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samedi, 30 novembre 2013

Elle va mourir, la mamma...

Pas un qui manque à l’appel… Tous venus… Tous là… Indignés et larmoyants… République en danger… Racisme à tous les étages… De Despentes en BHL, de Moreau en Darrieusecq… et minuscule ultime rempart à la Taubirette bananée, Louis-Georges Tin soi-même qui s’y colle, prince des homos, roi des black et, antiraciste inconséquent, président du CRAN (Conseil représentatif des associations noires !), c’est à dire ébéniste de haut vol, pigmenteur de haute graisse, impénitent mélanésien et soulagiste de galerie…
Petite parenthèse : imaginons trois secondes la fondation du Crab (Conseil représentatif des associations blanches) et le tintouin qui s’en serait suivi… Taubira s’arrachant les tresses, BHL déchirant la chemise, Moreau faisant une fausse route fatale avec son ultime chivas et Vals appelant à la mobilisation générale… Oui, bon, mais les noirs, c’est pas pareil… colonisation… stigmatisation… discrimination… on leur doit bien ça… parce qu’ils le valent bien…

Mais revenons à Tin-Tin au Congo, le minuscule Louis-Georges qui se prend pour Léopold Sedar Senghor et y va de sa chronique libérée (http://www.liberation.fr/societe/2013/11/29/racisme-passee-l-indignation-que-reste-t-il_962925)

Et il nous dit quoi, Tin-Tin, mille sabords ? Que c’est bien beau le pathos antiraciste de toutes les crapules merdiatiques de Boboland, mais qu’une fois passées l’indignation et les pleureuses, que reste-t-il ? Et il a raison, le bougre, de cracher poliment sur les belles âmes et les cœurs endoloris, de moquer avec distinction l’antiracisme donquichottesque

Et LGT d’y aller alors de ses solutions puisées au meilleur tonneau d’un  antiracisme politique et d’ouvrir de nouveau le catalogue scrongneugneu de la répression bananiesque censée éradiquer l’abomination raciste de notre pourtant si belle et souveraine société républicaine…

Oui, bon, mais dis-nous, Tin-Tin, t’es sûr que tu fais pas à ton tour dans la pensée magique ? Tu te la poses où et quand la question de l’origine de ce que tu appelles « racisme » ? C’est quoi cette chose bizarre qui tout d’un coup reprend quelque vigueur ? Ça vient d’où, ça naît comment, ça se développe de quelle manière ? Tu y crois, toi, à la génération spontanée, à la « causa sui », à la parthénogenèse abominable, au « racisme » qui pullulerait soudain sans motif, sans cause, sans mobile et sans raison, simplement parce que des cons auraient oublié de fermer la porte et que le courant d’air d’une « parole libérée » serait en train d’enrhumer Marianne cinq ?

Et comme tu te poses pas les bonnes questions, forcément tes réponses « politiques » sont d’une nullité à chier, vulgaire catalogue répressif, usine à gaz idéologico-policière qui nous coûtera un bras et qui résoudra nibe…

Bon, Louis-Georges… Faut que j’aille faire les courses… Je te reprends demain matin aux aurores, si je suis pas trop pressée… sinon ça sera pour lundi… Lou…

jeudi, 28 novembre 2013

Moreau vache...

Ah ! comme on l’imagine bien la vieille peau Jeanne Moreau écrivant sous la dictée de je ne sais quel communiquant évaporé, avec le minuscule ultime spasme orgasmique de rigueur : « Nous sommes tous des singes français » !

Ah ! la jouissance que ça a dû être pour la vieille artisse décatie d’accoler ainsi « français » et « singe », « singe » et « français », afin de montrer à tous et chacun et que nul n’en ignore, à quel point elle est du sérail, du bon côté du manche médiatique, anticolonialiste de tréteau et taubirienne de haute-futaie, anticipant déjà sur les « nécros » prochaines qui hisseront à tous les pinacles des « Unes » endeuillées son engagement humaniste sans faille, sa rebellitude inébranlable et l’audacieuse ardeur de son insolence immarcescible…

Juste, la vieille, juste que tu t’as gourré grave… D’abord, parce que écrire cela, c’est enfoncer encore plus la Taubire dans le simiesque et la chimpanzie… Si nous sommes tous des singes français, c’est bien donc qu’elle en est un itou et c’est même et surtout parce qu’elle en est le joyau le plus emblématique ; ensuite, c’est pas « singe » qu’il fallait écrire, la vioque, mais « guenon », « vieille guenon fripée » même, fallait assumer son sexe, son genre, son âge et les multiples liftings qui arrivent mal à cacher les cuves de chivas, les tonnes de caviar, les kilomètres de clope et de coke, sans parler de ton cul en libre service sept jours sur sept sur tous les plateaux…

Manquait plus que toi, Moreause, dans la bande de Taubirophiles prêchi-prêcha, fallait surtout pas laisser le trio Despentes-Angot-Darrieussecq se la jouer perso « intermittentes du cœur »…

Par contre, ton fric, ton blé, ton oseille, tes actions et tes obligations planquées dans quelle Suisse apatride, tu nous en causes quand ?

