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mardi, 28 mars 2006

DHL...

Danielle Hervieux-Léger, directrice de l'EHESS se lamentait, ces jours derniers, dans les gazettes ou sur les ondes, des dégâts survenus lors de l'occupation de son établissement... Et son accusation majeure se portait, devinez qui, devinez quoi, sur la police et le ministère de l'intérieur !

Les trois quarts de ses profs sont des sociologues gauchos qui ont accueilli les casseurs à bras ouverts et se sont réjouis que l'EHESS devienne enfin le quartier général des luttes ! D'autre part, si l'ombre de la pointe d'une rangers de CRS avait mordu d'un demi-centimètre le seuil de l'auguste école, madame la directrice aurait sans doute entonné la grande litanie soixante-huitarde du sanctuaire de la culture profané par les crs/ss et de l'inviolabilité due aux lieux saints...

Mais qu'importe, y a eu de la casse, c'est donc la faute à la police !

On aimerait donc lui dire, à la DHL que lorsque on remettra tout en ordre et qu'on refera la déco de son bureau, elle a qu'à choisir une moquette un peu moins confortable et un bureau un peu plus modeste pour y carrer ses fesses, et surtout, surtout que, pour une fois que ses armées de sociologues (qui, entre parenthèses, n'ont rien vu venir !) sont confrontées au réel, elle aurait tort de se plaindre. Dommage, quand même, qu'ils aient pas pris quelques gnons pour que le réel prenne enfin à leurs yeux la consistance d'une réalité réellement réelle et que leurs prochaines enquêtes sur les banlieues nous apprennent désormais autre chose que la langue de bois du politiquement correct quotidien...

Lou bien pendue...

Commentaires

Ce fut pour l'EHESS un cas pratique inespéré ! Merci les anarcho-gauchistes !

Écrit par : Artemus | mardi, 28 mars 2006

Mais comment fais-tu, Artemus, pour être déjà là ?

Écrit par : Lou | mardi, 28 mars 2006

Le hasard ! Et vous pour répondre aussi vite ?

Écrit par : Artemus | mardi, 28 mars 2006

Tous les sociologues ne sont pas gauchos (l'excellent Michel Michel de l'AF) mais allez savoir pourquoi ce sont toujours ceux d'extrême-gauche qui obtiennent facilement la parole.

Écrit par : Capulet | mardi, 28 mars 2006

Le hasard aussi sans doute... ou la Providence...
Tous les sociologues ne sont pas gauchos (et Michel² moins que personne, mais tous ceux qui tiennent un micro le sont... hélas, ou, sinon gauchos, au moins suffisamment pleutres et opportunistes pour suivre les vents dominants...

Écrit par : Lou | mardi, 28 mars 2006

Ceci n'est sans doute pas le sujet d'aujourd'hui mais...
Selon Rice la démocratie apparaît lorsqu'il n'y a plus de principes "sacrés" sur lesquels il est interdit de débattre
Pour commencer il me semble à moi que, la démocratie n'apparaît pas elle est imposée par la force, douce ou violente, en cela elle ne se différencie pas des systèmes totalitaires, dictatoriaux, ou autres.
Ensuite, les "principes sacrés", si, il y en a quelques un sur lesquels il est interdit de débattre, si nous voulons être les maîtres chez nous, si nous voulons parler d'unité, de discipline, de force, de grandeur, la démocratie nous l'interdit.
Nous pensons que l'organisation du monde n'est pas parfaite, nous pouvons essayer de la modifier, mais il nous est interdit de nous réclamer de certains principes. Or il se trouve que les règles qu'on nous impose sont celles qui perpétuent l'impuissance ou que les principes auxquels on nous interdit de songer sont ceux qui détruiraient le désordre.
Nous sommes libres, libres de nous adonner à tous les vices, drogue, porno, pédérastie, on nous y incite même, lors d'une emission de télévision on a vu et entendu un sous ministre de la santé, médecin, nous dire qu'une fumette n'avait jamais fait de mal a personne, nous sommes libres aussi de dire qu'il faudrait punir sévèrement le trafic et les incitateurs, de le dire seulement, bref nous sommes libres pourvu que nous ne prenions jamais des mesures qui puissent changer tout cela.
En conséquence les uns sont dans la ligne de l'esprit démocratique et ils ont le droit d'être au pouvoir, les autres n'ont qu'a la fermer.
Je fais partie de ces autres.

