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lundi, 29 octobre 2007

Coureurs de fonds...

Voilà une question qu'elle est bonne, in "Libé contrejournal

"Pourquoi courent-ils devant Police Secours? N’est-elle pas faite pour venir à notre, à leur, secours? La Police, normalement, gardienne de la paix, force de l’ordre. "

Et le Tchicaya questionneur de "Devoirs de Mémoires" de commémorationner à son compte les deux ans de la mort de Zyed et Bouna, nouveaux héros des transformateurs, de la même façon que Delanoé a jeté, jette et jettera des fleurs pendant encore vingt ans dans la Seine, chaque premier mai à la mémoire de Brahim Bouarram dont il se contrefout dans les grandes largeurs mais dont il perçoit bien tout l'intérêt électoral de quatre chrysanthèmes pris sur le budget de la Mairie de Paris et dont la pathétique flottaison larmoyeuse sur les eaux polluées de la Seine se chiffre en virginale pureté idéologique et en votes bobos à venir...

Ceci dit, oui, pourquoi courent-ils, demande naïvement Tchicaya avec sa réponse toute faite : c'est la faute aux flics... Pourquoi couraient-ils Zyed et Bouna et pourquoi courent-ils toujours et partout leurs gentils potes des quartiers lorsque se pointe du bleu à l'horizon ? Est-ce que je cours, moi ? Est-ce que mes parents ont souvent couru ? Est-ce que mes neveux courent ? Sans doute ont-ils appris à courir tous ces rapides à capuchon auprès de leurs "grands frères", ces angelots des banlieues qui dealent, trafiquent, montent la garde, tiennent les murs, rackettent, tournantent, vandalisent, fauchent, détournent, tombeducamionnent...etc... et qu'ils aiment pas vraiment qu'on les dérange dans leur quotidienne et lucrative activité... Et s'ils courent si bien d'ailleurs, n'est-ce pas parce qu'ils nikent, adidassent et riboquent avec des pompes à mille balles à chaque pied, fruit sans doute de quelque virée rémunératrice ou du cumul d'aides sociales généreuses, que même pas je peux offrir à mes neveux à Noël prochain...

Tchic, toi qui te poses de si jolies questions, t'es-tu jamais demandé pourquoi y en a plein, même dans les "quartiers populaires" même des blacks et des beurs qui courent pas lorsqu'arrive la police ? Tiens, toi-même, monsieur l'adjoint de Bagneux, est-ce que tu cours, toi ?

Lou fondeuse...

vendredi, 26 octobre 2007

Guy, mot-clé...

Sur mes cahiers d'écolier,

Sur le sang du drapeau rouge

Sur la moustache à Staline,

j'écris ton nom, Guy Môquet.

 

Sur le pacte satanique,

germano-soviétique,

rouges-bruns amis amis

j'écris ton nom, Guy Môquet.

 

Sur Hitler tranquille à l'Est,

sur l'"Humanité" vautrée

pour paraître sous la botte,

j'écris ton nom, Guy Môquet.

 

Sur ton papa communiste,

stalinien aux ordres et sur

duclos, thorez, aragon,

j'écris ton nom, Guy Môquet.

 

Sur les lâches attentats,

sur la mort donnée derrière,

sur les otages abattus,

j'écris ton nom, Guy Môquet.

 

Sur la fausse résistance

du Parti de Fusillés

et Marchais au STO,

j'écris ton nom, Guy Môquet.

 

Sur les trafiquants d'Histoire,

les arrangeurs de photos,

les purgeurs-épurateurs

j'écris ton nom, Guy Môquet.

 

Sur les camps, la Sibérie,

le Goulag, le Guépéou,

sur le NKVD,

j'écris ton nom, Guy Môquet.

 

Sur Budapest cinquante-six,

sur Prague soixante-huit,

sur Berlin quatre-vingt-neuf,

j'écris ton nom, Guy Môquet.