Beuark …

Lou...

samedi, 23 novembre 2013

Profanator...

Allez, petit détour chez Demorand, le dernier, promis, après on passe à autre chose… Dans son édito d’il y a quelques jours (18 novembre) (http://www.liberation.fr/societe/2013/11/18/nous-continue...), après l’ « horreur absolue » du César chevrotiné et du tueur fou arrosant le hall de Libé, il disait quoi, déjà, le Joufflu, il employait quels mots pour qualifier la chose ? Ah ! oui : « cet acte odieux, barbare, cette profanation. »

Entendre tous les plus excités porte-encensoirs de Mai 68, les héritiers de July et Sartre, toute cette génération qui n’avait de cesse que de briser tous les tabous, interdire d’interdire, casser tous les dogmes, libérer la parole, les comportements, les désirs, détruire les chapelles, les églises, détricoter les transcendances… entendre tous ces cons reprendre le vocabulaire religieux pour se l’appliquer à eux-mêmes, leurs fonctions, leur sacerdoce et réinstaurer à leur profit ce sacré qui, lorsqu’il s’adressait à Dieu, les faisait vomir, ça a quand même quelque chose d’assez jouissif…

Et dire que ça a fait Normale Sup, que c’est agrégé de philo, dire que c’est ça qui prétend détenir le magistère de la pensée démocratique !

Dis, Nico, le droit au blasphème, rassure-moi, t’es toujours pour, au moins, ou là aussi t’as tourné la veste ? Parce que, si c’est toi le nouveau sacré, (nouveau Veau d’Or serait sans doute mieux adapté…), j’en connais une qui va pas se priver de blasphémer…

Ah ! putain, l’Enflure, on en finirait pas de lire ta prose… toujours le même édito : « Faire feu dans un journal, c’est attenter à la vie d’hommes et de femmes qui ne font que leur métier. » Et mon plombier, connard, quand il cintre du cuivre dans son atelier, il fait quoi ? De la dentelle ? On a le droit de le flinguer, lui qui n’a pas la chance d’être journaliste ? Beuark …

Lou...

vendredi, 22 novembre 2013

Libé - Charlie, même combat...

Après la sidération et l’ « horreur absolue », nous sommes heureux de vous informer que l’équipe Libé va mieux.
La cellule psychologique immédiatement mise en place pour cocooner les chochottes journaleuses épouvantées a permis au travail du deuil de s’effectuer dans les meilleurs conditions, d’autant que le pronostic vital du jeune César n’étant plus engagé, le « Tu quoque, fili ! » n’était plus à l’ordre du jour.

L’on a donc pu se laisser aller, sur les moquettes de la rue Béranger, dans le cadre d’un brain storming réparateur et entre deux chivas bien sentis, aux « couvertures auxquelles vous avez échappé » dont nous vous donnons ci-dessous les meilleures saillies :

L’extrême-droite qui tue

No pasaran

Abdelhacrime

Dekhar de police

Caméras de surveillance : Photo chope…

Un but Dekhar

Marche blanche contre un gris

César : « Tu me fends le cœur ! »

Rue Béranger, Dekhar pète…

Demorand à Vals : « Tu pouvais pas me trouver un facho ? »

La France Beur-Blanc-Boum

Lou...

 

 

jeudi, 21 novembre 2013

Ave Dekhar, pourrituri te salutant...

Ah ! putain ! c’eut été pourtant sympathique le tueur « de type européen » qui aurait fricoté jadis du côté des identitaires et du FN, qui se serait appelé Dupont et qui serait allé se faire un carton sur la presse gaucho-bobo en descendant au hasard dans le hall sanglant de Libération un malheureux assistant photographe vêtu de probité candide et de lin blanc.. Ça, oui, que ça aurait eu de la gueule, que ça t’aurait fait déjà une dizaine de « Une » d’enfer…

Oui, mais voilà, le réel, hélas, n’est pas toujours exactement conforme à nos souhaits, le « type européen » est plutôt un « type maghrébin », il s’appelle Abdelhakim Dekhar, il a longtemps fricoté à l’ultra-gauche et a été libéré par le laxisme pré-taubirien après complicité dans une affaire qui fit cinq morts dont trois policiers…

Et voilà pourquoi votre fille est muette !