Écrit par : lustucru | mardi, 28 mars 2006

Lustucru, je te reçois cinq sur cinq... Je fais aussi partie de ces autres... Et le grand scandale de la démocratie c'est qu'elle a même pas les c..... d'être une vraie dictature... son pouvoir absolu, cent fois plus absolu que n'importe quelle tyrannie... se présente comme un édredon de ouate médiatique, un oreiller de moraline idéologique sucrée, un dunlopilo de générosité politicienne frelatée qui absorbe tout, digère tout et endort tout...
Mais les blonds (ou bruns) combattants qui dorment sur la dure vont peut-être finir par se réveiller...

Écrit par : Lou | mardi, 28 mars 2006

Eh voui, Lou, la force de la démocratie par rapport à la dictature, c'est laisser la possibilité à tous les médiocres qui la vénèrent l'illusion d'un espace de liberté pour pouvoir critiquer tout et n'importe quoi et faire partager leurs "pensées", leurs affects aux autres (les manifs cathartiques, la télé réalité, la musique de "djeunes", etc...).

Bref, comme le dit Ortega y Gasset dans "La révolte des masses", en démocratie, les médiocres fiers de leur médiocrité veulent faire partager celle-ci à tous.

Écrit par : Rice | mardi, 28 mars 2006

Heu...ceci dit, malgré tout qu'on raconte à ce sujet, nous ne sommes pas en démocratie mais en république, qui est un régime intermédiaire entre la démocratie et la tyrannie...
La vraie démocratie, ce serait le referendum permanent...
La grande honte, c'est de dire : nous sommes en démocratie, la preuve on vote, alors que ce sont les députés qui votent les lois. C'est la porte ouverte à toutes les conneries puisqu'on y est pas. Un état démocratique est un état minuscule, dans lequel tout le monde à son mot à dire sur tout. Nous sommes en République française . Pourquoi est-ce que tout le monde tape comme ça sur la démocratie alors que notre régime n'est pas la démocratie ? C'est fou !

Écrit par : Polem | mercredi, 29 mars 2006

Polem, la France est une démocratie mais représentative. Il n'existe aucun régime où les citoyens votent directement les lois (même en Suisse les votations sont limitées).
Généralement les démocraties sont bicamérales avec quelques exceptions (une seule assemblée en Suède par exemple). Le référendum systématique n'est pas une solution non plus, considéré comme le pire des régimes par Maurras qui n'y voit qu'un plébiscite permanent (n'oublions pas que le Charles est né sous Napoléon III).
Mais comme le rappelle la Lou dans une de ses notes citant Rousseau, la démocratie est faite pour un peuple de dieux.

Écrit par : Capulet | mercredi, 29 mars 2006

La force de la démocratie c'est surtout sa mauvaise foi sa bassesse et son hypocrisie, quant aux médiocres, en démocratie, c'est normal qu'ils gagnent puisqu'ils sont les plus nombreux.
La république un régime intermédiaire, elle est bien bonne celle-là.

Écrit par : lustucru | mercredi, 29 mars 2006

Heureusement, je sais que la France "est" une démocratie représentative... mais vous remarquerez que si elle se définissait ainsi, elle s'appelerait démocratie française, il n'y aurait pas les fameux trois pouvoirs, etc. La République, de par la présence d'un éxécutif, dont tous les membres ne sont pas élus d'ailleurs, a des rapports étroits avec la tyrannie, et c'est d'ailleurs cela qui lui permet d'agir... Ce qui est curieux c'est de prétendre la démocratie, de dire "oui oui nous sommes en démocratie", ou à l'inverse "tout ce trouble, c'est la faute de la démocratie". Bordel, allez sur le site de la présidence, vous ne verrez nulle part marqué démocratie, ou alors en tout petit. Le régime, c'est la république... La démocratie, c'est le rêve (ou le cauchemar, ça depend comment on voit)

[Lou, dans une autre note tu décrivais ton régime idéal, et je me suis dit que ça ressemblait un "fédéralisme", me suis-je trompé ?]