 

Sur l'ouverture à Sarko

et sur l'erreur de guaino

qui s'est trompé de héros,

j'écris ton nom, Guy Môquet...

 

Lou elsée...

 

mardi, 23 octobre 2007

C'est le bouquet...

 

 Une fois n'est pas coutume, lisons "20 minutes" sur le net, pour y apprendre ceci :

"Plusieurs personnalités dont l'actrice Carole Bouquet, l'humoriste Guy Bedos ou encore l'écrivain Dan Franck ont apporté dimanche leur soutien aux familles sans logis, qui campent depuis le 3 octobre rue de la Banque à Paris (IIe), a constaté un journaliste del'AFP.

Carole Bouquet a exprimé son soutien à ces "victimes de +marchands de sommeil+" et mis en cause l'attitude de la ministre du Logement Christine Boutin : "Je sais bien qu'on ne peut pas trouver de solution en claquant des doigts mais au moins on se déplace".

A ses côtés, Guy Bedos s'est interrogé : "Est-ce qu'on peut décemment passer dans la rue, voir cela et ensuite rentrer chez soi ?", fustigeant l'inertie des "politiques de gauche comme de droite".

"L'humain est bafoué ici aujourd'hui", a renchéri le dessinateur Enki Bilal alors que l'ancien évêque d'Evreux, Mgr Jacques Gaillot, confiait sa "honte" devant une telle situation.

Dan Franck a réclamé "une réponse politique pour ceux qui attendent l'hiver avec crainte" alors que résonnaient autour de lui des cris en faveur d'une "application de la loi sur les réquisitions" de logements.

L'ancien ambassadeur Stéphane Hessel s'est dit "choqué" par "l'aspect raciste" de cette situation car la majorité des personnes qui campent sont noires."

Cerise sur les gâteux, le barde, l'inévitable gaillotin susurre sa "honte" de ses yeux transparents alors que saint Martin jadis, dans ces putains d'époque anté-conciliaires, n'hésitait pas à couper en deux son manteau...
Mais nos pleureuses agréées partagent plus facilement leurs larmes et leur sensiblerie que le contenu de leur portefeuille... Et on se demande, avec cette naïveté qui nous caractérise, combien de "sans-logis" visités par le fan club de guy bedos auront eu droit à passer oh ! même pas quelques heures mais seulement quelques minutes sur les sofas moëlleux des salopards venus se faire admirer à leurs côtés... Beuark !
Lou délogée...

 

vendredi, 19 octobre 2007

Elémentaire...

Nouveau cyclone en vue chez les obsédés de la race, et donc nouvelle croisade apocalyptique contre un certain Watson, nobel de médecine en 62 et père de l'adn qui plus est, c'est dire la perversité du personnage, qui, avec sa loupe et son filet à papillons aurait découvert et donc affirmerait, dans une approche assez perso de la génétique, l'infériorité des Noirs...

Si encore ce con de Watson avait découvert la supériorité des Noirs, la primauté des mélanodermes et l'incontestable suprématie des africo-centrés sur ces cons de blancs, il serait à l'heure qu'il est porté au pinacle par toute la boboïdie en extase qui lui tresserait mille couronnes, en ferait le nouveau darwin, l'accueillerait en triomphe au Musée des Arts premiers et danserait au son des tam-tam le dithyrambe solennel des Justes de l'humanité... Oui, mais voilà, il a eu beau faire et refaire ses calculs, rincer dix mille fois ses éprouvettes, cent fois sur le métier remettre le coton-tige, jongler avec les molécules et danser avec les atomes, pour lui c'est clair :"leur intelligence n'est pas la même que la nôtre"... Notez au passage la prudence de cet imprudent : c'est pas lui qui parle d'infériorité, non, ça c'est la prose à l'obsédé joffrinesque de service qui traduit en langage bobo-compatible le watsonien courant afin de mieux instruire le procès de l'infâme, procès qu'il instruit d'ailleurs in petto avec un vocabulaire moralo-judiciaire qui semble n'avoir que de lointains rapports avec la prose scientifique :"provocation, mépris, racisme, trouble de l'entendement, récidiviste notoire, article sulfureux...etc..."