Voilà pourquoi Libé s’occupe en priorité aujourd’hui de chiens écrasés et fait sa « Une » sur l’ « Austérité », pourquoi Manuel Vals ferme sa grande gueule et enfile les banalités comme un vulgaire Flamby des jours ouvrables…

Voilà pourquoi la sous-merde Demorand a oublié de retarder de quelques heures le rythme fou des rotatives afin de publier en urgence l’éditorial magnifique que César ne lira jamais… Je te le disais, hier, César : « Ils continuent ». Beuark !

Lou...

mercredi, 20 novembre 2013

Pierre tombale...

Ouf ! ça va mieux au pays du Demorand ! Z’avez lu Libé ce matin ? Juste la « Une », ça suffit, largement assez éloquente pour comprendre la mécanique des zozos… C’est bon , le travail du deuil a été rapide et efficace, la cellule psychologique a bien bossé, et le brave César, assistant photographe chevrotiné a sans doute quitté Roblotland en pleine forme au milieu des cotillons, car voilà que toute la rédaction si tant éplorée hier, tellement secouée, épouvantée, la pauvrette !, retrouve ce matin un peu d’entrain, se replie sur ses fondamentaux : le jeu de mots, la contrepèterie (« Rio, bravo ! … Ayrault, l’idée fisc ») et Demorand sans doute en tutu dansant la zumba sur le marbre pour célébrer la victoire des « Bleus » après avoir remisé aux poubelles de l’Histoire son « sentiment d’horreur » de la veille…

Et alors, tu croyais quoi, César, que t’allais faire le buzz pendant huit jours ? Y a pas que les journaleux à l’agonie dans la vie du Demorand et dans la tirelire de Pépé Rothschild… ils te l’avaient bien dit, hier, d’ailleurs : « Libération ne changera pas… Nous continuerons… »… Ils ont pas changé, ils continuent, toujours la même merde : y a aussi et surtout le foot et la courbe des ventes… RIP … 

Lou...

Info à la Une...

Allez, on va pas s’emmerder… on va prendre juste les trois premières phrases de l’édito du joufflu Demorand, hier dans Libé, Demorand qu’on devrait d’ailleurs bénir tous les jours pour avoir réussi depuis 2011 à faire chuter régulièrement les ventes du torchon rothschildien… Champagne !

Mais avant, quand même, deux mots sur la « UNE » magnifique de Libé d’hier qui présente une info essentielle en pleine page, qui devrait bouleverser le schmilblique et faire avancer l’enquête à grands pas : « Il a sorti un fusil, et tiré deux fois. » Ça c’est de l’info ! Imaginons qu’il ait sorti un flingue et tiré trois fois, ça changeait tout… Merci l’info, absolument prioritaire sur toute l’actualité mondiale, sur les attentats de Kaboul ou Beyrouth, sur les famines africaines, le typhon des Philippines, les inondations en Sardaigne, la révolte des Bretons, « nos » otages pourtant si tant tellement précieux et chéris, et Flamby enfin en train de faire le bisounours au pays du Hamas et de Netanyahu… non, non, il a bien tiré deux fois et, le con, après avoir sorti son fusil… ! Bref, le nombrilisme le plus total, la corporation tout entière des grands altruistes seulement préoccupés du malheur du monde toute repliée sur son ego majestueux, Libé en centre du monde façon gare de Perpignan, l’humour en moins, et la vie qui s’arrête, la traque partout, Vigipirate en écarlate, Vals au pays du braqueur fou… et les mines d’enterrement à la Gicquel de chacun des journalistes libératoires encore tremblants de trouille comme si Papy Fusil-à-Pompe était encore planqué dans le hall avec trois cartouches dans le chargeur… !

Bref, trois phrases donc, dans l’édito :

-1/ « L’horreur absolue, impensable dans le hall de notre journal. » Passons sur « l’horreur absolue » qui efface tout d’un coup tout le malheur du monde, comme si plus rien d’autre ne comptait soudain que les 800 m² de moquette du 11, rue Béranger… Et puis, « impensable dans notre journal » : deux remarques : « impensable » ? et alors ça sert à quoi les journaleux si la réalité est « impensable » ? C’est quoi leur magistère splendide, c’est quoi leur sacerdoce indispensable si c’est pas justement « penser », « comprendre » et « transmettre » ? Oui, bon, mais y a aussi la cerise sur le gâteau, le lapsus qui tue du génial Demorand, le non-dit lacanien qui fait retour du refoulé : « impensable dans notre journal »… Il a pas dit, l’enflure, dans « un » journal, il a dit dans « notre », ce qui veut dire tout simplement que c’eût été Minute, Présent, ou Rivarol, ou même Le Figaro ou  Le Point, il s’en tamponnerait le coquillard et sortirait sans doute le champagne en compagnie des magistrats du mur des cons… Car au pays de Demeurés, y a la Bonne Presse, comme autrefois celle des curés, et puis y a l’autre, la mauvaise, celle qu’il faut tuer dans l’œuf malgré toutes les grandes tirades sur la presse indispensable et le rôle capital des journalistes… Beuark