Écrit par : Polem | mercredi, 29 mars 2006

Polem, vous commettez de graves confusions entre démocratie et république. Prenez un bon bouquin de droit constitutionnel et d'histoire des idées politiques pour connaître la différence.

Écrit par : Artemus | mercredi, 29 mars 2006

Désolé pour le "bor...". Lustucru, vous m'avez tout l'air de celui qui vient de se faire la réflexion "Waouh, je suis passé de l'autre côté du miroir, tous les autres sont des médiocres".
Quelle tempérance, vraiment !

Écrit par : Polem | mercredi, 29 mars 2006

Artemus, je m'étonne mais je vais suivre votre conseil.

Écrit par : Polem | mercredi, 29 mars 2006

Le concept de "république" a beaucoup évolué au cours des siècles. La République de Cicéron n'a pas grand chose à voir avec notre République française. Aussi, opposer "république" et "démocratie", c'est nier l'exception française.
- La République désigne l'objet de la vie en commun, c'est-à-dire la société politique de l'intérêt général.
- La Démocratie désigne le type de gouvernement de cette société politique de l'intérêt général, à savoir le gouvernement par le plus grand nombre et le contrôle du pouvoir par le nombre. Ainsi Rousseau a montré que seul le gouvernement du plus grand nombre pouvait conduire à l'instauration de la République.

Comme souvent (désolé Lou), la Révolution de 1789 joue un rôle fondateur car elle est inséparable du mot "République" : en 1789, la souveraineté nationale est substituée à la souveraineté monarchique et en 1792, c'est la chute de la royauté et la proclamation de la République. Depuis cette époque, le mot "République" a conservé un effet émotionnel intense et un contenu institutionnel faible (ainsi la République peut-être associée à la monarchie constitutionnelle (Constant dit que "le régime de Juillet est la meilleure des républiques"), à la Terreur, au césarisme. Ainsi, la République tient sa contradiction de cette naissance ambigüe. En France, la forme du régime n'a jamais suffit à définir la "République". Pour le dire autrement, la République représente en France une expérience originale car elle est fondée sur des principes abstraits comme la souveraineté nationale ou l'aspiration à l'égalité citoyenne. Il aparaît que la République est la seule voie d'accès à la démocratie politique et c'est ce qui constitue l'exception française.
J'espère avoir été suffisamment intelligible.

Écrit par : Artemus | mercredi, 29 mars 2006

La démocratie est la loi de la majorité. Et ce que regrette Lou, c'est que l'on demande à la majorité de s'exprimer surtout sur ce qui ne la concerne pas.
Si on revient au sujet initial, Lou reproche à une directrice d'un organisme d'état de mettre la responsabilité de la casse qui y a eu lieu, non sur ses auteurs mais sur les CRS qui ne les ont pas empêchés alors qu'ils n'avaient pratiquement aucun moyen de le faire.
Cette "responsable" aurait pu à la rigueur, faire ce reproche au gouvernement ou aux politiques, mais elle n'était pas assez folle pour couper la branche sur laquelle elle était assise.
Le bilan de tout ça c'est que les casseurs sont innocents.

