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dimanche, 09 avril 2006

Front popu, front cocu...

Cinquante ans que les jospin, hollande, lang, royal, et autres excellences socialistes... cinquante ans que tous les médias, les manuels scolaires, les historiens à la botte... cinquante ans que tous les théâtreux, les cultureux, les brechtiens, les vitéziens... etc... etc... nous bassinent avec la gauche de 36 et ses immenses acquis sociaux, la 4 cv, les bains de mer, bref, les congés payés... Ce qu'on avait oublié de dire et qu'on oublie toujours aujourd'hui et qui ne fera jamais l'objet d'aucun scoop, c'est ceci :

"Les congés payés, qui ont tant fait pour la réputation du front populaire et de la gauche en général, n'étaient pas à son programme. La plate-forme d'action commune communistes-socialistes du 23 septembre 1935 n'en parlait pas, non plus que le programme du rassemblement populaire du 11 janvier 1936, alors qu'ils étaient monnaie courante dans l'Allemagne et l'Autriche-Hongrie impériales, au Danemark et en Norvège, en Finlande et en Italie, en Pologne et en Tchécoslovaquie, en Espagne et au Mexique, au Brésil et au Pérou ! Le parti communiste lui-même, né au lendemain de la Première Guerre mondiale, ne voyait dans ces mesures sociales qu'une manifestation de la "chicanerie bourgeoise", destinée à désarmer la combativité ouvrière et à spolier les travailleurs d'une partie de leur salaire..."

Merci à Jacques Marseille (Du bon usage de la guerre civile en France, Perrin, 2006) d'avoir exhumé cela.

Lou marseillaise...

 

Commentaires

Une vérité de plus, et vous pourriez même ajouter les allocations familiales.

Écrit par : lustucru | dimanche, 09 avril 2006

"Dès 1803, Jean-Baptiste Say déplorait le travail répétitif. Il pensait qu'il fallait donner plus d'initiative aux ouvriers, et se faisait pour cela l'apôtre de l'instruction primaire obligatoire, loi défendue par les libéraux et combattue par les marxistes avec Jules Guesde, qui y voyait une façon pour les capitalistes de se procurer une main d'œuvre plus rentable!
La loi du 28 mars 1841 interdisant le travail des enfants de moins de 8 ans et limitant celui des enfants de 8 à 12 ans fut introduite à la Chambre par des libéraux. Le rapporteur était Charles Dupin.
Le 17 novembre 1849, à l'Assemblée, Frédéric Bastiat, dans un discours très documenté, et très émouvant, soutint un amendement destiné à autoriser les syndicats ouvriers et la grève, la grève sans violence bien entendu. Il ne fut pas entendu.
Il faudra attendre la loi de 1864, pour que soit reconnu le droit de grève. Cette loi a été promulguée par Napoléon III sous l'influence du libéral Emile Ollivier, premier ministre et ministre de la justice. Il faudra attendre vingt ans de plus pour que devienne légale l'existence des syndicats. Une loi avait été déposée en ce sens dès 1876 par le député libéral Edouard Lockroy. Mais elle fut combattue pendant 8 ans par les socialistes. Poussée par le ministre de l'intérieur libéral Waldeck Rousseau, elle devint la loi du 21 mars 1884. Mais quand en 1900 et 1901 Waldeck Rousseau, devenu président du conseil, tenta de l'étendre en accordant la personnalité civile aux unions de syndicats, il se heurta à l'opposition des socialistes.
Le 2 juillet 1906, le député libéral Gaston Doumergue déposa un projet de loi autorisant la création de conventions collectives. Le congrès de la CGT prit parti contre cette proposition.
A partir de 1908, c'est encore sous l'impulsion des libéraux que furent créées les premières caisses d'épargne. Comme elles étaient privées, elles ne rencontrèrent que sarcasmes de la part des socialistes.
"
()

