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lundi, 22 décembre 2025

Dans la famille Cohen-Legrand, je voudrais l'Aphasique...

Il manquait plus que lui ! Le débile en chef, Jean-Michel Aphatie, venu lui aussi porter secours, chez l’autre sous-merde Yann Barthès, aux copains et coquins de la corporation des journaleux de gauche, les duettistes Cohen-Legrand, pris la main dans le sac de merde à comploter avec quelques excellences grises du PS pour régler son compte à Dati dans la perspective des municipales à venir...
Et l’Aphasique de ces dames de s’offusquer grave, avec force effets de manche, accent surjoué et cochon dans le maïs à tous les étages, non de la collusion de ces deux salopards, payés par l’argent public et censés pratiquer neutralité idéologique et déontologie pur sucre, avec des politiciens pourris de la Socialie finissante, mais de la révélation de cette saloperie par des journalistes qui font juste leur boulot et exhibent enfin les caleçons pleins de merde de Patrick Legrand et Thomas Cohen...
Et l’Aphasique bavocheur de se lancer alors, lui le pur et dur de la scientificité la plus exigeante, la plus exemplaire et la plus rigoureuse, dans un complotisme à la papa à côté de quoi les platistes les plus fous sont juste des enfants de choeur : l’ «Incorrect», selon Jean-Michel A., n’aurait pas eu ces informations par simple hasard et faveur des dieux immortels, mais par une planque assidue de plusieurs mois pendant laquelle l’on aurait surveillé les allées et venues du couple Cohen/Legrand, leurs itinéraires, leurs horaires, leurs manies, leurs habitudes... tout cela aurait été mis sur fiches et tableaux excel, après quoi on aurait installé des micros sur-puissants sous toutes les tables du Café parisien en question, micros capables de capter l’enculage d’une mouche à plus de 500 mètres, lesquels enregistrements auraient immédiatement été acheminés par porteur spécial dans une chaîne de montage hyper sophistiquée financée par Vincent Bolloré soi-même, lequel aurait envoyé vite fait le tout à CNews et Europe 1 qui auraient interrompu leurs émissions toutes affaires cessantes pour mieux salir, outrager et souiller bassement ces deux figures exemplaires de la corporation journaleuse, Cogrand et Lehen, ces deux chevaliers blancs de la Justice et Vérité quoiqu’il en coûte, dont l’un des deux au moins se réjouissait publiquement il y a quelques années que des propos privés de Laurent Wauquiez aient été enfin diffusés sur les antennes par des journalistes méritants !
Pour Aphatie l’hémiplégique, quand des journalistes révèlent les saloperies de mecs de droite ce sont des lanceurs d’alerte qu’il faut immédiatement décorer et mettre illico sur les autels de la démocratie triomphante, mais quand des journaliste font la même chose avec les slips merdeux de politiciens ou de journaleux de gauche, ce sont alors des barbouzes, des espions et sans doute des fils de pute qu’il faut éliminer rapidos...
Tu sais, Jean-Mi, des donneurs de leçons comme toi, des mecs de gauche comme toi, qui sont tellement pleins aux as qu’ils ont même pas les couilles de révéler le montant de leur patrimoine dans un exercice sublime de transparence citoyenne et démocratique qui pourrait émouvoir le bon peuple, ça aurait plutôt tendance à perturber ma gentillesse légendaire, mais quand en plus ces mêmes grandes consciences ferment soigneusement leur grande gueule sur les 120000 euros quotidiens de frais de réception et de déplacement de France-Télévision, sur les salaires moyens des 9000 salariés de la même boîte qui tournent autour de 70000 euros, et, cerise sur la Cunci, sur les 400000 euros de salaire annuel de Mamie Ernotte, la madone du Festival de Cannes qui pète dans la soie des palaces avec toute sa cour dans des suites à 1700 euros la nuit, là, tu vois, l’Aphasique, ta gauchitude de façade et ton sectarisme de bobo sénestro-centré, ça me ferait plutôt gerber grave...

vendredi, 19 décembre 2025

Un certain Patrick C...

Ah ! Cohen ! Patrick C. pour ce connard de François Morel... Cohen, l’autre jolie merde médiatique, Monsieur «Je suis partout» du Service Public ! Le matin sur France-Inter, le soir sur France 5, le week-end sur la Chaîne Parlementaire, comme s’il y avait personne d’autre pour rembobiner des séquences vidéo des temps héroïques et bien choisir en fonction des enjeux (électoraux) d’aujourd’hui les images d’archive d’avant-hier... !
Cohen, le plein de fric qui a même pas les couilles devant la Commission d’enquête parlementaire d’annoncer ses salaires nombreux et variés, ses piges, son patrimoine, ses résidences secondaires, ses tableaux de maître ou ses Rollex à 20000 euros pièce !
Cohen le partageux qu’a pas l’air de trouver anormal que la moitié ou le quart des salaires annuels du personnel de France-Télévison et/ou Radio-France tourne autour de 70000 euros !
Cohen le prolo qui trouve tout naturel que l’Ernotte ou la Veil ou la Van Reth ou je ne sais qui de ces honorables maisons passent leurs nuits du Festival de Cannes dans des suites à 1700 euros... !
Cohen, l’ami des pauvres et des malheureux, le soutien des sans-papiers et des mineurs isolés qui oublie de chroniquer ou de faire chroniquer son copain Morel sur le budget réception de France-Télévision et/ou Radio-France, je sais plus, qui se monte à environ 125000 euros par jour... par jour ! Ca fait cher la part de pizza !
Et tout ça, chez nos vigilants autoproclamés, chez les Cohen, Morel, Legrand, Lucet... et tous les comiques troupiers payés avec nos ronds, tout ça, ça passe crème... Circulez, y a rien à voir... Tout va pour le mieux dans le meilleur des Services Publics !!
Et tiens, la Lucet, l’autre sous-fiente envoyée très spéciale et fouilleuse agréée des poubelles, qui émarge elle aussi sur nos économies, c’est quand qu’elle nous fait un Complément d’Enquête spécial sur tous ces petits arrangements entre amis, sur toutes ces petites sauteries à prix d’or du Service Public, ou, aussi bien, si ça lui chante, sur ses salaires à elle, ses piges, sa boîte de prod et son patrimoine...
C’est là, ma belle, qu’il faut lancer les alertes, là qu’il faut porter le fer, là qu’il faut aller remuer la merde et mettre les mains dans le fumier ! Et alors, mais alors seulement, on saluera ton courage et ton engagement... Mais c’est pas demain la veille !

samedi, 06 décembre 2025

Le revoilà, le revoilou...

Un certain François Morel,
grosse merde médiatique,
qui se croit spirituel
quand pouffent quatre hystériques

embauchées le vendredi
pour s’esclaffer sur commande
par Baddou, le bel Ali,
roi des cons et chef de bande,

tout ça sur notre pognon,
tout ça pris dans notre poche,
car ils aiment les biff’tons,
ces putains de gens de gauche...

Donc, disais-je, le Morel,
tout plein de sa suffisance
et du pognon mensuel
pompé sur la redevance,

nous causait de Bardella :
ça le faisait rire aux larmes,
ce minuscule attentat...
Il trouvait que tant de larmes,

de cris et de tremblements
pour si peu, c’était risible...
Donc, les amis, en avant,
prenons le Morel pour cible...

Entartons Morel François,
enfarinons le clown triste,
offrons lui des oeufs au plat,
feu sur le propagandiste !

Beurre, huile, farine, miel,
lait, crème fraîche, potage,
entartons François Morel,
lui si zen, si doux, si sage...

lundi, 24 novembre 2025

Ockrent - De Brauer...