Qu'on se rassure, dès qu'albert jacquard aura soigné sa bronchite chronique en postillonant dans les micros rentables et quotidiens de francecul, il prendra le taureau par les cornes et watson par le colbac pour remttre de l'ordre dans ce joyeux bordel scientifique...

Accessoirement et parallèlement, j'entends, toujours chez les francecultureux dont je me repais, de la pub à donfe pour une expo du Musée d'art et d'histoire du Judaïsme intitulée "De Superman au chat du Rabbin", expo où l'on met "en "évidence le rôle important de nombreux artistes et auteurs juifs dans la bd"... Imaginons cinq minutes que le musée Xavier Vallat d'Aubenas inaugure une expo sur le "rôle important de nombreux journalistes juifs dans la presse française d'après-guerre", croyez-vous que les francecultés relaieraient la chose avec autant de gourmandise...

Lou questionneuse.

jeudi, 18 octobre 2007

Trice chauve...

Bon, si le noir désir de cantat est un peu contrarié par quelques menaces paratrintignanesques, on va pas s'en désoler outre mesure... mais au-delà du bertrand "en reconstruction" faut quand même s'extasier sur ces putains de journaleux qui s'indignent de ces menaces tout en indiquant (le figaro d'hier) que ledit cantat habite, prenez note s'il vous plaît, le village de Moustey, dans les Landes, et que sa maison est "isolée au bout d'un petit chemin de terre dans une pinède"... On se demande vraiment pourquoi le plumitif à la con qui se prend pour l'ign a pas joint à sa copie l'extrait cadastral et le code google earth qui permettrait à tout un chacun de proposer ses services pour un "contrat" en bonne et due forme à madame mère, nadine soi-même, qui se moquait royalement de savoir que sa fifille se déjantait allègrement dans la vie et sur la toile tant qu'elle était vivante mais qui devient inconsolable harpie maintenant qu'elle est quatre pieds sous terre... Insondable connerie...

Ceci dit, si l'on veut bien s'attarder deux minutes de plus sur le cas du ténébreux bertrand qui était, avant les quatre baffes malencontreuses, la coqueluche de la gauche rebelle et le porte-parole libertaire des anti-capitalistes radicaux, on sera heureux d'apprendre qu'il s'est conduit en tôle comme un gendre parfait, gentil mouton bêlant de servitude volontaire calculée, qu'il a pu produire pour justifier sa sortie anticipée un contrat de travail avec Universal music France pour la reprise de ses activités d'auteur-compositeur-interprête (c'est sympa, non, qu'un criminel puisse refaire le clown sur scène et se faire applaudir par des milliers de midinettes en chaleur pendant que le corps de sa victime continue de refroidir sous terre...!), et que, dans ses efforts de réadaptation on note entre autres le "versement grâce au produit de la vente d'un album et d'un dvd d'une indemnité de 200000 euros (eh oui, 130  bâtons !) pour deux des quatre enfants de la victime"...

Moi, je vais vous dire, qu'un libertaire anticapitaliste radical puisse sortir, sans sourciller et sans faire sourciller ses fans de Libé, d'Attac, de Charlie et des Inrock, 130 bâtons de la poche de sa chemise en moins de temps qu'il n'en faut pour écrire un tube de merde, ça me perturbe grave le système digestif et je sens que je vais bientôt aller gerber à... où, déjà ?... ah oui... à Moustey, dans les Landes...

Lou désirée...

mercredi, 17 octobre 2007

Adjanesque moraline...