"Mais comme on ne peut convaincre, comme on ne peut diriger, sans un substratum moral minimum, les intellectuels de gauche et les hommes de pouvoir, qui ont les uns et les autres une mentalité de prédateurs, se sont accaparés la morale comme ils accaparent tout le reste. Leur méthode est simple : il leur suffit de faire passer pour égoïste tout individu qui ose penser tout seul, pour exploiteur tout individu qui ose entreprendre, et pour ennemi du peuple tout individu qui met ses intérêts avant ceux de l'Etat. Ils prétendent qu'eux seuls possèdent les vertus d'altruisme et de solidarité.
Tant que vous n'aurez pas assimilé cela, vous serez à la merci des intellectuels de gauche, et vous serez à la merci des hommes de pouvoir de toutes tendances. Si nous, les libéraux, nous voulons sortir du ghetto où nous sommes, il nous faut nous battre sur le terrain de la morale, il nous faut récupérer la morale qu'on nous a volée. Les libéraux adorent les raisonnements économiques et dédaignent le combat politique. Mais les raisonnements ennuient la plupart des gens. En revanche beaucoup de gens sont prêts à se battre, voire à mourir, pour des principes moraux. Ces principes sont universels. Ce sont les quatre principes du décalogue relatifs à la vie en société : tu ne tueras point, tu ne voleras point, tu ne mentiras point, tu n'envieras point ce qui appartient à ton prochain, ainsi que le principe ajouté par le nouveau testament : "aimez et respectez votre prochain individu par individu" - je le formule à ma manière, mais j'en respecte le sens . Or le communisme tue, les gouvernements volent et mentent, les socialistes font reposer toute leur action sur l'envie, et tous ces gens confondent l'amour du prochain avec les faveurs accordées à tel ou tel groupe d'électeurs.
J'espère vous avoir démontré que les vrais libéraux, eux, respectent les principes moraux de notre civilisation chrétienne.
"

Source :
Oui, le libéralisme est social
Jacques de Guénin, le 14 septembre 2005

Conférence délivrée le 10 septembre 2005 aux Assises Libérales de Bretagne.

La messe est dite !

Écrit par : Ash | dimanche, 09 avril 2006

Cela me fait penser qu'en 1848 à une réunion à Marseille, quelqu'un s'est levé en proposant que chaque travail bénéficie d'un minimum de rétribution; on le voit c'était l'idée du smig avant l'heure.
Un barbu s'est levé et a dit que c'était bien beau mais que sion appliquait cette mesure, cela risquait d'éloigner les ouvriers de la révolution. Le barbu c'était Marx!
Néanmoins cela ne nous permet pas de conclure que le libéralisme est social car actuellement ce n'est pas le cas.

Écrit par : Capulet | dimanche, 09 avril 2006

Toujours dans la lignée des heures de "gloires" de la gauche et notamment du front populaire : c'est une chambre de gauche (à majorité composée de socialistes et de communistes) qui a voté les pleins pouvoirs à Pétain.

Les mêmes qui, quelques années aupravant, ne voyaient pas en Hitler, un ennemi de notre démocratie.

La gauche, toujours lucide sur les sujets brûlants...

Écrit par : Rice | lundi, 10 avril 2006

Ce fut effectivement la même chambre que celle de 1936 qui a voté les pleins pouvoirs à Pétain mais les cocos ont voté contre ce que n'ont pas fait la plupart des radicaux (à l'inverse de Paul-Boncour lucide pour une fois) et des socialistes. La droite elle aussi vota les pleins pouvoirs.
Tu peux tout reprocher aux cocos sauf d'avoir voté les pleins pouvoirs à Pétain.

Écrit par : Capulet | lundi, 10 avril 2006

Êtes-vous sûrs de tout ce que vous dites ?.
Sur les 669 députés et sénateurs présents, 569 votent "pour" les pleins pouvoirs (la droite, la majorité des socialistes et des radicaux), 20 s'abstiennent et 80 votent contre (parmi eux 36 socialistes dont 29 députés et 13 radicaux). 170 parlementaires SFIO ont ainsi voté "pour". L'opinion des parlementaires socialistes est alors, hélas, le reflet de l'opinion générale du pays.