Dans la famille «grosses connasses»,je voudrais le duo Ockrent-De Brauer...
Ockrent, le vieux cadavre fripé qui, à plus de 80 balais, squatte toujours micros et caméras, sur le service public de préférence, comme une vieille pompe à fric qui, n’ayant sans doute pas assez de ses centaines de millions bien placés en valeurs sonnantes et trébuchantes, vient faire des piges hebdomadairement dans tous les médias main stream pour rabâcher ses certitudes chuintantes de vieille chroniqueuse euro-mondialiste libérale, arrondir le pactole kouchnérien et accessoirement défendre la maison mère Ernotte Inc. , à qui elle doit beaucoup, en crachant sur CNews...
Hola Christine, y a quelque chose de pourri dans ton royaume de merde : parce qu’avant de déclencher l’armée des fast-checkers chargée de traquer les fake-news de chez Bolloré comme tu le préconises, t’aurais pu peut-être nous causer cinq minutes des duettistes Cohen-Legrand en train de sucer les roues du tandem socialiste Jouvet-Broussy dans l’arrière salle d’un restau parisien...
Mais ça, ma grande, ça qu’aurait dû révulser ta haute moralité, choquer ta déontologie impeccable, ça, t’en as peut-être causé à Pépé Kouchner entre deux chivas sur la moquette, mais par contre, en direct live aux heures de grande écoute sur France-Inter, Culture et Info, ce fut silence radio, circulez y a rien à voir, motus et bouche cousue... Ici Christine Ockrent, je ne vous entends plus, je suis dans un tunnel, à vous les studios...
Et de la part d’une représentante émérite de la corporation la plus pourrie de France, c’est pas joli joli... Reine Christine un jour, reine qui s’débine toujours...
Et quant à Marie de Brauer, miss grossophobie soi-même, bouhh... j’ai beaucoup souffert... que je suis malheureuse... et les gens sont méchants..., humoriste débile pour oies blanches pouffantes et connards muets hilares, le cul posé sur des tonnes de bonne conscience, de bien-pensance résiliente, de modernité rebelle et de wokisme insolent, Marie de Brauer donc, la madonne de France-Inter, que plus inclusive que ça tu meurs, sauf quand même lorsqu’il s’agit des vieux de chez CNews, que là on peut sans problème stigmatiser leurs incontinences, discriminer leurs douleurs, cibler leur Alzheimer, ironiser sur leur Parkinson sans que l’Arcom ou je ne sais quelle police de la pensée ne remue le petit doigt...
Par contre, si quelque gros dégueulasse s’avisait, ce qu’à Dieu ne plaise, de suggérer à la petite Marie de calmer sur le Nutella ou d’arrêter les chips au vinaigre, putain ! qu’est-ce qu’on entendrait pas !!
Et au fait, Marie, comme c’est avec notre pognon que tu fais pouffer les oies blanches de Zoom Zoom et hilarer les connards de Zen, tu pourrais nous dire, même en monnaie-Nutella si ça t’arrange, combien tu touches par mois pour tes vannes débiles à deux balles..?

samedi, 22 novembre 2025

Deux Morand, sinon rien...

Mais ils vont nous lâcher, un jour, ces putains de cultureux/journaleux ubiquitaires et récurrents !
L’autre jour, c’est le François Morel du vendredi qui vient nous faire son travail de deuil en direct live dans la Grande Librairie sous prétexte qu’il est veuf éploré depuis peu et qu’il a aimé sa femme mieux sans doute que tout un chacun... ce qui l’a pas empêché deux jours après de rigoler grave avec la ménagerie de France-Inter...
Et maintenant, faudrait qu’on sorte les mouchoirs pour Nicolas Demorand qui, paraît-il, est bipolaire et dont il faut que la France entière sache tout des émois, des angoisses et des tremblements...
Mais on s’en fout, nous, du bipolarisme à Nicolas ! Y en a combien de bipolaires en France ? Mille, dix mille, un million ? Et ils viennent pas tous chaque jour nous faire leur cinéma sur les ondes : qu’ils sont bien malheureux, tristes, souffrants et affligés, et qu’ils ont besoin de notre soutien et de notre compassion...
Le Nico, quand ça allait pas trop mal, ces vingt dernières années, quand il allait, le bougre, de France-Culture à France-Inter en passant par Libération, quand il pétait le feu et les flammes du haut de son magistère intellectuel et des micros qu’il squattait à donfe, quand il se gavait de notre pognon jour après jour (il se gave toujours de notre pognon, d’ailleurs !) pour formater les esprits et les coeurs dans le sens de sa bien-pensance gaucho-caviardo-macronesque, quand il pouffait de son rire débile et convenu aux saillies programmées et laborieuses des comiques troupiers de France-Inter, quand il promenait sa suffisance, son enflure et son embonpoint dans tous les coquetels branchés et sur tous les plateaux consensuels, il y pensait beaucoup aux mecs et aux nanas qui se fadent une mucoviscidose, une maladie de Crohn, Charcot ou Lyme, ou un cancer du sein droit ?
Et son pognon, ses tableaux de maître, ses lingots, ses incunables, ses résidences tertiaires et quaternaires, il en a fait profiter qui ?, notre partageux ? Il en a accueilli combien de migrants sur ses moquettes en mohair, combien de SDF dans son salon, combien de mineurs isolés sur ses pelouses ?
Alors, Nico, ok, ça doit probablement être chiant la bipolarité quand on se prend une décharge d’ions négatifs dans la caisse, mais au lieu de venir chialer sur les ondes avec le pognon de ce populo qui te débecte parce qu’il vote mal, le con, tu vas juste consulter comme le clampin lambda, puis tu passes à la pharmacie, tu sors ton attestation de tiers-payant au cas où, et tu t’avales tranquille tes trois gélules par jour jusqu’à ce que revienne le beau temps dans tes neurones, et sans ameuter pour autant Mamie Ernotte ni Tatie Sibyle qui ont pas que ça à faire en ce moment...
Et même, tu vois, tu déciderais de faire une cure de modestie, de rareté et d’incognitisme pendant quelques années, ça pourrait que faire du bien à ton ego, et nous, ça nous ferait de sacrées vacances.... Juste que, le congé, oublie quand même pas de le prendre sans solde... Avec ce que tu as pompé sur l’argent public pendant vingt ans, tu dois pouvoir tenir au moins un millénaire...

vendredi, 21 novembre 2025

Peuchère, Raphaël... !

Dans la famille Glucksmann, je voudrais le fils...
Eh bien ! mauvaise pioche ! Le père, André, ça avait quand même écrit "La cuisinière et le mangeur d'homme", sur le totalitarisme marxiste, et ça avait un peu de gueule... Le fis, lui, tout ignorance et tout miel, hélas ! incapable d'articuler le moindre argument, imaginant sans doute qu'il suffit de coucher avec Léa Salamé et de sourire niaiseusement à la caméra pour atteindre les sommets... (Au fait, l'Arcom, ça leur troue pas le cul que la Salamé soit maquée avec un président de parti à quelques mois des élections ? Encore une sacrée bande de zozos payés cash et gras avec nos ronds au service de la macronie déclinante...)
Donc, Rapahël, un benêt pur jus, faut bien le dire, tant dans ses réponses toute faites aux différents intervenants que dans sa posture soudain figée devant Zemmour, comme s'il avait devant lui le grand Satan soi-même, et n'ayant d'autre réponse face à son interlocuteur que des accusations débiles de pro-poutinisme, pro-orbanisme et pro-trumpisme... Le niveau zéro du débat, l'anathème circulaire en guise d'argumentation et la reductio ad poutinum (qui se porte pas trop mal, merci !) pour tout raisonnement...
Fils de, disais-je... petit-fils, même, très très petit fils !!
Va y avoir du crash dans les sondages...

vendredi, 14 novembre 2025

Trois connards...

Le cadavre d'Alain Souchon bouge encore... Le chanteur des midinettes sort de son silence et de ses millions pour cracher sur plus de dix millions d'électeurs du Rassemblement national qu'il traite de cons du haut de son pactole estimé à 145 millions d'euros... Et monsieur se voit déjà se délocaliser en Suisse, auprès de ses chers banquiers, au cas où le RN remporterait l'élection présidentielle de 2027... Tu sais, Alain, cours y vite en Suisse, va vite ronronner sur ton pognon, et lâche-nous la grappe, ça nous fera des vacances...
Et dans la foulée, sur BFM, y a un quart d'heure, l'invité de marque, pour cracher un peu plus sur le RN c'est monsieur Jul soi-même, le dessinateur chouchou des médias, plein aux as lui aussi, qui a d'ailleurs oublié de nous causer aussi de son pognon, de ses placements, de ses tableaux de maître et de ses résidences secondaires, car il est bien plus facile de causer de ses "valeurs" morales que de ses valeurs financières dans ce monde de cultureux à faire gerber...
Et derniers connards de cette série culte, les deux miss de BFMTV venues servir la soupe à Jul et faire semblant d'informer le populo alors qu'elles ne sont là que pour réciter en boucle les éléments de langage que leurs maîtres leur ont dit de réciter... D'ailleurs on voyait nettement la marque laissée par la laisse autour de leur cou...
Beuark...

lundi, 27 octobre 2025

En avoir ou pas...