Écrit par : Capulet | mercredi, 29 mars 2006

Que les médiocres en démocratie soient les plus nombreux, ce n'est pas moi qui le dis, c'est les urnes, quatre-vingt-deux pour cent pour monsieur Chirac, monsieur Chirac fait de la politique depuis quarante ans ce n'est donc pas un inconnu pour les électeurs, à quoi s'attendaient-ils les électeurs en votants pour monsieur Chirac, a la semaine de vingt-cinq heures, au trimestre de congés payés, même pas, ils défendaient la démocratie ça non plus ce n'est pas moi qui le dis nous avons vu les meetings, entendus les harangues, lu les calicots, aujourd'hui ils ne veulent pas du cpe, ils veulent "changer la vie" dixit madame Buffet, ils sont combien comme ça, soixante-sept pour cent disent les gazettes, quand on ne veut pas du cpe, quand on ne veut pas des délocalisations, quand on ne veut pas de l'insécurité et qu'on a un peu de jugeotes et bien on s'astreint à l'étude au travail à la discipline en sachant qu'on a rien sans rien et on ne se laisse pas prendre aux nièmes promesses des beaux parleurs de la politique.
La constatation de ces évidences n’a pas l'heur de plaire à Polem,
Qui volant au secours de l'Aurea mediocritas m’accuse d'être passé de l'autre côté du miroir, néanmoins, de son propre aveu, une circonstance atténuante en ma faveur, je serais intempérant, dis plus simplement, excessif.
Et peut-être, effectivement, ai-je excédé mes aptitudes en parlant de démocratie et de médiocratie, pardon, de médiocrité.

Écrit par : lustucru | mercredi, 29 mars 2006

Artemus, vous avez parfaitement raison : j'en était resté à la Republique de Cicéron, l'évolution historique du concept m'a échappé.
Capulet, vous allez rire un peu, Mme la directrice parlait lors de son interview au Monde de "personnes mal socialisées" !

Écrit par : Polem | mercredi, 29 mars 2006

Je sens comme un frémissement d'animosité dans les derniers commentaires... On se calme, peace and love, aimez-vous les uns les autres, l'union fait la force, tous ensemble, tous ensemble, ouais, ouais...
Bon, merci.
Et pour le débat démocratie/république, va falloir que je bosse un brin pour m'y insérer avec profit...
A plus tard.

Écrit par : Lou | mercredi, 29 mars 2006

"Changer la vie" en voilà un slogan bien totalitaire. Si je décide de changer ma vie, ce n'est pas à une instance politique de me l'imposer.
La plupart des hommes et des femmes n'ont pas l'intention de changer leurs vies à part quelques détails ici ou là. Ils veulent continuer à aimer, à faire des enfants, à vivre sereinement. Pourquoi decraient-ils renoncer à cela? Pour aller faire constamment la fête comme veut nous l'imposer Jack Lang et son héritier Delanoë? Le nihilisme festif n'est pas l'avenir de l'humanité.

Écrit par : Capulet | mercredi, 29 mars 2006

La démocratie est la dictature de la majorité. Sois libre mais comme l'imposera la majorité, elle-même supplantée par une caste d'élus à la limite des dieux : Les politiciens.
La Révolution c'est que tous ces gens disparaissent. A moins de considérer comme les marxistes que l'homme vaut moins qu'un chien.

Écrit par : Ash | mercredi, 29 mars 2006

"Que Tu sois immensément riche ou pauvre comme Job, l'Etat bourgeois T'en laisse le souci, il lui importe seulement que Tu "penses bien". C'est ce qu'il exige de Toi et ce qu'il tient pour sa tâche la plus urgente: obtenir que tous "pensent bien". Il Te protégera donc des "mauvaises influences", en tenant d'une part en respect les gens "mal intentionnés" et leur discours provocateurs qu'il réduit au silence par la censure, les lois sur la presse et la prison, en nommant d'autre part censeurs des "bien-pensants" et en laissant "bien intentionnés" et "bien pensants" exercer de toutes les manières possibles leur influence morale sur Toi. Car une fois qu'il a su te rendre sourd aux mauvaises influences, il n'en met que plus d'empressement à T'ouvrir les oreilles aux bonnes." Max Stirner anarchiste "L'unique et sa propriété"

Écrit par : Capulet | mercredi, 29 mars 2006

Un arnarchiste libéral (individualiste), je précise ^^
A ne pas confondre avec les crétins au drapeau noir dans les manifs.

