-trois, quand on s’est félicité, paillettes et champagne, du succès de sa fille qui a tourné des rôles de déjantée, qui s’est fait faire quatre enfants par quatre pères différents, qui a affiché urbi et orbi ses convictions libertaires de petite boutonneuse gâtée, on vient pas chialer après lorsqu’elle se fait mettre une branlée d’enfer par le premier Cantat venu avec qui elle s’est embarquée et avec qui elle a partagé ses idées, son cul, sa dope et, in fine, sa violence..
-quatre, quand on bêle avec tous les badinterophiles de comptoir contre la si horrible peine de mort avilissante et qu’on applaudit des trois mains son abolition, faut pas vraiment s’étonner de voir la frimousse au Cantat en tête de gondole de toutes les scènes de France alors qu’elle devrait être dans la sciure au fond d’un panier…
Désolée, Jean-Louis, mais pour le travail de deuil, comme ils disent, faudra pas compter sur moi…
Lou... tre-tombe...
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vendredi, 08 avril 2011
Adieu vieux beau...
Ah ! laurent joffrin ! l’homme de Libé, désormais du Nouvel Obs, en attendant le prochain mercato et les ponts d’or qu’il engloutira derechef dans sa besace de bobo mal rasé, entre deux piges sur arte, trois chroniques sur rtl, quatre commandes pour télérama ou les inrock…
Ainsi va le monde des propagandistes associés, rois du formatage de tronche, monopolistes impénitents de la pensée unique et chantres de la bien-pensance de rigueur…
Et notre Lolo-bobo est pas content du tout de Robert Ménard, jadis pote et désormais persona non grata chez les joffrin (cf Nouvel obs du 1° avril) Tant que Robert Ménard s’ agitait à « Reporters sans frontières », pissait dans le sens des vents dominants, défendait « les journalistes en difficulté à l’étranger », se faisait le chevalier servant de Florence-Aubenas-otage-universelle, crachait sur les dictateurs zonnies et jouait au « sémaphore démocratique », Ménard était « précieux »…
Oui, mais voilà, Ménard est en train de passer avec armes et bagages chez les Le Pen, ou, comme dit Joffrin, « de Trotski à Maurras » (ce qui est pas pire, cher Lolo, que de passer de Rothschild à Perdriel…)… Et donc, sans réfléchir une minute à la validité de ses arguments, sans se dire non plus qu’il n’y a que les cons qui ne changent pas d’idées, sans se remettre en question une demi-seconde, Laurent Joffrin, du haut de sa fortune personnelle et de son magistère sidéral, déclare, (Audiard aidant, car Lolo n’est pas une vulgaire sophia aram) que Ménard est un con.
Dis, Joffrinou, si t’aurais des couilles, au lieu d’insulter à distance en faisant des jeux de mot avec ta plume en cul de poule, tu proposerais à Ménard (qui en plus, n’est-ce pas, n’est même pas un intellectuel !) un petit face à face à la loyale où il pourrait t’expliquer qu’il a pas rompu avec les intellectuels assis mais avec les intellectuels pourris qui n’ont jamais eu du peuple qu’une vision lointaine et toute théorique, et qui, quotidiennement, dans leurs coquetèles branchés, leurs vernissages chichiteux, leurs obscènes festivals de cannes et autres sauteries pour happy few, renient les idéaux de leurs 20 ans…
10:19 | Lien permanent | Commentaires (1)
mardi, 05 avril 2011
Lambert du décor...
En réplique au « Piss Christ » (c’est à dire un crucifix plongé dans un verre d’urine), œuvre d’un de ces « artistes » à la con dont le marché fait monter ou descendre la côte en fonction des cours de la bourse, de la hausse du prix du brut ou du copinage des Frac, à propos donc du « Piss Christ » exposé à la Galerie yvon lambert d’Avignon avec la bénédiction et les grasses subventions de l’Etat (Ministère de la Culture), de la Région Paca, du département de Vaucluse, de la ville d’Avignon, de la Sncf, de Lvmh et autres saloperies sponsorisantes, on aimerait savoir si, au nom de la sacro-sainte liberté de l’art et des artistes, yvon lambert soi-même, frédéric mitterrand, michel vauzelle, marie-josée roig, bernard arnault et guillaume pepy exposeraient aussi volontiers leur propre portrait maculé de merde ou accepteraient de se livrer à une « performance » qui ne déparerait pas la galerie de ducon-lambert où, par exemple, ils se compisseraient joyeusement les uns les autres, se prendraient à la hussarde pour l’édification des jeunes générations ou, mieux encore, restons artistiques à donfe, se magritteraient magistralement jusqu’à plus soif…
Mais ces connards qui sont pour toutes les transgressions se garderont bien, alors que ça n’est que leur toute petite personne qui est en jeu, de se mettre dans ces situations obscènes dont ils affublent si volontiers un crucifix…
Et pour ce qui est de Mémère Roig, mémairesse d’Avignon, qui termine ainsi sa laborieuse justification : « Les brasiers des autodafés nous le [le risque que le politique décide de ce qui doit être monté au public] rappellent à chaque détour d’une histoire contemporaine qui porte encore les stigmates de ses totalitarismes », on lui dira donc à Madame UMP que les pires totalitarismes de notre histoire contemporaine sont sans doute encore à venir lorsqu’on considère la hauteur morale et la lâcheté des élites qui nous gouvernent… Beuark !
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"Grosse connasse"...
Sophia Aram, sous-merde chroniqueuse à France-Inter, humoriste de bazar ahanant laborieusement ses quatre minutes quotidiennes de micro, l’œil rivé sur son papier où tout est bien écrit à la virgule près, sophia aram donc (on voit vraiment pas pourquoi on lui mettrait des majuscules !) traite (chronique du 23 mars, 8 h 55) les électeurs du Front National de « gros cons », illustrant cette magistrale analyse politique par l’interview spécialement sélectionnée d’un microcéphale de service éructant sa haine de l’étranger en même temps que son vote FN (comme si des bas de plafond, y en avait pas, et des bien plus costauds !) chez les fans d’Aubry, DSK, Sarko, Mélenchon ou Duflot…).
Il doit donc être possible, sans aucun problème, de traiter itou nicolas sarkozy qui nomma Jean-Luc Hees à la tête de radio-France, lequel nomma philippe val à la tête de France-inter, lequel nomma la petite aram comme chroniqueuse matutinale, de les traiter donc, ces quatre jean-foutre, de gros cons, sans encourir plus que ça les foudres d’une justice qui voit pas vraiment d’inconvénient à ce que des millions de citoyens et néanmoins électeurs du Front National se voient insultés (et avec leurs ronds !) par une petite fiente minuscule dont on se demande même pas par quelle entourloupette plus ou moins ragoutante elle se retrouve à postillonner chaque matin dans un micro…
Lou...
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vendredi, 01 avril 2011
Sidacon...
Et c’est reparti pour le Sidacon 2011 ! 48 heures non stop d’horreur télévisée, avec un troupeau de connards, Bergé en tête, portant en sautoir, comme une légion d’horreur de leur asservissement au politiquement correct, le petit ruban rouge sang manifestant qu’ils en sont eux aussi, sinon de cul, au moins de cœur, homophiles militants et gay-pridés jusqu’au trognon…
Et pendant ce temps, qu’importe que des millions d’enfants innocents crèvent du paludisme, de la lèpre, de malnutrition et des cent mille maladies tropicales dont nos flambants roses se contrefoutent dans les grandes largeurs…
Lou...
20:22 | Lien permanent | Commentaires (0)