Alors soyons clairs, comme c’est pas nous qu’on couche avec, on se contrefout ici de savoir si Brigitte Jean Michel Macron Trogneux en a ou pas, encore que si elle en a, d’une part ça pourrait être notre oncle, d’autre part, ça pourrait quand même jouer un rôle sur une certaine «envie du pénal» et désir de justice pour lesquels le peuple français semble montrer une certaine appétence...
Et hier soir, justement, sur BFMTV, qu’il faudrait d’ailleurs peut-être rebaptiser «Belle-Famille Macron-TV», c’était la grande soirée de la vérité enfin dévoilée sur l’Affaire Brigitte Macron, avec un casting d’enfer de tous les plus brillants et hémiplégiques brigittologues du PAF, tous les plus exigeants et sourcilleux enquêteurs à vue basse et cerveau gauche, la fine fleur de l’expertise médiatique socialo-centrée : Tristan Mendès-France de l’Université par ci, Victor Mottin de Conspiracy Watch par là, Antton Rouget de Médiapart juste en face, sans oublier Tristan Bromet, chef de cabinet de Brigitte (il nous coûte combien, au fait, celui-là ?), et, pour les quotas, Emmanuelle Anizon du Nouvel-Obs et Sylvie Bommel de je sais pas où... Et pour finir, en conclueur des hautes oeuvres, le Yéti soi-même, Dupond-Moretti, tel qu’en lui-même enfin la vanité le change, fils incestueux, putatif et putassier de Robert Badinter et Christine Taubira, ne sachant articuler autre chose comme argument définitif et péremptoire que le mot «dinguerie» répété en boucle, ce qui, avouons-le humblement, est le sommet absolu de la rhétorique judiciaire la plus pointue... Et tous ces zozos, naturellement, confrontés et opposés à rien du tout, soliloquant et déblatérant à qui mieux mieux, sans aucune contradiction, aboyeurs pénards et pépères tranquilles, crachant en toute sérénité leur venin sur une fachosphère d’autant plus injuriable et calomniable à souhait qu’elle n’est pas là et que tout cela se passe dans le cercle raffiné et confidentiel des poètes survendus...
Alors, qu’elle en ait ou pas, Brigitte, on le répète, on s’en fout. Mais on aimerait juste, s’il y a enquête sur le sujet, que l’enquête soit loyale, franche, équilibrée et rationnelle, on aimerait juste la confrontation des idées et des arguments des différentes parties plutôt que ce procès à charge sur une fachosphère trop facile qu’on prive de parole pour mieux ronronner la vérité officielle d’une élite médiatique, universitaire et politicienne où l’on se passe allègrement et tour à tour rhubarbe et séné pour mieux enfumer le populo, ce qui, entre parenthèses, ne peut que conforter ledit populo et votre humble servante dans l’idée que si c’est flou, c’est qu’il y a un loup...
Ils sont trop «gnons» les zozos de BFM, ils sont même trogneux, si l’on peut dire, à nous sortir l’artillerie lourde du reportage à charge sur les complotistes fous qui délireraient à pleins tuyaux sur le Covid, ses oeuvres, ses pompes, ses causes et ses effets, sur l’élection volée de Trump en 2020, sur la mort de Kennedy, sur le 11 septembre, sur les élites pédophiles, sans qu’à aucun moment soient résumés de façon claire, synthétique et loyale les arguments des tenants de ces théories...
Si les chevaliers blancs de la Macronie et grands redresseurs de torts avaient deux sous d’honnêteté intellectuelle, ils auraient refusé de venir pérorer en solo et sans contradiction sur cette affaire, et ils auraient demandé à être confrontés, le Yéti par exemple à Xavier Poussard, Mendès-France à Zoé Sagan, Monsieur Médiapart à Alain Soral, and so on... Mais non, ces ardents zélateurs de la démocratie exemplaire, du dialogue constructif et de la confrontation loyale et sereine des idées et des points de vue étaient trop heureux, les ordures, de monologuer sereins, le cul bien posé sur les éléments de langage qu’on leur avait conseillé d’employer, avant sans doute d’aller toucher la jolie petite enveloppe promise pour services rendus et indéfectible attachement à la pensée unique et à la macronie déliquescente...
Beuark...

mercredi, 08 octobre 2025

Badinter, la honte...

Juste quelques lignes, aujourd'hui, à la veille de ce jour funeste de la panthéonisation de la baderne nationale... Quelques lignes de Jean-Yves Le Gallou, sur son site : Polémia... Ici : https://www.polemia.com/badinter-au-pantheon-cest-non/

"Badinter au Panthéon, c’est non !
Non, la patrie n’a pas à être reconnaissante à Badinter. Encore moins les Français victimes de sa politique.
L’explosion de l’insécurité ? C’est lui, comme garde des Sceaux de François Mitterrand de 1981 à 1986.
L’invasion migratoire incontrôlée ? C’est lui, comme président du Conseil constitutionnel de 1986 à 1995.
Le mépris du peuple ? C’est encore lui, avec un ensemble de décisions prises à l’opposé des volontés populaires.
Badinter, un grand homme ? Voire. Mais surtout un oligarque morgueux, un grand avocat fortuné et progressiste, se moquant comme d’une guigne des préoccupations des Français et conduisant une politique antidémocratique, à rebours de leurs aspirations.
En 1981, 60 % des Français étaient favorables à la peine de mort : il leur tord le bras et l’abroge. C’est son titre de gloire. Pire : il abroge la peine capitale sans créer de peine de substitution, sapant ainsi la hiérarchie des peines. Garde des Sceaux, Badinter s’appuie sur le syndicat de la magistrature pour repenser le code pénal et placer le délinquant au cœur de ses préoccupations, au lieu et place de la victime. Quarante ans plus tard, la situation est hors de contrôle : racailles et narcotrafiquants imposent leur loi.
À peine sorti de la Place Vendôme, Badinter prend la tête du Conseil constitutionnel : il va s’ériger en super législateur et s’ingénier à créer des jurisprudences rendant impossible tout contrôle réel de l’immigration.
Alors, Badinter, les Français ne lui disent pas merci ! Le faire entrer au Panthéon, c’est un bras d’honneur de la gauche progressiste aux Français, aux gueux. C’est une manière de leur dire : « Votre avis ne compte pas, seules importent nos lubies idéologiques. »"

jeudi, 25 septembre 2025

Dame Ernotte...

Pour saluer le magnifique bilan sectaire et comptable de Delphine Ernotte... (sur l'air de "Jeanne" de Brassens...)

Ernotte, salope,
ta maison est ouverte aux gens sans foi ni loi,
aux Legrand, aux Cohen qui vont boir' le caoua
avec la crème socialiste
pour fomenter leurs mauvais coups
et peindre en ros' bonbon Radio-France.

Ernotte, salope,
c'est avec not' pognon que tu format's plein pot
le peupl' que tu méprises à longueur de micros,
avec nos ronds que tu proclames
que t'as une sainte mission :
ouvrir la route à Faur', Glucksman, Mélenchon.

Ernotte, salope,
quand c'est que tu partages tes quatr' cent mille euros,
toi la grand' partageus', avec le populo,
quand c'est qu' t'invit's sur ta pelouse
quand c'est qu' t'invit's dans tes coktails
les prolos, les migrants qu' tu adores.

Ernotte, salope,
tes ratich' de grand' bourge qui rayent le plancher,
ton cul rose posé sur les coussins dorés,
ça te rend guère légitime,
pour prêcher la Révolution,
va falloir que tu te déconstruises...


Ernotte, salope,
le pouvoir, le pognon, c'est pas joli, joli
quand on est fan d' Foucault, Deleuze et Guattari,
qu'on est adepte du wokisme...
Toi la madon' des racisés,
t'as peut-être un peu trop d' visibilité...

Ernotte, ma pote,
tes quatr' cent mille euros, le jour qu' tu les donn' ras
aux migrants de ton coeur, au p'tit peuple d'en-bas,
tu s'ras la p'tit' Cunci qu'on aime,
alors ce jour-là, c'est promis,
j'effacerai la rime fautive...

lundi, 22 septembre 2025

Les consolations de François Morel...