-2/ Continuons : « Dans cet espace que tout le monde ici appelle « l’accueil ». » On veut pas t’emmerder, Nico, mais des « accueils », y en a partout, chez Bolloré, au Fouquet’s, au bordel, chez Servier, au FMI, au Sofitel et même chez la Dame Pipi du Trou des Halles.. T’as pas le monopole du cœur, pépère, ni celui de l’intelligence malgré ton agrèg et normale sup, t’as pas non plus celui de l’accueil…

-3/ Et enfin : « Pour Libération, « accueillir » c’est affirmer qu’un média appartient à tous et qu’il est à ce titre de plain-pied sur la rue, transparent, sans rien à cacher »…. Bon, « appartient à tous » ! Voilà une bonne nouvelle ! Quand c’est que tu nous passes en prime time, Nicolo, un article d’Alain Escada, de Bernard Lugan, d’Alain Soral, de Zemmour, de Ménard ? … « transparent, sans rien à cacher » ? Ah bon ! chiche l’intello, que tu nous enregistres en intégral les conférences de rédaction, les embauches canapé, le verbatim de toutes les décisions, les coups de bigophone de Pépé Rothschild pour virer un tel, calmer le jeu sur telle entreprise qui file un max de pub, ne pas taper trop fort sur Ayrault à la demande de je ne sais quelle excellence, et autres joyeusetés de même acabit, les demandes de réécriture « dans la ligne » de certains articles, les débats pour savoir quelle tribune on passe et quelle on passe pas, quel courrier de lecteurs on censure et quel on censure pas… Chiche, Demeuré, tu nous mets tout ça sur You Tube et on se fait une super soirée…

Relis ton édito, l’enflure, t’étais sûrement encore sous le coup de l’émotion quand t’as pris ta plume d’oie… c’est pas bon, ça, pour penser…

Lou...

mardi, 19 novembre 2013

Morts de trouille...

Ah ! qu’il était beau, le joufflu Demorand, hier soir, le courageux directeur de Libé, mort de trouille en direct live devant les caméras, à trembler comme une feuille et bégayer son e-ef-effroi et son ho-ho-horreur a-a-absolue après l’horrible cri-cri-crime perpétré dans ses locaux…
Ah ! les si courageux journalistes ! si vaillants en Afghanistan, si intrépides au Mali, audacieux au Nigéria, valeureux au Kazakhstan… et soudain, pour un peu de chevrotine en plein Paris, les voilà qui se font sous eux, tous intestins libérés, à empuantir le Paf de leur trouille majuscule !

Ah ! comme elle était belle toute la corporation journaleuse gaucho-libertaire, si prompte d’ordinaire à élever au pinacle toutes les plus pires merdes cinématographiques ou littéraires qui crachent sur les flics, la répression, la police, l’ordre bourgeois… ah ! comme ils étaient beaux à sucer tout à coup les roues des flics, à bénir les commissariats, à se rejouer les Experts et encenser les caméras de surveillance partout, le flicage généralisé qui vont permettre de retrouver le coupable… et comme ils sont mignons tous ces gauchistes style Libé ou Charlie-Hebdo qui travaillent, du rez-de-chaussée au plafond, un policier à chaque fenêtre, un gendarme sous chaque bureau, sous la protection rapprochée de la flicaille honnie… !

Ah ! comme ils étaient beaux, hier soir, tous nos antiracistes de papier, nos rayeurs de constitution, nos sous-jacquards de comptoir à clamer partout que le cinglé était « de type européen » ! Eliminée la race, disparue, volatilisée, éradiquée, indigne de nos sociétés post-modernes et métissées… mais qu’un souchien, un « face de craie », un blanc, un petit blanc sans doute, s’en prenne à Libé, et voici aussitôt les vieux réflexes qui reviennent, la « race » qui reprend du service, juste qu’on nous rejoue la pièce avec une distinction toute bourgeoise et toute artiste… cachez ce mot que je ne saurais voir… et que « race » devient « type », histoire de pas avoir l’air trop con… Imaginons la Taubira avec un fusil à pompe chez «Minute », est-ce qu’on aurait parlé d’une femme « de type africain » ?