Écrit par : Ash | mercredi, 29 mars 2006

J'aurais effectivement du préciser que le texte datait du milieu du 19ème. Quant aux crétins au drapeau noir (je pense que c'est à la CNT à qui tu fais allusion), sont-ils seulement anarchistes? Savent-ils ce qu'est la liberté?
En tout cas la phrase de Stirner donne une définition très précise de l'état dans nos démocraties modernes. Comme quoi rien n'a vraiment changé.

Écrit par : Capulet | jeudi, 30 mars 2006

Stirner est d'ailleurs un brin extrémiste comparément aux autres anarchistes individualistes. Je crois que sa philosophie est fondamentalement de l'égoisme, en adéquation avec la loi du plus fort, quand elle se trouve être à son avantage. Il ne récuse pas seulement les lois mais aussi le Droit. Mais il touche des points intéressants c'est indéniable

Pour les crétins en question, ce sont sans doute des anarchistes mais de gauche, comprenez anarcho-collectivistes. Leur outil pour cet anarchisme n'est cette-fois pas le capitalisme mais le communisme (relire Proudhon par exemple). Ils n'admettent pas le principe de propriété car tout ce qui est fait par l'homme appartient par conséquent à tous les autres. Mais ils reconnaissent le principe de "posession" mais c'est vraiment ambigu d'autant que pour eux notre corps ne nous appartients même pas. Ca m'a tout l'air d'une supercherie. Ils ont aussi un autre paradoxe qui est finalement d'arriver à une société anarchiste (non-état) à travers l'action coercitive... d'un Etat dévoué, ayant basculé du côté de leurs idées. L'anarchisme de gauche s'impose aux autres, alors que l'anarchisme individualiste (anarcho-capitalisme) n'en a rien faire que des gens soient communistes du moment qu'ils font leur petite société auto-gérée dans leur coin. L'inverse n'est pas vrai. Il suffit d'un débat entre les deux pour constater de quels côtés vont les insultes et les menaces d'aggressions physiques.

Allez zou une citation pour faire bon genre :

L'œuvre de l'anarchiste est avant tout une œuvre de critique. L'anarchiste va, semant la révolte contre ce qui opprime, entrave, s'oppose à la libre expansion de l'être individuel. Il convient d'abord de débarrasser les cerveaux des idées préconçues, de mettre en liberté les tempéraments enchaînés par la crainte, de susciter des mentalités affranchies du qu'en dira-t-on et des conventions sociales ; c'est ensuite que l'anarchiste poussera qui veut faire route avec lui à se rebeller pratiquement contre le déterminisme du milieu social, à s'affirmer individuellement, à sculpter sa statue intérieure, à se rendre, autant que possible indépendant de l'environnement moral, intellectuel, économique. Il pressera l'ignorant de s'instruire, le nonchalant de réagir, le faible de devenir fort, le courbé de se redresser. Il poussera les mals doués et les moins aptes à tirer d'eux-mêmes toutes les ressources possibles et non à se reposer sur autrui. - Emile Armand

Vous trouvez que les Nanarchistes à la télé y correspondent ? Moi pas d'un poil.

Écrit par : Ash | jeudi, 30 mars 2006

Pour la différence entre possession et propriété (établie chez Proudhon), cela signifie que l'on considère la propriété comme un usufruit (reprenant une idée émise par Rousseau dans le "Discours sur l'origine des inégalités parmi les hommes", ce qui n'empêche pas Proudhon d'agoniser le Jean-Jacques d'injures).
Pour Stirner, il était au départ....hégélien! Son bouquin quand il est sorti, a sacrément surpris et remué les chaumières allemandes.

Écrit par : Capulet | jeudi, 30 mars 2006

J'ai écris comme un cochon auparavant, quelle horreur.
Je m'en excuse :(

Écrit par : Ash | jeudi, 30 mars 2006

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