L'historien Olivier WIEVORKA souligne que "affirmer que "la Chambre du Front populaire" a voté les pleins pouvoirs représente un lieu commun inexact. D'un strict point de vue statistique, cette thèse est dans une large mesure infondée : le Sénat (hostile au Front populaire) a largement contribué à la prise du pouvoir pétainiste et la grande majorité des parlementaires communistes, invalidés depuis janvier 1940, n'ont pas pris part au vote. Du point de vue idéologique, cette thèse suggère que la gauche a constitué la matrice de l'Etat français. Vision curieuse puisque l'on sait que le régime vichyste s'est précisément construit en réaction aux valeurs républicaines et progressistes. Les affinités électives entre l'idéologie pétainiste et la gauche française apparaissent pour le moins ténues, même si quelques hommes, socialistes et communistes, ont pu adhérer aux promesses de l'ordre nouveau. Le clivage opposant les "80" à leurs 570 collègues n'a pas, je crois, structuré le champ politique entre 1940 et 1944. Les parlementaires ayant voté "non" ne se sont pas nécessairement engagés dans la Résistance ; et des élus ayant opté pour le "oui" ont pu en revanche basculer dans la dissidence."
je ne suis pas l'auteur de ce texte, mais je crois qu'il est plus précis que vos commentaires.

Écrit par : lustocru | lundi, 10 avril 2006

On trouve à Vichy de nombreuses personnes de gauche (Déat, Doriot). Laval et Pétain ne viennent pas non plus de l'extrême-droite comme on a voulu le faire croire pâr la suite pour dédouaner la gauche française. Il en va de même pour la résistance éparse où les monarchistes notamment jouèrent pleinemement leur rôle.
Par ailleurs pour être constitutionnel, le vote des pleins pouvoirs devait être confirmé par un référendum, référedum qui comme vous le savez, n' a jamais eu lieu.

Écrit par : Capulet | lundi, 10 avril 2006

Référendum ?...
Sur un plan formel, les choses se passent dans la légalité, le 16 juin le président de la République, Albert Lebrun, est là, c’est à lui que Reynaud remet sa démission, et c’est lui qui nomme aussitôt Pétain.
Ensuite,les Chambres doivent être réunies, au moins celle des députés, pour approuver cette nomination, ce qui est fait.
Le mandat reçu par Petain est de préparer une constitution. C’est à cet effet qu’il a reçu les pleins pouvoirs, le mandat ne prévoyait pas de calendrier, les députés ne l’ignoraient pas au moment du vote, donc vu les circonstances je crois qu'il est difficile de faire des reproche à Pétain sur ce point là.

Écrit par : lustucru | lundi, 10 avril 2006

Wieworka est un dialecticien du PS dont le seul but est de dégager ce qui pourrait être perçu aujourd'hui comme la responsabilité politique de son parti. Il embrouille volontairement le plan juridique et le plan historique.

Au plan juridique, les apparences sont sauvées, c'est ce que voulaient les parlementaires, socialistes y compris, et le gouvernement français, au milieu de la débâcle en juillet 1940, remettre leur pouvoir entre les mains du seul homme providentiel disponible, au-dessus des partis, Pétain, dans l'urgence et sans préjuger de son programme politique alors inexistant.

La loi, lorsque les circonstances historiques l'exigent, on l'adapte, le droit est toujours à la remorque de l'Histoire, c'est un instrument.
Ainsi, la constitution de 58 a été violée plusieurs fois par ses propres promoteurs ! Aujourd'hui, des grévistes illégaux (le CPE ne concerne en rien les fonctionnaires et le droit de grève s'exerce à l'intérieur d'un cadre juridique précis qui exige que la grève soit motivée) obtiennent l'abrogation d'une loi votée dans le respect des formes par le Parlement sans que le PS trouve à redire à ces illégalités.