Tu sais, Morel, au lieu de venir, six mois après, avec ta gueule enfariné de veuf éploré digne et transcendantal, nous faire, sans crier gare, quasiment impromptu, l’éloge funèbre et bouleversant de Madame sous les applaudissements compatissants de toute la corporation médiatico-gaucharde surjouant à donfe l’intense émotion cultureuse et humaniste que tu leur as procurée et te tressant des milliers de couronne mauves pour ce magnifique travail de deuil tellement bien peaufiné en direct live de la Grande Librairie, sous le regard attendri de l’angélique Traquenard des grands soirs et, entre parenthèses, une fois de plus avec nos ronds, tu vois, François, au lieu de cette petite comédie minable et pathétique du Bossuet du pauvre (ou du riche plutôt) venant (pourquoi lui ? par quel privilège éhonté ? quel passe-droit de copinage éditorial ? quels émoluments bien sonnants et trébuchants, si ça se trouve ?) nous causer de sa meuf dans le micro, les yeux courageusement plantés dans les yeux de millions de Français, bien cadré par la caméra, tout droit sorti de maquilleuse, avec deux doigts de fond de teint sur la gueule, tout propre sur toi, avec une syntaxe et un vocabulaire irréprochables (bien oubliés les «enculés» et les «fils de pute» de naguère...), tu vois, Morel, j’eusse préféré, au lieu de ce spectacle, baudelairien et bettancourien à la fois, de Mon coeur mis à nu parce que je le vaux bien, j’eusse préféré, disais-je, Morel, que tu vinsses nous faire dans le micro l’éloge funèbre de Thomas de Crépol qui semble pas t’avoir arraché de grosses larmes, de Philippine Le Noir de Carlan qui semble pas t’émouvoir plus que ça, de Lola Daviet et de tant d’autres que tu as finalement assez vite oubliés...
Certes, Madame Morel était, je n’en doute point, très gentille, mignonne à souhait et superbement intelligente (encore que pour s’embarquer si longtemps avec un connard de ton calibre, on puisse en douter...), certes la perte d’un être cher, même chez les gros cons qui s’empressent de courir défendre, toutes affaires cessantes, les deux tristes sires de la Propagandastaffel France-hitlérienne, pardon, France-Interienne, la veuve Legrand et l’orphelin Cohen, à coups d’ «enculés» et de «fils de pute», est toujours une tragédie, mais une tragédie, excuse-moi, François, malgré l’importance que tu et que l’on t’accorde dans le petit monde de l’intelligentsia médiatique officielle, subventionnée et labellisée, une tragédie minuscule, intime, personnelle et qu’on doit pouvoir traiter, comme tout un chacun, chez soi, avec deux kleenex et trois insomnies, voire avec quelques séances de psy à 300 balles la demi-heure, ce qui devrait pas trop grever un budget qu’on imagine assez confortable chez le partageux repenti que tu es...
Mais de là à venir faire chialer toutes les chaumières de France et de Navarre sur ton intime chagrin et ton immarcescible douleur, alors qu’il y a tous les jours, Morel, des mecs et des meufs qui se font buter par des vrais enculés et des sacrés fils de pute, des mecs et des meufs, même pas malades, qui vont crever à 18, 20 ou 25 ans et qui vont bouffer de la terre pendant l’éternité, et des familles entières qui vont traîner cette souffrance toute leur vie à cause de la longue et pourrie politique pénale des crapules badintéro-taubiresques et magistraturement syndiquées que tu adores, de là, donc, à venir faire chialer le populo sur ta Madame se meurt, Madame est morte perso et nombriliste, y a un fossé que, hélas, en vieux et minable cabotin que tu es, tu as franchi allègrement avant, primesautier en diable et divinement consolé, de venir, même pas huit jours après, nous parler joyeusement et un peu moins pathétique, de la ... «tototte» (ça, c’est de la chronique !) sous les rires niais et complaisants de l’orchestre France-Inter au grand complet sous la direction de l’indéboulonnable Ali Baddou, victime sans doute (tiens, tu pourrais en faire une chronique...) du racisme systémique et nauséabond de ces cons de Français...
Ecarte-toi un peu, Morel, je crois que je vais dégueuler...

mardi, 16 septembre 2025

François Morel, suite et fin...

Et voilà le Meslet qui s’en mêle !
Ils sont venus, ils sont tous là, dès qu’ils ont entendu le cri : ils vont le virer le Thomas, ah, ah, ah...
Non, non, qu’on se rassure, ils le vireront pas le Thomas Legrand, pas plus qu’ils ne vireront le Cohen...
Car déjà la meute monte au créneau : le Meslet en tête, directeur de je ne sais quoi, puis la Pigalle, directrice de mes deux, et bientôt, sans doute, la Société des journalistes de Radio-France, les syndicats, les zumoristes patentés, les chroniqueurs ubiquitaires, les pigistes, les preneurs de son, les maquilleuses, les Guillaume Erner de France-cul, sans oublier l’indispensable comité d’éthique maison, toutes et tous à venir défendre l’impeccable déontologie à géométrie variable des deux clowns tristes mouillés jusqu’au trognon... Et tous de bien tortiller du micro pour dire que non, ils n’ont pas dit ce qu’ils ont dit et qu’en bon français médiatico-progressiste, "faire ce qu’il faut pour Dati, Patrick et moi», ça veut surtout pas dire : «On va se la descendre vite fait», ni «T’inquiète, papa, elle sera vite grillée», ni «On va lui accrocher une belle casserole au cul», ni «Le contrat sera exécuté point par point», ni «On a suffisamment l’habitude de tripoter l’info pour que vous puissiez nous faire confiance», ni «Pas de panique, on tient toutes les rubriques de la maison», ni «C’est comme si c’était fait, les amis, vous pouvez rassurer Olivier Faure», ni... ni... ni... Non, bien sûr, rien de tout ça. «Faire ce qu’il faut pour Dati, Patrick et moi», ça veut juste dire que Patrick et Thomas vont aller offrir un joli bouquet de fleurs à Rachida pour son anniversaire le 27 novembre prochain...
Ce que c'est, quand même, la gentillesse...

dimanche, 14 septembre 2025

Petit prolongement morelesque...

Si je me suis permise de traiter le Morel d’ «enculé» et de «fils de pute», moi d’ordinaire si tant tellement gentille et affable, c’est que ce délicat, de gentil, ce lettré, avec sa voix de merde et sa componction de notaire, a débuté ainsi les propos dont je causais hier, manifestant par là toute l’aménité humaniste et la généreuse tolérance qui sont les siennes...
Et le Morel, encore plus con que l’on ne saurait imaginer, dans sa furieuse passion de défendre les copains et les coquins avec lesquels il partage à pleines louches le gâteau france-interesque (combien, au fait, le salaire et le patrimoine de ces trois ordures partageuses ?), ce connard, disais-je, ou presque, ne s’est même pas avisé que le Cohen copinant autour d’un café avec les député socialos et s’offusquant ensuite, toute honte bue, des images volées de leur collusion manifeste, le Cohen est le même qui jadis, c’était en février 2018, à propos d’images et de propos volés sur le compte, cette fois, de Laurent Wauquiez, avait trouvé tout à fait corrects, déontologiquement justifiés et peut-être même exemplaires ces agissements !
Décidément, il y a quelque chose, et même beaucoup de choses de pourries au joli royaume de Dame Ernotte...

samedi, 13 septembre 2025

La crapule François Morel...

Un certain François Morel,
enculé de haute graisse,
plein de haine et plein de fiel,
plein de merde et de bassesse,

plein de merde dans son cul,
dans sa bouche et dans sa gueule
de roquet entretenu
par Ernotte, nous dégueule,

chaque vendredi, le con,
ses chroniques de débile,
payées sur notre pognon,
et ce connard, ce fossile,

dans un entre-soi puant,
dans un entre-soi obscène,
vient sauver Thomas Legrand,
vient sauver Patrick Cohen,

les deux cons de France-Inter,
les deux sectaires immondes,
et Morel prend ses grands airs,
(on se croirait dans"Le Monde")

pour trouver bien indécent
qu'on dévoile les magouilles
de ces nouveaux bien-pensants
qui s'en mettent plein les fouilles

en imposant chaque jour ,
chaque instant, chaque minute,
leurs despotiques discours...
Morel, t'es qu'un fils de pute !

mardi, 02 juillet 2024

Les gauchos de l'info...