Ah ! l'Adjani ! Manquait plus qu'elle ! Elle allait pas rester dans l'ombre quand même, éclipsée par la béarte, la deneuve, la bonnaire ou la birkine, assise sur la dernière marche de la philanthropie médiatique à pas montrer elle aussi urbi et orbi son grand coeur qui saigne, ses intimes convictions, sa générosité admirable, voire, voire... ses magnifiques capacités intellectuelles qui lui permettent de parler de l'"Autre" avec l'oeil qui chavire, la voix de Lévinas et le chignon frémissant de Nathalie Sarraute ...

Et d'enchaîner, à propos de l'ADN, bien sûr, mais c'eût pu être tout aussi bien à propos de Vichy, la colonisation, la guerre d'Algérie, Le Pen, l'esclavage, la fonte de la banquise, la montée des eaux, la crise des intermittents ou le massacre des bébés phoques, et d'enchaîner donc, tant la leçon est bien apprise et bien imprimée sur le disque dur, avec la "xénophobie, le pire reste toujours à craindre, l'ère du soupçon, amendement hors-la-loi, nous sommes tous des sang-mêlé, France pays des Droits de l'Homme...etc.."

Dommage, chère Isabelle, dommage que ton grand coeur ému ne frétille si bien devant les caméras que pour des causes, comment dire... morales... On aimerait davantage t'entendre cracher à la gueule de tes producteurs pleins de blé qu'ils ont pas le droit de gaspiller autant de fric pour le divertissement alors que des millions d'êtres humains crèvent de faim, ou cracher à la gueule de tes copains friqués de la Nuit des Césars qu'ils ont pas le droit de s'exhiber dans le luxe alors que des épidémies abominables ravagent la planète, ou à la gueule de lagerfeld /galliano /dior qu'ils ont pas le droit d'habiller des morues anorexiques à prix d'or alors que des populations entières n'ont rien pour se vêtir...
Quand t'auras fait ça, isabelle, quand tu leur auras, en plus, montré l'exemple en lâchant généreusement ton oseille superflue, on pourra peut-être enfin prendre au sérieux ta grande âme et les épanchements douloureux de ton coeur de bobesque enjoffrinée...

Lou soupçonneuse...

lundi, 15 octobre 2007

Unicellulaires...

Bon, je sais, c'est pas vraiment capital, mais l'avez-vous vue, vendredi soir, sur la 2, chez guillaume durand, la niaiseuse laure adler, petite insignifiante boboïde, absolue nullité venue là pour montrer son corsage à fleurs et, accessoirement rentrer dans le chou d'éric besson (qui resta de marbre) au nom de la gauche caviar, saumon et oeufs de lump qu'elle seule était censée représenter...
Quand on pense que ce protozoaire a dirigé pendant des mois france-culture (quoique, à la réflexion, c'est pas si tant que ça surprenant...), avec bien sûr la bénédiction de la droite molle, que cette amibe a produit ou animé des émissions de débat avec des intellectuels de taille, disons, respectable, que cet ectoplasme est sans doute directrice de collection chez je ne sais quel éditeur respecté et membre du comité directeur de quelques commissions de ceci ou de cela, y a vraiment de quoi se faire du mourron pour l'intelligence française..

Ajoutons, même si cela ne nous regarde pas, que le travail de deuil et d'édition pour le fils qu'elle perdit jadis et dont elle fit un bouquin dix-sept ans après (le deuil parfois dure longtemps...!) semble avoir été d'une redoutable efficacité si l'on en juge du moins par les grotesques lunettes m'as-tu-vu de parfaite pseudo-rebelle excentrique de salon obnubilée par son paraître médiatique qu'elle exhiba sur la fin de l'émission, car elle n'était venue, tout bien réfléchi, que pour ça...

Lou affreux loup...

samedi, 13 octobre 2007

Darfour, petits fours, même combat...