Quant aux parlementaires communistes, on ne rappellera jamais assez qu'ils ont toujours obéi à des ordres de l'étranger transmis au-dessus des frontières par des gouvernements criminels installés à Moscou.

Écrit par : Lapinos | lundi, 10 avril 2006

"Néanmoins cela ne nous permet pas de conclure que le libéralisme est social car actuellement ce n'est pas le cas."

Si la France était libéral, ça se saurait ;)

Écrit par : Ash | lundi, 10 avril 2006

Je suis d'accord avec vous Lapinos au sujet de WIEVORKA

Écrit par : lustucru | lundi, 10 avril 2006

Et moi encore plus particulièrement sur sa dernière phrase.

Écrit par : Ash | lundi, 10 avril 2006

Hou la la quel retard... Complètement d'accord sur l'honnêteté de ces pseudos-historiens qui squattent ondes et journaux.
Quelques précisions sur la "prise de pouvoir" de Philippe Pétain :
-1/ Les 54 députés communistes n'étaient pas là car ils avaient été déchus de leur mandat le 20 janvier 1940, à l'initiative du cabinet Daladier, pour solidarité avec le pacte germano-soviétique !
-2/ Le 9 juillet 40, la veille donc du 10 et des "pleins pouvoirs à Pétain, la Chambre et le sénat ont voté séparément une "résolution tendant à réviser la constitution", ce qui, dans les circonstances du moment, voulait clairement dire : attribution des pleins pouvoirs. Résultat du vote : -Chambre : 395 voix pour, 3 voix contre. -Sénat : 229 voix pour, 1 voix contre !
-3/ Quant au vote du 10 juillet ("L'assemblée nationale donne tous pouvoirs au gouvernement de la république, sous l'autorité et la signature du Maréchal Pétain, à l'effet de promulguer par un ou plusieurs actes une nouvelle constitution de l'Etat français..."), le résultat du vote a été le suvant : 569 pour, 80 contre. Parmi les "contre", ceux que les pseudos-historiens d'aujourd'hui appellent les "premiers résistants", les "hommes de courage et de droiture", la quasi-totalité ne s'est opposée que pour des questions de pure forme et par opposition et défiance à l'égard de Laval. [Un autre jour, je donnerai un certain nombre de déclarations sympathiques des ténors de la gauche à l'égard de Pétain, à ce moment-là...].
-4/ N'oublions pas non plus qu'aussitôt ce vote acquis, 32 gouvernements étrangers, dont le Vatican, les Etats-Unis et l'URSS, reconnurent l'Etat français.

Écrit par : Lou | lundi, 10 avril 2006

Et bien voila, nous repartons tous avec nos raves dans nos paniers.

Écrit par : lustucru | lundi, 10 avril 2006

Deux mots maintenant sur le libéralisme social... Les vrais "sociaux", ce furent les chrétiens sociaux de la droite sociale, le plus souvent monarchistes : les villeneuve de bargemont, de gailhard-bancel, le play, louis veuillot, albert de mun, la tour du pin... etc... qui firent voter une grande partie des lois sociales dont la gauche d'aujourd'hui s'enorgueillit et s'imagine avoir le monopole...

Écrit par : Lou | lundi, 10 avril 2006

Si tu fais la synthèse de tous les commentaires que ta note a généré, Lou, et bien tu ne dois pas être loin de la vérité historique.
Au fait j'ai oublié de la poster ou tu as censuré ma réponse sur le fils Cheysson?

Écrit par : Capulet | mardi, 11 avril 2006

Moi censurer ? Quelle horreur ! T'as dû oublier, cher capulet... Wait and see...
Quant à ce vieux Maréchal et à la gauche "sociale", on voit qu'il et qu'elle donnent encore du grain à moudre... Felix qui potuit rerum cognoscere causas...