Ah ! comme il fait bon les prendre sur le fait, les journaleux de France-Culture, tous les plus merveilleux déontologues réunis, docteurs ès démocratie, humanistes patentés, impartialité et tolérance à tous les étages, doigts d’l’homm’ sur la couture du pantalon, esprit d’ouverture en sautoir et en gingle, comme il fait bon les voir dans tout leur sectarisme à vomir, leur partialité de petits kapos du régime, la grande peur des bien-parlants, tripoteurs d’infos, magouilleurs de dépêches, truqueurs, trompeurs, faussaires et menteurs...
Pas plus tard qu’hier, lundi, au lendemain du raz-de-marée du Rassemblement National, le 7-9 de Quentin Lafay (ancien conseiller et rédacteur des discours d’Emmanuel Macron !), avec aux manettes une certaine Margot Delpierre en formateuse en chef... Que croyez-vous qu’il arriva ? Ce fut le RN qui morfla !
-Acte I : Monsieur Quentin Lafay soi-même ouvre son émission sur cette phrase : «Très heureux de vous retrouver, malgré le contexte politique...», comme si ce gugusse, payé grassement par nos ronds, avait le droit de nous gratifier de ses états-d’âme et de ses émois de pucelle effarouchée devant des résultats électoraux qui semblent lui donner des vapeurs !
-Acte II : Dans les différents commentaires et analyses qui vont suivre, le mot «Extrême-Droite» va revenir environ une dizaine de fois pour qualifier le RN, alors que pas une seule fois le mot «Extrême-Gauche» ne sera prononcé pour qualifier le NFP ou LFI ou, mieux encore le NPA !
-Acte III : On n’entendra dans ces cinq minutes d’info aucune déclaration de Marine Le Pen ou Jordan Bardella, ni d’aucun responsable du RN ni même d’aucun militant... Par contre, vont s’exprimer tour à tour Sabrina et Laetitia qui sont «affligées et désolées», puis Sabrina Agresti-Roubache, secrétaire d’Etat à je ne sais quoi, avec pour mantra «Pas une voix pour le RN», puis un militant marseillais «choqué et inquiet», puis Edouard Philippe qui évoque «l’abîme», pusi Gabriel Attal, mort de trouille devant le RN «aux portes du pouvoir», puis un «ccordinateur du PCF» appelant au «sursaut», puis Marine Tondelier exigeant un «front républicain», puis Olivier Faure, des sanglots dans la voix, en bâtisseur de «barrage», puis Mélenchon soi-même éructant «c’est eux ou nous», et enfin Besancenot scandant et faisant scander «No pasaran» !
Et la séquence de s’achever sur ce «constat» d’un rassemblement sans aucun débordement alors que l’on a vu dans quelques grandes villes des vitrines saccagées et des poubelles en feu...
Voilà comment l’on distille, jour après jour, au pays de France-Culture, l’information officielle, déontologiquement tracée et non-partisane...
Et pendant ce temps, ils font quoi les zombies de l’Arcom, payés, eux aussi, grassement par notre pognon ? Ils visionnent en boucle «Questions pour un Champion» ou «L’amour est dans le pré» ?

lundi, 11 mars 2024

Rita Macrono...

Comment peut-il être assez vil, assez bas, le minable petit marquis poudré qui nous sert de Chef d’Etat pour aller choisir, pour chanter l’hymne national, au jour de la constitutionnalisation de l’avortement, pour aller choisir, comme 344° «salope» officielle et estampillée, une vieille peau sur le retour, cette Catherine-Ringer-des-Rita-Mitsouko qui fut jadis actrice porno dans au moins une vingtaine de films ?!
Ainsi le message est clair : faites-vous baiser par tous les trous et dans toutes les positions, dans l’orgie sexuelle la plus bassement viandarde, et quand c’est fini, courez vite aux «343 Salopes réunies» du planning familial qui vous débarrasseront vite fait bien fait, gratos et avec le sourire, de cette petite chose insignifiante qu’on appelle un foetus et qui, à 14 semaines et même à 10 et même à 5 sans doute, a déjà toutes les caractéristiques de l’enfant qu’il aurait pu être...
Et toute la macronie hilare, Attal, Macron, Deneuve, Dupond-Moretti et autres excellences... de s’abaisser d’un même mouvement devant cette Catherine Ringer qui se prend pour une résistante à Macron parce qu’en partant elle lui envoie un «vent» mais qui, si elle avait eu les couilles qu’elle se targue d’avoir, aurait juste refusé d’aller se faire mousser à l’occasion de ce qui, même du point de vue des avorteurs patentés, n’était rien d’autre qu’une énorme mascarade électoraliste... Beuark !

vendredi, 08 mars 2024

Macron l'avorteur...

Macron l’indigne, et son discours Place Vendôme, au milieu de sa cour et de ses courtisans, hilares...
Macron l’ignoble, tout dans la com et l’électoralisme le plus vil, les yeux rivés sur les Européennes du mois de juin et la déculottée prévue de son camp et de son clan, qu’il pense ainsi, sans doute, pouvoir atténuer...
Macron l’infâme, qui se fout bien pas mal de ce dont il cause, des malheurs, des douleurs, des souffrances, des angoisses des avortées et des avorteuses, pourvu que tout ça, au bout du compte, lui apporte les voix sociétales espérées dont il a bien besoin pour redorer son blason...
Macron l’abject, et pas un mot dans son discours sur les souffrances, les malheurs, les angoisses et les douleurs des autres, celles qui ont eu le courage d’aller au bout d’une grossesse non désirée et problématique, celles qui ont dû se battre au jour le jour pour élever l’enfant qu’elles avaient porté et qui, malgré tout, était la chair de leur chair...
Pas un mot pour tous ceux qui se battent pour un combat d’une autre et plus certaine noblesse et qui pensent que l’on peut aussi être du côté des femmes en leur proposant les aides qui leur permettront de garder et d’élever leur enfant...
Pas un mot pour toutes ces Françaises et ces Français qui pensent que le foetus, dès les premiers jours de sa conception, est une vie à respecter et qui font pas partie du club des 343 salopes labellisées et désormais révérées sur tous les autels pourris de la République...
Pas un mot, de la part de ce soi-disant représentant, garant et champion de l’unité nationale, pour tous ceux qui appuient leurs raisons de vivre sur autre chose qu’un droit individualiste exacerbé, sur un «jouir sans entraves» dont le résultat le plus patent est cette société fracassée, divisée et anxiogène qui est la nôtre...
Macron l’obscène, petit roquet insignifiant qui ne sait rien ni de la paternité ni de la maternité et qui veut imposer au monde entier, sur un sujet aussi douloureux, l’évidence d’une pseudo-conviction qui n’a d’autre fondement que d’essayer de sauver dans les urnes du mois de juin deux quinquennats de merde... Beuark !

jeudi, 29 février 2024

IVG : Ce qui est insupportable... (1)

Ce qui est insupportable chez la quasi-totalité des ordures cultureuses, journaleuses, politiques, médiatiques qui se réjouissent à micros-que-veux-tu du vote de la constitutionnalisation de la loi sur l’avortement, ça n’est pas qu’ils soient pour cette constitutionnalisation ou tout simplement qu’ils soient partisans de l’avortement, ce qui, après tout, pourrait se concevoir, mais c’est qu’ils parlent de cela comme s’ils parlaient d’un bout de bidoche qu’on abandonne aux chats, alors même qu’ils savent parfaitement, tous, de façon intuitive ou réfléchie, qu’un embryon n’est pas juste un morceau de viande, que l’embryon de 14 semaines dont la loi aujourd’hui autorise la suppression, ou celui de 10 semaines dont la loi, à l’origine, autorisait la suppression, ou même celui de quelques jours, voire de quelques heures, fût-il le résultat d’un acte sexuel fait sans amour ou avec violence, porte en lui, malgré tout, cette différence fondamentale qu’il est une vie humaine en devenir et qu’à ce titre on ne devrait envisager sa suppression qu’avec beaucoup de retenue, de délicatesse, de respect, de décence, d’angoisse et de tremblement, comme si, d’une certaine façon on touchait au sacré, à l’absolu...
Au lieu de quoi on a ces trognes à dégueuler, ces visages de roquets duhaméliens ou d’aboyeuses soi-disant féministes, qui sont à peine des visages, des gueules plutôt, des museaux, des groins, pleins d’obscène satisfaction, bouffis de leur certitude de dominants, débordants de leur pornographique «victoire», victoire qui n’est rien autre que la défaite même de toute humanité...

mardi, 10 novembre 2020

Ni Charlie, ni Paty...