Ah ! les faux-culs, les ordures, les tartuffes, nouveaux hypocrites bigots de la religion DDH/MRAP dont louis schweitzer est dieu et mouloud le prophète, pleureuses et pleureurs, larmoyants sélectifs, sangloteurs sur ordre, tous au Zénith, joffrin, val et consorts, et BHL et axel kahn et piccoli, delanoé... toute la clique des friqués du show-biz, les caviardo-libertaires à la mords-moi-l'onfray, intellos à datchas, artistes à voiliers, cultureuses béardesques à comptes bancaires délocalisés, défileurs de mode à paillettes, curetons gaillotineux, sportifs thuramiques, rentiers euhacheuhéssèsse, cracheurs de micros, emplâtres de caméras... l'horreur comme si vous y étiez... tous les petits marquis et duchesses vaporeuses de la boboïdie triomphante d'écraser en choeur, ce soir, au Zénith, le sanglot de l'homme blanc sur l'ADN prélevé de l'Africain misérable et majestueux...

Ah ! les faux-culs, les ordures, les tartuffes... Lorsqu'il s'agit de prétendre qu'un prélèvement d'un micron de salive africaine à visée adéhénique va renverser de fond en comble les grands principes de la démocratie occidentale, les valeurs les plus sacrées de l'humanisme des Lumières et perturber durablement l'hypersensibilité familiale des Maliens délocalisés, ils sont tous là à parader sur les tribunes et cabotiner sur les tréteaux pour nous causer de leur conscience torturée et hoqueter sur leur philanthropique blessure narcissique, mais lorsqu'il s'agit de se vautrer dans les coktails gothaïques, de jetsétiser avec les excellences, de croisiérer avec les golden boys ou de péter dans la soie des châteaux marocains avec l'arielle à deux balles sur les genoux, un oeil sur la collection d'art contemporain, l'autre sur les cours du dow jones et du cac 40, là, les papy piccoli et les tontons bhl n'ont plus d'état d'âme, toute l'horrible puanteur de leur fric moisi leur remonte pas à la gueule, la misère du pauvre peuple ne les fait plus souffrir, le sanglot de l'Africain devient inaudible, la plainte du smicard imperceptible, le gémissement du sdf insignifiant, et si ténu, si minuscule, si infime le malheur du monde...

Beuark !!

Lou zénicht

jeudi, 11 octobre 2007

Zemmour...

Pas trop le temps aujourd'hui, et puis Zemmour dit tellement bien certaines choses dans Le Monde, à propos du gros Sopo(rifique) de SOSRac, que j'aime autant vous en donner un aperçu pour vous inciter à aller voir le reste (si mon lien marche pas, allez au site du Monde et cherchez...)

Voici l'aperçu

"Il a posé sur son petit bureau ses petites armes de petit flic de la pensée. Il a tiré, dans Le Monde du 29 septembre. Mollement. "Réactionnaire", dit-il ; et puis, "il parle comme Le Pen" ; et puis encore "il a peur, Zemmour". La routine. Dominique Sopo n'est pas très inventif. Pauvre Sopo, présidence de SOS-Racisme, ça eût payé. Jadis entre Coluche et Simone Signoret ; désormais médiocre collecteur de subventions, et gendarme sifflant les "dérapages sur l'immigration". Gendarme de Saint-Tropez.


Même pas peur ! Les temps changent. Il s'en plaint. Comme un vulgaire réactionnaire. Mais un réactionnaire préfère les chansons d'Aznavour et Brel à celles de Joey Starr ou Cali. Les rentrées littéraires avec Aragon, Mauriac, ou Jacques Laurent, plutôt qu'avec Christine Angot ou Amélie Nothomb. Déteste l'architecture de l'après-guerre. Donnerait trente années de FIAC pour un seul tableau de Vermeer. Ne croit pas que "le niveau monte à l'école". N'associe pas spontanément le "langage caillera" à Rimbaud. Ne s'extasie pas devant les familles recomposées. A la nostalgie du temps où la France était "la grande nation". Bref, un réactionnaire est un homme sans goût ni raison qui mérite les camps de rééducation. Un criminel.