Écrit par : Lou | mardi, 11 avril 2006

Petit florilège socialo-radicalo-maréchaliste promis :
-Léon Blum, 3 mars 39 : (à propos de la désignation de Pétain comme ambassadeur à Madrid) "Le plus noble, le plus humain de nos chefs militaires n'est pas à sa place auprès du Général Franco." Par ailleurs, le 16 juin 40, lorsque le Pdt de la République charge Pétain de constituer le gouvernement, deux ministres socialistes y entrent avec l'acquiescement de Léon Blum.
-Paul Reynaud, 21 mai 1940 :"Dans le malheur de la patrie, nous avons la fierté de penser que deux de ses enfants, qui auraient eu le droit de se reposer sur leur gloire, sont venus se mettre en cette heure tragique au service du pays." (Il s'agit de Weygand et Pétain).
-Edouard Herriot, 9 juillet 1940 :"Autour de M. le Maréchal Pétain, dans la vénération que son nom inspire à tous, notre nation s'est groupée en sa détresse..."
-Jules Jeanneney, 10 juillet 1940 :"J'atteste enfin à M. le Maréchal Pétain notre vénération et la pleine reconnaissance qui lui est due pour un don nouveau de sa personne..."
Fermez le ban.

Écrit par : Lou | mardi, 11 avril 2006

"Les vrais "sociaux", ce furent les chrétiens sociaux de la droite sociale, le plus souvent monarchistes : les villeneuve de bargemont, de gailhard-bancel, le play, louis veuillot, albert de mun, la tour du pin... etc... qui firent voter une grande partie des lois sociales dont la gauche d'aujourd'hui s'enorgueillit et s'imagine avoir le monopole..."

Un livre sur le sujet ?

Écrit par : Ash | mardi, 11 avril 2006

Au moins celui-ci, Ash, de Xavier Vallat, La croix, les lys et la peine des hommes, ed. des quatre fils Aymon, Paris 1960... mais on ne doit plus pouvoir le trouver que chez quelques rares et bienheureux bouquinistes ou sur ... ebay ?
Voici quelle en est la dédicace : "A l'âme de Charles Maurras qui désirait que ce livre fût écrit. A la mémoire des laboureurs ardéchois et nivernais qui m'ont transmis leurs traditions avec leur sang."
Bonne lecture.

Écrit par : Lou | mardi, 11 avril 2006

Ah "Les quatre fils Aymon", ce fut l'un des premiers romans que je lus. J'avais huit ans à tout casser. Tu me tires des larmes de nostalgie, ma bonne Lou.

Écrit par : Capulet | mardi, 11 avril 2006

La nostalgie est donc toujours ce qu'elle était...? Voilà une bonne nouvelle.

Écrit par : Lou | mardi, 11 avril 2006

En relisant la note je vois que tu cherches "Les 4 fils Aymon". Je l'ai ma douce Lou, il est là devant moi, je l'ai ressorti tout ému. La couverture est un peu abîmé mais il est encore solide.
Mais tu te plantes sur l'auteur moi c'est par Gailly de Taurines, Editions de l'Ecureuil 1951

Écrit par : Capulet | mercredi, 12 avril 2006

Je l'ai aussi sous les yeux, capulet, la nostalgie en moins, car... je l'ai jamais lu ! Le mien, c'est Editions Jean Petitpas, 1975, en Belgique. Et l'intro est de F. Henaux...
Mais au départ, il était plutôt question de Xavier Vallat, non ?
La dernière phrase du mien, c'est : "Après que le corps saint fut enterré, ses frères retournèrent dans leur pays." C'est pas trop mal pour une semaine pascale...

Écrit par : Lou | jeudi, 13 avril 2006

Que cette lecture est rafraichissante!

Merci à tous d'avoir montré combien la Pensée Sociale en France au moins, n'est pas Marxiste! N'est pas Socialiste ni Dirigiste! Même pas Libérale! Mais Royaliste!

Je serais vraiment, profondément intéressé par toutes vos contributions sur ce sujet, que vous pouvez aussi me mailer directement,
bertrand.lambert@noos.fr

Cordialement
B.

Écrit par : Bertrand LAMBERT | dimanche, 23 avril 2006

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