Ah ! comme il était mignon, le Copé et les autres, droite et gauche mêlées, à plat ventre devant Demorand et consorts, à soudain virer du parti le tweeter fou qui avait laissé entendre que, peut-être, quelque part, les journalistes maîtres du monde, totalitaristes mous, ordures intolérantes, rois du formatage national, menteurs par action et par omission, l’avaient bien cherché… On l’avait viré du Monde et du P.S. l’ordure Bergé qui souhaitait une bombe au milieu de la Manif pour Tous ? Mais là, Copé-la-Carpette, décision immédiate : viré du parti celui-là qui avait peut-être dit la vérité, lui fermer sa gueule… Non que cela excuse l’acte imbécile, certes, mais oui, cela peut sans doute l’expliquer…

Et tous les connards à la Demorand qui jadis… rappelez-vous Tonton Sartre allant porter des oranges à Baader dans sa prison… qui jadis, disais-je, expliquaient et justifiaient à longueur de colonnes par la « violence d’Etat » les terroristes d’Action Directe, de Lotta Continua, de la Rote Armee Fraktion etc… les copains à Ménigon et Rouillan, les voilà maintenant refusant de reconnaître leur propre violence médiatique quotidienne… Car il y a des morts et des blessés par balle et chevrotines, certes, mais il y a, chaque jour, la mort symbolique par silence radio/télé/journaux de tous ces journaux dont on ne parle pas (Présent, Rivarol, l’Action Française, Minute…), de ces penseurs ou analystes qu’on ignore (de Benoist, Lugan…), de ceux qu’on caricature, qu’on déforme, ou qu'on ne cite jamais…

 

Allez Demorand, va vite sécher tes larmes et te rebourrer de caviar jusqu’à la gueule, il en faudra plus pour nous faire pleurer sur ton sort, même si on veut bien compatir aux souffrances du jeune assistant photographe…

Lou...

samedi, 16 novembre 2013

TBJ expliqué à ma fille...

Ca y est, même le beau Tahar, le Ben Jelloun qui s’y met ! Plus rien à plagier sans doute, on va donc se refaire la cerise  en écrivant des banalités affligeantes d’humanisme mou et de moraline en spray dans Le Monde de Pierre Bergé… Et il est pas le seul à sortir sa plume d’esthète, y a eu ailleurs l’Angot et la Despentes et mille autres qui viennent grossir la meute et se la jouer plus blanc que blanc (ce qui est quelque peu paradoxal pour des antiracistes… !) et surtout encore meilleurs littérateurs que le voisin, avec la formule qui buzze et le mot qui flashe (pour Angot, c’était : « Cette histoire de banane nous tue. », pour Despentes : « C’est vous, Madame, la belle et haute voix », et pour Tahar « racisme light et décaféiné » qui vous a un petit air branché assez sympathique pour le prochain Goncourt des lycéens…).

Et ce qui est commun à tous ces zombies, outre la volonté de briller en société et d’être invité au JT de Delahousse, c’est l’exacerbation, à partir d’un ou deux faits qui ne méritaient rien d’autre que la rubrique des faits divers, de la notion de Racisme majuscule, comme si toute la France s’était réveillée raciste, comme si tous les Français, demain dès l’aube à l’heure où blanchit la campagne, étaient prêts à ratonner, lyncher, enfourner, comme si leur lecture favorite était Gobineau, comme si Noah, hélas ! n’était pas jusqu’à il y a peu leur personnalité préférée et comme si, au quotidien, la grande majorité des Français, voire la quasi-totalité, y compris les beaufs, y compris les bas de plafond, ne vivaient pas en bonne intelligence avec leurs voisins blacks, rebeus ou feujs, sans se demander chaque seconde si leur adn est compatible avec le leur…

Seulement voilà, faut bien enfumer le débat, faut bien verser son écot au politiquement correct, faut bien se la jouer propre sur soi et invitable vite fait sur tous les plateaux télé…
Et le Ben Jelloun, psychologue pour midinettes, d’enfiler alors les perles les plus ressassées du pathos de rigueur : « rongé par le racisme… malaise entre soi et soi… jouissance à stigmatiser…dérives graves…bas instincts.. » sans oublier, bien sûr, l’indispensable « idées nauséabondes » ni le paragraphe bien senti sur le FN et ses « dérapages indignes »… Fermez le ban !