On peut le rassurer, Sopo en est loin. Sa pensée est simple, voire tautologique : ce sera mieux demain. Pourquoi ? Parce que ce sera demain. Sopo est un progressiste. On allait dire à l'ancienne. Mais on ne voudrait pas le vexer. Sopo ne s'est pas aperçu que la religion du progrès était morte dans les tranchées de 1914. Il n'a qu'un siècle de retard. Sopo ne sait pas qu'on a lu Pierre-André Taguieff ; on a bien compris que le progressisme antiraciste n'était que le successeur du communisme, avec les mêmes méthodes totalitaires mises au point par le Komintern dans les années 1930. "Tout anticommuniste est un chien", disait Sartre. Tout adversaire de l'antiracisme est pire qu'un chien. En tout cas, dit Sopo, ne devrait pas être invité à la télé. La télé, c'est important pour Sopo. C'est vrai, on ne l'y voit pas assez. Amis producteurs, faites quelque chose !..."

Lou enamourée...

mercredi, 10 octobre 2007

Good luck !

Un jour l'ADN, un jour la Cité de l'Immigration, un jour les vapeurs de Fadela Amara, un jour la Mémoire, un jour la Repentance, un jour la Colonisation Positive, un jour les Banlieues, un jour les Indigènes de la République, un jour le Cran... non, mais, c'est pas encore bientôt fini de nous les briser avec cette immense chance pour la France que serait l'immigration !

Le jour où la Cité du même nom voudra faire une exposition instructive et intelligente, plutôt que de permettre à Mathilde Monnier de faire des entrechats sur les tapis persans et d'améliorer son intermittence dorée, ils pourraient peut-être afficher, en face des photos des "immeubles-que-nous-ont-construits-ces-pauvres-immigrés-et-des-kilomètres-de-route-qu'ils-nous-ont-balayés", ils pourraient peut-être afficher les milliers de kilomètres de dossiers judiciaires liés à la délinquance immigrée de 1°, 2° et 3° génération... Et on pourrait alors reparler sérieusement de la chance ou de la malchance qu'est pour un pays et pour les immigrés eux-mêmes cette immigration qui devient le must de nos sociétés de merde...

Lou souchée...

lundi, 08 octobre 2007

Détail...

Et les voilà sur le pont tous les ordinaires cons du tam-tam antiraciste... Tous à poursuivre de leur ire implacable et subventionnée et de leur déontologie à géométrie variable ce pauvre Fillon qui réussit enfin à faire une percée dans les médias... Rendez-vous compte, Fillon a osé dire, dans un moment d'égarement sans doute, que l'amendement concernant les tests ADN n'était qu'un "détail masquant l'ensemble de la loi"... Was ? What ?... Fous afez ti "Tétail" ! Ach so ! ze mot n'est blus tans nos digzionnaireus... Kaput ! Vuzillé Villon ! etc... etc...

Et naturellement, les premiers procureurs à se précipiter sur les micros sont le mouloud de ces dames, Monsieur Emèrâpé soi-même et un certain pierre henry, directeur général de France Terre d'Asile (asile de fous sans doute !) qui voit dans le "détail" utilisé par Fillon un clin d'oeil appuyé au Front National et à Gros Neuneuil de Saint-Cloud...
Car désormais, voyez-vous, lorsque nous apercevrons un détail se balladant gentiment sans emmerder personne, il ne faudra pas, sous peine de familiarité condamnable avec la bête qui monte, le ventre encore fécond et tonton adolf soi-même, il ne faudra point parler de détail mais de broutille, vétille, bagatelle, petit rien, particularité insignifiante ou élément accessoire...

On pourra dire, par exemple, sans encourir leurs oukases, que messieurs mouloud aounit et pierre henry sont des petits riens sans importance de la pensée politique contemporaine, des broutilles insignifiantes de l'intelligence conceptuelle, des bagatelles dérisoires du massacre de la pensée...