Alors, sous prétexte que ces zozos se sont fait buter par les Allahoukbar faudrait en faire des héros, leur tresser des couronnes et aller s’agenouiller pieusement devant les catafalques bleu-blanc-rouge de la République larmoyeuse !
Comme si la mort, même brutale, même injuste, transformait d’un coup les cons en génies et les provocateurs ordinaires en héros majestueux...
Alor que c’était quoi, les Charlie, les Cabu, les Wolinski... etc...sinon des espèces de jouisseurs attardés, de provocateurs de mes deux, des cracheurs de venin bien ciblé dans le sens des vents dominants de la pensée 68, contre l’Armée, la Famille, l’Etat, l’Eglise, les flics, là où, finalement, ça mange pas de pain... Et les dignes descendants de cette troupe de branquignolles se font protéger aujourd’hui jour et nuit, avec nos ronds, pauvres minables, pauvres pleutres, pauvres débiles, par ces mêmes flics et ce même Etat qu’ils vomissaient allègrement avant que les djihadistes de banlieue leur apprennent les bonnes manières...
Et l’autre Paty, le prof magnanime décoré avec pompes et fracas par tous les ors de la République en grand appareil... L’autre Paty qui, trouve rien de mieux pour évoquer la liberté d’expression et la censure que de montrer à des collégiens Mahomet le cul à l’air avec les couilles qui pendent... comme s’il y avait rien de mieux éducatif, de moins ignoble, de plus pédagogique que d’aller pêcher dans les égouts de la Presse -Charlie de quoi abaisser un peu plus l’âme et le coeur et l’intelligence de la jeunesse de France !
Et faudrait que je me badge que je suis eux, que je suis lui, pour marquer ma solidarité aveugle et totale avec ça, sous prétexte que les Charlie se sont pris des bastos dans le buffet et que le Paty s’est fait décapiter par un violent !
Holà ! tout doux, messeigneurs, permettez que je choisisse mes héros ailleurs que dans la galerie laïque, obligatoire et frelatée qu’on veut m’imposer comme Panthéon personnel et portatif...
Ah ! petite précision à l’adresse des chercheurs de merde et des robots dénonciateurs de propos incorrects : je veux bien m’incliner devant la douleur des familles et récuser la violence des assassins, mais vous allez avoir du mal à faire de moi la gentille militante du prêt-à-porter idéologique qui vous sert de pensée...
Lou debout...

mardi, 02 juin 2020

Black dollar...

Ah ! qu’elle est belle toute la cohorte joyeuse des connards du sport et du show biz, les Omar Sy, Monfils, Tsonga, Pogba, Mbappé..., tous pleins aux as à trémousser leur carcasse sur scènes, courts et stades, et tout d’un coup remplis d’une grosse émotion compassionnelle pour les pauvres blacks victimes de l’horrible racisme blanc et des violences policières...
Et tous ces connards oublient juste de dire quatre choses :
-un, que le gentil Floyd en question, comme tous les Adama Traoré de chez nous, n’est pas un enfant de choeur, qu’il est un délinquant notoire et que, lorsqu’il lui arrive de se faire gauler, s’il se laissait gentiment menotter par les flics comme tout un chacun, probablement qu’il passerait juste quelques semaines en taule plutôt que de prendre la direction de la morgue...
-deux, que la proportion de blancs tué par des policiers noirs est largement supérieure aux States à la proportion de noirs tués par des policiers blancs, et pourtant on observe pas à chaque fois le grand ramdam médiatique des justiciers de service...
-trois, que toutes ces ordures prennent bien soin de pas dire un mot pour condamner les violences, les saccages de toute cette si gentille communauté afro-gaucho-américaine qui ne rêve que de vivre ensemble et, accessoirement, de pillage citoyen...
-quatre, que tous ces connards d’artistes et de sportifs qui se la pètent généreux humanitaires quand il s’agit du prétendu racisme ferment grave leur gueule lorsqu’il s’agit de justice sociale... Et on aimerait bien les entendre de temps en temps sur l’immense violence sociale que sont leurs salaires indécents, leurs patrimoines grandioses, leurs résidences secondaires, tertiaires, quaternaires, leurs yachts, leurs bagnoles, leurs oeuvres d’art, leur pognon planqué dans les paradis fiscaux, tout ça comparé au smic de l’éboueur moyen ou de mon plombier qui se lèvent le cul chaque jour pour un salaire de misère...Mais là, silence radio, là, pas de réseaux sociaux en alerte, pas de grandes déclarations généreuses devant les caméras, là, toutes ces ordures, le cul bien calé sur leur tas de blé, ferment gentiment leur gueule en sirotant leur millésime préféré sur fond de caviar obscène... Beuark...!

samedi, 30 mai 2020

Joffrin versus Raoult...

Qui c’est Joffrin ? Un con. Un gros con médiatique ubiquitaire, qu’on voit partout promener sa suffisance et ses avis péremptoires...
Si encore il se contentait, l’enflure, de se répandre dans le torchon quotidien qu’il dirige (Libé), tranquillement assis sur le tas d’or de tonton Drahi subventionné à pleins tuyaux par notre pognon, mais il lui faut en plus, pour arrondir sans doute des fins de mois déjà sacrément rondes et convexes et obèses et grassouillettes à souhait, il lui faut aussi les radios, les télés, toutes les tribune médiatiques d’ici, de là et d’ailleurs où il affiche en permanence sa gueule enfarinée, déverse son omniscience journalistique et assène ses jugements définitifs du haut de son magistère imperturbable...
Et tiens, là justement, dans Libé, à trois jours d’intervalle, le voilà le Joffrin-Mouchard ou Mouchard-Joffrin, c’est tout pareil, le voilà qui, le 23 mai, se fend d’une diatribe anti-Raoult ousque le Marseillais préféré des Français ne serait qu’une «grande gueule», qu’un charlatan dont toute personne «un tant soit peu rationnelle» devrait se méfier comme de la peste, d’autant qu’une étude forcément géniale, forcément imparable et scientifiquement irréprochable, étude parue dans le Lancet, revue qui trône en permanence sur la table de chevet du Joffrinou, viendrait de lancer un gros pavé bien dense et contondant dans la gueule furibarde, péremptoire et chevelue dudit Raoult...
Et Trouduc-Joffrin, plus diafoirus que moi tu meurs, de choisir clairement son camp : d’un côté les «énervés» pro-Raoult, bande de sous-beaufs populistes forcément ignares et avinés, de l’autre, «la grande majorité des pontes de la médecine» au-dessus, bien sûr, de tout soupçon de quelque collusion que ce soit avec les labos ou les industriels...
Bon. Ca, c’était le 23 mai. Joffrin avait parlé, Mouchard avait approuvé. Ugh, j’ai dit !
Mais voici que trois jours plus tard, le 29, des dizaines, des centaines de pontes de la médecine et de la science encore plus pontes que les pontes à Joffrin, viennent déclarer que l’étude du Lancet c’est guère mieux que de la merde et que les résultats merveilleux et accablants dont Joffrin avait fait ses choux gras sont biaisés par tous les trous et valent pas tripette...
Que croyez-vous qu’il arriva ? Le Joffrin fit mea culpa ? Que nenni ! Imagine-t-on Laurent le Magnifique s’aller répandre de tribune en tribune pour avouer tout simplement son erreur, faire amende honorable et dire qu’il était peut-être allé un peu vite en besogne et qu’on ne l’y reprendrait plus à s’enflammer grave sur un sujet où il comprend nibe et où son idéologie progressiste à la noix lui sert de lampe à pétrole... Que nenni ! vous dis-je... L’honnêteté intellectuelle, la simple franchise, l’élémentaire loyauté, c’est bon pour le peuple d’en-bas, pour les «petits», les «sans-grade» ou les «sans-dents», mais lui, Lolo-la-Science, persiste et signe et, plutôt que reconnaître humblement sa boulette, enfarine ses lecteurs dans une espèce de dissertation pour terminale S d’où il ressort que «ce n’est pas la science qui trompe l’opinion. C’est sa politisation.»
Dis, Joffrin, ça t’aurait arraché la gueule de dire juste que, pour l’occasion, c’est pas la science, bien sûr, qui trompe l’opinion, mais ton opinion de chiottes qui, joli coup double, trompe et la science et les lecteurs...
Et dire que c’est ça qui est, paraît-il, le fleuron de la presse française, c’est cette saloperie quotidienne, financée par notre pognon, qui est citée et reprise avec empressement, déférence et componction dans toutes les revues de presse de toutes les radios et de toutes les télés...
Et y en aura pas un dans toute cette pourrie corporation de la médiacratie dominante pour aller dézinguer un connard qui donne des leçons de morale au monde entier et qui a pas les couilles de se mettre un sac de cendre sur la tronche pour avouer humblement, pour une fois, qu’avec ses a priori idéologiques à la con il a enfumé grave le populo... Beuark...
Lou...

vendredi, 08 mars 2019

France-Cul, l'esprit des verrous...