Pas un de ces connards intello qui soit capable, ou plutôt qui ait la volonté d’analyser tranquillement le phénomène et qui, au lieu de bégayer « racisme » à longueur de colonnes, s’essaye simplement à voir la réalité et à parler non de racisme mais de xénophobie.. même pas de xénophobie mais d’un simple ras-le-bol devant l’insécurité, le parasitisme et les milliards que l’Etat dépense pour financer depuis quarante ans son absence d’une véritable politique d’immigration contrôlée et maîtrisée…

Mais il est tellement plus facile de se donner bonne conscience et de parader au paradis des bobos avec les bobards de l’honneur perdu de Taubira… (Faudra que j’aille chez mon orthophoniste..).

Allez encore deux minutes sur Tahar le Plagiaire pour montrer son niveau intellectuel et moral :

-niveau intellectuel : « Tant que le souci principal des hommes politiques est d’assurer leur réélection , tous les dérapages les plus indignes auront lieu. » Pour s’imaginer qu’un jour les hommes politiques penseront à autre chose qu’à leur réélection, faut être un sacré putain d’analyste politique de haute graisse !

-niveau moral : « Il faut que les enfants sachent, tant que leur esprit est encore disponible, sur quoi se base le racisme… ». Et voilà… D’autres, qui se firent allumer grave, parlaient naguère de « temps de cerveau disponible »… Avec TBJ on en est carrément arrivé au lavage de cerveau… et le plus tôt sera le mieux… Commençons par les enfants ! Beuark… 

Lou...

vendredi, 15 novembre 2013

Taubiramania...

Ah ! le joli Barnum ! l’incessant défilé médiatique des cons de tous bords venus se recueillir sur le cadavre encore chaud de Mémé Taubira, clamant leur indignation absolue devant la France raciste qui réactualise les heures les plus sombres… etc…

Ah ! la magnifique « Une » incantatoire de Libé qui va permettre au gros Demorand d’augmenter ses ventes et ses émoluments…

Ah ! la sublime Taubirette soi-même affirmant, la main sur le cœur, que cette « Une » de Minute c’est comme si on venait de l’exclure de la « famille humaine », elle qui n’a eu de cesse, ces derniers temps, avec tout le gouvernement mobilisé, que de, justement, détruire par le mariage gay, par l’imposition de la théorie du Genre, par les PMA et GPA à venir, toute notion de famille !

Et, côté inconséquences, c’est pas tout :

-les ¾ des indignés et bouleversés pétitionnaires seront tout prêts, demain matin, si la boboïdie l’exige, à voter comme un seul homme une loi faisant tomber, au nom du Progrès et de la Justice due à nos frères animaux, la barrière d’espèce !

-les 9/10 de ces zozos révulsés sont de fervents partisans de Pépé Darwin et arrêtent pas de nous seriner depuis des lustres, avec l’air supérieur et triomphant de scientifiques éteigneurs d’étoiles, que l’homme descend du singe… Et la femme, elle, n’aurait bizarrement pas le droit de descendre de la guenon !

-la totalité de ces crétins a supprimé le mot « race » de notre constitution, car les races, c’est bien connu, n’existent pas, même si, étrangement, l’antiracisme, lui, devient le seul ciment possible d’une gauche qui a largué loin de ses beaux-quartiers, les prolétaires de jadis…

Mais il est vrai que pétitionner et manifester, ça laisse parfois peu de temps pour la réflexion…

Lou…

jeudi, 14 novembre 2013

Simiesque...

Petit Larousse 2004 (grand format) : « Simiesque : Qui rappelle le singe par son aspect, ses expressions. Visage simiesque. »

Tiens, tiens… on peut donc dire d’un visage qu’il est simiesque sans que ce soit une injure ; sans que toute la noble corporation des indignés professionnels ne se dresse comme un seul homme pour défendre l’honneur menacé de Christiane Taubira et faire barrage au pire… Comme c’est bizarre !

Et entre Marie-Sol Touraine, Fleur Pellerin, Cécile Duflot, George Pau-Langevin, Sylvia Pinel, Najat Vallaud-Belkacem…, laquelle a le visage le plus ou le moins simiesque ? Est-ce que Alice Sapritch et Arlette Chabot, qui se sont fait allumer, des années durant, sur leur laideur supposée, avaient des visages simiesques ? Est-ce que moi-même, chaque matin, devant mon miroir, je ne me trouve pas parfois un petit côté simiesque qui tantôt me ravit et tantôt me déprime ?