Par contre, là où ils sont pas vraiment insignifiants, les deux clowns tristes, c'est dans l'utilisation des fonds publics. Je suis allée surfer cinq minutes chez France Terre d'Asile (d'aliénés ?) et j'y ai lu, dans le rapport financier 2005, sauf erreur de ma part car je suis une piètre comptable, que cette joyeuse et philanthropique association payée sur nos ronds touche 11542315 euros de subventions diverses et variées pour 11668396 euros de salaires sans doute déontologiquement nickel...! Voilà de l'asile qui rapporte !

Lou experte...

P.S Un bravo à la socialeuse Nadine Moreno (je crois) qui a remis les choses au clair sur ce sujet.

samedi, 06 octobre 2007

Femmes que vous étiez jolies...

Selon des sources bien informées, l'organisation de la prochaine Journée de la Femme (8 mars 2008) devrait être confiée par le Président de la République à Stéphane Pocrain, black médiatique vert mamérien foncé de la bande à ruquier et accessoirement cogneur sans état d'âme de son épouse (procès vers le 16 novembre...).

Il serait assisté dans cette mission par Francis Terquem, avocat du Mrap, ex-membre de SOSRacisme et lui aussi cogneur impénitent de Madame, et par Bertrand Cantat, gaucho-chanteur-libertaro-lituanien et cogneur définitif de marie trintignat qui l'avait bien cherché...

Isabelle Alonso hésiterait encore à rester chez ruquier pour assurer ses fins de mois ou se porter partie civile pour rassurer sa conscience.

En outre, le thème du colloque international initialement programmé pour cette Journée sous le titre prémonitoire de "La Gauche et les Femmes" serait en passe de devenir, pour coller davantage à l'actualité : "Mon Gauche et les Femmes"...

Lou marcello-cerdane...

vendredi, 05 octobre 2007

Modeste contribution immédiate au débat relatif aux statistiques ethniques...

Allez, au hasard... On prendrait, tiens, les évènements tout récents de Saint-Dizier, cette nuit, et on statistiquerait ethniquement, après leur avoir ôté leur cagoule, les 40 "jeunes" qui ont caillassé les pompiers, les flics, foutu le feu à la Maison des Jeunes et de la Culture (demi-mal, me direz-vous...) et à je ne sais quoi d'autre encore, on statistiquerait itou dans la foulée les habitants du quartier "sensible" du Vert-Bois, ça m'étonnerait pas que l'on ait des éléments significatifs sur la grandeur du métissage, l'infinie beauté de l'hybridation, l'intense vertu du melting-pot et la souveraine majesté de trente ans d'immigration délirante, déferlante et non maîtrisée...
Accesoirement, on pourrait, par exemple, chiffrer le coût des mesures sociales de tous ordres dont bénéficient les familles des 40 capuchons caillasseurs, on présenterait la note à Monsieur Schweitzer de la Halde, et on se rendrait alors vite compte que sa déontologie va pas beaucoup plus loin que les limites dorées de ses divers comptes bancaires...

Lou banquière..

jeudi, 04 octobre 2007

Barman...

Bon, alors la Birmanie, je sais même pas où c'est, et j'ai pas assez la passion des foreignes affaires pour m'interroger sérieusement sur les vices et vertus du régime birman... Mais quand j'entends ces connards de journalistes (france-cul en tête, mais ailleurs et sur papier itou) nous rejouer la nuit de cristal avec la voix coupée par les sanglots comme s'ils y étaient, quand je les vois gober et diffuser à qui mieux mieux tous les témoignages les plus affreux de je ne sais quels dissidents abominant une junte qui aurait pourtant coupé tous les moyens de communication, quand je les vois répéter à longueur d'antennes la "junte militaire" au lieu de dire simplement le "gouvernement birman", quand je les vois sauter sur la répression sanglante et médiatiquement payante comme la vérole sur le bas-clergé bouddhique en se pourléchant les babines de pouvoir mettre enfin du sang à la une et révéler leur immense philanthropie compassionnelle pour les damnés de là-bas, quand je les vois ouvrir d'autant plus leur gueule aujourd'hui qu'ils l'ont tous (et leurs pères itou) hermétiquement fermée à l'époque de feue l'union soviétique, quand je les vois pleurer sur la répression revêtus d'un T-shirt à l'effigie du Che tortionnaire, quand je les vois larmoyer cinq minutes devant les caméras avant d'aller s'envoyer en l'air dans un hôtel quatre étoiles entre caviar et prostituée rangooneuse, quand je les vois commencer à évoquer les bébés coupés en deux, les peaux tannées, les fours, les camps, la gégène, les charniers, les pals, les grilles, les crocs de boucher, bonzine jetée aux lions et Bouddha crucifié sur un char, quand je vois tout ça, je me répète qu'ils sont décidément d'insondables connards et qu'il va nous falloir attendre encore quelques années pour savoir ce qui s'est réellement passé chez les Birmans...