Ah ! les ordures journaleuses, les petites crapules propagandistes, le Guillaume Esner, par exemple, ce matin sur France-Cul, à nous passer et repasser en boucle, en se léchant les babines, la condamnation de Barbarin, et l’Eglise pédophilienne par-ci, et la Manif pour Tous par-là, et que je te refasse un petit coup de pub pour « Grâce à Dieu », au cas où l’artillerie lourde publicitaire déployée depuis des semaines aurait toujours pas suffi à faire de François Ozon la Loi et les Prophètes qu’il mérite… Ah ! les salopards ! Comme ils ont été et sont toujours bien silencieux et discrets sur les révélations de Monseigneur Vigano concernant leur cher, très cher Pape François, le Pape des Migrants, le Pape de l’Ecologie, le Pape tiers-mondiste qui aurait couvert pendant des années combien d’autres excellences cardinalices tripoteuses d’enfants…Oui, mais voilà, Monseigneur Vigano serait un affreux réactionnaire, un horrible rétrograde, un infâme traditionnaliste et ses révélations, pourtant si bien argumentées, ne sont alors que broutilles insignifiantes pour la corporation des menteurs associés et des paraplégiques de l’information vaticane…

Et en ce 8 mars, au moment même où l’on apprend que des centaines de pourritures journalistes, dans les plus honorables rédactions parisiennes du soir et du matin, ont harcelé et harcèlent encore, par mains aux fesses interposées , coucheries promotionnelles et plus si affinités, des centaines de jeunes femmes en quête de notoriété médiatique, croyez-vous que Guillaume le Conquérant aurait fait venir sur son plateau quelques-unes de ces harcelées pour qu’elles balancent enfin en direct urbi et orbi les porcs-rédacs-chefs, les cochons-directeurs-éditoriaux qui formatent depuis des lustres la tronche du populo à grands coups d’humanisme altruiste et généreux tout en se faisant généreusement turluter sur la moquette par la stagiaire de service… ? Que nenni, on aime mieux faire venir la Balasquette qui va gentiment causer dans le poste sans faire de vagues et faire la promo, et du film de son pote Ozon ousque par pur hasard elle est dans le casting, et de son bouquin qui sort, comme c’est étrange, ces jours-ci… France-Cul, l’esprit d’ouverture, vous avez dit ? On se calme : je verrais bien le Guillaume Esner en voyageur de commerce pour grillages, clôtures, targettes et verrous ! Beuark !

mercredi, 09 janvier 2019

Sacré Honoré!

« Il est merveilleux de voir comme les hommes savent toujours s’entendre et s’unir pour une oeuvre d’agression et de destruction, tandis qu’ils sont si mous et si divisés quand il s’agit de résister et de conserver : la possession énerve. Il n’y a que ceux qui n’ont rien qui sont capables d’action. Voyez Rome s’élançant de ses collines pour conquérir le monde, et, quand elle est devenue l’empire romain, quand, en partageant son territoire, elle pouvait faire à chacun de ses citoyens un royaume, elle succombe sous le choc de quelques hordes barbares et inconnues que ses armes avaient dédaignées jadis dans leurs marécages et leurs forêts glacées. »

Balzac, Dom Gigadas.

mercredi, 07 février 2018

Justice de merde !

Ah ! qu’elle est belle la justice française ! Ah ! comme ils doivent jubiler le vieux Badinter et la vieille Taubire vautrés sur leur moquette du 16° en train de déguster quelque single malt d’exception en trinquant à la santé de cette justice de merde qu’ils ont contribué à fabriquer… ! Justice a été rendue : le jeune Sofiane Zermani, alias Fianso, alias rappeur débile, alias coqueluche de toute la corporation médiatique vautrée devant le politiquement correct, le métissage sémantique et la modernité triomphante, ce jeune con, donc, se permet, en avril 2017, de carrément bloquer une portion d’autoroute pour tourner un clip. Ni demande en préfecture, ni autorisation et ducon Sofiane s’accoude à une table de bistrot au beau milieu de l’autoroute A3 entouré d’une dizaine de figurants, sans se soucier une minute des risques d’accidents, sans rien avoir à faire de perturber grave la vie de centaines d’automobilistes, de mecs qui vont au boulot, de meufs qui vont à l’hosto… Mieux, il recommence quinze jour après à Aulnay-sous-Bois en déambulant au milieu de la chaussée entouré d’une centaine de figurants pour tourner un autre clip.
Et il a pris combien, le beau Sofiane, pour ça ? Eh bien il a pris quatre mois de prison avec sursis et 1500 euros d’amende !! Et son avocat, autre sous-merde judiciaire, de triompher en évoquant un « jugement très satisfaisant » et le Sofiane de se dire probablement in petto qu’il l’avait mis bien profond à cette salope de juge face-de-craie…
Et si mon Tonton Marcel demain il oublie cinq minutes sa ceinture ou s’il regarde furtivement le texto qui vient de lui arriver sur son vieux portable, il va avoir droit à trois points et 135 euros d’amende… Seulement mon tonton, lui, il fait pas de clip débile, il crache pas sur les flics et il paye ses impôts…
Selon que vous serez puissant ou misérable… Sauf qu’aujourd’hui, les puissants c’est les Sofiane et consorts, et les misérables, c’est le français moyen… Beuark !

Allez voir là : http://www.lemonde.fr/musiques/article/2017/04/12/enquete-sur-l-operation-escargot-du-rappeur-fianso_5109871_1654986.html?xtmc=sofiane_zermani&xtcr=1

mardi, 06 février 2018

Omerta...

Tiens, ils ne nous avaient donc pas tout dit, les ordures journaleuses de France-Cul et médias assimilés ! Ils ne nous avaient pas dit, dans l’affaire bien lourdement médiatisée de cet Italien de la Ligue du Nord qui a tiré sur un groupe de migrants, il y a deux jours, et en a blessé quatre, ils ne nous avaient pas dit que dans cette ville, Macerata, trois jours plus tôt, le 31 janvier, une jeune fille de 18 ans avait été sauvagement assassinée et découpée en morceaux par un Nigérian ! Bizarre, non, comme ils se posent pas trop de questions, parfois, les Guillaume Erner et consorts, bizarre comme ces enquêteurs exigeants, ces fouille-merde professionnels à qui la culture de l’excuse sert ordinairement de vade-mecum, ces journalistes d'investigation minimale vont pas trop loin chercher les explications qui pourraient gêner le formatage humanitariste pour lequel ils sont grassement payés… Beuark !


lundi, 05 février 2018

Les femmes et les enfants d'abord...

Entendu ce soir aux infos : « En raison de la vague de froid annoncée, les diverses structures d’accueil de la Region Ile-de-France vont ouvrir grand leurs portes cette nuit, avec priorité aux femmes et aux enfants ».
De quoi, de quoi ?
Et la Bimbo qui nous sert de Secrétaire d’Etat à l’égalité Hommes/Femmes, la Marlène même pas Dietrich qui se la joue plus féministe que moi tu meurs, celle qui parle de féminicide dès qu’un mec mate grave le genou de Claire, Madame Schiappa soi-même donc ne s’est pas fendue d’un tweet assassin immédiat et vengeur pour dénoncer cette atteinte intolérable à la dignité reconquise des femmes, ce traitement de faveur qui n’est rien d’autre que la trace honteuse de millénaires d’asservissement mulieresque et de domination patriarcale ?
Priorité aux femmes et aux enfants !… Décidément le schiappisme n’est plus ce qu’il était…

vendredi, 02 février 2018

Maurras, encore...

Libé encore, Libé toujours, Libé-torchon, Libé-ragots, Libé-Joffrin, Libé-Mouchard et aujourd’hui une superbe cohorte d’historiens, sociologues, militants, littérateurs, sans oublier bien sûr un raton-laveur, pour s’indigner de la commémoration du cent-cinquantième anniversaire de la naissance de Maurras.
Quelques perles dans cette prose laborieuse : « Maurras disait lui-même de sa pensée qu’elle était strictement indissociable de la haine des Juifs ». Va falloir qu’ils nous trouvent la citation exacte, les historiens à la noix, pour nous faire avaler la couleuvre. Chuis pas vraiment sûre que le mot « haine » soit celui retenu par Maurras qui écrivait dans sa magnifique « Prière de la fin » : « Ce vieux cœur de soldat n’a point connu la haine… ». Et quant à l’antisémitisme de Maurras (antisémitisme d’Etat qu’il faudrait prendre le temps d’expliquer, mais nos « historiens » sont pressés !), il n’est motivé par aucune haine, mais par une analyse sociologique dans laquelle Maurras inclut les Protestants, les Francs-Maçons et les Métèques, ce qui manifeste bien que tout caractère racial en est exclu.
D’autre part, si la question juive est au centre, au cœur et à la racine de la pensée politique de Maurras, va falloir peut-être que les gugusses signataires nous expliquent pourquoi, dans « Mes Idées politiques », ouvrage de plus de 300 pages, paru en 1937 et rassemblant l’essentiel de la pensée politique de Maurras, pourquoi donc il n’y a pas un seul chapitre consacré à l’antisémitisme, et pas un seul consacré à la notion de race… Bizarre, non, pour un obsédé de la pigmentation et du génotype ? Il va falloir aussi qu’ils nous fassent l’exégèse de ce paragraphe tiré de « Devant l’Allemagne éternelle » (1937) :

« Certes, il y a des races ! certes chacune a bien son âme et son génie, mais la race n’est point tout, il y a bien d’autres facteurs, et la constitution de la nature humaine, ses traits essentiels et ses grandes lignes, ne sont peut-être pas les plus négligeables de ces facteurs tant négligés. C’est une vraie merveille, en effet, de voir l’homme, à quelque type de nation qu’il appartienne, une fois qu’il est placé dans une certaine situation, réagir uniformément, quel que soit le temps, le lieu, la couleur de la peau, et réaliser avec constance à peu près le même type de constitution sociale… ».