Oui, bon, mais y a banane aussi … Et oui, certes, si Mémé Taubira eut été provençale, on lui aurait sans doute causé aioli ou tapenade, si elle eut été corse, elle aurait eu droit au figatelli, aveyronnaise, c’était l’aligot, mais guyanaise, la banane paraît logique…

Et les indignés, les brailleurs à moraline sélective, les connards révulsés au bord de l’apoplexie, ils font quoi alors ? Rien, rien du tout… juste un joli écran de fumée, histoire de faire oublier leur incapacité, leur pognon, leurs reniements, leurs taxes, leurs sondages…

Allez, encore quelques questions pour la route :

-lorsque tous les braillards émus stalinaient à qui mieux mieux (ou leurs pères) dans les années 60,  à coups de vipères lubriques et de chacals réactionnaires, ça leur faisait quoi l'assimilation Homme/Animal ?

-lorsque des décennies durant on a présenté Marie-Jo Pérec comme la « gazelle des Antilles », c’était du racisme ?

-lorsque la petite écaillère montebourgeoise Audrey Pulvar se définissait elle-même, dans un article de Libé, comme « tigresse sauvage », c’était du racisme ?

-lorsque Mélenchon traite Marine Le Pen de « démente », c’est pire ou moins pire que « guenon » ?

-lorsque des dizaines de « une » de Charlie-Hebdo ou des centaines de « Guignols » sur Canal montrent Le Pen en gorille, en primate, en bête immonde, ça s’appelle comment et ça fait monter qui aux rideaux ?

-lorsque Kofi Yamgnane affirme que « la France a toujours été raciste », il peut nous expliquer, Ducon, pourquoi, malgré son GPS, il arrive pas à retrouver le chemin de son cher Togo ?

-et pourquoi y en a pas un seul, des outrés, qui ait le courage de citer seulement dix lignes de l'article de Minute? C'est sans doute qu'il y a pas une goutte de racisme à l'intérieur et que ça serait trop con d'avoir fait tout ça pour rien...

A demain… si vous le voulez bien…

Lou...

 

mercredi, 13 novembre 2013

Une certaine Christiane T...

Mais ils vont pas bientôt nous lâcher avec la Taubirette !

Une guenon, une banane, et voilà l’armée des connards justiciers aussitôt en alerte maximum, Sos-Racisme en tête, suivi du Mrap, de la Licra, de la Ligue des Droits de l’Homme et de toutes les grandes âmes politiciennes, journaleuses, showbizesques, qui y vont chacune de son lamento des grands jours, que la patrie est en danger, que le pire est désormais certain, que la Bête immonde est passée par ici et que sans doute elle repassera bientôt par là, et qu’il faut, toutes affaires cessantes, retirer « Minute » des kiosques, établir le cordon sanitaire comme pour la Grande Peste de 1720, prêcher dans les écoles, moraliner dans les crèches, sermonner dans les collèges et peillonner dans les lycées…

Bon, allez, on veut bien reconnaître que banane et guenon c’était ni très futé ni très sympa, mais de là à ameuter la planète entière, à se la jouer tragediante plus plus et à demander l’intervention de l’Onu, y a peut-être un gouffre…

D’autant que tous les indignés, fils putatifs et putassiers du vieil Hessel, tous les fouille-merde à la Plenel, tous les plus exigeants déontologues de mes deux, on eut aimé les entendre sur quelques casseroles taubiriennes qu’ils nous passèrent gentiment sous silence…

 

« L’article révèle également quelques casseroles. L’inspection des Finances révèle un prêt de 400.000 francs non remboursé par son mari, dont elle était caution solidaire. Autre dossier gênant pour une ministre de la Justice d’une république irréprochable, une assistante parlementaire virée abusivement, en 2004, ce qui lui vaudra une condamnation des prudhommes pour licenciement abusif. Nous n’allons pas ergoter sur un appartement HLM haut de gamme de la Ville de Paris, qu’elle a fini par quitter l’an passé, ni sur une intervention en faveur de son fils accusé de meurtre… »

 

Ah ! si c’eut été les Le Pen père et fille qui se fussent rendus coupables de ces actes, comme tout cela eut tourné en boucle sur les radios et télés, comme l’on y serait revenu à chaque interview…

Et puis quand même, tous ces connards qui depuis une semaine nous causent d’inacceptable et d’insupportable, ils ont sans doute jamais lu Charlie-Hebdo ni regardé les Guignol où hebdomadairement et quotidiennement les pires horreurs sont déversées à pleins tombereaux sur le Pape, les évêques, l’armée, la droite, l’extrême-droite… où tout est permis, même le pire, pourvu que ça aille de la gauche vers la droite et si possible avec le parfum du caviar derrière… Mais toucher à Miss Laxisme-et-Visibilité, vous n'y songez pas ! Beuark !

mardi, 12 novembre 2013

La révolte qui vient...