Lou incrédule...

mercredi, 03 octobre 2007

Acide déxoyribonucléïque...

Bon, c'est clair que c'est pas avec cette histoire d'ADN à la mords-moi-l'hélice qu'on va régler les problèmes de l'immigration, et Mariani aurait mieux fait de se tirer une balle dans le pied. Mais quand on voit tous les cons monter au créneau, bannière des droits de l'homme en tête, déontologie à la boutonnière et pétition charliehebdesque en sautoir, ça file une sacrée envie de dire "chiche !" à Hortefeux... Mais il chichera pas, le bougre... Le voilà déjà tremblant, en train d'amender l'amendement, d'y rogner ceci, râcler cela, limer le reste pour qu'enfin la marianesque proposition ne soit plus qu'une petite fiente sans effet que même une taubirette pourrait signer des deux mains...
Mais revenons aux cons deux minutes, aux cons de la pétition : y a les cons stratégiques (comme villepin par exemple, qui se tamponne de la misère du monde comme de son premier bain de mer à Biarritz, mais qui a bien envie d'emmerder Sarko), y a les cons showbizés (l'adjani ou la moreau par exemple qui ont toujours un stylo qui bave dans leur corsage pour le cas où passerait un vol de pétitions à ne rater sous aucun prétexte), y a les cons footballeurs (comme lilian thuram) qui signent pour pas avoir l'air d'être des cons de footeux justement, y a les vieux cons à la raymond aubrac a qui on a dû susurrer dans le sonotone que jean moulin avait déjà signé, y a les cons nègres comme BHL qui signe parce que ségolène a signé, laquelle signe parce que son ex a signé, lequel signe parce que fabius a signé, lequel signe parce que bayrou a signé (on est là dans la catégorie des cons électoraux), lequel signe parce que patrick pelloux a signé et que c'est lui, forcément, qui conduit l'ambulance...!

Et puis y a philippe val le raisonnable, qui, assis sur ses 5000 euros mensuels de rédac-chef de Charlie (peut-être 6 ou 7000 euros maintenant ?) s'indigne, la voix cassée par l'émotion et le coeur en écharpe (à propos, tu touches combien, philippe, pour piger chez le gros demorand de france inter ?), s'indigne donc, ( et t'as été recruté sur quels critères ?), s'indigne disais-je (et combien également de ton éditeur ?), s'indigne re-donc, de l'immense tort fait aux immigrés, de l'honneur perdu des politiques, de la montée du populisme et de la démocratie en danger...
Juste un mot, philippe, en caressant ton chat, histoire de te calmer l'indignation et de refroidir la bouilloire : lorsque on te voit écrire avec des larmes dans la plume et de l'indignation plein le micro que "le degré zéro de la politique c'est l'attribution de tous les maux à l'immigration", on a envie de te dire d'abord que t'as loupé, toi le grand citateur, une belle occasion de citer Barthes, mais surtout que le degré zéro de l'intelligence c'est l'interdiction, que tu pratiques et partages depuis vingt ans avec toute la classe politico-médiatique de merde, de tout véritable débat sans tabou ni trompette concernant l'immigration...

Lou d'octobre...