Ah ! autre perle : les mêmes agités du bocal se posent une autre question : « Inscrirait-on Marcel déat, Jacques Doriot, Pierre Laval, Philippe Henriot, sur la liste des commémorations nationales ? »
Euh… est-ce qu’on peut leur dire à ces grands professeurs d’histoire et de littérature aux titres ronflants que les quatre noms cités ne jouent pas vraiment dans la même cour et que la grandeur de l’œuvre intellectuelle, littéraire et politique des Déat, Doriot, Laval et Henriot n’est peut-être pas tout à fait au niveau de celle d’un Maurras qui irrigua et influença toute l’élite intellectuelle de la fin du XIX° et du début du XX°…
Mais nos historiens-censeurs et cuistres à grands ciseaux n’en ont cure. Ce qui compte pour eux, c’est de réactiver les vieux réflexes anti-extrême-droite des années 80 et de formater bien profond la conscience d’un peuple qu’on n’appelle régulièrement aux urnes que pour qu’il y glisse le bulletin sans surprise qu’on lui a soigneusement concocté dans d'obscures officines…

jeudi, 01 février 2018

Il est où Yann Moix ?

Il est où Yann Moix aujourd’hui ?
Il est où avec ses grandes phrases à la Zola et ses ultimatums de petit roquet médiatique ?
Il est où au moment où les angelots de Calais, ses chers « migrants-exilés » humanistes, altruistes, généreux et non-violents se tapent joyeusement sur la gueule, se flinguent quasiment à bout portant, au moment où l’on dénombre dans la jungle 17 blessés dont 4 par balle qui sont entre la vie et la mort, à l’occasion d’une rixe fraternelle entre Africains et Afghans ?
Il est où avec son vivre-ensemble, sa compassionnite en sautoir et ses grands airs de chevalier blanc, genre je suis une ong à moi(x) tout seul… ?
Il doit être sur les genoux de Ruquier, vautré quelque part sur l’épaisse moquette du studio surchauffé ou dans la salle de maquillage, attendant qu’on lui frisotte la moumoute avant de rentrer en scène nous refaire devant les caméras le coup des odieux policiers en train de méchamment gazer les si gentils et si pacifiques exilés-migrants de son cœur qui sont finalement un sacré joli tremplin pour l’estime de soi(x)…
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Pour mémoire, (Le Monde d'aujourd'hui) :

"Il s’agit du bilan le plus lourd depuis le 1er juillet 2017, lorsque des bagarres interethniques avaient fait seize blessés, dont un grave. Un an plus tôt, le 26 juin 2016, d’autres rixes avaient fait quarante blessés, dont aucun n’avait été atteint gravement.
La dernière rixe entre migrants ayant débouché sur des blessures par balle remonte au 25 novembre 2017, lors d’un échange de tirs entre deux groupes d’Afghans, possible règlement de comptes entre passeurs. Cinq d’entre eux avaient été blessés."


mardi, 30 janvier 2018

L'intelligence peut se passer de Joffrin...

Il retient quoi, l’ordure Joffrin, des milliers de pages écrites par Maurras tout au long de sa vie ? Il retient quoi de ce « contemporain capital » salué par Apollinaire, Cocteau, Malraux et tant d’autres et qui eut une influence majeure sur toute la fin du XIX° siècle et sur la première moitié du XX° ? Il retient quoi de cet intellectuel d’un courage et d’un désintérêt absolus, tout entier donné à la recherche du bien commun français et des moyens de ce bien commun ? Il retient quoi, Joffrin-Mouchard, de ce monument d’intelligence, lui qui n’a pas dû lire plus de 20 lignes de Maurras et qui ne sait que crachoter dans son torchon la vulgate ordinaire imposée depuis 1945 par toute la presse résistantialiste et les médias bien-pensants ? Il ne retient bien sûr que la « haine antijuive » et le « monarchiste antisémite », oubliant de préciser qu’à cette époque l’antisémitisme de gauche se portait largement aussi bien que celui de droite, oubliant de préciser que l’antisémitisme de Maurras n’était pas un antisémitisme biologique mais un antisémitisme d’Etat qui luttait de la même façon contre les Protestants et les Francs-Maçons, ce qui nous éloigne quelque peu du racialisme d’Hitler, oubliant de préciser que les nazis eux-mêmes faisaient de Maurras non un simple « résistant » à leur politique, mais un « opposant », ce qui a une autre gueule, oubliant de préciser enfin ces lignes de Maurras consacrées à Pierre David, « héros juif d’Action Française » tombé au combat en septembre 1918 : « Son chemin ainsi accompli, tout seul, des confins de l’antimilitarisme jusqu’à ce degré de nationalisme intégral qui se donne et se sacrifie tout entier, mérite de rester dans les souvenirs du peuple français comme exemple vivant de la fidélité à ses forces anciennes et d’une accueillante hospitalité aux éléments extérieurs. La nationalité se crée par l’hérédité, par la naissance : le mot le dit. Elle peut s’acquérir par de bons services rendus… »


lundi, 22 janvier 2018

Les émois de Moi(x)...

Ah ! la mignonne ordure Yann Moix, le Zola du pauvre, qui prend Libé-Caviar pour l’Aurore et qui se prend lui, Moix, et Moix, et Moix, et Moix, chroniqueur-caviar de chez Ruquier (appointé à combien par émission, au fait, sur l’argent public ?) pour tonton Emile !
Yann Moix donc, en larmoyeux plumitif accusateur, linguiste benvenisto-saussurien d’exception, littérateur hors norme capable de citer Tartuffe, Lapalisse et Pinocchio dans un même soupir, Yann Moix capable surtout de se faire mousser le croupion, moralement et littérairement, sur le dos d’exilés-migrants ou migrants-exilés (le destin face au chiffre, dit-il, en sous-philosophe de sous-préfecture) qui lui tirent les larmes du stylo et les sanglots de la caméra et qui ne sont, tout bien pesé, que des malheureux, certes, mais également, comme dans toute société, des hors-la-loi, parasites, violents, racistes, profiteurs, casseurs… etc…
Car le Moix à Calais est souvent hémiplégique, le Moix est borgne, le Moix est cerveau droit ou cerveau gauche mais pas les deux à la fois…
Le Moix voit les migrants, pardon, les exilés « frappés, gazés, caillassés, brimés, humiliés » mais ne voit jamais les migrants, pardon, les exilés « frappeurs, caillasseurs, brimeurs, humilieurs » et plus si affinités… violeurs par exemple…
Le Moix ignore totalement la population calaisienne qui subit depuis des années les violences, délinquances, souillures, humiliations, voies de fait, brimades de la part des gentils exilés de son cœur…
Le Moix, il est vrai, s’en tamponne grave de la population calaisienne d’autant qu’il ne vit pas à Calais et qu’il ne connaît de la vie que les phrases ronflantes de ses piges, les studios bien chauffés et rigolards de ses chroniques télévisées, où la misère des migrants ne semble pas troubler plus que ça les roucoulements dindonesques de son pote Laurent Ruquier, les gras et gros émoluments de ses prestations en tous genres, les retours sur investissement de ses films et de ses bouquins et qu’il a jamais eu l’idée d’ouvrir ne serait-ce que quelques mètres carrés du garage de sa résidence secondaire ou de celle de Joffrin-Mouchard pour y accueillir en dame patronesse des quartiers chics les exilés de son coeur avant de leur offrir un sympathique petit tour du voilier qu’il a peut-être pas… Bref, le Moix n’est rien autre qu’une petite merde ordinaire et irresponsable faisant semblant, le temps d’une pige, de souffrir mille morts à l’aide mille mots… Beuark !!


cf :
http://www.liberation.fr/debats/2018/01/21/monsieur-le-president-vous-avez-instaure-a-calais-un-protocole-de-la-bavure_1624132