Il passait pour le moins pire de tous (encore qu’on oubliera pas de longtemps Manuel Gaz…) dans ce gouvernement de bras cassés, d’incapables, de racketteurs et de fantoches… Et le voilà, hier soir, dans son rôle de politicien lambda, le voilà Manuel Vals, qui nous récite en boucle la vulgate bien apprise du gaucho de base sur l’extrême-droite qui n’a jamais aimé la France et sur le caractère insupportable et inacceptable des sifflets et des huées des Champs-Elysées qui, disait-il avec la grosse voix de rigueur, s’en prenaient à la mémoire nationale et aux héros de la Grande Guerre…

Eh ! Ducon, va falloir nettoyer ton logiciel… c’est pas les Poilus ni les Monuments aux Morts que visaient les sifflets et les huées, c’est juste Flamby 1° et son Ayrault de service, c’est juste un gouvernement de merde incapable de relever quoi que ce soit dans ce pays, capable seulement de taxer, taxer et taxer encore pour mieux augmenter l’assistanat généralisé et dégoûter un peu plus les rares qui travaillent encore…

Et puis, dis-moi, Manolo, la Taubirette qui protège davantage les crapules que les victimes, c’est acceptable et supportable ? Les journaleux à ta botte, payés par nos ronds, qui ferment leur gueule sur toutes les saloperies des politiques, les ministres qui se votent des primes de Noël comac (20 millions d’euros en 2013. Cf lien ci-dessous), le Jospinou, casé dans une commission à la con où il touche 122.000 euros pour déontologiser et où il embauche bobonne pour 35.000, la Trierweiler qui couche avec Flamby et voyage sur notre compte mais déclare au fisc ses revenus en solo pour échapper à l’Isf, les militants de la Manif pour tous réprimés comme des racailles de banlieue alors que leur seul tort est d’arborer un T-shirt rose et bleu, la Cresson socialeuse qui tout d’un coup découvre avec horreur que les Roms ont fait partout dans son jardin, la Martine d’Aubry qui vire les Roms de Lille pour mieux les délocaliser chez les ploucs de sa communauté urbaine, tout ça, c’est supportable et acceptable ?

Et puis c’est quoi cette démocratie de merde où on aurait pas le droit d’exprimer son opinion, ce régime où on fait le vide devant des ministres et un président dès qu’ils arrivent quelque part pour leur éviter d’entendre la voix du pays réel… ? Après avoir interdit le T-shirt de la Manif pour tous, tu vas interdire quoi sur tout le territoire de la République ? Le Bonnet rouge ? Tu vas avoir du boulot, Manu, parce qu’il y a encore les gants verts, les slips bleus, les pantalons jaunes, les chaussures dorés et même… et même… qui sait ? ...un jour… brrr… les chemises noires… !!

Lou…

(http://www.journaldunet.com/economie/magazine/primes-des-...)

lundi, 04 novembre 2013

Verlon-Dupont...

Ah ! putain ! ils vont nous les briser encore combien de temps avec les deux journaleux assassinés à Kidal ? Ils ont fait quoi, les deux gugusses, pour mériter tout cet excès d’honneur ? Ils ont sauvé la patrie en danger, fait don de leur corps à la science, bouché le trou de la Sécu, inventé la 12° dimension ? Non, non, ils sont juste allés en villégiature, les cons, là où fallait surtout pas aller, et ils se sont faits ramasser comme des bleus, eux pourtant si professionnels et si tant tellement fin connaisseurs de l’Afrique, par des mecs d’Aqmi ou du Mnla ou d’Ansar Dine qui passent pas vraiment pour des jeunes filles en fleurs…

Et si ça se trouve, ils ont peut-être même fait échouer, par leur interviewisme à tout crin et leur envie du scoop, telle ou telle action engagée par l'armée malienne et mis en danger quelques militaires partis à leur recherche...

A part ça, qu’est-ce qu’on sait de leurs motivations d’aller se perdre là où ça chauffe ? Suicide déguisé ? Exotisme à bon compte ? Arrivisme professionnel ? Exigence du métier ? On en sait rien, bien sûr. Mais toute la corporation des encartés de presse d’y aller unanimement de ses chaudes larmes et de panthéoniser vite fait les « admirables professionnels qui », les « remarquables courageux que », et de monopoliser les ondes jour et nuit pour nombriliser en boucle, se renvoyer des ascenseurs interminables et s’autoproclamer les meilleurs d’entre nous sur le dos des deux confrères à peine froids…

Y aurait eu deux militaires français tués en Afghanistan ou au Mali, tu l’aurais appris entre la poire et le fromage, à la toute fin des infos, entre l’appendicite de Yannick Noah et la dernière cirrhose de l’Abbé Pierre… Beuark.. !

Lou...